L'Australie en feu, les médias Murdoch (climato)sceptiques
Leur pays connaît, en cet été austral, des températures de près de 50°C, et le bush est en feu. Mais les éditorialistes du groupe Murdoch déploient à l’appui de leur climatoscepticisme des arguments variés. Revue de presse.
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Commentaires préférés des abonnés
Comme un peu partout sur la planète, le chœur des vieux cons thunbergophobes à l'automne de leur vie, les yeux déjà clos sur le monde qu'ils ont contribué à détruire, indifférents au futur de leur progéniture, lorsqu'ils en ont une.
Qu'une nouvelle gé(...)
Bonsoir, merci pour votre commentaire, avec toutes mes excuses pour cette grossière erreur, désormais corrigée.
Deuxième phrase, la capitale de l'Australie, c'est Canberra, pas Sidney. Un peu de culture gé, ça fait jamais de mal à un journaliste...
Derniers commentaires
La course à la voile Sidney-Hobart annulée à cause des violents incendies entourant Sidney. France Culture à mis en exergue cette information ce matin. Bien que je me moque des courses à la voile comme de l'an 40 c'est dire si les climato-sceptiques commencent à nous gonfler (sauf les voiles dans ce cas précis).
Les ordures ont la vie longue
Murdoch l'ami de Thatcher toujours là
toujours à détruire l'humanité
Après avoir vu le documentaire sur Arte à propos de la privatisation de l'eau surtout en Australie, je me pose des questions...
On s'énerve avec les retraites, mais une bonne vague de chaleur va résoudre le problème...
Petit rappel, on a 30 ans pour se passer des énergies fossiles, si on commence dès maintenant tous à baisser de 3,3% notre consommation d'énergie fossile (directe et indirecte).
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Je n'ai pas de sympathie particulière pour le glyphosate, moi qui fait mes courses au magasin bio, mais ce n'est pas, à ma connaissance, ce produit qui est la cause du réchauffement climatique.
on est plus sur une toxicité localisée pour l'agriculteur et les consommateurs de produit agricoles.
Bon, pour le reste, on est en train de faire une transition énergétique, mais pas sûr que ça soit ça
Certains appuient sur les toxiques et négligent le bouleversement climatique. D'autres s'alarment du bouleversement et minimisent le problème des toxiques. Il est sage, selon moi, de n'oublier aucun des deux.
D'autant que, comme le fait judicieusement remarquer Vacinenkov, les deux sont étroitement liés. La monoculture sur d'immenses surfaces rend en effet quasiment obligatoire l'utilisation d'insecticides, car elle favorise la pullulation. Après, tout s'enchaîne, on a tué aussi les prédateurs de ces "nuisibles" qui peuvent pulluler plus que jamais.
L'appauvrissement de la terre par les cultures intensives répétées rend indispensable les engrais chimiques. Et comme toute vie a été retirée à la terre par les toxiques, elle devient incapable de se régénérer par les micro-organismes qui faisaient sa vitalité.
Et la toxicité "localisée"... vous avez vu ça où? Les algues vertes, les sargasses, le plastique en miettes dans les océans, les antibiotiques et le glyphosate dans les nappes phréatiques, ça n'existe pas le "local" en matière de poisons. Ya un truc qui s'appelle "la pluie", un autre qui s'appelle "le vent", souvenez-vous de Tchernobyl qui avait passsé la frontière sans visa, le traître.
Sans compter que fabriquer toutes ces saloperies, ça a aussi une "empreinte carbone".
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Scusez de m'immiscer, mais le bon sens commun est celui qu'on a le ventre plein.
Le problème devant nous n'est pas de choisir celui qui fera le pain, il est qu'il n'y aura plus de pain du tout...
"entre la soumission à ce système et l’espoir d’un changement vous avez choisi"
Je crois que vous avez raison, c'est une question de choix... qui a dit qu'il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer?
À un moment, les médias qui nous disaient "pas de problème, on 'a rien besoin de faire" se sont mis à nous accabler de trucs plus catastrophiques les uns que les autres... or, paradoxalement, le résultat était le même, nous convaincre de ne rien faire, puisque tout était foutu.
Faire, chacun à notre place, tout ce qui est en notre pouvoir, et chaque jour davantage, voilà le vrai choix. Au moins on n'aura rien à regretter, nos enfants ne nous maudiront pas, et qui sait... souvenez vous de Tintin, dans les situations les plus désespérées... et ça marche, il s'en sort toujours.
Comme un peu partout sur la planète, le chœur des vieux cons thunbergophobes à l'automne de leur vie, les yeux déjà clos sur le monde qu'ils ont contribué à détruire, indifférents au futur de leur progéniture, lorsqu'ils en ont une.
Qu'une nouvelle génération clairvoyante et active prenne enfin le relais, et qu'on oublie définitivement tous ces négationnistes cacochymes.
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Clarke and Dawe me manquent tellement.
Deuxième phrase, la capitale de l'Australie, c'est Canberra, pas Sidney. Un peu de culture gé, ça fait jamais de mal à un journaliste...