Les "journalistes" de "Frontières" sont-ils vraiment journalistes ?
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On peut étendre la question à tous les salariés des chaînes d'infos qui se pavanent devant les caméras sans jamais être sortis de leur studio et qui se permettent de donner des leçons de vie, la langue dans le cul des puissants...
En effet "journaliste" et "extrême-droite" ça ne va pas ensemble, ce sont plutôt des raconteurs d'histoires qui font peur, et fausses la plupart du temps.
Un mélange d'influenceurs, trolls et créateurs de paniques morales.Je pose ici une savoureuse discussion entre Mourad Guichard et le Fou Allié au sujet de" frontières"
(les sept premières minutes sont délicieuses)
Derniers commentaires
Imo c'est très dangereux pour tous les médias citoyens de gauche d'ouvrir la question de "qui est journaliste" pour refuser cette appellation à des militants de quelque tendance que ce soit.
Et de toutes manières qu'ils le soient ou non ça ne leur fermera pas les portes des chaines d'infos (où ils deviendraient juste polémistes).
Donc autant les appeler journalistes qui font honte à la profession, je pense.
Toujours la même question : qui fait la liste ?
Un pays où une autorité décide de la validité d'un journaliste ou non, on appelle ça une dictature. Heureusement qu'il n'est pas nécessaire d'avoir un diplôme de journaliste pour l'être ! D'ailleurs, les centaines de diplômés sur nos plateaux télés sont la preuve parfaite que l'habit de ne fait clairement pas le moine....
A l'inverse, il ne suffit évidemment pas de se dire journaliste pour l'être.
Le vrai tri, au final, ce sont les pairs. Soit le travail derrière, et ce qu'il en reste.
Objectivement on verra bien ce qui restera du travail journalistique de frontières, mais ça semble en effet mal parti...
Quid de la carte de presse??? Qui ka delivre? Merci asi de faire un peu de pédagogie!
Quant aux journalistes de France 2...
Je viens d'apprendre grâce au jité de la chaîne publique, que Katy Perry allait prochainement s'envoler à bord d'une fusée appartenant à Jeff Bezos !
Dommage que Gazaouis et Ukrainiens passent à côté de cette info. Eux aussi devraient avoir droit à leur part de rêve.
Je ne connaissais pas Erik Tegnér. Je suis allé lire sa fiche wikipédia : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Erik_Tegn%C3%A9r
Je n’ai rien raté à ne pas le connaître.
Je pose ici une savoureuse discussion entre Mourad Guichard et le Fou Allié au sujet de" frontières"
(les sept premières minutes sont délicieuses)
Comme le dit justement Tristan, davantage des collabos que des journalistes, et qui en ce sens, font "honneur" à leur famille politique.
Maintenant, d'autant plus faciles à débusquer qu'il suffit de lire ou d'entendre leurs contre-vérités, comme celles régulièrement proférées par S. Mabrouk ou L. Ferrari.
Depuis le temps qu'il faudrait un vrai diplôme pour être journaliste... car sans cela, nombre d'entre eux-elles ne sont la plupart du temps que des chroniqueurs.
Merci pour ce billet, qui a également l'avantage d'avoir attiré l'indéboulonnable consensus 39, toujours un régal.
par ce que vous croyez que le diplôme fait le bon journaliste? Nombre de chroniqueurs sont passés par les écoles et... par exemple Pujadas sort de Sciences Po etc. Alors que certains you Tubeurs, venus sur les écrans pour commenter les GJ sont excellents . Edwy Plenel a débuté sa carrière dans les locaux de Rouge, et, je pense que cela a été pour lui une bien meilleure école que s'il avait usé ses pantalons dans une vraie.
De plus de nos jours, les jeunes élèves vont aller dans des établissements Bolloré et autres du même acabit, je ne crois pas que les cours qu'ils recevront en feront de bons journalistes.
Je pense qu'avec un diplôme, il seront à même d'être sanctionnés s'ils racontent des conneries, ce sera plus facile à mettre en place qu'actuellement.
Un médecin sans diplôme ou un conducteur de bus sans permis, légalement ça n'existe pas.
Quand je parle de diplôme, j'envisage également les conséquences qui peuvent s'ensuivre, Lorie.
Ils ne seront pas plus sanctionnés que de nos jours et si vous pensez aux étudiants, ils diront ce qu'il faut qu'ils disent à l'endroit et au moment où ils se trouveront.
"Ils ne seront pas plus sanctionnés que de nos jours "
Ça, vous n'en savez rien, mais en revanche, il y aura des leviers. Après, ça n'empêchera pas les journalistes aux ordres de leurs employeurs, mais le statut, s'ils le perdent même temporairement, ça fera toujours moins d'accréditation et moins de "ouin ouin je n'ai pas pu entrer à cet événement/meeting" etc.
Après, c'est juste une piste de réflexion, si vous en avez une meilleure, je vous lirai avec attention. Moi, ça me semble un bon point de départ et ça a je pense, le mérite de définir un cadre tangible à cette profession.
Si on tend vers le nihilisme quel que soit le sujet, autant abandonner le clavier et attendre passivement la suite des événements.
Le diplôme ne fais pas la bon ou la bonne..., ce que vous voudrez. Il y a des gens qui se tirent très bien d'affaire sans être diplômés et d'autres non. Plutôt que le diplôme, c'est la formation qui importe, le meilleur exemple est E Plenel. Le problème de nos jours c'est que formations et diplômes vont être octroyés par des écoles styles Bolloré.
fait
Je ne vois pas ce qui vous permet de dire que la détention d'un diplôme va de pair avec de possibles sanctions. Les deux exemples que vous citez ne sont pas liés au diplôme, mais au fait que certains professions sont réglementées. Par ailleurs, dans les deux cas, l'absence de diplôme ou de permis empêche l'exercice de la profession, mais n'influence en rien sur l'existence d'éventuelles sanctions.
J'ajoute par ailleurs que je rejette l'élitisme qu'entraînerait l'exigence d'un diplôme, et ce d'autant plus quand il est extrêmement facile de constater que de nombreux journalistes n'ayant pas fait d'école de journalistes sont infiniment meilleurs que nombres de journalistes diplômés. Bref, la qualité du travail effectué et du service rendu aux citoyens est clairement sans lien avec le diplôme.
Clairement, votre conclusion est hâtive et absolument pas démontrée.
Je ne prétends pas avoir raison, encore une fois, je parle d'une piste.
Le fait que des journalistes non diplômés soient meilleurs que les autres, ça marche avec toutes les professions, pour information, mais n'oubliez pas que l'inverse est également vrai.
Dans mon métier, dans le privé, et comme dans d'autres également, j'ai un code de déontologie, et il vaut mieux s'y conformer. Il est lié à l'obtention d'une qualification obligatoire, renouvelable - ou pas - à intervalles réguliers.
Donc, je pense qu'il est trop facile d'être estampillé "journaliste" sans obtenir une qualification officielle et sans avoir à se conformer sans sanctions possibles à un dispositif similaire.
Un diplôme peut être une clef pour entériner ce processus, après ce n'est que mon opinion encore une fois. Ce n'est pas la vôtre, no problemo, mais un conseil: évitez ce type de phrase avec vos interlocuteurs: "Je ne vois pas ce qui vous permet de dire".
Excusez-moi, mais vous n'avez pas non plus démontré que les journalistes n'ayant pas fait d'école de journalisme ni obtenu le diplôme correspondant feraient du moins bon travail que les autres. Vous n'avez donc pas démontré en quoi exiger un diplôme aiderait du point de vue de la qualité du travail fait. Sachez par ailleurs que les écoles de journalisme sont rares et très sélectives, donc une telle exigence seraient indubitablement élitiste, et ne devraient donc pas être implémentées sans motif valable.
Le reste de votre raisonnement tend bien à montrer que si tant est qu'il y ait une action à entreprendre, elle ne se situerait pas du côté du diplôme, mais d'une organisation professionnelle ou d'un code professionnel, précisant des conditions à respecter.
Vous avez dit: "Je pense qu'avec un diplôme, il seront à même d'être sanctionnés s'ils racontent des conneries". Je vous réponds donc que d'une part les deux ne sont pas liés logiquement, et que d'autres part je suis personnellement opposée à l'obligation de diplôme, pour d'autres raisons.
Encore une fois, encore une fois, je ne cherche pas à démontrer quoi que ce soit, vous avez lu cette partie ? Peut-être pensez-vous avoir raison et cherchez à le faire admettre, je ne suis pas dans cette démarche.
Je parle (sic) d'une piste, c'est peut-être une vraie, c'est peut-être une fausse, mais en tout cas, je sais au moins une chose: s'ils étaient sanctionnés quand ils profèrent des mensonges dans le cadre de leur profession (articles, présentateurs etc), ils feraient davantage attention à ce qu'ils disent, et je pense que ça limiterait bon nombre de propagandes. Et qu'au final, après récidives et graduation, il y ait un équivalent à la radiation du barreau pour les journalistes.
Je parlais de L. Ferrari avec son mensonge récurrent notamment sur G. Meurice, en le qualifiant de "pseudo-humoriste" - et donc en mentant soit de par ses opinions personnelles, soit sur commande éditoriale ou - et je pencherais vers cette hypothèse: de par ces deux possibilités. Tout comme sur d'autres chaines, l'on qualifie la gauche radicale d'extrême, ce qui est évidemment faux et n'est pas martelé sans arrières-pensées mais essentiellement à des fins de propagande.
Vous êtes opposée à l'obligation de diplômes, c'est votre droit, le mien étant de le proposer - sans que l'on me "permette de le dire" l'inverse. Il ne sert à rien de me demander de "démontrer" ce que je propose - c'est l'avenir qui le ferait (ou pas) si c'était appliqué; surtout si vous-même ne pouvez non plus, "démontrer" l'inverse.
Nous sommes juste pas d'accord, no big deal.
Encore une fois, encore une fois, je ne cherche pas à démontrer quoi que ce soit, vous avez lu cette partie ?
Mais cher fan de canard, c'est VOUS qui me disiez que je ne démontre pas l'argument contraire. Je vous renvoie la balle, tout simplement.
Ma remarque portait uniquement sur l'aspect bien précis de diplôme, pas sur le caractère plus général de votre proposition, que je respecte et à laquelle je n'ai rien de particulier à ajouter.
Excusez-moi, mais vous refabriquez un peu l'historique de cette discussion, chère Ellie: Cette balle, pour rappel, c'est VOUS qui l'avez lancée.
En me demandant en premier quelle "permission" je pouvais avoir pour demander un diplôme, et tout ce qui pouvait s'ensuivre en corollaires, pour les journalistes. Et ce, alors que j'avais bien précisé précédemment à Lorie, plus haut, que c'était "une piste de réflexion", un "point de départ" (auto-sic). Tout en prenant pour acquis et sans appel que "Bref, la qualité du travail effectué et du service rendu aux citoyens est clairement sans lien avec le diplôme."
Je vous ai répondu que cette assertion n'était pas démontrée - ce qui est vrai et factuel dans ce fil - tout en vous précisant que je ne cherchais pas à démontrer ou à avoir raison. Car je parlais - pas assez, visiblement - d'une hypothèse, d'une possibilité pendant que dans votre réponse, vous étiez dans la certitude - celle que vous aviez raison comme point de départ. En substance, donc, que j'avais tort.
Et donc au final: vous prétendez renvoyer une balle que vous-même avez envoyée.
Peut-être n'a-t-elle pas rebondi de la manière souhaitée, j'en conviens.
Nous ne sommes pas d'accord, encore une fois, no big deal, mais s'il est possible d'éviter de déformer l'historique, ce serait parfait.
Rien de particulier non plus à ajouter, bonne journée à vous et à une prochaine fois.
Encore une fois, je ne critique pas votre proposition globale, seulement le point portant spécifiquement sur le diplôme. M'enfin l'historique est le suivant :
Fan de Canard : "Je pense qu'avec un diplôme, il seront à même d'être sanctionnés s'ils racontent des conneries, ce sera plus facile à mettre en place qu'actuellement."
Ellie : "Je ne vois pas ce qui vous permet de dire que la détention d'un diplôme va de pair avec de possibles sanctions. Les deux exemples que vous citez ne sont pas liés au diplôme, mais au fait que certains professions sont réglementées."
Ellie (sur un autre point) : "il est extrêmement facile de constater que de nombreux journalistes n'ayant pas fait d'école de journalistes sont infiniment meilleurs que nombres de journalistes diplômés."
Fan de Canard : "Clairement, votre conclusion est hâtive et absolument pas démontrée."
Je vous dis simplement en substance, d'accord, mais vous n'avez pas non plus démontré l'inverse. Je n'ai pas exigé de démonstration de votre part. Vous avez fait une assertion, j'ai fait une assertion contraire, vous m'avez opposé un manque de démonstration, et je vous dit en quelque sorte un peu malicieusement que c'est celui qui le dit qui l'est.
Inutile de se fâcher pour si peu.
Inutile en effet, c'est d'ailleurs bien pour cela que je ne le suis pas.
En tout apaisement, il va de soi.
Je vous laisse conclure (ou pas).
G Meurice me fait rire, surtout la blague qui lui a valu son exclusion..., mais L Ferrari que je n'approuve pas du tout, mais alors là pas du tout, a le droit, même si nous ne sommes pas d'accord avec elle de ne pas aimer l'humour du susnommé, et donc de dire que c'est un pseudo humoriste, c'est son avis, et nous avons le droit de ne pas le partager.
Vous auriez mieux fait de prendre pour exemple les pseudos journalistes qui traitent d'anti sémites et de racistes les gens qui sont révoltés par le génocide des gazaoui(e)s.
Vous mélangez 2 choses, Lorie.
Oui, elle a le droit de ne pas aimer G. Meurice, et même de l'exprimer si elle en a envie. Et sauf erreur, personne ici n'a prétendu le contraire.
En revanche, quand elle est au taf et exerce son boulot de journaliste, à mon sens, elle n'a pas le droit de prétendre que c'est un "pseudo-humoriste", vu que c'est un mensonge. Et selon moi, passive de mensonge.
Et si vous trouvez normal qu'elle mente en tant que journaliste, il y a un problème de taille dans votre raisonnement: du coup, vous devriez également dire que ces "pseudos journalistes" ont le droit de mentir en traitant les gens qui défendent les Palestiniens, d'antisémites et de racistes. Et de fait, l'exemple n'est pas meilleur.
E
.. Et si on trouve normal que les journalistes mentent pendant leur job (ou se taisent sur des faits, etc), que faisons-nous sur @si depuis son existence ?
Saloperie d'absence d'éditeur de commentaire, c'est comme la messagerie qui ne marche pas, aucune communication quelque part des webmodos ?
Elle ment quand elle accuse les gens qui soutiennent les Palestiniens d'être des racistes, mais pas quand elle dit que GM est un pseudo humoriste, c'est son avis, et non un mensonge, c'est ce qu'elle pense. Moi, personnellement, il me fait rire, elle et moi, n'avons pas la même opinion, sur cet humoriste. La chose qu'on peut lui reprocher, c'est qu'elle donne son avis, alors qu'elle doit être neutre, là, je vous suis, elle anime et normalement, elle ne devrait pas dire ce qu'elle pense.
Ne comparez pas Asi à une chaine d'information qui n'en est pas une d'ailleurs, là, c'est Bolloré qui devrait être condamné.
Bonjour,
Une fois encore, ASI se fait l'arbitre des élégances, daignant le droit à des journalistes tentant d'éclairer leurs concitoyens sur les dérives islamo-gauchistes et l'entrisme décomplexé de la La France Insoumise au sein de l'assemblée nationale. Le site frontières propose une information pluraliste à l'opposé de sites comme médiapart ou blast, sans parler du média qui n'ont de cesse de salir par des enquêtes , plutôt pseudo enquêtes, les hommes et les femmes qui sont des éclaireurs et des éclaireuses, tels des chefs scouts , conduisant avec pertinence et bienveillance leurs patrouille de louveteaux dont ils ont la charge.
Que serait la pluralité de la presse sans des hommes comme Mr Erik Tegnér et ses équipes dont on ne peut que saluer l'émergence depuis quelques mois dans un monde médiatique dominé par la bien pensance et la remise en question de valeurs qui ont fait et espérons , continuerons à faire de la France, une nation aux racines judéo-chrétiennes.
J'invite d'ailleurs les asinautes à visionner l'excellente émission animée par Mr Le Bret sur cnews, la qualité des échanges entre une brillante intellectuelle , Mme Rachel Khan (dont on doit saluer les fulgurances sur tous les sujets et la très jolie trousse qui trône sur son pupitre ) et le directeur de frontières. Leurs analyses étayées par des faits incontestables comme des témoignages de chauffeurs de taxi et de Français de la ruralité profonde fournissent d'excellents éclairages sur la situation nationale et la géopolitique du monde actuel.Existe-t-il un code de déontologie qui s'impose à tous les journalistes, qui seraient passibles de sanctions s'il ne le suivaient pas ? Pas à ma connaissance, je crois qu'il n'y a que les lois sur la diffamation, le secret des sources, et... la liberté d'expression.
Bien sûr que livrer des informations personnelles sur des gens est nauséabond.
Mais j'avoue en avoir un peu assez, de cette sacralisation du métier de journaliste, comme s'il n'y avait qu'une seule sorte de journalisme, qui serait nécessairement à la recherche de la vérité, de l'information objective, et bien sûr respectueux des lois (et de la vie privée).
Cela n'a jamais été le cas. On peut se dire que c'est dommage. Mais comment pourrait-il en être autrement, dans un pays où la liberté d'expression existe encore ?
Cruel dilemme.
Des journalistes ? Ou des collabos ?
pour info:
Le patron du magazine Frontières visé par une plainte pour "harcèlement", "agression sexuelle" et "violences"
Une ancienne journaliste du média identitaire poursuit Erik Tegnér en justice pour des faits de harcèlement moral. Elle l'accuse également de lui avoir caressé les pieds à plusieurs reprises, et dénonce son comportement violent. Le fondateur de Frontières (ex-Livre Noir) dément fermement. [...]
Publié le 20/02/2025 à 6h20 Lecture 5 minutes Alexandre Berteau
Donc en gros ils mettent des « cibles dans le dos » de certaines personnes (selon l'expression consacrée).
Mais où sont Franc-Tireur et les BFM/CNews, on ne les entend pas s'indigner ? Ils n'ont peut-être pas vu passer l'info ??
ASI nous a appris depuis longtemps qu'il n'y a que deux sortes de journalistes : ceux qui sont plus intéressés par leur questions que par les réponses de ceux qu'ils ont en face, et les autres... quels que soient leur bord... de toutes façons on a les noms...
On peut étendre la question à tous les salariés des chaînes d'infos qui se pavanent devant les caméras sans jamais être sortis de leur studio et qui se permettent de donner des leçons de vie, la langue dans le cul des puissants...
En effet "journaliste" et "extrême-droite" ça ne va pas ensemble, ce sont plutôt des raconteurs d'histoires qui font peur, et fausses la plupart du temps.
Un mélange d'influenceurs, trolls et créateurs de paniques morales.