Guerre en Ukraine : journalistes cherchent gilets pare-balles
Certains journalistes ayant exercé dans des zones de guerre ont sonné l'alarme la semaine dernière, en constatant que de nombreux confrères présents en Ukraine ne disposaient ni de gilets pare-balles, ni de casques ou de trousses de soin. Certaines rédactions ont en effet envoyé leurs journalistes à Kiev sans protections, et des reporters indépendants, tentés par la couverture du conflit, pourraient être tentés de les négliger. Les syndicats s'en inquiètent. Le tout sur fond de pénurie de gilets pare-balles. Enquête.
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Commentaires préférés des abonnés
J'ai remarqué, comme vous, la présence de brillants polémistes ( " polémiste " : le terme est à la mode ) qui admettent certaines positions indéfendables, comme ils admettaient les élucubrations du " savant " barbu.
La contagion, la (...)
J'essaie de me mettre dans la peau d'un négationniste (comment les appeler autrement ?), mais ce n'est pas simple.
En parcourant Twitter, il m'arrive de tomber sur les commentaires de Philippot.
Tout aussi hallucinants sur la guerre en Ukraine que ceux(...)
" Qui se sent morveux, qu'il se mouche " ( l'Avare 1-3 )
Derniers commentaires
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Sans doute parce que la "protection légale" des journalistes ne vaut rien sur le terrain.
C'est comme les médecins de combat. Il est illégal de leur tirer dessus (c'est un crime de guerre) et pourtant, ils sont souvent la cible des tirs ennemis.
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Ben...
Mettez vous à la place de celui d'en face.
Il voit un truc fluo qui émerge du brouillard à la nuit tombante.
Comme c'est celui d'en face, il se dit: "bon dieu, y un correspondant de guerre !" Et si il y a un correspondant de guerre, c'est qu'il y a la guerre, donc ceux d'en face.
Et il tire. Il est là pour ça. Pour tirer sur ceux d'en face chaque fois qu'il croit qu'il en voit un.
Comme disait un obscur penseur* : "L'ennemi est con, il croit que l'ennemi c'est nous alors que l'ennemi c'est lui"
(*) ça y est, j'ai retrouvé : Pierre Desproges
là comme dans de nombreux autres secteurs, le problème est l'inconséquence des employeurs et le manque de moyens généralisé.
il faut rémunérer les journalistes pour leur taf. à mon avis ça commence par respecter leur boulot et ne pas recopier leurs papiers n'importe comment comme je le vois parfois sur ce forum.
Où on mesure à quel point les "journalistes" d'aujourd'hui sont peu habitués au travail de terrain. Journaliste, aujourd'hui, c'est un éditorialiste qui donne son avis (ni plus ni moins légitime que celui de n'importe quel passant dans la rue) sur les sujets d'actualité. Patrick Cohen a sa carte de presse, Gaspard Glanz n'en a pas. Lequel fait du journalisme, lequel se promène sur les plateaux télé ?
Faites comme Enthoven, les gars, restez derrière votre clavier.
Pénurie de gilets pare-balles pour les journalistes en Ukraine ? Et alors ?
Il n'y a pas plus besoin de ces gilets pare-balles là-bas, qu'il n'y en avait en France pour les masques aux premiers jours de la pandémie.