Éditos : révolte anti-Anna Cabana chez "Sud Ouest"
La journaliste et présentatrice Anna Cabana devait, mardi 10 janvier, prendre place en tant qu'éditorialiste pour le quotidien régional. Un recrutement vivement contesté dans une lettre adressée à la direction de "Sud Ouest" par 167 journalistes. Cabana a finalement renoncé à ce poste. Jointe par "Arrêt sur images", elle dénonce ce qui "ressemble fort à un procès en sorcellerie".
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Commentaires préférés des abonnés
Une conservatrice Macron compatible pour remplacer un autre conservateur parti au "canard enchainé" (ça ne va pas améliorer la ligne éditoriale de ce dernier) , rien de neuf sous le soleil.
Les journalistes de gauche seraient en voie d'extinctio(...)
Vous oubliez serge july qui a resigné à Libé. Ah mince il y l'omnipotent Drahi derrière le quotidien... à part ca Cabana qui se fait econduire par les journalistes d'un quotidien de la pqr potentiel recruteur, on ne va pas déplorer la grande perte de(...)
Ma cabane a tombé.
Bouh, je suis triste.
Pour un chien ou chienne de garde on dit une niche, GPMarcel.
Bouh, je suis triste.
Le divin chauve a trouvé du boulot.
Les fins de mois sont assurés.
Ah, tu me rassures.
Nous vivons, néanmoins, une époque form(...)
Derniers commentaires
Mme Cabana est une grande journaliste qui sait parfaitement décrypter ce qui fait la grandeur de la France ;=: https://www.marianne.net/agora/humeurs/le-president-impressionne-tout-le-monde-autour-de-lui-va-t-devoir-demenager-le
Elle parle de procureur auto proclamé ? C'est a ça qu'on les reconnait !
"Bruno Dive "était un membre historique de la rédaction parisienne [de Sud Ouest] depuis 30 ans, journaliste politique et éditorialiste depuis 20 ans", le tout "sans ancrage régional et n'ayant, au bout de cette riche carrière, jamais travaillé pour Sud Ouest ailleurs qu'à Paris",
On peut faire ça, travailler pour un quotidien régional en ne quittant jamais Paris? Et (bien sûr!) travailler pour un quotidien parisien en restant dans sa province profonde et gadouilleuse?
Et "La rédaction parisienne de Sud Ouest" c'est un oxymore ou une évidence?
Un des aspects de cette révolte, le déclencheur semble-t-il, c'est en effet la question du respect dû aux français-non-parisiens. Arrêt sur Images devrait également réfléchir à ce thème, qui va enfler dans les temps à venir.
En tant qu'ancien journaliste à "Sud-Ouest" à l'origine de l'implantation du SNJ-CGT (qui reste trop minoritaire) dans ce journal, je ne peux que me réjouis de ce petit vent de fronde. Heureux de voir que même le SNJ (syndicat patronal à mon époque) est de la partie. Encore plus heureux de voir que les femmes de la rédaction se bougent. De mon temps (oui je suis un vieux con), c'est la féodalité qui régnait. Je peux presque dire que le droit de cuissage régnait. Un petit comparatif avec "La Voix du Nord' pour qui j'ai également travaillé. À la "Voix du Nord", la règle était simple : les plus anciens des CDD étaient embauchés en priorité. À "Sud-Ouest", si vous étiez en concurrence avec une jolie fille, même si elle était arrivée il y a peu, le directeur de la rédaction avait vite fait son choix. Et, comme je l'ai dit plus haut, le SNJ étant un syndicat maison, ça ne faisait pas de vagues.
À propos de Jean-Pierre Dorian, l'actuel directeur de la rédaction, je l'ai connu lorsque je travaillais à Bordeaux, pour les pages "Régions". C'était un journaliste sportif (de sports plutôt), spécialiste du rugby. Un journaliste que rien ne distinguait des autres, pas particulièrement brillant. Je suis très étonné de voir qu'il a pu grimper jusqu'à devenir responsable de la rédaction. À la même époque, il y avait un autre journaliste spécialiste du rugby, Patrick Espagnet, que je mets quasiment au même niveau qu'Antoine Blondin. J'adorais le retrouver à la cantine du journal. Il est mort en 2004, quelque temps après avoir été viré par "Sud-Ouest" (il était un peu alcoolo sur les bords). C'est ça "Sud-Ouest", on vire les génies et on promeut les médiocres.
Je viens de faire un tour sur Wikipedia
histoire de voir qui est Anna Cabana
et j'ai compris qu'Anna Cabana rime avec déontologia
et j'ai vu qu'elle a remporté des succès de librairie avec des livres dont le simple titre explique pourquoi dans les maisons bourgeoises les étagères sont remplies de merde
Si ce n'est pas malheureux au pays de Voltaire !!!
Le Canard Enchaîné,qui recrute Bruno Dive.
Bruno Dive: est élu président de l'association de la Presse ministérielle en juin 20184.:-)Quelle rigolade.
La parisienne à bordeaux,le bordelais à paris,échange de bon procédé entre ami-e-s de plateaux de la capitale.
ce qui est aussi interrogatif c'est la propension au cumul sans fin de tout ces gens si critiques par ailleurs : apathie, duhamel, etc... qui sont partout, expliquant ainsi l'absence de diversité politique
Sans rapport direct - quoique les non-dits soient toujours très signifiants et Erner ne rappelle jamais qui il fut vraiment, à part président de l'AN - j'ai adoré entendre sur France-culture Bernard Accoyer affirmer que le lobby du nucléaire n'existait pas alors qu'il en était le représentant = la lettre d'Edgar, Poe et non Hoover!!!
On s'amuse comme on peut...
Une rédaction ne veut pas que la femme à Blanquer décrédibilise un journal. Voilà une coordination professionnelle qui a réussi.
Ma cabane a tombé.
Bouh, je suis triste.
Pour un chien ou chienne de garde on dit une niche, GPMarcel.
Bouh, je suis triste.
Le divin chauve a trouvé du boulot.
Les fins de mois sont assurés.
Ah, tu me rassures.
Nous vivons, néanmoins, une époque formidable.
J'y pense, elle peut aller au Canada., qu'elle téléphone à line renaud.
Sur cette affaire, elle écopa, Cabana
Ce qui est certain, c'est que Bruno Dive n'était pas un localier . Si l'objectif, c'est de bénéficier du carnet d'adresses d'une journaliste pour couvrir la politique nationale tout en recrutant en interne, je ne vois qu'une solution : sortir Marie Claude Aristegui de sa retraite : elle a peut-être gardé quelques contacts de l'époque où elle était à La Rochelle ...quand le PS y tenait ses universités d'été. .
Pardon, pardon, je ne faisais que passer...
Une conservatrice Macron compatible pour remplacer un autre conservateur parti au "canard enchainé" (ça ne va pas améliorer la ligne éditoriale de ce dernier) , rien de neuf sous le soleil.
Les journalistes de gauche seraient en voie d'extinction , réfugiés pour la plupart dans les médias alternatifs.