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le goudron et les plumes

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À propos du "Vite dit" du 7/4/2011à 12h15: pourquoi ne pas avoir mis un "E" à inconnu, puisqu'il s'agit d'une femme? Pour une fois qu'une femme est qualifiée de génie, ça valait la peine de le souligner.
Bonjour !

Ayant eu enfin le temps de regarder le documentaire de Karel sur la crise de 1929 et la grande dépression, je dois dire que je ne comprends pas tellement votre critique sur le fond du commentaire de Gazier portant sur les photographies de Walker Evans.

L'intervention de Bernard Gazier est certes formulée en des termes un peu maladroits, mais elle s'inscrit dans une série de trois interventions - au moins - sur le sujet (celle de Amity Shlaes, écrivain et journaliste, la précède ; celle de l'historien Steve Fraser la suit). Vous qui reprochez au documentaire un caractère très répétitif, devriez être disposé à entendre ces trois interventions d'une façon linéaire comme des apports successifs à une démonstration générale qui permet de comprendre une partie des enjeux de la campagne de photographies lancées par la Farm Security Administration. Ce que tous trois expliquent, c'est que ces photographies s'inscrivent dans une campagne de publicité (ou de propagande, si l'on veut) au bénéfice de la politique sociale instaurée par le New Deal. Mais parler de propagande à ce propos n'est pas faire œuvre de "négationnisme" (terme excessif et déplacé à propos de ce que dit Gazier), c'est analyser la façon dont un message politique se construit sur une réalité que tout le monde n'est pas prêt à voir.

En effet, même si la misère paysanne existe réellement dans les années 1930, et sans doute souvent se manifeste de façon bien plus tragique que ce qui est montré par les photographies, il est alors perçu comme nécessaire de la mettre en scène afin qu'elle corresponde aux standards des classes aisées (supérieures et moyennes), encore effrayée par le socialisme : le but est bien de les sensibiliser à une action gouvernementale, étatique, nationale, en faveur des paysans touchés par la grande dépression. L'on construit alors autour de ces photos une mythologie de la pauvreté digne, c'est-à-dire de la pauvreté qui appelle à la révolte sans se révolter et s'inscrit ainsi dans le modèle chrétien du "bon pauvre", celui qui reste honnête, patient, confiant, comme Job, en attendant la bonne volonté de la providence. Ainsi, si construction mythologique il y a, ce n'est pas parce que la misère n'existe pas, mais bien pour la rendre visible à une certaine classe plus portée aux bons sentiments paternalistes qu'à la révolution, et surtout pour rendre les politiques du New Deal légitimes. Rappelons que la cour suprême avais alors jugé bien des mesures du New Deal trop interventionnistes et les avaient rejetées comme inconstitutionnelles. Roosevelt, c'est rappelé dans le documentaire, est constamment soupçonné d'être un "rouge", un fossoyeur de la démocratie et du capitalisme (conçu comme la manifestation économique de la démocratie). Il était donc nécessaire à ce moment là de propager par l'image une représentation particulière de la misère bien réelle qui touchait à ce moment-là une grande partie du monde agricole aux États-Unis. Sans parler de l'enjeu purement politique soulevé par Amity Shlaes, dont il faudrait aussi discuter.

Voilà en tout cas, ce me semble, une interprétation possible des discours tenus à ce moment dans le documentaire, à propos desquels je m'étonne que vous réagissiez aussi vivement...

En revanche, je suis bien d'accord avec vous sur le problème de l'identification des sources : il est curieux qu'aucune des images ne soit légendée - même si le générique en donne la provenance. C'est même un peu fâcheux pour un documentaire de cette qualité. Par ailleurs, je ne comprends pas non plus l'affreuse déformation qu'ils font subir à la photographie de Dorothea Lange, dont on aurait très bien pu se passer (ça fait documentaire amateur bricolé avec des moyens techniques limités)...
Alain Korkos écrit : "la fameuse Migrant Mother dont on ne voit qu'un gros plan dans le film (et au sujet de laquelle il faudra que je vous cause un jour car il y a pas mal de choses à en dire)"

Je suis preneuse !! Bien que n'ayant pas une culture photographique importante, c'est une photo qui m'a toujours touchée, depuis très longtemps. Alors j'attends avec intérêt la chronique qu'Alain Korkos pourra écrire sur elle.

Et en attendant, merci pour cette chronique-ci.
Je ne serais décidément jamais d'accord avec Korkos qui ferait mieux de ne parler que de ce qu'il connait. Dès qu'il sort de ses petites images il montre le trou de son inculture à tous les passants. Navrant.
si j'ai bien compris le ton de la chronique cette semaine, m'sieur Korkos, soit vous n'avez pas du tout aimé le doc et ses commentaires, soit.......... vous n'avez pas du tout aimé le doc et ses commentaires ???
j'hésite !!
…doit bien vous rester une ou deux battes pas encore utilisées non ??
:)

mais petit rappel salutaire que cette chronique ; et d'époques pas si révolues que ça en fait !!
les images, mis à part le fait qu'elles soient passées du noir-et-blanc à la couleur, se ressemblent étrangement !!
1929
moins de 100 ans plus tard...
..
mais de voir des personnes faire la queue auourd'hui pour un quignon de pain a quelque chose de choquant voire insoutenable dans nos pays si riches, ou le gaspillage est la règle et les petits cadeaux aux plus riches (bouclier fiscal, prêt aux banques, ou autre taxe professionnelle....), le sport élyséen favori... avant malaise vague !!

pays si riches et qui pourtant préfèrent jeter plutôt que donner......
parce que donner provoquerait un effondrement des cours de la bourse ; et voilà, la boucle est bouclée !!
à méditer !

aaah le mot "crise" ; de la banale "nervous breakdown" d'une julie depardieu face à ses ridules (pardon c'est la faute à sherlock et toc !!) au krach responsable de la misère de 1929, elle a bon dos "ze crise" !!
et les hommes qui la provoquent hein ? sont où sur la photo ces hommes et femmes responsables de la crise ??

allez un petit coup de 19th nervous breakdown... ça fait longtemps que je ne vous ai pas imposé de pierres qui roulent non ??
merci Alain pour le ptit bonus " charmant". Parfois les évidences ne sautent pas aux yeux du commun des mortels ))
J'ai regardé ces deux documentaires hier sur Arte+7 et me suis fait la même réflexion : étonnant qu'aucune de ces images ne soit annotée ! L'extrait des 'Raisins de la colère' — que je n'ai jamais vu — en début de deuxième partie s'est imposé immédiatement comme un extrait de fiction (à mes yeux) et je me suis demandé pourquoi diable personne n'avait jugé bon de le préciser. Du coup, ma suspicion est tombée sur toutes les autres images (extraits de fictions ?). Cet éclairage est donc très intéressant.

Néanmoins, si Alain Korkos pouvait abandonner son style neo-cool-on-n'est-pas-tout-à-fait-sérieux-par-ici, ce serait parfait. Parce que les "Zétazunis" et les "amerlocains", je n'en peux plus. Il est inutile de tordre la langue pour imprimer à ses papiers une couche de légèreté (oui, on devine que vous n'avez pas le temps de pousser vos analyses aussi loin que vous le souhaiteriez).
Mais quelle mouche a donc piqué Karel ?
La réponse est-elle dans le vent, mon ami ? (spécial dédicace)
Bonne chronique protestataire en tous cas.
Ce film a eu pour moi une vertu...Il m'a rappelé :

1) Que la décision du Président Hoover de rapatrier les fonds U.S. prêtés aux banques allemandes avait largement contribué à faire le lit du nazisme, en plongeant l'Allemagne dans une crise économique terrible.

2) Que la seconde guerre mondiale fut la planche de salut de l'économie américaine.

Dont acte.
Arrrggghhh ! Je découvre soudain la preuve de ce que je subororais (car je subodore beaucoup) :

Le rejeton de l'homme aux talonnettes (ou le génie du scooter si vous préférez) est bien un extra terrestre, la preuve il n'a pas de trous de nez comme vous et moi mais une simple fente dans le plan facial...

Un petit coup de bascule à Charlot suffira-t-il à éliminer cet inquiétant androïde ?

***
Merci m'sieur Korkos.

Pour l'illustration musicale, je propose :
Odetta, avec le titre “House of the rising sun”.
Curtis Mayfield, of course, avec “Little child running wild”.
La ressemblance entre le rejeton Sarkozy et le prince charmant de Shrek est confondante !
Merci pour cette très intéressante chronique, votre culture m'esbouriffe vraiment, et les commentaires sont aussi passionnants, notamment de Laetitia sur le sens de la lecture contredit par le sens du progrès qui va vers l'Ouest. C'est d'autant plus fort que la pauvreté en Californie, c'est la preuve tout à coup que l'Ouest magique ne fonctionne plus, que la ruée ne sert plus à rien.

Un peu comme ce camp des pauvres à Sacramento sur le riverbank, qu'on vient de nettoyer. Si là où on trouvait l'or, on trouve en 2009 les pauvres, c'est la fin des haricots. D'ailleurs, la presque faillite aujourd'hui de la Californie n'est pas le moindre paradoxe de cette crise et donne comme un écho aux photos californiennes de Dorothea Lange à l'époque.

Moi, ce qui me trouble, c'est l'enjeu pour Gazier à nier les images dans ce qu'elles disent quelque chose d'une réalité. Qu'est-ce que cela veut dire ? Que la crise de 1929 n'a pas paupérisé la population ? ou pas la population paysanne ?

Par ailleurs, comme ce genre de relecture sert souvent un discours sur la modernité, je ne saisis pas l'enjeu pour aujourd'hui.

Pour l'erreur sur la photo par Karel, c'est un manque de recherche documentaire, paresse ? Mais il faut dire que le contraste avec la pub est moins fort (american way of life) s'il est lié à une inondation, le lier à une crise économique donne tout de suite une critique sociale. On voit donc que l'enjeu est aussi du côté des "utilisateurs" de la photo pour des fins politiques, quand ils oublient le contexte de la photo.

Bref, la levée de ce coin du voile fait apparaitre plein, plein de questions.

http://anthropia.blogg.org
Bonjour,
Je n'ai pas vu le documentaire et j'apprécie toujours les chroniques d'Alain Korkos.
MAis j'ai envie de vous dire "attention aux procès d'intention".
Bernard Gazier n'est pas un économiste néo-libéral, il est hétérodoxe (traduire plutot de gôôôche) il s'est peut etre aventuré sur un domaine qui n'est pas celui ou il a le plus de compétences (le décryptage d'images). Je ne crois pas qu'il faille conclure sur la personne à partir de l'expression sur le mélange "de crasse et de dignité". B. Gazier fait partie des gens qui défendent les dominés, il n'est pas du côté des puissants arrogants.
Je croyais que le supplice du goudron et des plumes était réservé aux frères Dalton. En fait cela date du temps des croisades.
Belle, belle chronique, Alain, j' apprends et ré-apprends plein de trucs à nouveau.
Et aussi, que Less ne porte pas de slip, mais je m'en doutais, j' m'en suis rendu compte l'autre jour, quand il s'est penché pour ramasser le billet de 500 euros que j'avais négligemment laissé tomber au Fouquet's.
Je posterai l'image sur BottocksTube, ou FesseBook, à l'occasion.
Bon bref, comme tu le dis toi-même: un excellent sujet pour une chronique.
L'adjectif, dans cette phrase, n'est pas valable seulement pour le sujet.
Au-delà de l’image ….

Une très belle critique pour un expert de l’image, peut-être. Mais ne peut-on pas dire que le documentaire de Karel reste une (très) bonne explication de la crise de 1929 ?

«Il faut que je regarde ça », j’avais pourtant eu la même réaction de départ que vous en découvrant ce documentaire de Karel dans le programme de Télérama. Enfin un mercredi de l’histoire qui nous propose un documentaire récent qui ne porte pas sur la deuxième guerre mondiale ou sur un grand dictateur. Oui, parce que malgré mon jeune âge j’ai déjà vu plusieurs fois le vieil épisode de la réédition du Japon sur le SS Missouri. Qui-plus-est, le thème de la crise de 1929 avait l’intérêt d’être un sujet pouvant faire intervenir histoire et économie, ce qui est asse rare. Karel réalise cela avec brio, en accordant aux économistes leur part dans le documentaire (Certes Gazier, mais aussi Stieglitz ou Cohen). Alors oui, je me réjouissais de ne pas sortir ce mercredi soir.

-« La première partie, intitulée La Crise, retrace lentement, péniblement, les événements qui ont mené au krach boursier d'octobre 1929. Lentement, parce que chaque chose est dite, répétée trois ou quatre fois par plusieurs intervenants. »
Je ne suis pas en total désaccord sur le coté répété, mais à mon sens, la description de cette première partie serait meilleure si le mot péniblement était remplacé par clairement. En visionnant ce documentaire une seule fois, le spectateur retient les mécanismes déclencheurs du krak et les victimes de ce dernier.
Avec un titre comme La Crise, le spectateur pouvait s’attendre à ce que le documentaire débute par le jeudi noir, que le documentaire face ensuite des allers-retours pour en comprendre les causes. Mais non, Karel dans cette première partie retrace progressivement les mécanismes de la crise. Il nous permet ainsi de commencer par apprécier un voyage dans l’Amérique des « années folles », où la société de consommation fleurit. Parce que le documentaire nous laisse le temps d’assimiler, qu’il ne nous assomme pas en nous donnant un nombre astronomique de chiffre, mais préfère répéter un évènement deux fois de manière différente, le spectateur se rappellera de l’esprit de la société à la veille du krak boursier. Il aura aussi noté l’augmentation impressionnante de la consommation en matière d’automobile (une voiture pour cinq américains, si j’ai bien retenu). Ainsi, le spectateur découvre cette classe moyenne émergeante qui consomme, qui développe une croyance dans le bienfait du capitalisme, qui sera la première victime du krak.
Autre fait intéressant, absent ou peu développé dans nos programmes scolaires (Je ne suis pas certain du programme, mais ce qui est sûr c’est qu’il n’était pas resté en mémoire du jeune étudiant appréciant l’histoire que je suis) le fait que Hoover retire les fonds américains d’Allemagne, au lendemain du krak. Ce qui explique que l’Allemagne soit touchée avant et plus durement par la crise (ce que l’on voit bien en classe, sans pour autant avoir l’explication susmentionnée).

Je pourrai m’étendre aussi longuement sur la deuxième partie, mais je pense que c’est inutile, car vous me jugerez mon argumentation sans doute aussi « lente et pénible » que le documentaire. Par conséquent, j’ajouterai seulement quelques mots sur la façon dont m’est parvenu votre critique.

Le jeudi, j’ai conseillé à mes deux sœurs de regarder la rediffusion de ce mercredi de l’histoire que j’avais particulièrement apprécié. La petite l’a regardé. La grande m’a envoyé votre critique, m’expliquant qu’en conséquence, elle ne perdrait pas deux heures à regarder ce documentaire. C’est bien dommage, puisque que c’est selon moi un documentaire agréable et instructif. Qu’au-delà des images (parfois utilisées de manière inappropriées), ce documentaire permet d’aborder, en prenant le temps, l’histoire d’une crise économique, qui n’est pas dépourvue de tout lien avec l’actualité.

Alors restez critique par rapport à l’image, mais appréciez ce documentaire quand même !
"la dignité et la crasse"... on dirait que ça parle des colonies.
J'ai regardé le docu et je l'ai trouvé assez interessant même si le commentaire des photos, présentées commes une opération d'intox, m'a surpris. Peut être les photos les plus "esthétiques" sont posées mais il doit bien existé des "moins jolis" photos de "simple" journalistes.
La question n'est pas de savoir si ces photos sont construites (ou issue d'un film) ou non mais si elles expriment une certaine réalité, ce que je crois ...
En dehors de ces commentaires de photos qui occupent quand même une faible partie du temps, ce documentaire m'a assez interressé dans la perpective historique qu'il donne et ne pas du tout ennuyé.
1- En voyant les deux premières photos, j’ai tout de suite pensé au film les ‘‘Les Raisins de la colère’’ de John Ford avec Henri Fonda.
Film esthétiquement et visuellement irréprochable mais bien en dessous de la réalité du livre de John Steinbeck.

2- Á propos de « il y a un mélange de crasse et de dignité », relisez le livre de John Steinbeck et pensez à la mort de la grand-mère (au début du livre) et à la vie du grand-père (à la fin du livre).
Pitain j’ai lu ce livre yaplu de 30 ans et il me marque encore…

3- Dans notre société qui lisons de gauche à droite, la queue de « unemployed black men » qui va de gauche à droite donne de l’espoir… leur destin existe, mais reste à choisir.
Par contre dans le cas de la file qui va de droite à gauche, le destin est figé dans la dure réalité.
Ce sens de la vie, est souvent utilisé dans le cinéma :
si la zhéroïne court de gauche à droite, elle va retrouver son amant, son bonheur, son honneur, etc. (rayez les mots inutilles).
Si le zhèro fonce avec sa voiture de droite à gauche, il va trouver un destin meurtrier (sa mort ou le meurtre vengeur de son ennemi)…
Idem pour un panoramique ou un travelling, éléments de suspens hitchcockien.
J'apprécie d'autant plus cette magnifique chronique que j'avais zappé sur le documentaire et m'étais étonnée du commentaire que vous avez relevé.
" Mais ça va pas !!!" m'étais je dit.

Puis je me suis consolée en me disant que j'avais peut-être manqué une partie qui expliquait peut-être ces étranges paroles.

Mais je vois que je ne suis pas la seule à m'être posé des questions.

Et je me délecte du syndrome du garage de Poisson (clin d'oeil aux @sinautes de la première heure).
Alors on se fâche, Alain ? Mmmh ?

Salauds de pauvres ! C'est simple, on ne devrait jamais les prendre en photo, et regarder seulement Point de vue Images du monde ... Marie Antoinette Bruni, et le rejeton du nain... Sont propres sur eux, au moins...

De toutes façons, quand on s'appelle "gazier", faut pas s'étonner, hein ... Fait partie des "zexperts en économie", çui-là...
En tous cas, comme d'hab, une chronique aux petits oignons. Merci.
Je ne sais plus pour quelle raison je n'ai pas regardé ce doc: bien m'en a pris, donc, je crois que j'aurais fait bouffer ma tv au gonze Gazier.
Parce qu'avoir de la dignité dans la crasse (si ç'est est) et la pauvreté, c'est sacrément respectable, d'une part.(bientôt il nous sort le bruit et l'odeur)
D'autre part, pour toutes les raisons énoncées par Mister Korkos dans sa Kro.

Merci pour le décryptage.

Au fait pour la pub réinvestie en couv de disque, il me semble que l'enfant à l'arrière était déjà un garçonnet, mais avec le chapeau et le dessin de l'époque, ça fait fillette.
Non?
Bravo, une très belle chronique.
Documentaire de référence pour le journal de télé catholique, qui fait de plus en plus dans l'orthodoxie lénifiante.
Contentez-vous du journal télé à 4 sous qu'on trouve à la caisse des supermarchés ou du supplément télé de votre quotidien, vous ferez des économies.
Merci pour cette chronique, Alain.
Pourquoi ne peut-on lire ici (@si, pas ton espace de chronique...) plus de ce type de travail sur les reportages, les films documentaires, avec analyse de la mise en scène, de l'utilisation des commentaires, de la musique, etc., bref des choix faits par les auteurs et réalisateurs pour faire dire une vérité, faire passer un message ?
Expliquer le "comment" plutôt que le "quoi".
(parce que le "quoi" dépend entièrement du "comment"...).
A TOUS


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