Commentaires
"Le président des Etats-Unis est fou"
Le président est fou. Se fondant sur la dernière crise twitto-pathologique de Donald Trump
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Derniers commentaires
L'état mental de Trump a finalement été expliqué.
C'est fou la proportion de psychiatres parmi les abonné d'@si !
Faudrait pas que l'Ordre National des Médecins s'avise de mettre son nez dans ce forum.
Y'en a plus d'un qui pourrait se retrouver en cabane pour exercice illégal.
Faudrait pas que l'Ordre National des Médecins s'avise de mettre son nez dans ce forum.
Y'en a plus d'un qui pourrait se retrouver en cabane pour exercice illégal.
whatabout "k"illary ?
On est tous le fou de quelqu'un.
Le bilan de Trump est bon.
whatabout Obama ?
Lisez les crises !
Il est urgent de différencier le racisme de chrétiens xénophobes de la légitime islamophobie.
whatabout Sarkozy ?
On ne m’ôtera pas de l'idée que des journalistes ont inventé des méchancetés sur Hitler.
Les démocrates sont vraiment pas subtils, seuls des gens dans l'opposition peuvent arriver à la conclusion que Trump est dérangé.
whatabout GW Bush ?
Trump est juste un peu sénile.
whatabout le Rwanda ?
La démocratie c'est bidon.
whatabout Macron ?
Le psychiatre favori de la fachosphère italienne vaut bien les centaines d'experts qui se sont inquiétés publiquement de la santé mentale de Trump.
C'est un complot de l'establishment pour l’empêcher.
whatabout les mexicains ?
Le pouvoir c'est méchant de toutes façons.
Traiter Trump de fou ça minimise son racisme. <-- ça c'est moi
whatabout les américains ?
Tous tarés ou narcissiques de toutes manières ces amerloques.
whatabout Kim Jong Il ? l
Trump n'a pas le monopole du narcissisme.
whatabout Mélenchon à l'émission politique ?
... ouf on est bien sur @si, parfois on a l'impression d'être ailleurs par moments... ;)
A part ça la question que je me pose, est : n'y aurait t'il pas comme une certaine tendance à adopter certaines positions pour se rassurer, voire à changer aussi vite que possible de sujet pour ne pas trop y penser, quand on parle d'un possible dérangement du dirigeant de la première puissance militaire mondiale ?
On est tous le fou de quelqu'un.
Le bilan de Trump est bon.
whatabout Obama ?
Lisez les crises !
Il est urgent de différencier le racisme de chrétiens xénophobes de la légitime islamophobie.
whatabout Sarkozy ?
On ne m’ôtera pas de l'idée que des journalistes ont inventé des méchancetés sur Hitler.
Les démocrates sont vraiment pas subtils, seuls des gens dans l'opposition peuvent arriver à la conclusion que Trump est dérangé.
whatabout GW Bush ?
Trump est juste un peu sénile.
whatabout le Rwanda ?
La démocratie c'est bidon.
whatabout Macron ?
Le psychiatre favori de la fachosphère italienne vaut bien les centaines d'experts qui se sont inquiétés publiquement de la santé mentale de Trump.
C'est un complot de l'establishment pour l’empêcher.
whatabout les mexicains ?
Le pouvoir c'est méchant de toutes façons.
Traiter Trump de fou ça minimise son racisme. <-- ça c'est moi
whatabout les américains ?
Tous tarés ou narcissiques de toutes manières ces amerloques.
whatabout Kim Jong Il ? l
Trump n'a pas le monopole du narcissisme.
whatabout Mélenchon à l'émission politique ?
... ouf on est bien sur @si, parfois on a l'impression d'être ailleurs par moments... ;)
A part ça la question que je me pose, est : n'y aurait t'il pas comme une certaine tendance à adopter certaines positions pour se rassurer, voire à changer aussi vite que possible de sujet pour ne pas trop y penser, quand on parle d'un possible dérangement du dirigeant de la première puissance militaire mondiale ?
c'est quelqu'un qui est tellement à côté de la plaque qu'il néglige ses propres intérêts
Alors, il faut que vous regardiez ça, conseillé par Youri Llygotme, concernant Macron. Le psychiatre italien n'emploie pas le mot "fou", qui est en effet mal choisi, mais le mot "psychopathe". Il dit que la personne psychopathe ne travaille que pour ses propres intérêts. C'est précisément pour cela qu'elle est dangereuse.
Alors, il faut que vous regardiez ça, conseillé par Youri Llygotme, concernant Macron. Le psychiatre italien n'emploie pas le mot "fou", qui est en effet mal choisi, mais le mot "psychopathe". Il dit que la personne psychopathe ne travaille que pour ses propres intérêts. C'est précisément pour cela qu'elle est dangereuse.
Trump serait fou ?
A part une maladie de sénilité due à son grand âge, et son narcissisme exacerbé, commun à de nombreux américains, je ne vois pas... Après tout, on a le chef qu'on mérite...
Je voudrais quand même spécifier deux choses : la première est que la raison pour laquelle les médias américains conspuent en permanence Trump qui le leur rend bien, n'a rien à voir avec ce qu'il est objectivement. En fait, ils n'ont pas décoléré du fait qu'il ait été élu malgré leurs prescriptions. En tant que médias du mainstream, ils étaient sensés développer une propagande pour faire élire un.e candidat.e mainstream, démocrate ou républicain, peu importe, mais quelqu'un qui avait l'aval du grand capitalisme américain, principalement financier.
Bernie Sanders aurait été élu, ça aurait abouti à la même hystérie.
Et dans les deux cas, leur détestation se voit et met au jour une réalité abjecte de pratiques d'entre-soi et d'exploitation politique. Une sorte de tiermondisation à l’œuvre dans tous les pays occidentaux. Ils commencent à s'énerver, et ça éclaire d'une façon crue leur système très bien élaboré et difficile jusque là à prouver.
La seconde chose, c'est que quelqu'un qui est fou, même si ce terme générique et peu factuel a été banni depuis longtemps de la psychiatrie moderne, c'est quelqu'un qui est tellement à côté de la plaque qu'il néglige ses propres intérêts. Or, ce que je vois, c'est que Trump est en train de faire passer une magnifique réforme fiscale qui va grandement le favoriser, mais pas que lui...
Donc pur narcissisme, et défense d'intérêts extrêmement bien compris de sa part.
Pendant ce temps-là, il fait le guignol contre la Corée du Nord (attention grosse peur !), et différents adversaires réels ou supposés.
Normalement, lentement, il va arriver à mi-mandat. Pendant ce temps-là, la procédure d'empeachment va avancer, et les révélations vont lui faire perdre ses soutiens... La stratégie est claire.
Poutine, chef de la plus grosse kleptocratie du monde, avait tout intérêt à décrédibiliser son ennemi les USA. Il a profité de notre indigence intellectuelle et de manipulations toute entières dirigées vers la préservation des intérêts de classe des dominants occidentaux et qui devenaient évidentes, pour promouvoir son idiot de candidat.
Il y est parvenu.
Sale temps pour les mouches... Les mouches, c'est nous...
Et DS, lisez ou relisez Les origines du Totalitarisme, de Arendt, comment l'Allemagne s'était enfermée dans l'aveuglement et la sidération, ce qui a mis le mec le plus motivé au pouvoir....
A part une maladie de sénilité due à son grand âge, et son narcissisme exacerbé, commun à de nombreux américains, je ne vois pas... Après tout, on a le chef qu'on mérite...
Je voudrais quand même spécifier deux choses : la première est que la raison pour laquelle les médias américains conspuent en permanence Trump qui le leur rend bien, n'a rien à voir avec ce qu'il est objectivement. En fait, ils n'ont pas décoléré du fait qu'il ait été élu malgré leurs prescriptions. En tant que médias du mainstream, ils étaient sensés développer une propagande pour faire élire un.e candidat.e mainstream, démocrate ou républicain, peu importe, mais quelqu'un qui avait l'aval du grand capitalisme américain, principalement financier.
Bernie Sanders aurait été élu, ça aurait abouti à la même hystérie.
Et dans les deux cas, leur détestation se voit et met au jour une réalité abjecte de pratiques d'entre-soi et d'exploitation politique. Une sorte de tiermondisation à l’œuvre dans tous les pays occidentaux. Ils commencent à s'énerver, et ça éclaire d'une façon crue leur système très bien élaboré et difficile jusque là à prouver.
La seconde chose, c'est que quelqu'un qui est fou, même si ce terme générique et peu factuel a été banni depuis longtemps de la psychiatrie moderne, c'est quelqu'un qui est tellement à côté de la plaque qu'il néglige ses propres intérêts. Or, ce que je vois, c'est que Trump est en train de faire passer une magnifique réforme fiscale qui va grandement le favoriser, mais pas que lui...
Donc pur narcissisme, et défense d'intérêts extrêmement bien compris de sa part.
Pendant ce temps-là, il fait le guignol contre la Corée du Nord (attention grosse peur !), et différents adversaires réels ou supposés.
Normalement, lentement, il va arriver à mi-mandat. Pendant ce temps-là, la procédure d'empeachment va avancer, et les révélations vont lui faire perdre ses soutiens... La stratégie est claire.
Poutine, chef de la plus grosse kleptocratie du monde, avait tout intérêt à décrédibiliser son ennemi les USA. Il a profité de notre indigence intellectuelle et de manipulations toute entières dirigées vers la préservation des intérêts de classe des dominants occidentaux et qui devenaient évidentes, pour promouvoir son idiot de candidat.
Il y est parvenu.
Sale temps pour les mouches... Les mouches, c'est nous...
Et DS, lisez ou relisez Les origines du Totalitarisme, de Arendt, comment l'Allemagne s'était enfermée dans l'aveuglement et la sidération, ce qui a mis le mec le plus motivé au pouvoir....
Et un point Godwin, un ! Dommage, l'article était intéressant jusqu'au dernier paragraphe...
Tout est normal, l'establishment est juste en train de poser les jalons pur une procédure d'impeachment.
Un de ses conseillers a avoué aujourd'hui avoir magouillé avec les russes. Mauvais pour Trump.
Après l' interrogatoire de Mélenchon dans l' Emission politique d' hier sur F2 j'osais imaginer que cela aurait pu être un sujet intéressant pour le 9.15 d'aujourd'hui. Grand fou que je suis.
Lochner... Interview en 1932. Le parti nazi est à un très haut niveau, Hitler sera chancelier l'année suivante.
Imaginons... Lochner écrit :" ce Hitler est fou, en plus il avait la bave aux lèvres quand on a causé juifs.". Conséquences probables :
- ceux qui lisent l'article s'indignent : "comment peut on oser traiter de fou le sauveur de l'Allemagne ?!"
- Lochner est victime d'un "accident" / se "suicide" d'une balle tirée à bout portant/ est mis en prison en attendant que les camps de concentration soient mis en place.
Bref, à part se sauver aux USA pour publier son article, votre Lochner n'aurait pas pu faire grand chose d'utile...
Imaginons... Lochner écrit :" ce Hitler est fou, en plus il avait la bave aux lèvres quand on a causé juifs.". Conséquences probables :
- ceux qui lisent l'article s'indignent : "comment peut on oser traiter de fou le sauveur de l'Allemagne ?!"
- Lochner est victime d'un "accident" / se "suicide" d'une balle tirée à bout portant/ est mis en prison en attendant que les camps de concentration soient mis en place.
Bref, à part se sauver aux USA pour publier son article, votre Lochner n'aurait pas pu faire grand chose d'utile...
La presse découvre le Principe de Peter et Ervin Goffman (comme quoi le sociologisme...), selon lesquels tout dans l'organisation sociale contribue à l'accession au pouvoir de psychopathes incompétents - et pas seulement en politique.
George W. Bush était-il plus sain d'esprit ? Obama ordonnant de droner des mariages est-il plus clair dans sa petite tête ?
De toutes façons, comme tous ces gens-là ne seront jamais jugés pour crimes de guerre, crimes contre l'humanité, meurtres de masse, torture et "cannibalisme" comme le dit Monique Pinçon-Charlot https://www.youtube.com/watch?v=sr3VEtq_jsM, et que tout le monde trouve ça parfaitement normal, je ne vois pas l'intérêt de s'en prendre plus à Trump qu'aux autres.
Finalement, Trump a au moins l'avantage de montrer le vrai visage - hideux - du pouvoir (dont on sait que d'où qu'il vienne, c'est de la merde).
George W. Bush était-il plus sain d'esprit ? Obama ordonnant de droner des mariages est-il plus clair dans sa petite tête ?
De toutes façons, comme tous ces gens-là ne seront jamais jugés pour crimes de guerre, crimes contre l'humanité, meurtres de masse, torture et "cannibalisme" comme le dit Monique Pinçon-Charlot https://www.youtube.com/watch?v=sr3VEtq_jsM, et que tout le monde trouve ça parfaitement normal, je ne vois pas l'intérêt de s'en prendre plus à Trump qu'aux autres.
Finalement, Trump a au moins l'avantage de montrer le vrai visage - hideux - du pouvoir (dont on sait que d'où qu'il vienne, c'est de la merde).
Dans un monde ou faire de la com 24h/24h , comme obama , dire qu'on va se retirer d'irak et augmenter les tires de drones d'a peu près 50% est considérer comme "être normal" , il est évident que trump est fou ......Ah ! la subtilité des démocrates quand ils sont dans l'opposition .....
Ça fait un moment qu'il y a peu de doutes sur la santé mentale de Trump, un nombre énorme de spécialistes ont évoqué son narcissisme pathologique et malveillant dès la début de la campagne présidentielle. Est ce que ça change grand chose que des journalistes (qui leur ont déjà largement donné la parole à l'époque) reprennent ce diagnostic à leur compte de manière moins précise (et éventuellement en l'aggravant en y mêlant d'autres choses ayant peu à voir - perso je pense que sa folie avait bien plus de raisons d'être évoquée lors de ses délires à propos de la taille de la foule à son investiture, ou de ses changements de ton sur un certain nombre de régimes après que leurs dirigeants l'aient flatté, que pour cet épisode qui illustre moins qu'il est fou que simplement d'extrême-droite*) ?
Tout ce que ça fait à mon avis c'est que les partisans de Trump vont être encore plus convaincus d'une cabale médiatique contre lui (et pour l'alt-right d'une volonté des grands médias de couvrir les islamistes, puisque le prétexte de cet éditorial est Trump se faisant le relai de vidéos islamophobes).
* Et c'est la deuxième raison pour laquelle je trouve cet éditorial critiquable, accuser Trump de folie c'est une manière de ne faire de son soutien à toutes sortes de racistes qu'un symptôme plutôt qu'un positionnement idéologique. N'y a t'il que des victimes de pathologie mentale qui relaient des vidéos douteuses de la fachosphère ? Est ce qu'un facho atteignant un poste de responsabilité n'en profiterait pas de toutes manières pour essayer de faire progresser ses idées, quel que soit son état mental ; et est ce qu'un non facho ne le ferait pas également pour les siennes ? En faire un symptôme de folie dans le cas de Trump revient à psychiatriser une grande partie de ses électeurs, voire les militants et politiques en général, avec lui.
Au plus il y a peut être un signe de folie dans sa maladresse consistant à partager certains contenus plus douteux et faciles à debunker que d'autres. Mais même ça peut relever de la stratégie politique réfléchie, visant à obtenir des réactions indignées des médias et cliver, tout en poussant de plus en plus d'électeurs de droite à accepter des discours délirants par rejet de ceux qui critiquent le président.
Tout ce que ça fait à mon avis c'est que les partisans de Trump vont être encore plus convaincus d'une cabale médiatique contre lui (et pour l'alt-right d'une volonté des grands médias de couvrir les islamistes, puisque le prétexte de cet éditorial est Trump se faisant le relai de vidéos islamophobes).
* Et c'est la deuxième raison pour laquelle je trouve cet éditorial critiquable, accuser Trump de folie c'est une manière de ne faire de son soutien à toutes sortes de racistes qu'un symptôme plutôt qu'un positionnement idéologique. N'y a t'il que des victimes de pathologie mentale qui relaient des vidéos douteuses de la fachosphère ? Est ce qu'un facho atteignant un poste de responsabilité n'en profiterait pas de toutes manières pour essayer de faire progresser ses idées, quel que soit son état mental ; et est ce qu'un non facho ne le ferait pas également pour les siennes ? En faire un symptôme de folie dans le cas de Trump revient à psychiatriser une grande partie de ses électeurs, voire les militants et politiques en général, avec lui.
Au plus il y a peut être un signe de folie dans sa maladresse consistant à partager certains contenus plus douteux et faciles à debunker que d'autres. Mais même ça peut relever de la stratégie politique réfléchie, visant à obtenir des réactions indignées des médias et cliver, tout en poussant de plus en plus d'électeurs de droite à accepter des discours délirants par rejet de ceux qui critiquent le président.
Daniel, si vous parlez Anglais, le geste qui sauve:
https://www.pscp.tv/ScottAdamsSays/1DXxyEVwlMbxM
Vous êtes dans une bulle. Le fait est que pendant ce temps là, c'est l'heure des bilans de mandats et que tout le monde est bien obligé de dire que ça roule plutôt bien pour l'administration Trump. Tous les indices économiques au vert clair, un placement record de conservateurs aux postes juridiques, des tribunaux qui lui donnent raison contre toutes les controverses soulevées par les médias que vous lisez en isolation mais qui ne représente plus la majorité de l'opinion depuis des lustres, une tournée triomphale en Asie où son déjeuner exceptionnel dans la Cité Interdite contraste terriblement avec le dernier voyage d'Obama ou celui ci a du sortir par la queue d'Air Force One alors que le tapis rouge était déroulé pour Poutine (hé vous vous rappellez au début de sa présidence quand on pronostiquait une catastrophe relationnelle avec la Chine parcequ'il avait appellé Taiwan ?), une enquête sur la collusion russe qui d'après les bruits de couloir n'a toujours rien de concret en un an, et une cote de popularité à peu près constante depuis dix mois, faible certes pour un président US mais stratosphérique pour un dirigeant européen.
Ne prenez pas tout celà pour un soutien de Trump. Ca reste un libéral en économie, un menteur éhonté et un impérialiste certes pragmatique mais qui est là pour se gaver sur le reste du monde. Simplement, tant que ce que le monde compte de progressiste sincère vivra dans une sphère alternative à la réalité, il va continuer à avancer pendant que mon camp fera du surplace (ou de la marche arrière).
https://www.pscp.tv/ScottAdamsSays/1DXxyEVwlMbxM
Vous êtes dans une bulle. Le fait est que pendant ce temps là, c'est l'heure des bilans de mandats et que tout le monde est bien obligé de dire que ça roule plutôt bien pour l'administration Trump. Tous les indices économiques au vert clair, un placement record de conservateurs aux postes juridiques, des tribunaux qui lui donnent raison contre toutes les controverses soulevées par les médias que vous lisez en isolation mais qui ne représente plus la majorité de l'opinion depuis des lustres, une tournée triomphale en Asie où son déjeuner exceptionnel dans la Cité Interdite contraste terriblement avec le dernier voyage d'Obama ou celui ci a du sortir par la queue d'Air Force One alors que le tapis rouge était déroulé pour Poutine (hé vous vous rappellez au début de sa présidence quand on pronostiquait une catastrophe relationnelle avec la Chine parcequ'il avait appellé Taiwan ?), une enquête sur la collusion russe qui d'après les bruits de couloir n'a toujours rien de concret en un an, et une cote de popularité à peu près constante depuis dix mois, faible certes pour un président US mais stratosphérique pour un dirigeant européen.
Ne prenez pas tout celà pour un soutien de Trump. Ca reste un libéral en économie, un menteur éhonté et un impérialiste certes pragmatique mais qui est là pour se gaver sur le reste du monde. Simplement, tant que ce que le monde compte de progressiste sincère vivra dans une sphère alternative à la réalité, il va continuer à avancer pendant que mon camp fera du surplace (ou de la marche arrière).
Quand on mettra en place la "démocratie directe", faudra penser à inclure dans les clauses du choix final de nos délégué·e·s avec mandats impératifs révocables, un examen psychiatrique.
Je ne comprends pas qu'un tel examen ne figure pas déjà dans notre démocratie représentative bidon, car tous ( hélas pas encore d'écriture inclusive pour ce mot ici!) ceux qui arrivent au pouvoir ne sont pas jojos!
Je ne comprends pas qu'un tel examen ne figure pas déjà dans notre démocratie représentative bidon, car tous ( hélas pas encore d'écriture inclusive pour ce mot ici!) ceux qui arrivent au pouvoir ne sont pas jojos!
En 1938, un cousin américain avait effectué un voyage Pologne - Allemagne - Belgique.
Là où il y avait (encore) de la famille.
A Bruxelles, dont il était originaire (après la Pologne "1ère base"), il a réuni les adultes de la famille dont mon Grand Père.
Il leur a décrit en détail ce qu'il avait vu et constaté.
Sa conclusion : "Hitler ? Faites vos valises et partez très loin !"
Personne ne l'a écouté ...
Y compris mon Grand Père bien au courant de la situation, un paradoxe total.
Alors, vous pouvez danser sur la tête, si les gens ne veulent pas entendre raison ...
Là où il y avait (encore) de la famille.
A Bruxelles, dont il était originaire (après la Pologne "1ère base"), il a réuni les adultes de la famille dont mon Grand Père.
Il leur a décrit en détail ce qu'il avait vu et constaté.
Sa conclusion : "Hitler ? Faites vos valises et partez très loin !"
Personne ne l'a écouté ...
Y compris mon Grand Père bien au courant de la situation, un paradoxe total.
Alors, vous pouvez danser sur la tête, si les gens ne veulent pas entendre raison ...
Si cette folie était de celles dont on souffre avec celui qui en est victime, pour lui ou elle
comme ce malheureux qui crie "Je suis fou, j'ai la folie d'un être humain" dans le film de Depardon
mais la folie de Trump avec son évidence qui fait douter de la salubrité mentale de ceux qui ne la remarquent pas est de ces folies où la haine l'emporte
Douter encore de cette folie est le signe le plus inquiétant de notre époque
comme ce malheureux qui crie "Je suis fou, j'ai la folie d'un être humain" dans le film de Depardon
mais la folie de Trump avec son évidence qui fait douter de la salubrité mentale de ceux qui ne la remarquent pas est de ces folies où la haine l'emporte
Douter encore de cette folie est le signe le plus inquiétant de notre époque
Que Trump soit fou ou pas, (ou n'importe quel chef d'Etat d'ailleurs) ça ne devrait être une question que pour son médecin et son entourage familial.
Normalement, dans des institutions qui se prétendent démocratiques, la personnalité d'un seul individu, fût-il au sommet, ne devrait avoir aucune incidence, strictement aucune, sur la politique menée.
Donc, si on admet l'hypothèse qu'il est fou (le simple fait de vouloir être président des USA est un symptôme à mon avis, valable pour tous les pays d'ailleurs), il faut en déduire que les institutions et les électeurs sont fous, ce qui pourrait être assez facilement documenté.
Et après, une fois qu'on a dit ça, on fait quoi d'autre ou quoi de différent ?
A mon avis, ça ne change rien du tout.
Normalement, dans des institutions qui se prétendent démocratiques, la personnalité d'un seul individu, fût-il au sommet, ne devrait avoir aucune incidence, strictement aucune, sur la politique menée.
Donc, si on admet l'hypothèse qu'il est fou (le simple fait de vouloir être président des USA est un symptôme à mon avis, valable pour tous les pays d'ailleurs), il faut en déduire que les institutions et les électeurs sont fous, ce qui pourrait être assez facilement documenté.
Et après, une fois qu'on a dit ça, on fait quoi d'autre ou quoi de différent ?
A mon avis, ça ne change rien du tout.
Vous croyez vraiment que parler de la bave aux lèvres de Hitler aurait pu changer le cours du monde? À mon avis, ceux qui l'ont aidé à accéder au pouvoir et à y rester n'avaient aucun doute sur sa santé mentale. Loin de les gêner, elle les servait. Un lobby des armes, non seulement n'a rien à craindre d'un président fou, mais peut même en espérer de grands avantages. Imaginez le "marché" énorme qui résulte des initiatives guerrières de tous ces messieurs, sains d'esprit ou pas? Sans compter le "marché" de la reconstruction qui suit immanquablement les destructions massives? Croyez vous que Lafarge n'y ait pas pensé en subventionnant Daesh?
La question de la santé mentale des uns ou des autres est oiseuse. Ils ont, tous, une santé mentale de sérial killers, déshumanisés au point d'être indifférents au ravages qu'ils provoquent.
La question de la santé mentale des uns ou des autres est oiseuse. Ils ont, tous, une santé mentale de sérial killers, déshumanisés au point d'être indifférents au ravages qu'ils provoquent.
Quoi d'étonnant à ce qu'un peuple fou ait élu un président fou ?
Bonjour
Filoche, sort de ce corps !!!
Filoche, sort de ce corps !!!
Mouais. Je ne suis pas fan du Donald. Mais alors vraiment pas.
Par contre, on a tous vite fait d'être le fou d'un autre.
Du coup, pas sur que ce soit le bon angle d'attaque.
A supposer que l'on ait besoin d'un angle d'attaque tout court.
Les institutions américaines, si elles n'ont pas pu empêcher son élection, semblent néanmoins être en mesure de lui empêcher de nuire, au moins en partie.
Par contre, on a tous vite fait d'être le fou d'un autre.
Du coup, pas sur que ce soit le bon angle d'attaque.
A supposer que l'on ait besoin d'un angle d'attaque tout court.
Les institutions américaines, si elles n'ont pas pu empêcher son élection, semblent néanmoins être en mesure de lui empêcher de nuire, au moins en partie.
Il m'est arrivé plus d'une fois de regretter qu'@si ne s'intéresse pas plus à la politique étrangère.
Quand je lis un article aussi mal inspiré que celui-ci, je le regrette moins ...
Si vous voulez être informé de ce qui se passe actuellement aux Etats-Unis, lisez plutôt les nombreux articles traduits de l'anglais (notamment des articles de l'opposition de gauche) que publie le blog d'Olivier Berruyer Les Crises.fr
Quand je lis un article aussi mal inspiré que celui-ci, je le regrette moins ...
Si vous voulez être informé de ce qui se passe actuellement aux Etats-Unis, lisez plutôt les nombreux articles traduits de l'anglais (notamment des articles de l'opposition de gauche) que publie le blog d'Olivier Berruyer Les Crises.fr
Je ne comprends pas bien, dans la première partie, vous reprocher de "psychiatriser" une information, dans la seconde vous dites que si cela avait été fait cela aurait peut-être changé la face du monde...
Dire que Hitler aurait eu de la bave aux lèvres n'aurait certainement pas changé grand-chose, dire que cet homme était fou prend une tout autre ampleur. La folie est difficile à croire. Si ceux qui la constatent le disent clairement cela interpelle, mais ne change rien au fait que c'est difficile à croire (cf. 1ere partie de l'article).
Que Trump soit un fou, comme Pyongyang, Poutine, Berlusconi, Sarkozy... et bien d'autres dirigeants politiques (et peut-être le nôtre d'ailleurs), est pour moi un fait acquis. Que cela soit explicitement dit me parait bien. Mais rien n'est jamais grave, donc on ne peut y croire sincèrement.
Le travail d'un journaliste n'est pas que de retranscrire des faits, mais aussi de les analyser de la façon la plus neutre possible afin de nous donner des pistes de réflexion : "Hitler avait de la bave aux lèvres" - "Hitler avait de la bave aux lèvres, ce qui m'a paru sur le coup être une réaction totalement disproportionnée et non contrôlable".
Je me demande toujours dans quel état second est Trump quand il Tweet. Je l'imagine toujours dans une orgie romaine, baignant dans une poudre blanchâtre.
Moi aussi, je dois être fou d'imaginer cela...
Dire que Hitler aurait eu de la bave aux lèvres n'aurait certainement pas changé grand-chose, dire que cet homme était fou prend une tout autre ampleur. La folie est difficile à croire. Si ceux qui la constatent le disent clairement cela interpelle, mais ne change rien au fait que c'est difficile à croire (cf. 1ere partie de l'article).
Que Trump soit un fou, comme Pyongyang, Poutine, Berlusconi, Sarkozy... et bien d'autres dirigeants politiques (et peut-être le nôtre d'ailleurs), est pour moi un fait acquis. Que cela soit explicitement dit me parait bien. Mais rien n'est jamais grave, donc on ne peut y croire sincèrement.
Le travail d'un journaliste n'est pas que de retranscrire des faits, mais aussi de les analyser de la façon la plus neutre possible afin de nous donner des pistes de réflexion : "Hitler avait de la bave aux lèvres" - "Hitler avait de la bave aux lèvres, ce qui m'a paru sur le coup être une réaction totalement disproportionnée et non contrôlable".
Je me demande toujours dans quel état second est Trump quand il Tweet. Je l'imagine toujours dans une orgie romaine, baignant dans une poudre blanchâtre.
Moi aussi, je dois être fou d'imaginer cela...
Marianne (2007): "Sarkozy est-il fou?"
Je doute que le New York Daily News aura plus de succès.
Je doute que le New York Daily News aura plus de succès.
Si Lochner et tous ses confrères étrangers en poste à Berlin, dans les années 30, avaient simplement écrit ce qu'ils voyaient, la suite des événements n'en aurait-elle pas été changée ?
Comment peut-on savoir "ce que voyaient" Lochner et tous ses confères?
Qu'est-ce qui nous dit que l'histoire de "la bave aux lèvres" est vraie ? Il est facile pour un journaliste de réécrire l'histoire et de dévoiler des faits dont personne n'a été le témoin.
Le premier devoir d'un journaliste est de dire la vérité et de donner une description la plus objective possible de la réalité.
Pour cela, il faut arriver à comprendre ce qui se cache derrière les apparences. DS semble tenir pour acquis que Donald Trump est fou. C'est exactement ce que cherchent à faire croire tous ceux qui cherchent à le destituer.
Au lieu de se demander d'une manière un peu simpliste si Donald Trump est fou, ne devrait-on pas essayer de comprendre ce qui se passe actuellement aux Etats-Unis et analyser la grave crise morale et politique dans laquelle ce pays est plongé depuis des années, crise dont l'élection de Trump est l'un des symptômes.
Comment peut-on savoir "ce que voyaient" Lochner et tous ses confères?
Qu'est-ce qui nous dit que l'histoire de "la bave aux lèvres" est vraie ? Il est facile pour un journaliste de réécrire l'histoire et de dévoiler des faits dont personne n'a été le témoin.
Le premier devoir d'un journaliste est de dire la vérité et de donner une description la plus objective possible de la réalité.
Pour cela, il faut arriver à comprendre ce qui se cache derrière les apparences. DS semble tenir pour acquis que Donald Trump est fou. C'est exactement ce que cherchent à faire croire tous ceux qui cherchent à le destituer.
Au lieu de se demander d'une manière un peu simpliste si Donald Trump est fou, ne devrait-on pas essayer de comprendre ce qui se passe actuellement aux Etats-Unis et analyser la grave crise morale et politique dans laquelle ce pays est plongé depuis des années, crise dont l'élection de Trump est l'un des symptômes.
Le président des Etats-Unis a re-tweeté des vidéos anti-musulmanes d'un groupuscule islamophobe britannique...
Non. Trump a retweeté les vidéos racistes d'un groupuscule d'extrême-droite.
Le tout premier devoir des journalistes n'est-il pas de nommer simplement ce qu'ils observent, avec les mots les plus précis possibles ?
Indéniablement. Et c'est pourquoi vous devriez commencer par appliquer la leçon à vous-même.
Non. Trump a retweeté les vidéos racistes d'un groupuscule d'extrême-droite.
Le tout premier devoir des journalistes n'est-il pas de nommer simplement ce qu'ils observent, avec les mots les plus précis possibles ?
Indéniablement. Et c'est pourquoi vous devriez commencer par appliquer la leçon à vous-même.