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Happy end à Cannes
On a beau fermer ses oreilles au festival de Cannes et à ses autocélébrations satisfaites
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Sur le sujet :
http://harmoniques-nuances.blogspot.fr/2013/05/et-la-palme-d-or-du-culot-est-attribuee.html
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Pour les (très rares) forumeurs qui persistent à me lire parfois je précise que le cassandre mentionné dans mon titre n’est pas moi.
Il s’agit de George Orwell (25 juin 1903 – 21 janvier 1950) en tant qu’auteur du livre « 1984 »
Dans son ouvrage il développe la description d’un monde futur dans lequel une dictature oppresse les individus par le biais du désormais célèbre « big brother ». Mais cette entité n’est pas la seule idée visionnaire et remarquable que cet auteur développe dans son roman.
Je ne vais pas vous faire la synthèse mais, si cela vous intéresse, une simple interprétation toute personnelle et donc, forcément partiale, de ce roman. Mon interprétation se fera à la lumière d’une de mes idées fixes (le MPT) mais pour montrer certaines convergences de phénomènes.
1. « Big brother » : dans le roman c’est à la fois un individu (le chef que personne n’a rencontré) et un système. Les caméras sont partout et elles scrutent le moindre de vos gestes et la moindre de vos paroles. Tout cela est si oppressant et envahissant que les protagonistes en viennent à craindre des intrusions dans leurs propres pensées : comment ne pas voir sa pensée transformée, pervertie, quand vous ne pouvez jamais l’exprimer à haute voix sans craindre d’être sanctionné.
Jusqu’en 2012 : la droite nous propose du « tout sécuritaire » avec la tentation forte d’espionner son voisin et de le dénoncer. Les caméras de vidéo-surveillance se multiplient et beaucoup à gauche craignent, à raison, les dérives d’un Etat policier.
2. « La double pensée » : dans le roman il ne s’agit pas de développer des moyens scientifiques pour pénétrer le cerveau d’un malheureux pour en changer les valeurs ou raisonnements. Il s’agit de faire accepter que ce que l’on voit est ce que l’on voit tout en ne l’étant pas. Il suffit de savoir ce que l’on désir voir pour que la réalité soit décrétée conforme à cette volonté. Votre main à 5 doigts, mais si on vous dit qu’elle en a 4 ou 3, vous devez l’admettre. Notre pays est en conflit avec le pays A depuis 4 ans, mais si on vous dit, qu’en fait, le conflit nous mettait aux prises avec le pays B, vous êtes sommé, non pas de le croire, mais d’en être intimement persuadé, comme de la seule vérité…..d’ailleurs qu’est-ce que la vérité ?
En 2013 : la gauche sociétale nous propose d’accepter cette vision là :
Un homme et une femme sont, quelque part, identiques puisque les études de genre tendent à nous montrer que l’identité sexuelle est d’avantage liée à notre culture qu’à notre biologie. Des homos sont, au même titre que les hétéros, capables de procréer (adoption plénière) au moins symboliquement et juridiquement (AMP et GPA à venir)
3. « Minimour » : le ministère de l’amour (qui réprime toute forme de sexualité et d’amour). C’est là qu’est le génie (n’ayons pas peur des mots) d’Orwell. Ce ministère agit, en réalité, à l’inverse de ce que son nom prétend qu’il fait. De même il y a « Miniver », le ministère de la vérité (qui travestit la réalité), « Minipaix » qui fait la guerre (puisque « la guerre c’est la paix ») et le ministère de l’abondance (qui gère la pénurie)…tout cela dans la plus pure novlangue.
Pour revenir à Minimour, Orwell regroupe, dans ce seul mot valise, le point 1 (de droite) et le point 2 (de gauche) :
- ministère : de l’intérieur, pour son coté policier. Minimour, dans le roman, est l’institution la plus sévèrement encadrée et militarisée (barbelés….)
- amour : pour les bons sentiments que ce ministère prétend défendre.
Je me considère donc, malheureusement, dans un monde qui tend à donner raison à Orwell.
Il n’est que de voir la police de la pensée que certains forumeurs, ici, s’appliquent à faire respecter.
A la simple évocation des différences, qui existent, entre couples hétéros et couples homos je me retrouve taxé de tous les maux de la terre à base de « phobe » et de « isme ». Tous les forumeurs ne procèdent pas ainsi, évidemment, mais les plus convaincus que leur cause est juste (ce que je ne nie pas) se comportent comme si nos divergences d’opinion pouvaient justifier mépris et insultes à mon égard.
Je mets au défit quiconque, ici, de trouver le moindre mot ordurier, injurieux, méprisant dans mes commentaires. Etant entendu qu’être d’un avis argumenté contraire ne constitue pas, en soi, une injure ou un mépris.
On me prête des intentions violentes et méprisantes que je récuse fermement et qu’aucun de mes propos ne formule. Par contre certains n’hésitent pas à répondre à mes arguments que « j’éructe », « je me répand », « je déverse ma haine », « je souhaite la mort d’autres personnes »……signalé à la modération !
Certains commentaires ont très largement dépassé les limites. Je me suis toujours montré courtois et respectueux et je me suis heurté à des sous-entendus : si je reste courtois c’est pour cacher mes intentions méprisantes….comme ça c’est clair : comme pour les manif, quitte à être qualifié de violent haineux, j’aurais pu me montrer comme tel puisque, de toute façon, je n’ai plus rien à perdre (mon honneur ayant déjà été perdu du simple fait d’être anti-MPT)
C’est une belle manifestation de la « double-pensée » et cela se produit souvent en trois temps :
1. Premiers arguments de base échangés : courtoisie de mise. Je ne suis pas homophobe puisque mon contradicteur se dit qu’il va pouvoir me faire changer d’avis (seul son avis étant humainement acceptable)
2. Les arguments deviennent plus précis et les contradicteurs se rendent compte que le nœud du problème est impossible, pour l’un comme pour l’autre, à dénouer. A ce moment là, les « absurdes », « syllogismes », « déverser sa haine », « bile », « éructer », « vomir »…..tombent comme à Gravelotte.
3. C’est un fait ensuite avéré : comme je persiste à ne pas être en accord avec mon contradicteur, le suis homophobe.
Le passage du 1 au 3 permet ainsi de dire : vous vous prétendez non homophobe mais vous vous trompez, vous l’êtes. Ce que vous pensez être (et dont vos écrits témoignent) est une hypocrisie (nouveau mot à la mode des forums) : vous êtes ce que nous vous disons que vous êtes….
Sur la forme des discussions entre asinautes, trois choses :
- Quand les interlocuteurs ont le même avis : les complicités se nouent à base de clin d’œil et autres sous-entendus comiques de bon aloi…..c’est parfait (sans ironie)
- Quand le moindre désaccord surgit : les expressions du type « ce que vous dites est absurde, hein ? » ou les onomatopées idiotes « derk ou zip », « me trompe-je ? »….fusent. Elles n’ont pas pour but d’enrichir le débat mais de vexer le contradicteur. Comme cela tout le monde est gagnant : les vexations succèdent aux vexations crescendo et toute compréhension mutuelle devient impossible.
- Moralité : les forums permettent de conforter l’auto-satisfaction de ceux qui sont d’accord entre eux et d’empêcher la compréhension entre ceux qui sont en désaccord.
Je vais donc vous laisser en vous souhaitant à toutes et à tous une bonne continuation sur ces forums.
Il s’agit de George Orwell (25 juin 1903 – 21 janvier 1950) en tant qu’auteur du livre « 1984 »
Dans son ouvrage il développe la description d’un monde futur dans lequel une dictature oppresse les individus par le biais du désormais célèbre « big brother ». Mais cette entité n’est pas la seule idée visionnaire et remarquable que cet auteur développe dans son roman.
Je ne vais pas vous faire la synthèse mais, si cela vous intéresse, une simple interprétation toute personnelle et donc, forcément partiale, de ce roman. Mon interprétation se fera à la lumière d’une de mes idées fixes (le MPT) mais pour montrer certaines convergences de phénomènes.
1. « Big brother » : dans le roman c’est à la fois un individu (le chef que personne n’a rencontré) et un système. Les caméras sont partout et elles scrutent le moindre de vos gestes et la moindre de vos paroles. Tout cela est si oppressant et envahissant que les protagonistes en viennent à craindre des intrusions dans leurs propres pensées : comment ne pas voir sa pensée transformée, pervertie, quand vous ne pouvez jamais l’exprimer à haute voix sans craindre d’être sanctionné.
Jusqu’en 2012 : la droite nous propose du « tout sécuritaire » avec la tentation forte d’espionner son voisin et de le dénoncer. Les caméras de vidéo-surveillance se multiplient et beaucoup à gauche craignent, à raison, les dérives d’un Etat policier.
2. « La double pensée » : dans le roman il ne s’agit pas de développer des moyens scientifiques pour pénétrer le cerveau d’un malheureux pour en changer les valeurs ou raisonnements. Il s’agit de faire accepter que ce que l’on voit est ce que l’on voit tout en ne l’étant pas. Il suffit de savoir ce que l’on désir voir pour que la réalité soit décrétée conforme à cette volonté. Votre main à 5 doigts, mais si on vous dit qu’elle en a 4 ou 3, vous devez l’admettre. Notre pays est en conflit avec le pays A depuis 4 ans, mais si on vous dit, qu’en fait, le conflit nous mettait aux prises avec le pays B, vous êtes sommé, non pas de le croire, mais d’en être intimement persuadé, comme de la seule vérité…..d’ailleurs qu’est-ce que la vérité ?
En 2013 : la gauche sociétale nous propose d’accepter cette vision là :
Un homme et une femme sont, quelque part, identiques puisque les études de genre tendent à nous montrer que l’identité sexuelle est d’avantage liée à notre culture qu’à notre biologie. Des homos sont, au même titre que les hétéros, capables de procréer (adoption plénière) au moins symboliquement et juridiquement (AMP et GPA à venir)
3. « Minimour » : le ministère de l’amour (qui réprime toute forme de sexualité et d’amour). C’est là qu’est le génie (n’ayons pas peur des mots) d’Orwell. Ce ministère agit, en réalité, à l’inverse de ce que son nom prétend qu’il fait. De même il y a « Miniver », le ministère de la vérité (qui travestit la réalité), « Minipaix » qui fait la guerre (puisque « la guerre c’est la paix ») et le ministère de l’abondance (qui gère la pénurie)…tout cela dans la plus pure novlangue.
Pour revenir à Minimour, Orwell regroupe, dans ce seul mot valise, le point 1 (de droite) et le point 2 (de gauche) :
- ministère : de l’intérieur, pour son coté policier. Minimour, dans le roman, est l’institution la plus sévèrement encadrée et militarisée (barbelés….)
- amour : pour les bons sentiments que ce ministère prétend défendre.
Je me considère donc, malheureusement, dans un monde qui tend à donner raison à Orwell.
Il n’est que de voir la police de la pensée que certains forumeurs, ici, s’appliquent à faire respecter.
A la simple évocation des différences, qui existent, entre couples hétéros et couples homos je me retrouve taxé de tous les maux de la terre à base de « phobe » et de « isme ». Tous les forumeurs ne procèdent pas ainsi, évidemment, mais les plus convaincus que leur cause est juste (ce que je ne nie pas) se comportent comme si nos divergences d’opinion pouvaient justifier mépris et insultes à mon égard.
Je mets au défit quiconque, ici, de trouver le moindre mot ordurier, injurieux, méprisant dans mes commentaires. Etant entendu qu’être d’un avis argumenté contraire ne constitue pas, en soi, une injure ou un mépris.
On me prête des intentions violentes et méprisantes que je récuse fermement et qu’aucun de mes propos ne formule. Par contre certains n’hésitent pas à répondre à mes arguments que « j’éructe », « je me répand », « je déverse ma haine », « je souhaite la mort d’autres personnes »……signalé à la modération !
Certains commentaires ont très largement dépassé les limites. Je me suis toujours montré courtois et respectueux et je me suis heurté à des sous-entendus : si je reste courtois c’est pour cacher mes intentions méprisantes….comme ça c’est clair : comme pour les manif, quitte à être qualifié de violent haineux, j’aurais pu me montrer comme tel puisque, de toute façon, je n’ai plus rien à perdre (mon honneur ayant déjà été perdu du simple fait d’être anti-MPT)
C’est une belle manifestation de la « double-pensée » et cela se produit souvent en trois temps :
1. Premiers arguments de base échangés : courtoisie de mise. Je ne suis pas homophobe puisque mon contradicteur se dit qu’il va pouvoir me faire changer d’avis (seul son avis étant humainement acceptable)
2. Les arguments deviennent plus précis et les contradicteurs se rendent compte que le nœud du problème est impossible, pour l’un comme pour l’autre, à dénouer. A ce moment là, les « absurdes », « syllogismes », « déverser sa haine », « bile », « éructer », « vomir »…..tombent comme à Gravelotte.
3. C’est un fait ensuite avéré : comme je persiste à ne pas être en accord avec mon contradicteur, le suis homophobe.
Le passage du 1 au 3 permet ainsi de dire : vous vous prétendez non homophobe mais vous vous trompez, vous l’êtes. Ce que vous pensez être (et dont vos écrits témoignent) est une hypocrisie (nouveau mot à la mode des forums) : vous êtes ce que nous vous disons que vous êtes….
Sur la forme des discussions entre asinautes, trois choses :
- Quand les interlocuteurs ont le même avis : les complicités se nouent à base de clin d’œil et autres sous-entendus comiques de bon aloi…..c’est parfait (sans ironie)
- Quand le moindre désaccord surgit : les expressions du type « ce que vous dites est absurde, hein ? » ou les onomatopées idiotes « derk ou zip », « me trompe-je ? »….fusent. Elles n’ont pas pour but d’enrichir le débat mais de vexer le contradicteur. Comme cela tout le monde est gagnant : les vexations succèdent aux vexations crescendo et toute compréhension mutuelle devient impossible.
- Moralité : les forums permettent de conforter l’auto-satisfaction de ceux qui sont d’accord entre eux et d’empêcher la compréhension entre ceux qui sont en désaccord.
Je vais donc vous laisser en vous souhaitant à toutes et à tous une bonne continuation sur ces forums.
L argument : ce sont des machos il n y a qu un seul film réalisé par une femme dans la séléction est particulièrement crétin dans le genre.
Pensez vous sérieusement qu ils ont vus des films géniaux mais se sont dits : c est une réalisatrice je ne prends pas le film.
Faut il faire de la discrimination positive et choisir des mauvais films sous pretexte de l egalité.
Tout cela est presque aussi idiot que le festival de films de femmes. Et pourquoi pas le festival du film de femmes aux yeux marrons et cheveux chatains.
Seule l oeuvre compte. On se fout du sexe de l auteur. Je n ai jamais évité de lire un livre ou voire un film car il était réalisé par une femme. Kathryn Bigelow a été oscarisée. On reconnait le talent de Nolwen. Mais arretons de juger un film en fonction du sexe de l auteur.
Pensez vous sérieusement qu ils ont vus des films géniaux mais se sont dits : c est une réalisatrice je ne prends pas le film.
Faut il faire de la discrimination positive et choisir des mauvais films sous pretexte de l egalité.
Tout cela est presque aussi idiot que le festival de films de femmes. Et pourquoi pas le festival du film de femmes aux yeux marrons et cheveux chatains.
Seule l oeuvre compte. On se fout du sexe de l auteur. Je n ai jamais évité de lire un livre ou voire un film car il était réalisé par une femme. Kathryn Bigelow a été oscarisée. On reconnait le talent de Nolwen. Mais arretons de juger un film en fonction du sexe de l auteur.
Pour avoir tourné à deux reprises comme comédienne avec Godard dans les années 90, j 'ai une valise entière d anecdotes du même ordre que les récits des techniciens du tournage d'Abdellatif Kechiche ...
Pour exemple, Godard n a jamais voulu me déclarer sur ce tournage car comme me l avait expliqué son bras droit de l époque, un cinéaste connu qui lui servait d assistant et de conseil artistique sur ce tournage, "jean Luc n aime pas déclarer (sic) " ... bien sur le cinéaste en question que je ne citerais pas, avait l air de trouver ça normal.
De plus, quand Jean Luc n était pas content des scènes tournées, il ne me payait pas !!! et c'était le cinéaste, bras droit de JLG, qui était chargé de m annoncer les bonnes nouvelles concernant les états d âme du maître et ses répercussions sur mon salaire !!!
Un matin, aux aurores alors que toute l équipe était prête pour partir tourner, il m'a trouvé mal coiffée, terrible drame... on a du ranger le matériel et retourner dans nos chambres d hôtel toute la journée,tous punis, A CAUSE DE MOI ! etc etc etc
Quand pendant le tournage d une scène, il décidait que je devais porter la même barrette que j avais dans mes cheveux un mois auparavant, un assistant partait en courant traverser toute une capitale pour retrouver une malheureuse barrette perdue dans ma trousse de toilette qui finalement n intéressait plus JLG deux heures plus tard, mon texte glissé à 5h du matin sous la porte de ma chambre d hôtel que je devais savoir par cœur deux heures plus tard etc etc etc
conclusion, après deux tournages avec le maître, j ai décidé de ne plus jamais mettre un doigts de pied sur un tournage ...j avais une vingtaine d années et franchement je garde un souvenir décevant de ce tournage
Oui,j admirais Godard et son équipe mais j étais tétanisée de peur chaque matin !!!
J ai lu les récits des techniciens du film d d'Abdellatif Kechiche et j ai pensé à la façon dont Godard parlait parfois des techniciens du cinéma ...
bref,il n y a pas que le résultat qui compte mais aussi la façon dont on l obtient !
Pour exemple, Godard n a jamais voulu me déclarer sur ce tournage car comme me l avait expliqué son bras droit de l époque, un cinéaste connu qui lui servait d assistant et de conseil artistique sur ce tournage, "jean Luc n aime pas déclarer (sic) " ... bien sur le cinéaste en question que je ne citerais pas, avait l air de trouver ça normal.
De plus, quand Jean Luc n était pas content des scènes tournées, il ne me payait pas !!! et c'était le cinéaste, bras droit de JLG, qui était chargé de m annoncer les bonnes nouvelles concernant les états d âme du maître et ses répercussions sur mon salaire !!!
Un matin, aux aurores alors que toute l équipe était prête pour partir tourner, il m'a trouvé mal coiffée, terrible drame... on a du ranger le matériel et retourner dans nos chambres d hôtel toute la journée,tous punis, A CAUSE DE MOI ! etc etc etc
Quand pendant le tournage d une scène, il décidait que je devais porter la même barrette que j avais dans mes cheveux un mois auparavant, un assistant partait en courant traverser toute une capitale pour retrouver une malheureuse barrette perdue dans ma trousse de toilette qui finalement n intéressait plus JLG deux heures plus tard, mon texte glissé à 5h du matin sous la porte de ma chambre d hôtel que je devais savoir par cœur deux heures plus tard etc etc etc
conclusion, après deux tournages avec le maître, j ai décidé de ne plus jamais mettre un doigts de pied sur un tournage ...j avais une vingtaine d années et franchement je garde un souvenir décevant de ce tournage
Oui,j admirais Godard et son équipe mais j étais tétanisée de peur chaque matin !!!
J ai lu les récits des techniciens du film d d'Abdellatif Kechiche et j ai pensé à la façon dont Godard parlait parfois des techniciens du cinéma ...
bref,il n y a pas que le résultat qui compte mais aussi la façon dont on l obtient !
Merci pour cette chronique, c'est réconfortant de lire ces lignes que l'on ressent comme simplement "justes".
"Au dernier jour, donc, le Festival rejoignit ainsi le camp du Bien"
Ouh la la!!! Serait-on en train de passer de Bégaudeau à Muray??!!!
Par contre j'ai trouvé l'emploi du mot beauf un peu trop inrocks à mon goût (ie cuistre volontairement négligé (en chaussettes?))
Ouh la la!!! Serait-on en train de passer de Bégaudeau à Muray??!!!
Par contre j'ai trouvé l'emploi du mot beauf un peu trop inrocks à mon goût (ie cuistre volontairement négligé (en chaussettes?))
La réaction de Julie Maroh, l'auteure de la bande dessinée dont est adapté le film de Kechiche se trouve sur son blog. Très intéressant. Notamment sur les fameuses scènes de sexe, dont toute la presse a parlé, et qui semblent se révéler encore une fois le produit d'un fantasme masculin sur l'homosexualité féminine.
Truffaut disait que le cinéma c'est faire de jolies choses avec de jolies filles: il signifiait par là que le personnage féminin du film, et l'actrice qui l'incarne, est une projection érotique du réalisateur (et qu'en général, le réalisateur se tape l'actrice: c'est du moins ce qu'a fait Truffaut dans tous ses tournages). Godard, dans une interview, avait ajouté que si Hitchcock plaisait tant aux cinéphiles de la bande des Cahiers (qui allait donner naissance à la nouvelle vague), c'est que le spectateur pouvait être certain qu'à l'inverse des autres films qu'il voyait, le réalisateur ne s'était pas tapé l'actrice (de fait il était impuissant, ce qui ne l'a pas empêché de virer gros pervers sur le tournage de Marnie). Le fantasme du spectateur n'était pas bridé par la réalité des conditions de tournage. Signe que dans un cinéma essentiellement fait par des hommes, la domination masculine est partie intégrante non seulement des conditions de tournage (le réal drague lourdement l'actrice), mais aussi du dispositif (le réal projète son désir dans l'oeuvre).
Personnellement, j'ai la bédé de Julie Maroh, et je ne l'avais pas aimée quand je l'avais lue (à sa sortie): trop de maladresses, aussi bien graphiques que scénaristiques, à mon sens. Le besoin de faire passer un message, aussi, quitte à faire du mélo parfois, plombait le propos. Mais je n'en fais pas reproche à Julie Maroh: elle n'avait que 19 ans, c'était sa première bande dessinée, et le désir de bien faire comme sa sincérité touchant peut-être à la naïveté (on n'est pas sérieux quand on a 19 ans) sont simplement le signe de sa jeunesse, non d'un manque de talent. Le fait qu'elle ait pu être à l'origine non seulement d'une palme d'or, mais aussi de la première palme d'or adaptée d'une bande dessinée, est un magnifique destin pour son œuvre. Et je suis persuadé que le film de Kechiche saura transcender l'œuvre originelle pour en faire le chef-d'œuvre qu'il semble être. À voir...
Ce qui n'enlève rien au fait qu'humainement, Kechiche semble être un personnage odieux et tyrannique, exploitant les autres, techniciens comme actrices (175 heures de rush!), au nom de l'Art et au mépris du Code du Travail.
Truffaut disait que le cinéma c'est faire de jolies choses avec de jolies filles: il signifiait par là que le personnage féminin du film, et l'actrice qui l'incarne, est une projection érotique du réalisateur (et qu'en général, le réalisateur se tape l'actrice: c'est du moins ce qu'a fait Truffaut dans tous ses tournages). Godard, dans une interview, avait ajouté que si Hitchcock plaisait tant aux cinéphiles de la bande des Cahiers (qui allait donner naissance à la nouvelle vague), c'est que le spectateur pouvait être certain qu'à l'inverse des autres films qu'il voyait, le réalisateur ne s'était pas tapé l'actrice (de fait il était impuissant, ce qui ne l'a pas empêché de virer gros pervers sur le tournage de Marnie). Le fantasme du spectateur n'était pas bridé par la réalité des conditions de tournage. Signe que dans un cinéma essentiellement fait par des hommes, la domination masculine est partie intégrante non seulement des conditions de tournage (le réal drague lourdement l'actrice), mais aussi du dispositif (le réal projète son désir dans l'oeuvre).
Personnellement, j'ai la bédé de Julie Maroh, et je ne l'avais pas aimée quand je l'avais lue (à sa sortie): trop de maladresses, aussi bien graphiques que scénaristiques, à mon sens. Le besoin de faire passer un message, aussi, quitte à faire du mélo parfois, plombait le propos. Mais je n'en fais pas reproche à Julie Maroh: elle n'avait que 19 ans, c'était sa première bande dessinée, et le désir de bien faire comme sa sincérité touchant peut-être à la naïveté (on n'est pas sérieux quand on a 19 ans) sont simplement le signe de sa jeunesse, non d'un manque de talent. Le fait qu'elle ait pu être à l'origine non seulement d'une palme d'or, mais aussi de la première palme d'or adaptée d'une bande dessinée, est un magnifique destin pour son œuvre. Et je suis persuadé que le film de Kechiche saura transcender l'œuvre originelle pour en faire le chef-d'œuvre qu'il semble être. À voir...
Ce qui n'enlève rien au fait qu'humainement, Kechiche semble être un personnage odieux et tyrannique, exploitant les autres, techniciens comme actrices (175 heures de rush!), au nom de l'Art et au mépris du Code du Travail.
J'ai remarqué que quand Schneidermann parle de cinéma, c'est souvent avec une distance qui dissimule mal une certaine médiocrité et une certaine incompétence. Je me souviens encore de sa chronique le lendemain de la mort de Chabrol, qui réduisait sa carrière au seul film L'Ivresse du pouvoir.
Une petite précision, il n'y avait pas 31 films en compétition, mais seulement 20.
Il suffit de parcourir ce forum (où Air one se gargarise d'un fait divers à base de pédophilie...) pour comprendre que la beauferie n'est pas l'apanage de Cannes ou des journalistes.
Et puis, qu'un site qui s'intéresse aux images ne trouve rien de mieux à proposer sur Kechiche et sa palme que la chronique du ressentiment ordinaire de DS... Beurk.
Et puis, qu'un site qui s'intéresse aux images ne trouve rien de mieux à proposer sur Kechiche et sa palme que la chronique du ressentiment ordinaire de DS... Beurk.
Au dernier jour, donc, le Festival rejoignit ainsi le camp du Bien, celui du Progrès des Moeurs contre la beauferie obscurantiste.
http://fr.cinema.yahoo.com/actualite/cannes-2012-tweet-compte-officiel-canal-g%C3%A2che-f%C3%AAte-071100991.html
Je n'ai pas suivi ce festival.
Qu'en est-il du film de Soderbergh (RTBF ; The Guardian), "Behind the Candelabra" ? Etait-il en compétition à Cannes ?
Je trouve cela dommage qu'il n'y ait pas davantage d'articles de presse sur un festival, lancé en parallèle à celui de Cannes, sur l'image. Je pense qu'il s'agit de celui-là : http://www.cannescorporate.com/index.html.
On m'en avait parlé un jour à propos d'un scanner 3D. Même si c'est peut-être un peu technique (quoique le festival les enchantait), je pense que c'est un sujet intéressant et de surcroît lié au traitement de l'image - un support de l'information.
http://fr.cinema.yahoo.com/actualite/cannes-2012-tweet-compte-officiel-canal-g%C3%A2che-f%C3%AAte-071100991.html
Je n'ai pas suivi ce festival.
Qu'en est-il du film de Soderbergh (RTBF ; The Guardian), "Behind the Candelabra" ? Etait-il en compétition à Cannes ?
Je trouve cela dommage qu'il n'y ait pas davantage d'articles de presse sur un festival, lancé en parallèle à celui de Cannes, sur l'image. Je pense qu'il s'agit de celui-là : http://www.cannescorporate.com/index.html.
On m'en avait parlé un jour à propos d'un scanner 3D. Même si c'est peut-être un peu technique (quoique le festival les enchantait), je pense que c'est un sujet intéressant et de surcroît lié au traitement de l'image - un support de l'information.
Mais le Festival de Cannes, ce n'est pas du cinéma, c'est une émission de télé que Canal + diffuse entre ses pubs pendant 15 jours. Non ?
Précision : Ozon n'a pas dit que toutes les femmes rêvaient de se prostituer, mais beaucoup. Et beaucoup, ça peut-être 50% ou même 5%. 5% en nombre de femmes, ça peut faire déjà beaucoup. Dans ce cas, il a peut-être raison, allez savoir... Et il n'a pas dit qu'elles en rêvaient mais qu'elles avaient ce fantasme. Ca chanque tout. En effet, on ne souhaite pas forcément la réalisation d'un fantasme.
Mais je suis d'accord que ça ne se dit pas dans un journal généraliste. Plutôt dans une émission feutrée à 23h à la radio avec Brigitte Lahaie, et là les mêmes propos passeraient sans déclencher la moindre polémique, ni même l'étonnement ou la contestation. C'est que chaque vérité ou déclaration a sa juste place. Elle ne se profère pas n'importe où ou devant n'importe qui.
Quant au film, on peut le voir certes sous l'aspect pédophile. Mais est-ce qu'il glorifie l'amour, ce qui semble être le cas ? Une fille de 15 ans (d'autant qu'Adèle en a en réalité bien plus - elle est même majeure- et ça se voit dans les extraits) a bien le droit d'être amoureuse, ayant la majorité sexuelle. Ou il y a t-il une certaine perversité de l'ainée qui l'inciterait à la débauche ? Ca on ne le saura que lorsque le film sera à l'affiche et chacun pourra alors se faire son avis.
Mais même dans ce cas, faudrait-il censurer ce film ? N'y a-t-il pas une liberté de l'auteur à respecter ? Il y a bien des films qui glorifient les criminels, les voyous, et en font des héros, ce qui pourrait être considéré comme une incitation au meutre ou au délit.
Mais je suis d'accord que ça ne se dit pas dans un journal généraliste. Plutôt dans une émission feutrée à 23h à la radio avec Brigitte Lahaie, et là les mêmes propos passeraient sans déclencher la moindre polémique, ni même l'étonnement ou la contestation. C'est que chaque vérité ou déclaration a sa juste place. Elle ne se profère pas n'importe où ou devant n'importe qui.
Quant au film, on peut le voir certes sous l'aspect pédophile. Mais est-ce qu'il glorifie l'amour, ce qui semble être le cas ? Une fille de 15 ans (d'autant qu'Adèle en a en réalité bien plus - elle est même majeure- et ça se voit dans les extraits) a bien le droit d'être amoureuse, ayant la majorité sexuelle. Ou il y a t-il une certaine perversité de l'ainée qui l'inciterait à la débauche ? Ca on ne le saura que lorsque le film sera à l'affiche et chacun pourra alors se faire son avis.
Mais même dans ce cas, faudrait-il censurer ce film ? N'y a-t-il pas une liberté de l'auteur à respecter ? Il y a bien des films qui glorifient les criminels, les voyous, et en font des héros, ce qui pourrait être considéré comme une incitation au meutre ou au délit.
Je suis loin d'être un expert, mais je me désole de l'abscence de la question politique dans la production cinématographique française. Etant donné la disproportion entre cette abscence et l'impact quotidien de la chose politique (et notamment le néolibéralisme) sur l'ensemble de la population et en particulier la violence symbolique de ses effets sur les classes populaire, je m'interroge de fait sur la légitimité du cinéma cannois à prétendre représenter le réel. D'autant plus quand, sur les sujets sur lesquels ce cinéma se prétend progressistes comme celui des moeurs, on assiste à une hypochrisie totale avec par exemple le tapis rouge déroulé à DSK.
Trop peux nombreux, les films comme le "Ressources humaines" de Laurent Cantet. Pas français, les films comme "Margin Call".
On peut considérer que la question politique ne scied pas à la fiction. Que ça place est dans le documentaire. Je trouve justement que c'est là le défit artistique d'intégrer ces problématiques dans la fiction. J'avais pour ma part été séduit par la manière dont les sciences (et notament la physique théorique) avaient été introduite dans "Mr Nobody".
On a bien un cinéma social vivace ("La vie rêvée des Anges", "Rosetta"), mais dépourvu de mise en perspective avec l'histoire politique. Bref, ce cinéma s'adresse à nos trippes, en tant qu'êtres sensibles, mais jamais à nos cerveau, en tant que citoyen.
Trop peux nombreux, les films comme le "Ressources humaines" de Laurent Cantet. Pas français, les films comme "Margin Call".
On peut considérer que la question politique ne scied pas à la fiction. Que ça place est dans le documentaire. Je trouve justement que c'est là le défit artistique d'intégrer ces problématiques dans la fiction. J'avais pour ma part été séduit par la manière dont les sciences (et notament la physique théorique) avaient été introduite dans "Mr Nobody".
On a bien un cinéma social vivace ("La vie rêvée des Anges", "Rosetta"), mais dépourvu de mise en perspective avec l'histoire politique. Bref, ce cinéma s'adresse à nos trippes, en tant qu'êtres sensibles, mais jamais à nos cerveau, en tant que citoyen.
"Et Polanski, affirmant pour sa part que les femmes étaient tellement plus femmes, tellement plus excitantes, tellement plus glamour, avant la pilule. "
Et concernant le même Polansky, si possible, pas après 13 ans, de préférence abreuvée et droguée au préalable.
Le tout pas très loin d'un aéroport.
Si ça, c'est pas un scénario d'un grand film...
Et concernant le même Polansky, si possible, pas après 13 ans, de préférence abreuvée et droguée au préalable.
Le tout pas très loin d'un aéroport.
Si ça, c'est pas un scénario d'un grand film...
Quelques réflexions:
1) Ce film a été fait bien longtemps avant que l'on sache que cette loi allait être votée.
2)Et si c'était vraiment le meilleur film présenté sur la croisette?
3)Le Festival a l'habitude de prétendre coller aux sujets d'actualité, avec la morale en happy ending, rappelez-vous de la Palme d'Or pour le "docu" tendencieux de Michael Moore.
4)Depuis quand les votes Cannois sont-ils vraiment des votes? Qui ne sait pas à l'avance en voyant les participants et en n'ayant pas encore vu les films quand Loach va gagner ou quand ce sera Haneke?
5) Il y a des gens qui s'intéressent encore vraiment à ce Festival? Ou à son palmarès? A part dans le métier?
1) Ce film a été fait bien longtemps avant que l'on sache que cette loi allait être votée.
2)Et si c'était vraiment le meilleur film présenté sur la croisette?
3)Le Festival a l'habitude de prétendre coller aux sujets d'actualité, avec la morale en happy ending, rappelez-vous de la Palme d'Or pour le "docu" tendencieux de Michael Moore.
4)Depuis quand les votes Cannois sont-ils vraiment des votes? Qui ne sait pas à l'avance en voyant les participants et en n'ayant pas encore vu les films quand Loach va gagner ou quand ce sera Haneke?
5) Il y a des gens qui s'intéressent encore vraiment à ce Festival? Ou à son palmarès? A part dans le métier?
Intéressant de voir que c'est un film français qui a été récompensé.
Plus qu'à attendre les "Cela confirme que l'exception culturelle française est légitime, est une chance..."
Plus qu'à attendre les "Cela confirme que l'exception culturelle française est légitime, est une chance..."
Bonjour Daniel,
C'est un billet d'humeur d'accord mais vous prenez un peu trop par dessus la jambe l'honnêteté intellectuelle de Kéchiche.
C'est un billet d'humeur d'accord mais vous prenez un peu trop par dessus la jambe l'honnêteté intellectuelle de Kéchiche.
"Au dernier jour, donc, le Festival rejoignit ainsi le camp du Bien, celui du Progrès des Moeurs contre la beauferie obscurantiste."
Cette phrase est forcément ironique.
Je propose ma vision des choses quant à ce si beau et symbolique film :
Deux jolies jeunes femmes s'aiment et le réalisateur les magnifie en les montrant nues dans des positions lacives. Rien de quoi effrayer le premier hétéro venu avide de voir des "femmes à poils". Rien de quoi casser les codes de la playmate affichée en 4x3 pour nous vendre des bagnoles ou du gel douche (même si, dans ce cas, ça peut être raccord). Le réalisateur aurait même pu trouver son inspiration dans le premier porno hétéro ou les "amours saphiques" sont souvent le passage obligé.
Que n'a-t-il pas montré, comme dans Brokeback Mountain, les amours dénudés et explicits entre hommes ? Et même entre hommes pas très séduisants ? Quitte à faire un film militant pour "la cause", il aurait pu prendre ce "risque".
Précision importante : ce film peut être vu comme un acte militant pour faire mieux accepter l'amour homosexuel. Cela me ravi vraiment et je souhaite à ce film tous les succès (même si la jeunesse d'un des personnages laisse planer un doute, visiblement, sur cet amour)
Mais ce film n'est absolument pas un désavoeux des opposants à la loi Taubira : seule la filiation et l'adoption plénière motive notre opposition. Mais, n'ayant pas vu le film je ne saurais, finalement, dire s'il ne pourrait pas me faire changer d'avis quant à cette loi : si les deux femmes du film devaient attendre un heureux événement, fruit de leur amour, en guise de "happy end", voilà qui me ferait changer de "camp" (je suis donc impatient de voir ce film)
Cette phrase est forcément ironique.
Je propose ma vision des choses quant à ce si beau et symbolique film :
Deux jolies jeunes femmes s'aiment et le réalisateur les magnifie en les montrant nues dans des positions lacives. Rien de quoi effrayer le premier hétéro venu avide de voir des "femmes à poils". Rien de quoi casser les codes de la playmate affichée en 4x3 pour nous vendre des bagnoles ou du gel douche (même si, dans ce cas, ça peut être raccord). Le réalisateur aurait même pu trouver son inspiration dans le premier porno hétéro ou les "amours saphiques" sont souvent le passage obligé.
Que n'a-t-il pas montré, comme dans Brokeback Mountain, les amours dénudés et explicits entre hommes ? Et même entre hommes pas très séduisants ? Quitte à faire un film militant pour "la cause", il aurait pu prendre ce "risque".
Précision importante : ce film peut être vu comme un acte militant pour faire mieux accepter l'amour homosexuel. Cela me ravi vraiment et je souhaite à ce film tous les succès (même si la jeunesse d'un des personnages laisse planer un doute, visiblement, sur cet amour)
Mais ce film n'est absolument pas un désavoeux des opposants à la loi Taubira : seule la filiation et l'adoption plénière motive notre opposition. Mais, n'ayant pas vu le film je ne saurais, finalement, dire s'il ne pourrait pas me faire changer d'avis quant à cette loi : si les deux femmes du film devaient attendre un heureux événement, fruit de leur amour, en guise de "happy end", voilà qui me ferait changer de "camp" (je suis donc impatient de voir ce film)
Daniel, vous n'avez pas traité des bidonnages des sites de TF1 et du Nouvel Obs ou du faux tweet de I télé.
http://lelab.europe1.fr/t/des-opposants-au-mariage-homo-creent-de-faux-articles-de-tf1-et-du-monde-pour-repandre-la-nouvelle-d-une-fausse-mort-9215
Je m'attendais à un vite dit, au moins. Voire même à un peu d'enquête. Qui sont cesz gens qui bidonnent ? Pourquoi ? Y-t-il un lien avec cette dégradation de la crédibilité de la presse dans ces milieux (si tant est qu'il y ait dégradation).
http://lelab.europe1.fr/t/des-opposants-au-mariage-homo-creent-de-faux-articles-de-tf1-et-du-monde-pour-repandre-la-nouvelle-d-une-fausse-mort-9215
Je m'attendais à un vite dit, au moins. Voire même à un peu d'enquête. Qui sont cesz gens qui bidonnent ? Pourquoi ? Y-t-il un lien avec cette dégradation de la crédibilité de la presse dans ces milieux (si tant est qu'il y ait dégradation).
Bonjour,
intéressant ce lien Youtube que vous donnez dans votre article.
On y voit des fanatiques identitaires débiles s'en prendre honteusement à des journalistes.
Mais on y voit aussi un jeune avec l'auto-collant "manif pour tous" dans le dos venir au secours des journalistes et s'en prendre, à son tour, plein la figure.
Traduction pour "lesmédias" qui caricaturent à qui mieux mieux les mouvements populaires et s'étonnent ensuite de voir des individus paisibles se révolter (sans doute dans les urnes aux prochaines élections) :
- la manif pour tous est un ramassis d'extrêmistes avides de casser du journalistes
- si des fascistes furieux se retrouvent au coeur de ce rassemblement ce n'est tout de même pas par hazard (clin d'oeil de circonstance).....z'avez qu'à voir les événements du Trocadéro (évidemment favorisés par cette ambiance malsaine créés par ceux qui manifestent en famille pour défendre leur conception de la civilisation)
- tant qu'à faire postulons aussi que ce jeune de la "manif pour tous" qui intervient ne le fait que pour dire aux débiles "arrêtez les gars, y a des caméras..on a dit qu'on cassait du journaleux hors champ....z'êtes cons ou quoi...". Sans doute est-il allé boire un verre avec les débiles pour parler ensemble de cette communauté d'idées qui leurs fait casser du journaliste et protester contre l'adoption plénière accordée aux homos....
Conclusion : pour une rigueur journalistique de bon aloi amalgamons un grand mouvement de foule aux franges les plus extrêmistes qui viennent s'y greffer. De toute façon on est pas sûr de la façon dont notre lectorat prendra les choses. Il pourrait même nous désavouer au moindre signe de notre part tendant à prouver que des "gens biens" pourrait se trouver dans une telle manif....
intéressant ce lien Youtube que vous donnez dans votre article.
On y voit des fanatiques identitaires débiles s'en prendre honteusement à des journalistes.
Mais on y voit aussi un jeune avec l'auto-collant "manif pour tous" dans le dos venir au secours des journalistes et s'en prendre, à son tour, plein la figure.
Traduction pour "lesmédias" qui caricaturent à qui mieux mieux les mouvements populaires et s'étonnent ensuite de voir des individus paisibles se révolter (sans doute dans les urnes aux prochaines élections) :
- la manif pour tous est un ramassis d'extrêmistes avides de casser du journalistes
- si des fascistes furieux se retrouvent au coeur de ce rassemblement ce n'est tout de même pas par hazard (clin d'oeil de circonstance).....z'avez qu'à voir les événements du Trocadéro (évidemment favorisés par cette ambiance malsaine créés par ceux qui manifestent en famille pour défendre leur conception de la civilisation)
- tant qu'à faire postulons aussi que ce jeune de la "manif pour tous" qui intervient ne le fait que pour dire aux débiles "arrêtez les gars, y a des caméras..on a dit qu'on cassait du journaleux hors champ....z'êtes cons ou quoi...". Sans doute est-il allé boire un verre avec les débiles pour parler ensemble de cette communauté d'idées qui leurs fait casser du journaliste et protester contre l'adoption plénière accordée aux homos....
Conclusion : pour une rigueur journalistique de bon aloi amalgamons un grand mouvement de foule aux franges les plus extrêmistes qui viennent s'y greffer. De toute façon on est pas sûr de la façon dont notre lectorat prendra les choses. Il pourrait même nous désavouer au moindre signe de notre part tendant à prouver que des "gens biens" pourrait se trouver dans une telle manif....
En attendant, j'ai surtout envie de lire la BD qui est à l'origine du film, et que j'ai eue entre les mains dans le CDI où je travaille, il y a quelques semaines : Le bleu est une couleur chaude, de Julie Maroh, prix du public à Angoulême (comme quoi il y avait eu un happy beginning).
La vie d'Adele parle t'elle d'homosexualité, ou de mariage entre deux homosexuelles ?
Dans le 1er cas, il n'y a aucun lien avec les manifs-pour-nous, puisque celles ci ne sont pas homophobes ! Arretons les racourcis !
Dans le 1er cas, il n'y a aucun lien avec les manifs-pour-nous, puisque celles ci ne sont pas homophobes ! Arretons les racourcis !
[quote=psam]il n'y a aucun lien avec les manifs-pour-nous, puisque celles ci ne sont pas homophobes !
Certes, les manifs ne sont pas homophobes (puisqu'on vous le dit!) mais les manifestants? Je crois avoir entendu quelques réactions, vu quelques pancartes... qu'étaient pas piquées de hannetons. Je crois que beaucoup de ces gens-là (pas tous?) pourraient reprendre à leur compte le fameux déni de ceux qui ne sont "pas-racistes-mais"
Tiens, c'est rigolo, le lapsus "manif-pour-nous"
Certes, les manifs ne sont pas homophobes (puisqu'on vous le dit!) mais les manifestants? Je crois avoir entendu quelques réactions, vu quelques pancartes... qu'étaient pas piquées de hannetons. Je crois que beaucoup de ces gens-là (pas tous?) pourraient reprendre à leur compte le fameux déni de ceux qui ne sont "pas-racistes-mais"
Tiens, c'est rigolo, le lapsus "manif-pour-nous"
Tout à l'heure sur Inter, pour le chapeau de lancement de son émission, Guillaume Erner a émis le souhait qu'un jour, à Cannes, on oublie de préciser "une histoire d'amour homosexuelle" (ou saphique) pour simplement dire : récompensé pour son film contant une histoire d'amour. Point/barre.
Je le souhaite aussi. Rien à battre que ce soit entre filles ou entre mecs, laissez-les s'aimer, bon sang ! Vous, les journalistes, qui êtes soi-disant en pointe de ce qui se fait, changez un peu de braquet... Vieux croûtons, aussi "has been" que ce pauvre Polanski et sa remarque déplacée sur les femmes !
Je le souhaite aussi. Rien à battre que ce soit entre filles ou entre mecs, laissez-les s'aimer, bon sang ! Vous, les journalistes, qui êtes soi-disant en pointe de ce qui se fait, changez un peu de braquet... Vieux croûtons, aussi "has been" que ce pauvre Polanski et sa remarque déplacée sur les femmes !
Je n'aurais pas dit mieux !
Je partage votre agacement sur ce sujet.
Cela dit vous trouverez, je le crains, de nombreuses raisons de vous agacer sur un thème connexe à celui-ci :
- tous les films dits "d'époque" (antérieurs au 21ème siècle) où l'on aura pas d'autre choix que d'envisager les amours fertiles sous leur forme hétérosexuelle.
- tous les contes pour enfants avec princesse et prince qui se terminent par la célèbre formule "Ils furent heureux et eurent beaucoup d'enfants"
Bon courage aux réalisateurs qui voudraient satisfaire les désirs louables d'égalité en montrant deux princes (ou deux princesses) ayant des enfants après une nuit d'amour et de "fusion" de leur corps (je pense que l'on va réhabiliter la bonne vieille cigogne, ou le magicien des literies).
J'imagine que, par souci de ne stigmatiser personne et de mettre tout le monde à égalité, aucun conte pour enfant ayant pour cadre une époque antérieure au 21ème siècle ne se finira plus que par cette formule "Ils furent heureux...." (indiquer que l'enfant a été fait en labo avec donneur anonyme ou qu'il a été acheté à une mère porteuse viet-namienne ferait un peu désordre)
J'imagine aussi que par souci d'égalité nous n'allons tout de même pas galvauder le fait que l'acte d'amour puisse conduire à l'enfantement. Que les homos n'en soient pas capables est une chose, mais ne privez pas, pour cette raison, les hétéros de la reconnaissance d'un tel miracle que la création de la vie par la rencontre de deux corps.
Cela dit vous trouverez, je le crains, de nombreuses raisons de vous agacer sur un thème connexe à celui-ci :
- tous les films dits "d'époque" (antérieurs au 21ème siècle) où l'on aura pas d'autre choix que d'envisager les amours fertiles sous leur forme hétérosexuelle.
- tous les contes pour enfants avec princesse et prince qui se terminent par la célèbre formule "Ils furent heureux et eurent beaucoup d'enfants"
Bon courage aux réalisateurs qui voudraient satisfaire les désirs louables d'égalité en montrant deux princes (ou deux princesses) ayant des enfants après une nuit d'amour et de "fusion" de leur corps (je pense que l'on va réhabiliter la bonne vieille cigogne, ou le magicien des literies).
J'imagine que, par souci de ne stigmatiser personne et de mettre tout le monde à égalité, aucun conte pour enfant ayant pour cadre une époque antérieure au 21ème siècle ne se finira plus que par cette formule "Ils furent heureux...." (indiquer que l'enfant a été fait en labo avec donneur anonyme ou qu'il a été acheté à une mère porteuse viet-namienne ferait un peu désordre)
J'imagine aussi que par souci d'égalité nous n'allons tout de même pas galvauder le fait que l'acte d'amour puisse conduire à l'enfantement. Que les homos n'en soient pas capables est une chose, mais ne privez pas, pour cette raison, les hétéros de la reconnaissance d'un tel miracle que la création de la vie par la rencontre de deux corps.
Oups, j'oubliais :
Plus objectivement, préciser que l'amour dont il s'agit dans ce film est homosexuel, est une information très intéressante et même capitale. Je ne crois d'ailleurs pas qu'il soit un jour bon, dans l'intérêt du suspens et de la trame dramatique, que cette information soit omise.
Explication en trois points (sans souci d'exhaustivité) :
- les deux héroïnes vont pouvoir avoir autant de relations sexuelles qu'elles le souhaitent sans se soucier de contraception (hormis contre les MST).
- le spectateur n'aura pas à imaginer, comme ressort dramatique éventuel, la possibilité que l'une des protagonistes ne tombe enceinte : ce qui, convenons-en, peut modifier en profondeur les relations entre les protagonistes et la trame du film
- le spectateur n'aura pas la crainte de voir l'une des protagonistes, la mort dans l'âme, avoir recours à l'avortement,
Jusqu'au jour où l'on finira par considérer que la procréation est totalement déconnectée de l'acte d'amour, je crains que cette différence entre l'amour d'un couple homo et l'amour d'un couple hétéro ne reste pertinente.
Plus objectivement, préciser que l'amour dont il s'agit dans ce film est homosexuel, est une information très intéressante et même capitale. Je ne crois d'ailleurs pas qu'il soit un jour bon, dans l'intérêt du suspens et de la trame dramatique, que cette information soit omise.
Explication en trois points (sans souci d'exhaustivité) :
- les deux héroïnes vont pouvoir avoir autant de relations sexuelles qu'elles le souhaitent sans se soucier de contraception (hormis contre les MST).
- le spectateur n'aura pas à imaginer, comme ressort dramatique éventuel, la possibilité que l'une des protagonistes ne tombe enceinte : ce qui, convenons-en, peut modifier en profondeur les relations entre les protagonistes et la trame du film
- le spectateur n'aura pas la crainte de voir l'une des protagonistes, la mort dans l'âme, avoir recours à l'avortement,
Jusqu'au jour où l'on finira par considérer que la procréation est totalement déconnectée de l'acte d'amour, je crains que cette différence entre l'amour d'un couple homo et l'amour d'un couple hétéro ne reste pertinente.
Vous êtes vraiment monomaniaque... et comme d'habitude aussi précis et mesuré que les tweets de Boutin. La contraception, mon bon ami, ne protège pas contre les MST.
Si vous voulez connaître la fin, lisez la BD. Ou n'importe quel article du moment qui ne se prive pas de la dévoiler. Ne vous inquiétez pas, ni mariage, ni gamin. C'est un mélo.
Si vous voulez connaître la fin, lisez la BD. Ou n'importe quel article du moment qui ne se prive pas de la dévoiler. Ne vous inquiétez pas, ni mariage, ni gamin. C'est un mélo.
Et vous semblez toujours aussi modérée et prompte à ne jamais faire le moindre amalgame.
Vous semblez vous placer volontiers dans le ton de votre cher Pierre Bergé (qui n'a rien à envier aux tweets débiles de madame boutin)
La contraception, mon cher cucurbitacé, peut aussi être masculine, et, à ce titre, un simple préservatif peut faire l'affaire.
si je ne fais pas erreur, un tel capuchon permet de se préserver des MST.
"Ne vous inquiétez pas, ni mariage, ni gamin. C'est un mélo."
Cela ne m'inquiète pas pour le gamin, je sais que des lesbiennes ne "risquent" pas d'en avoir. Par contre je ne qualifierait pas cela de mélo, mais de rêve (hélas disparu)
Vous semblez vous placer volontiers dans le ton de votre cher Pierre Bergé (qui n'a rien à envier aux tweets débiles de madame boutin)
La contraception, mon cher cucurbitacé, peut aussi être masculine, et, à ce titre, un simple préservatif peut faire l'affaire.
si je ne fais pas erreur, un tel capuchon permet de se préserver des MST.
"Ne vous inquiétez pas, ni mariage, ni gamin. C'est un mélo."
Cela ne m'inquiète pas pour le gamin, je sais que des lesbiennes ne "risquent" pas d'en avoir. Par contre je ne qualifierait pas cela de mélo, mais de rêve (hélas disparu)
Pierre Bergé est un crétin. Eh oui, on peut être homo, pour la GPA, et idiot comme pas deux. Je ne partage en rien ses conclusions (quoique les prémices soient malheureusement assez vraies aujourd'hui, mais il faut réformer le travail, pas aligner la GPA sur l'exploitation aliénante caractéristique du salariat) ; la GPA n'a pas à être un dernier avatar de l'esclavage industriel moderne, c'est bien pour cela qu'une loi est nécessaire. Renseignez-vous sur ce qu'est réellement la GPA au lieu de vous cantonner à vos fantasmes paranoïaques, ça vous reposera (ceci dit, je comprends qu'attaquer des moulins à vent puisse vous conforter dans la douce illusion que votre vie a un sens).
Ceci posé, votre réponse démontre toujours avec la même force que vous ne lisez pas les messages avant d'y répondre. Vous faites le malin, mais comme vous racontez n'importe quoi, ça n'est que pathétique.
Je répète : la contraception ne protège pas des MST. Non seulement vous faites fort dans le syllogisme : ce n'est pas parce que le préservatif est à la fois un moyen de contraception et une protection contre les MST que tout moyen de contraception protège des MST ; mais vous persistez dans la mauvaise foi (ou la versatilité) puisqu'il était question de femmes dans votre précédent message et que le préservatif dans le cas de couples de lesbiennes n'est pas un moyen de contraception. Ca vous arracherait les mains, hein, de reconnaître que vous avez frappé trop vite... Typique.
Und, last but not least, je ne vois pas comment vous avez pu comprendre mes derniers mots de travers, le mélo, c'est l'histoire de la bédé. Pas la filiation.
Allez, ciao, c'était rigolo un instant, trollez bien.
Ceci posé, votre réponse démontre toujours avec la même force que vous ne lisez pas les messages avant d'y répondre. Vous faites le malin, mais comme vous racontez n'importe quoi, ça n'est que pathétique.
Je répète : la contraception ne protège pas des MST. Non seulement vous faites fort dans le syllogisme : ce n'est pas parce que le préservatif est à la fois un moyen de contraception et une protection contre les MST que tout moyen de contraception protège des MST ; mais vous persistez dans la mauvaise foi (ou la versatilité) puisqu'il était question de femmes dans votre précédent message et que le préservatif dans le cas de couples de lesbiennes n'est pas un moyen de contraception. Ca vous arracherait les mains, hein, de reconnaître que vous avez frappé trop vite... Typique.
Und, last but not least, je ne vois pas comment vous avez pu comprendre mes derniers mots de travers, le mélo, c'est l'histoire de la bédé. Pas la filiation.
Allez, ciao, c'était rigolo un instant, trollez bien.
"Ceci posé, votre réponse démontre toujours avec la même force que vous ne lisez pas les messages avant d'y répondre. Vous faites le malin, mais comme vous racontez n'importe quoi, ça n'est que pathétique."
Quant à vous : vous ne cessez de démontrer votre respect de votre contradicteur. Votre camp se targue de faire pruve de respect et d'être du coté de l'amour : vous devez être un contre-exemple.
"Je répète : la contraception ne protège pas des MST. Non seulement vous faites fort dans le syllogisme : ce n'est pas parce que le préservatif est à la fois un moyen de contraception et une protection contre les MST que tout moyen de contraception protège des MST "
C'est vous qui parlez de syllogisme ???
décidément c'est un mot à la mode sur ce forum...alors je reprends
Je disais que la contraception pouvait protéger des MST et je le maintiens : préservatif et fémidon (pour les femmes)
Je n'ai jamais dit que tous les moyens de contraception protégeaient des MST.
Cela vous arracherait-il les doigts
1. de reconnaitre que vous chipotez sur un détail sans parler du fond de mon commentaire initial.
2. de reconnaitre que vous ne connaissez pas du tout le fémidon : avoir des lacunes sur la contraception féminine est possible, vous savez, même pour une femme !!
Et puis d'ailleurs je ne vois pas pourquoi vous me tombez dessus comme la petite vérole sur le bas clergé, puisque mon commentaire initial indiquait seulement que les contraintes de l'amour entre hétéros n'étaient pas les mêmes que celles entre homos.....n'avez vous donc rien à dire à cela, sur le fond ???
Vous hurlez au loup sur un détail dont vous ne connaissez rien et, ensuite vous me balancez du "typique"....ça pique
"Und, last but not least, je ne vois pas comment vous avez pu comprendre mes derniers mots de travers, le mélo, c'est l'histoire de la bédé. Pas la filiation. "
C'est plus beau en mixant allemand et anglais...ça fait class...
Je vous indiquais simplement que ce que vous qualifiez de "mélo" (BD ou pas) dans le fait qu'aucun gamin ne soit en vue dans l'histoire, était plutôt un "rêve" pour moi......
Et bien, vous, vous n'êtes pas si drôle.
Quant à vous : vous ne cessez de démontrer votre respect de votre contradicteur. Votre camp se targue de faire pruve de respect et d'être du coté de l'amour : vous devez être un contre-exemple.
"Je répète : la contraception ne protège pas des MST. Non seulement vous faites fort dans le syllogisme : ce n'est pas parce que le préservatif est à la fois un moyen de contraception et une protection contre les MST que tout moyen de contraception protège des MST "
C'est vous qui parlez de syllogisme ???
décidément c'est un mot à la mode sur ce forum...alors je reprends
Je disais que la contraception pouvait protéger des MST et je le maintiens : préservatif et fémidon (pour les femmes)
Je n'ai jamais dit que tous les moyens de contraception protégeaient des MST.
Cela vous arracherait-il les doigts
1. de reconnaitre que vous chipotez sur un détail sans parler du fond de mon commentaire initial.
2. de reconnaitre que vous ne connaissez pas du tout le fémidon : avoir des lacunes sur la contraception féminine est possible, vous savez, même pour une femme !!
Et puis d'ailleurs je ne vois pas pourquoi vous me tombez dessus comme la petite vérole sur le bas clergé, puisque mon commentaire initial indiquait seulement que les contraintes de l'amour entre hétéros n'étaient pas les mêmes que celles entre homos.....n'avez vous donc rien à dire à cela, sur le fond ???
Vous hurlez au loup sur un détail dont vous ne connaissez rien et, ensuite vous me balancez du "typique"....ça pique
"Und, last but not least, je ne vois pas comment vous avez pu comprendre mes derniers mots de travers, le mélo, c'est l'histoire de la bédé. Pas la filiation. "
C'est plus beau en mixant allemand et anglais...ça fait class...
Je vous indiquais simplement que ce que vous qualifiez de "mélo" (BD ou pas) dans le fait qu'aucun gamin ne soit en vue dans l'histoire, était plutôt un "rêve" pour moi......
Et bien, vous, vous n'êtes pas si drôle.
FemidoM, mon loulou, avec un m.
Quant au fond, on en a déjà parlé, vous n'en avez aucun.
La bise, que votre bile vous tienne joyeuse compagnie.
Quant au fond, on en a déjà parlé, vous n'en avez aucun.
La bise, que votre bile vous tienne joyeuse compagnie.
Vous voyez que vous connaissez...
Mais ne reconnaissez surtout pas vous être trompée...je cite :
"Ca vous arracherait les mains, hein, de reconnaître que vous avez frappé trop vite... Typique."
ce qui est typique, aussi, c'est de pointer une faute d'orthographe sur un mot dont on ignorait, visiblement, l'existence.
"La bise, que votre bile vous tienne joyeuse compagnie."
C'est une marotte ça aussi des défenseur de l'amour pour tous : parler de bile, de vomi et autres trucs répugnants au beau milieu d'un débat contradictoire ?
Mais ne reconnaissez surtout pas vous être trompée...je cite :
"Ca vous arracherait les mains, hein, de reconnaître que vous avez frappé trop vite... Typique."
ce qui est typique, aussi, c'est de pointer une faute d'orthographe sur un mot dont on ignorait, visiblement, l'existence.
"La bise, que votre bile vous tienne joyeuse compagnie."
C'est une marotte ça aussi des défenseur de l'amour pour tous : parler de bile, de vomi et autres trucs répugnants au beau milieu d'un débat contradictoire ?
Juste au cas où la fatigue ait un instant ténu votre épaisseur, je vais mettre des sous-titres et faire un point safe-sex (oui, j'anglicise quand ça me chante, juste parce que je le peux, regardez bien comme je fais du prométhéisme).
Un moyen de contraception est un objet ou une substance qui permet d'éviter une fécondation. Certains moyens de contraception permettent également de se protéger des MST (les préservatifs, bravo).
Mais la contraception, par définition, ne protège pas des MST, la contraception protège des grossesses non désirées (et vous conviendrez qu'une grossesse ne doit pas être comprise comme une maladie...). Donc votre première phrase est absurde.
Les lesbiennes peuvent utiliser un préservatif masculin (sur quelque ustensile ou légume oblong approprié), et lorsqu'elles utilisent un femidom, c'est en général pour le découper de manière à former une digue dentaire (protection qui existe également en soi). Ca évite le mélange de fluides pouvant potentiellement transmettre le VIH (en l'occurrence, 2 parmi les 5 : sang et cyprine - ou sécrétions vaginales, pour ceux qui ont besoin de sous-titres sous les sous-titres).
Mais les lesbiennes ne produisant pas de spermatozoïde, et la parthénogénèse spontanée étant encore improbable, le préservatif, quel qu'il soit, n'est pas, ne peut pas être, un moyen de contraception dans le cadre d'une relation sexuelle entre femmes. CQFD.
(d'ailleurs, je ne vois pas bien ce qui peut être un moyen de contraception dans le cadre d'une relation sexuelle entre femmes - et je vous vois venir avec votre bravache "vous voyez bien qu'une relation sexuelle entre deux femmes ne peut aboutir à la fécondation" : ben oui, vous tombez de la lune, qui donc a prétendu le contraire ?)
Ce n'est pas une remarque de forme, puisque l'ensemble de vos interventions repose sur ce genre d'erreurs grossières - où vous donnez aux mots un sens qu'ils n'ont pas. Vous ne savez pas de quoi vous parlez, et passez votre temps à divaguer de forum en forum, comme si vous étiez convaincu que vous avez tout compris contre la masse ignorante et que vous meniez là le combat de votre vie. Pour ma part, j'ai au moins compris depuis quelques temps que toute discussion sur internet est par définition stérile avec des personnes qui ne sont là que pour éructer compulsivement leurs petites convictions sans jamais honnêtement se renseigner (et je sens votre "miroir" arriver, mais je m'en contrebalance).
Un moyen de contraception est un objet ou une substance qui permet d'éviter une fécondation. Certains moyens de contraception permettent également de se protéger des MST (les préservatifs, bravo).
Mais la contraception, par définition, ne protège pas des MST, la contraception protège des grossesses non désirées (et vous conviendrez qu'une grossesse ne doit pas être comprise comme une maladie...). Donc votre première phrase est absurde.
Les lesbiennes peuvent utiliser un préservatif masculin (sur quelque ustensile ou légume oblong approprié), et lorsqu'elles utilisent un femidom, c'est en général pour le découper de manière à former une digue dentaire (protection qui existe également en soi). Ca évite le mélange de fluides pouvant potentiellement transmettre le VIH (en l'occurrence, 2 parmi les 5 : sang et cyprine - ou sécrétions vaginales, pour ceux qui ont besoin de sous-titres sous les sous-titres).
Mais les lesbiennes ne produisant pas de spermatozoïde, et la parthénogénèse spontanée étant encore improbable, le préservatif, quel qu'il soit, n'est pas, ne peut pas être, un moyen de contraception dans le cadre d'une relation sexuelle entre femmes. CQFD.
(d'ailleurs, je ne vois pas bien ce qui peut être un moyen de contraception dans le cadre d'une relation sexuelle entre femmes - et je vous vois venir avec votre bravache "vous voyez bien qu'une relation sexuelle entre deux femmes ne peut aboutir à la fécondation" : ben oui, vous tombez de la lune, qui donc a prétendu le contraire ?)
Ce n'est pas une remarque de forme, puisque l'ensemble de vos interventions repose sur ce genre d'erreurs grossières - où vous donnez aux mots un sens qu'ils n'ont pas. Vous ne savez pas de quoi vous parlez, et passez votre temps à divaguer de forum en forum, comme si vous étiez convaincu que vous avez tout compris contre la masse ignorante et que vous meniez là le combat de votre vie. Pour ma part, j'ai au moins compris depuis quelques temps que toute discussion sur internet est par définition stérile avec des personnes qui ne sont là que pour éructer compulsivement leurs petites convictions sans jamais honnêtement se renseigner (et je sens votre "miroir" arriver, mais je m'en contrebalance).
"Un moyen de contraception est un objet ou une substance qui permet d'éviter une fécondation. Certains moyens de contraception permettent également de se protéger des MST (les préservatifs, bravo)."
Merci de reconnaitre que j'avais raison.
Je n'ai jamais écris nul part que toutes les contraceptions permettaient d'éviter les MST
"Les lesbiennes peuvent utiliser un préservatif masculin (sur quelque ustensile ou légume oblong approprié), et lorsqu'elles utilisent un femidom, c'est en général pour le découper de manière à former une digue dentaire (protection qui existe également en soi). Ca évite le mélange de fluides pouvant potentiellement transmettre le VIH"
Vous confirmez encore que j'ai bel et bien raison.
"d'ailleurs, je ne vois pas bien ce qui peut être un moyen de contraception dans le cadre d'une relation sexuelle entre femmes - et je vous vois venir avec votre bravache "vous voyez bien qu'une relation sexuelle entre deux femmes ne peut aboutir à la fécondation" : ben oui, vous tombez de la lune, qui donc a prétendu le contraire ?"
C'est exactement ce que je disais dans mon premier commentaire :
"les deux héroïnes vont pouvoir avoir autant de relations sexuelles qu'elles le souhaitent sans se soucier de contraception (hormis contre les MST). "
Elles n'ont pas le souci de la contraception en rapport à l'enfantement : elles ne peuvent pas procréer ensemble
Elles peuvent, par contre, avoir besoin d'un fémidom ou d'un préservatif pour éviter une MST
"Pour ma part, j'ai au moins compris depuis quelques temps que toute discussion sur internet est par définition stérile avec des personnes qui ne sont là que pour éructer compulsivement leurs petites convictions sans jamais honnêtement se renseigner (et je sens votre "miroir" arriver, mais je m'en contrebalance)."
Erreur 1 : ce sont les rapports homosexuels qui sont stériles
Erreur 2 : celui des deux qui "éructe" ici c'est vous, pas moi (je cite : "idiot", "bile", "pathétique"....)
Pas la peine de miroir pour moi merci.
Vous n'avez toujours rien dit concernant mon commentaire initial au sujet des différences entre les amour homos et hétéros au cinéma....je dois les inventer ou les éructer aussi ces différences....
Vous n'avez même pas l'élégance d'admettre vous être trompée sur le Fémidom (ma louloute....puisque vous utilisez cette familiarité avec moi)....
Merci de reconnaitre que j'avais raison.
Je n'ai jamais écris nul part que toutes les contraceptions permettaient d'éviter les MST
"Les lesbiennes peuvent utiliser un préservatif masculin (sur quelque ustensile ou légume oblong approprié), et lorsqu'elles utilisent un femidom, c'est en général pour le découper de manière à former une digue dentaire (protection qui existe également en soi). Ca évite le mélange de fluides pouvant potentiellement transmettre le VIH"
Vous confirmez encore que j'ai bel et bien raison.
"d'ailleurs, je ne vois pas bien ce qui peut être un moyen de contraception dans le cadre d'une relation sexuelle entre femmes - et je vous vois venir avec votre bravache "vous voyez bien qu'une relation sexuelle entre deux femmes ne peut aboutir à la fécondation" : ben oui, vous tombez de la lune, qui donc a prétendu le contraire ?"
C'est exactement ce que je disais dans mon premier commentaire :
"les deux héroïnes vont pouvoir avoir autant de relations sexuelles qu'elles le souhaitent sans se soucier de contraception (hormis contre les MST). "
Elles n'ont pas le souci de la contraception en rapport à l'enfantement : elles ne peuvent pas procréer ensemble
Elles peuvent, par contre, avoir besoin d'un fémidom ou d'un préservatif pour éviter une MST
"Pour ma part, j'ai au moins compris depuis quelques temps que toute discussion sur internet est par définition stérile avec des personnes qui ne sont là que pour éructer compulsivement leurs petites convictions sans jamais honnêtement se renseigner (et je sens votre "miroir" arriver, mais je m'en contrebalance)."
Erreur 1 : ce sont les rapports homosexuels qui sont stériles
Erreur 2 : celui des deux qui "éructe" ici c'est vous, pas moi (je cite : "idiot", "bile", "pathétique"....)
Pas la peine de miroir pour moi merci.
Vous n'avez toujours rien dit concernant mon commentaire initial au sujet des différences entre les amour homos et hétéros au cinéma....je dois les inventer ou les éructer aussi ces différences....
Vous n'avez même pas l'élégance d'admettre vous être trompée sur le Fémidom (ma louloute....puisque vous utilisez cette familiarité avec moi)....
Oui oui, et blanc, c'est noir.
Vous n'avez vraiment rien compris, puisque vous répétez "sans se soucier de contraception (hormis contre les MST)", faisant encore un amalgame entre contraception et protection contre les MST.
Et comme je ne mets pas un point d'honneur à avoir le dernier mot contre des gens de votre acabit, je me retire, non sans remarquer encore que cracher à la gueule des homos en les taxant d'individualisme ultralibéral, de prométhéisme, marchandisation du corps des femmes et des enfants, de démarche contre-nature, de déséquilibre psychologique fondamental et autres billevesées, ce n'est pas du tout ordurier, imbécile et scandaleux, non, c'est moi qui vous agresse avec une violence insoutenable en qualifiant de pathétiques vos gesticulations.
Parlez, dissertez, si ça vous amuse, tandis que sous le coup des idées que vous reprenez et portez, des gamins se font insulter, railler, harceler, foutre à la porte de chez eux, ou finissent par péter un câble et se tuent. Vous aurez beau dire que c'est du sentimentalisme, que c'est le dernier argument de ceux qui n'en ont plus, que ça n'a pas à entrer en compte dans la discussion si rationnelle que vous pensez instaurer, que vous n'êtes pas homophobe (ciel, qui pourrait vous en soupçonner vu tous les gages que vous en donnez), que vous avez raison ; vous pourrez même penser que ça fera toujours des unions stériles de moins, qui sait.
Il n'en reste pas moins que vous racontez des conneries, et qu'en attendant que vous vous en aperceviez, si seulement vous vous en apercevez un jour, ces conneries tuent. C'est ça, la réalité.
Vous n'avez vraiment rien compris, puisque vous répétez "sans se soucier de contraception (hormis contre les MST)", faisant encore un amalgame entre contraception et protection contre les MST.
Et comme je ne mets pas un point d'honneur à avoir le dernier mot contre des gens de votre acabit, je me retire, non sans remarquer encore que cracher à la gueule des homos en les taxant d'individualisme ultralibéral, de prométhéisme, marchandisation du corps des femmes et des enfants, de démarche contre-nature, de déséquilibre psychologique fondamental et autres billevesées, ce n'est pas du tout ordurier, imbécile et scandaleux, non, c'est moi qui vous agresse avec une violence insoutenable en qualifiant de pathétiques vos gesticulations.
Parlez, dissertez, si ça vous amuse, tandis que sous le coup des idées que vous reprenez et portez, des gamins se font insulter, railler, harceler, foutre à la porte de chez eux, ou finissent par péter un câble et se tuent. Vous aurez beau dire que c'est du sentimentalisme, que c'est le dernier argument de ceux qui n'en ont plus, que ça n'a pas à entrer en compte dans la discussion si rationnelle que vous pensez instaurer, que vous n'êtes pas homophobe (ciel, qui pourrait vous en soupçonner vu tous les gages que vous en donnez), que vous avez raison ; vous pourrez même penser que ça fera toujours des unions stériles de moins, qui sait.
Il n'en reste pas moins que vous racontez des conneries, et qu'en attendant que vous vous en aperceviez, si seulement vous vous en apercevez un jour, ces conneries tuent. C'est ça, la réalité.
"Vous n'avez vraiment rien compris, puisque vous répétez "sans se soucier de contraception (hormis contre les MST)", faisant encore un amalgame entre contraception et protection contre les MST. "
Je répète :
Les moyens contraceptifs permettent de ne pas avoir d'enfant, c'est un fait : inutile pour les lesbiennes.
Certains moyens contraceptifs ont, aussi, l'avantage de protéger contre les MST : le Femedom et la capote utilisés par les lesbiennes.
Il est évidemment ridicule de parler contraception pour des lesbiennes (qui sont infertiles en couple, comme vous le savez), mais ces moyens de contraception servent, aussi, à se prémunir des MST (comme la capote permet aux hétéros d'éviter d'avoir des enfants et de choper le sida)
Petit résumé de votre conception du débat contradictoire respectueux (précision : aucun des termes qui suit n'est de moi, vous les trouverez dans le commentaire précédent de "Potiron") :
"cracher à la gueule" ; "démarche contre-nature" ; "déséquilibre psychologique fondamental" ; "billevesées" ; "ordurier, imbécile et scandaleux" ; "vous agresse avec une violence insoutenable en qualifiant de pathétiques vos gesticulations."
Toutes ces amabilités parceque j'ai osé affirmer ceci :
- les hétéros peuvent procréer en couple et pas les homos,
- les hétéros doivent se soucier de contraception dans leurs relations sexuelles et pas les homos,
- il est intéressant, pour le ressort "dramatique" d'un film de savoir si le couple vedette tient le rôle d'un couple homo et hétéro : s'il s'agit d'un couple homo le spectateur ne pourra pas envisager une grossesse surprise entre les protagonistes suite à leurs ébats amoureux...
Convenons-en : cela relève, de ma part, de la haine la plus crasse......
Quoi que : la haine de la différence relève-t-elle du fait de la considérer et de la respecter, cette différence, ou de prétendre qu'elle n'existe pas ??
"des gamins se font insulter, railler, harceler, foutre à la porte de chez eux, ou finissent par péter un câble et se tuent. "
Je ne fais que vous expliquer qu'il existe des différences. Je respecte ces différences et n'ai jamais méprisé personne ni tenu des propos outranciers (contrairement à vous)
Je ne cache rien ni me voile la face. Je sais que certains extrêmistes commettent des actes atroces. Mais vous pensez que de prétendre qu'aucune différence n'existe cela règle les choses.
J'essai d'échanger des arguments et vous me méprisez en écrivant :
"Parlez, dissertez, si ça vous amuse"
Vous amalgamez mon opinion argumentée aux pires excès des extrêmistes violents.
Votre façon de procéder pourrait pousser les plus obtus à se braquer et à verser, à leur tour, dans la vraie violence.
Vu de mon point de vue, ce débat sur le MPT est, aussi, d'une extrême violence : essayer de nous faire croire que faire un enfant est la même chose que le "faire faire" ou se le procurer auprès d'une mère porteuse, est extrêmement violent...Mais, contrairement à vous, je ne réponds pas à la violence par la violence.
"vous n'êtes pas homophobe (ciel, qui pourrait vous en soupçonner vu tous les gages que vous en donnez)"
Après les mots orduriers, l'ironie en gros sabots à base de sous-entendu en "phobe"......vous variez les "plaisirs"
"que vous avez raison"
Je n'ai jamais prétendu avoir raison : j'ai mon opinion et vous la vôtre....nous ne sommes simplement pas d'accord.
"[...] ou finissent par péter un câble et se tuent. [...] vous pourrez même penser que ça fera toujours des unions stériles de moins"
Pour ces deux phrases enchaînées, je vais me permettre de vous signaler à la modération en cliquant sur le bouton "Alerter" de votre commentaire. Vous sous-entendez que je pourrez souhaiter la mort d'homosexuels et cela est intolérable !!! Vous dépassez très largement, et depuis quelques phrases déjà, les bornes !
Je répète :
Les moyens contraceptifs permettent de ne pas avoir d'enfant, c'est un fait : inutile pour les lesbiennes.
Certains moyens contraceptifs ont, aussi, l'avantage de protéger contre les MST : le Femedom et la capote utilisés par les lesbiennes.
Il est évidemment ridicule de parler contraception pour des lesbiennes (qui sont infertiles en couple, comme vous le savez), mais ces moyens de contraception servent, aussi, à se prémunir des MST (comme la capote permet aux hétéros d'éviter d'avoir des enfants et de choper le sida)
Petit résumé de votre conception du débat contradictoire respectueux (précision : aucun des termes qui suit n'est de moi, vous les trouverez dans le commentaire précédent de "Potiron") :
"cracher à la gueule" ; "démarche contre-nature" ; "déséquilibre psychologique fondamental" ; "billevesées" ; "ordurier, imbécile et scandaleux" ; "vous agresse avec une violence insoutenable en qualifiant de pathétiques vos gesticulations."
Toutes ces amabilités parceque j'ai osé affirmer ceci :
- les hétéros peuvent procréer en couple et pas les homos,
- les hétéros doivent se soucier de contraception dans leurs relations sexuelles et pas les homos,
- il est intéressant, pour le ressort "dramatique" d'un film de savoir si le couple vedette tient le rôle d'un couple homo et hétéro : s'il s'agit d'un couple homo le spectateur ne pourra pas envisager une grossesse surprise entre les protagonistes suite à leurs ébats amoureux...
Convenons-en : cela relève, de ma part, de la haine la plus crasse......
Quoi que : la haine de la différence relève-t-elle du fait de la considérer et de la respecter, cette différence, ou de prétendre qu'elle n'existe pas ??
"des gamins se font insulter, railler, harceler, foutre à la porte de chez eux, ou finissent par péter un câble et se tuent. "
Je ne fais que vous expliquer qu'il existe des différences. Je respecte ces différences et n'ai jamais méprisé personne ni tenu des propos outranciers (contrairement à vous)
Je ne cache rien ni me voile la face. Je sais que certains extrêmistes commettent des actes atroces. Mais vous pensez que de prétendre qu'aucune différence n'existe cela règle les choses.
J'essai d'échanger des arguments et vous me méprisez en écrivant :
"Parlez, dissertez, si ça vous amuse"
Vous amalgamez mon opinion argumentée aux pires excès des extrêmistes violents.
Votre façon de procéder pourrait pousser les plus obtus à se braquer et à verser, à leur tour, dans la vraie violence.
Vu de mon point de vue, ce débat sur le MPT est, aussi, d'une extrême violence : essayer de nous faire croire que faire un enfant est la même chose que le "faire faire" ou se le procurer auprès d'une mère porteuse, est extrêmement violent...Mais, contrairement à vous, je ne réponds pas à la violence par la violence.
"vous n'êtes pas homophobe (ciel, qui pourrait vous en soupçonner vu tous les gages que vous en donnez)"
Après les mots orduriers, l'ironie en gros sabots à base de sous-entendu en "phobe"......vous variez les "plaisirs"
"que vous avez raison"
Je n'ai jamais prétendu avoir raison : j'ai mon opinion et vous la vôtre....nous ne sommes simplement pas d'accord.
"[...] ou finissent par péter un câble et se tuent. [...] vous pourrez même penser que ça fera toujours des unions stériles de moins"
Pour ces deux phrases enchaînées, je vais me permettre de vous signaler à la modération en cliquant sur le bouton "Alerter" de votre commentaire. Vous sous-entendez que je pourrez souhaiter la mort d'homosexuels et cela est intolérable !!! Vous dépassez très largement, et depuis quelques phrases déjà, les bornes !
Et parce que j'ai foi en l'humanité, juste au cas où par miracle vous voudriez vraiment discuter, je répète ce que je vous ai déjà dit ailleurs, et basta.
Deux axes majeurs soutiennent vos propos :
1) les homosexuels ne doivent pas avoir le droit de recourir à la PMA ou la GPA pour avoir des enfants parce qu'ils ne risquent pas lors de leurs rapports sexuels d'en fabriquer un.
2) les homosexuels ne doivent pas avoir le droit de fonder une famille parce qu'ils ne sont pas capables par leur constitution même de fournir un modèle de développement équilibré aux enfants car les hommes et les femmes sont par nature différents et complémentaires.
Mes réponses :
1) Il est ridicule d'affirmer en général que lorsqu'on ne peut pas avoir d'enfants par une fécondation directe, on ne doit pas bénéficier d'une aide médicale qui existe. Et comme les homosexuels sont en général (en tout cas, pas moins que les hétérosexuels en général) capables biologiquement de procréer, leur cas n'est en rien différend de ces nombreux couples hétérosexuels qui sont chacun de leur côté féconds mais n'arrivent pas à fabriquer seuls un enfant. A moins de considérer comme vous le faites que l'hétérosexualité est supérieure, c'est-à-dire plus légitime, vis-à-vis de la capacité à procréer que l'hétérosexualité, ce qui revient à confondre sexualité (les usages socioculturels du sexe anatomique) et procréation (c'est également homophobe, mais vous ne l'êtes bien évidemment pas, contre toute évidence). Votre position est particulièrement révélatrice,
soit d'une frustration que vous devriez soigner : si cela vous dérange tant de risquer d'avoir un gamin quand vous couchez avec quelqu'un, trouvez le moyen de contraception qui vous plaira et cesser de stigmatiser des gens que vous enviez bien mal à propos,
soit d'une ignominie assez profonde : si au contraire vous trouvez que c'est une merveilleuse chance qui participe au miracle de la vie et à ses surprises, cessez de vouloir interdire à qui n'en bénéficie pas de pouvoir tout de même, dans des conditions moins poétiques, concevoir des enfants.
PMA et GPA devraient être des services gratuits ouverts à tous, et dans le cas de la GPA, librement consentie par les femmes qui se proposeraient d'aider les personnes ayant besoin de leur aide (et la loi permettra d'éviter l'exploitation toujours possible dans le cadre de n'importe quelle activité humaine).
2) Il est faux de dire que les hommes et les femmes sont par nature différents. Il y a en moyenne autant de différences entre un homme et une femme qu'entre deux hommes et deux femmes (parfois plus, parfois moins, mais cela ne dépend pas du sexe, cela dépend de l'éducation en général, et pas seulement du genre). Il est donc faux de dire que les couples homosexuels sont déséquilibrés quant aux modèles comportementaux qu'ils présentent à des gamins, ou qu'ils sont par définition moins aptes à assurer le développement psychologique harmonieux de leurs enfants. D'autant que, si on veut entrer dans une discussion psy, il n'existe pas une seule famille, hétéro ou homo parentale, qui ne soit pas quelque part dysfonctionnelle.
Encore une fois, soit on considère que les couples homosexuels sont aussi légitimes dans leur formation et leur pérennité que les couples hétérosexuels, soit on considère qu'il existe une différence de nature entre les hommes et les femmes qui les rend complémentaires et implique l'hétérosexualité. Mais on ne peut pas soutenir les deux en même temps ; ces propositions sont incompatibles. Le sexisme amène logiquement à l'homophobie ; sous ces fioritures discursives, vous dites simplement que les homosexuels ne devraient pas avoir le droit de fonder une famille (avec la personne qu'ils aiment) parce qu'ils sont homosexuels, et que le fait homosexuel est incompatible avec le fait familial.
Ce qui est épatant, c'est que vous vous érigez en défenseur d'enfants qui ne vous ont rien demandé, sinon de les laisser vivre en paix ; en défenseur de "la famille", en fait la votre, qui n'a rien à voir avec les familles bien réelles, bien portantes, et bien différentes du monolithe que vous souhaitez imposer.
Pour terminer, je vous ferai remarquer que cette discussion n'a rien à voir avec le sujet de base, et que le film comme la bédé ne prennent pas position dans ce débat (il ne fait que rappeler que les amours entre deux femmes sont aussi sincères et légitimes qu'entre une femme et un homme, ce dont vous dites convenir).
Deux axes majeurs soutiennent vos propos :
1) les homosexuels ne doivent pas avoir le droit de recourir à la PMA ou la GPA pour avoir des enfants parce qu'ils ne risquent pas lors de leurs rapports sexuels d'en fabriquer un.
2) les homosexuels ne doivent pas avoir le droit de fonder une famille parce qu'ils ne sont pas capables par leur constitution même de fournir un modèle de développement équilibré aux enfants car les hommes et les femmes sont par nature différents et complémentaires.
Mes réponses :
1) Il est ridicule d'affirmer en général que lorsqu'on ne peut pas avoir d'enfants par une fécondation directe, on ne doit pas bénéficier d'une aide médicale qui existe. Et comme les homosexuels sont en général (en tout cas, pas moins que les hétérosexuels en général) capables biologiquement de procréer, leur cas n'est en rien différend de ces nombreux couples hétérosexuels qui sont chacun de leur côté féconds mais n'arrivent pas à fabriquer seuls un enfant. A moins de considérer comme vous le faites que l'hétérosexualité est supérieure, c'est-à-dire plus légitime, vis-à-vis de la capacité à procréer que l'hétérosexualité, ce qui revient à confondre sexualité (les usages socioculturels du sexe anatomique) et procréation (c'est également homophobe, mais vous ne l'êtes bien évidemment pas, contre toute évidence). Votre position est particulièrement révélatrice,
soit d'une frustration que vous devriez soigner : si cela vous dérange tant de risquer d'avoir un gamin quand vous couchez avec quelqu'un, trouvez le moyen de contraception qui vous plaira et cesser de stigmatiser des gens que vous enviez bien mal à propos,
soit d'une ignominie assez profonde : si au contraire vous trouvez que c'est une merveilleuse chance qui participe au miracle de la vie et à ses surprises, cessez de vouloir interdire à qui n'en bénéficie pas de pouvoir tout de même, dans des conditions moins poétiques, concevoir des enfants.
PMA et GPA devraient être des services gratuits ouverts à tous, et dans le cas de la GPA, librement consentie par les femmes qui se proposeraient d'aider les personnes ayant besoin de leur aide (et la loi permettra d'éviter l'exploitation toujours possible dans le cadre de n'importe quelle activité humaine).
2) Il est faux de dire que les hommes et les femmes sont par nature différents. Il y a en moyenne autant de différences entre un homme et une femme qu'entre deux hommes et deux femmes (parfois plus, parfois moins, mais cela ne dépend pas du sexe, cela dépend de l'éducation en général, et pas seulement du genre). Il est donc faux de dire que les couples homosexuels sont déséquilibrés quant aux modèles comportementaux qu'ils présentent à des gamins, ou qu'ils sont par définition moins aptes à assurer le développement psychologique harmonieux de leurs enfants. D'autant que, si on veut entrer dans une discussion psy, il n'existe pas une seule famille, hétéro ou homo parentale, qui ne soit pas quelque part dysfonctionnelle.
Encore une fois, soit on considère que les couples homosexuels sont aussi légitimes dans leur formation et leur pérennité que les couples hétérosexuels, soit on considère qu'il existe une différence de nature entre les hommes et les femmes qui les rend complémentaires et implique l'hétérosexualité. Mais on ne peut pas soutenir les deux en même temps ; ces propositions sont incompatibles. Le sexisme amène logiquement à l'homophobie ; sous ces fioritures discursives, vous dites simplement que les homosexuels ne devraient pas avoir le droit de fonder une famille (avec la personne qu'ils aiment) parce qu'ils sont homosexuels, et que le fait homosexuel est incompatible avec le fait familial.
Ce qui est épatant, c'est que vous vous érigez en défenseur d'enfants qui ne vous ont rien demandé, sinon de les laisser vivre en paix ; en défenseur de "la famille", en fait la votre, qui n'a rien à voir avec les familles bien réelles, bien portantes, et bien différentes du monolithe que vous souhaitez imposer.
Pour terminer, je vous ferai remarquer que cette discussion n'a rien à voir avec le sujet de base, et que le film comme la bédé ne prennent pas position dans ce débat (il ne fait que rappeler que les amours entre deux femmes sont aussi sincères et légitimes qu'entre une femme et un homme, ce dont vous dites convenir).
Je suis en total désaccord avec votre argumentaire, mais ça vous le saviez déjà.
Je respecte votre avis, mais ni le ton ni les mots que vous employez.
"Pour terminer, je vous ferai remarquer que cette discussion n'a rien à voir avec le sujet de base, et que le film comme la bédé ne prennent pas position dans ce débat "
Pour terminer à mon tour :
Vous n'avez sans doute pas lu l'article de DS qui mettait clairement en parallèle les événements de la manif pour tous avec le palmarès du festival.
Je commentais donc, à raison, le sujet de la manif pour tous dans le cadre de ce forum.
Le sujet de ce forum n'est pas la BD mais l'article de DS et le parallèle fait avec la manif pour tous (cf lien vidéo de son article)
"il ne fait que rappeler que les amours entre deux femmes sont aussi sincères et légitimes qu'entre une femme et un homme, ce dont vous dites convenir."
En cela nous sommes parfaitement d'accord et je n'ai jamais dit le contraire.
Je respecte votre avis, mais ni le ton ni les mots que vous employez.
"Pour terminer, je vous ferai remarquer que cette discussion n'a rien à voir avec le sujet de base, et que le film comme la bédé ne prennent pas position dans ce débat "
Pour terminer à mon tour :
Vous n'avez sans doute pas lu l'article de DS qui mettait clairement en parallèle les événements de la manif pour tous avec le palmarès du festival.
Je commentais donc, à raison, le sujet de la manif pour tous dans le cadre de ce forum.
Le sujet de ce forum n'est pas la BD mais l'article de DS et le parallèle fait avec la manif pour tous (cf lien vidéo de son article)
"il ne fait que rappeler que les amours entre deux femmes sont aussi sincères et légitimes qu'entre une femme et un homme, ce dont vous dites convenir."
En cela nous sommes parfaitement d'accord et je n'ai jamais dit le contraire.
"Renseignez-vous sur ce qu'est réellement la GPA au lieu de vous cantonner à vos fantasmes paranoïaques, ça vous reposera"
GPA : verser 100 000 $ à une femme américaine pour fournir un bébé à un français aisé et homo.
Nul fantasme et nulle paranoïa, je vous remercie de vous soucier de ma santé.
GPA : verser 100 000 $ à une femme américaine pour fournir un bébé à un français aisé et homo.
Nul fantasme et nulle paranoïa, je vous remercie de vous soucier de ma santé.
Oui Clomani,oui oui oui!!!!
Ah ???? Un orgasme ???
Grosse indiscrétion de ma part (désolé) : envisageriez-vous, ainsi, un jour, d'avoir un enfant ?
Explication : mon indiscrétion consiste, ici, à vous emmener à m'indiquer votre orientation sexuelle.....
Evidemment, vous n'êtes pas obligée de me répondre....évidemment.....
Grosse indiscrétion de ma part (désolé) : envisageriez-vous, ainsi, un jour, d'avoir un enfant ?
Explication : mon indiscrétion consiste, ici, à vous emmener à m'indiquer votre orientation sexuelle.....
Evidemment, vous n'êtes pas obligée de me répondre....évidemment.....
Un oui pour la liberté de chacun à vivre sa vie. Un oui pour le talent de Kéchiche. Un oui parce que j'irai voir ce film.Et un non pour tous ceux qui veulent imposer leur religion,leur philosophie de la vie .Qui êtes-vous pour poser de telles questions ? Ce n'est pas la première fois que je vous trouve infréquentable. Voila,c'est dit et ce sera tout .
"Qui êtes-vous pour poser de telles questions ?"
Je suis un forumeur asinaute, tout comme vous (je vous ai bien dit que vous n'étiez pas obligée de répondre à une telle question).
"Ce n'est pas la première fois que je vous trouve infréquentable"
Moi je ne vous trouve pas infréquentable : sauf si vous me méprisez du simple fait que je ne pense pas comme vous. Nous sommes d'un avis différent, cela ne m'autorise pas à vous mépriser....mais cela ne vous autorise pas, non plus, à me mépriser.
"Et un non pour tous ceux qui veulent imposer leur religion,leur philosophie de la vie"
Vous dîtes "non" aussi à ceux qui prétendent qu'un enfant peut être créé via l'union entre personnes de même sexe ? C'est un changement de civilisation auquel vous dîtes "oui".....souffrez que je dise "non"
Ce sera tout, aussi, pour moi (cela dit, si vous souhaitez discuter avec le démon fait asinaute, je serais toujours à votre écoute pour échanger sur nos oppositions)
Je suis un forumeur asinaute, tout comme vous (je vous ai bien dit que vous n'étiez pas obligée de répondre à une telle question).
"Ce n'est pas la première fois que je vous trouve infréquentable"
Moi je ne vous trouve pas infréquentable : sauf si vous me méprisez du simple fait que je ne pense pas comme vous. Nous sommes d'un avis différent, cela ne m'autorise pas à vous mépriser....mais cela ne vous autorise pas, non plus, à me mépriser.
"Et un non pour tous ceux qui veulent imposer leur religion,leur philosophie de la vie"
Vous dîtes "non" aussi à ceux qui prétendent qu'un enfant peut être créé via l'union entre personnes de même sexe ? C'est un changement de civilisation auquel vous dîtes "oui".....souffrez que je dise "non"
Ce sera tout, aussi, pour moi (cela dit, si vous souhaitez discuter avec le démon fait asinaute, je serais toujours à votre écoute pour échanger sur nos oppositions)
C'est bien ce que je disais, David Casy. Vous êtes insaisissable. Votre problème, c'est que la majorité de ceux qui pensent ( en apparence) comme vous sont, eux, très faciles à mettre en équation. Vous êtes, actuellement, le grand maître de l'ambiguïté sur ce forum, et, croyez-moi, c'est de ma part tout sauf un reproche.
Il t'arrive pas à la cheville, du point de vue "ambiguïté" et ce n'est pas un reproche.
gamma
gamma
ambigü ? moi ? redis-le !
j'ose pas...
gamma
gamma
t'oses pas, t'oses pas...ambigü...toi t'es quoi ? clair ? non. Heureusement. C'est pourquoi tu continues à ponctuer notre pauvre forum.
De moins en moins...
gamma
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tiens bon !
merci ;-)
gamma
gamma
Je n'oserais pas prendre cela pour un compliment : mes frustrations à venir, si cela ne devait plus se reproduire, seraient par trop cruelles.
Ce que vous prenez pour de l'ambiguïté n'est, en fait, que d'une grande clareté (si vous aviez l'audace de vous approcher un peu) : l'Homme est, à la fois, la seule créature ayant conscience que créer la vie relève du miracle et la seule créature ayant la vanité de prétendre en faire impunément, des miracles.
Ce que vous prenez pour de l'ambiguïté n'est, en fait, que d'une grande clareté (si vous aviez l'audace de vous approcher un peu) : l'Homme est, à la fois, la seule créature ayant conscience que créer la vie relève du miracle et la seule créature ayant la vanité de prétendre en faire impunément, des miracles.
Si l'on en croit l'extrait du film que l'on trouve sur le site de Télérama, le caractère homosexuel de la relation amoureuse est un aspect majeur de l'histoire (en particulier l'affrontement de l'homophobie que cela engendre pour les deux amoureuses). Il est donc normal, pour en rendre compte le mieux possible, de le préciser. Non ?
On peut souhaiter que les films ne parlent plus d'homophobie parce que ce serait devenu anachronique, et donc que la sexualité des protagonistes n'aient pas d'influence sur le fond de leur histoire. Mais ce n'est pas pour demain.
On peut souhaiter que les films ne parlent plus d'homophobie parce que ce serait devenu anachronique, et donc que la sexualité des protagonistes n'aient pas d'influence sur le fond de leur histoire. Mais ce n'est pas pour demain.
Elles sont quoi alors ?
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Elle sont sexistes. (aussi)
Avec leurs drapeaux "papa, maman, garçon, fille", je me suis toujours demandé ce que doit faire un couple à qui échoit un second garçon, une seconde fille, ou qui décide d'un troisième enfant.
[quote=Internet offre-t-il aux internautes réfractaires à la connerie davantage de moyens de réagir à ces monstruosités ?]
Il suffit de consulter les réactions à un article de l'Obs' qui trouve superbe de romantisme une relation pédophile dès lors qu'elle est saphique, remplie d'amour et dénuée de la violence de la pénétration masculine.
La connerie n'est donc pas le monopole des réalisateurs à Cannes, elle est assez bien distribuée aussi dans le domaine journalistique.
Il suffit de consulter les réactions à un article de l'Obs' qui trouve superbe de romantisme une relation pédophile dès lors qu'elle est saphique, remplie d'amour et dénuée de la violence de la pénétration masculine.
La connerie n'est donc pas le monopole des réalisateurs à Cannes, elle est assez bien distribuée aussi dans le domaine journalistique.
Festival de Cannes : 31 films en compétition, 63 récompenses...
Je pense que tout est dit !
Je pense que tout est dit !
Il y avait, la semaine dernière, un article sur Libé.fr, livrant les témoignages de techniciens ayant participé au tournage (prolongé) de "La vie d'Adèle".
Des intermittents pour la plupart, travaillant dans des conditions déplorables, soumis à toute heure aux caprices du réalisateur, accumulant des heures sup sans compensation financière...
L'envers peu reluisant du décor d'une oeuvre encensée.
Des intermittents pour la plupart, travaillant dans des conditions déplorables, soumis à toute heure aux caprices du réalisateur, accumulant des heures sup sans compensation financière...
L'envers peu reluisant du décor d'une oeuvre encensée.