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L'hôpital expliqué par le docteur Salachas

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Avec son courage proverbial, Macron a tenté de décrédibiliser Salachas, quelques heures plus tard ... depuis Naples.


"C'est un neurologue... il n'a rien à voir avec le coronavirus".


Crise sanitaire ou pas, on ne se refait pas.



(...)

La fin du face à face entre Emmanuel Macron et François Chalachas est d'une incroyable densité (elle a d'ailleur été supprimée sur la vidéo de CNEWS). On sent que Macron n'est pas sur un registre comme il a l'habitude d'être.


Emmanuel Macron : — Je co(...)

Ah bien sûr les patient-e-s s'incrustent à l'hôpital. en fait les patient-e-s sont des assisté-e-s du même acabit que les chomeurs/euses qui ne cherchent pas vraiment du travail pour se goberger le plus longtemps possible avec les indemnités qu'ils p(...)

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Le coronavirus est il concerné par le 49.3 ?

...et depuis l'Italie ..." je vous emmerde !" , lâche , arriviste , psychopathe patenté ! "Vous pouvez crever les riens , j'ai un bunker en attendant mieux"


Pardon mais je ne vois pas bien l'intérêt de ce genre de polémiques en ce moment. On fait avec ce qu'on a, point et je suis plutôt contente d'être française si je devais tomber malade.


Dans un monde idéal, il faudrait une police et une armée disproportionnée pour faire face à des attaques terroristes ou autres attaques étrangères, un hôpital débordant qui puisse faire face à un virus inconnu, des prisons capables  de mettre sous écrou tous les dangers publics nocifs contre la société,  une alternative propre à nos centrales nucléaires, des stocks de masques et de vaccins contre toutes sortes de cochonneries (kekfois que), des digues pour éviter les inondations, des logements proprement isolés….


Voilà, dans l'idéal, il faudrait l'abondance en tout, au frais du contribuable

j'écoute régulièrement la BBC, la NHS se réforme chaque jour : déremboursement, augmentation des prix. La NHS, qui est loin d'être parfaite, s'adapte au trou de sa sécu mais en mobilisant le portefeuille des patients.


Nous, on veut tout, y compris des baisses d'impots.

Notre hosto est envahi de fausses urgences. les centres médicaux également. J'ai eu l'occasion d'aller dans l'un des ces centres à deux reprises pour de réelles urgences. c'était effrayant entre les hypocondriaques, ceux qui s'ennuient et ceux qui ont besoin qu'on s'occupe d'eux, le personnel est mobilisé pour des conneries... 


Notre problème est moins lié à l'insuffisance de personnel qu'à la prolifération de malades imaginaires encouragés par la totale gratuité de notre système.

 

Le sars cov 2 est bon exemple : tous les pays sont touchés. la France est elle moins bien placée que d'autres ? Non.

Les systèmes les plus performants (je pense à la Suisse notamment) sont couteux  et plein de vieux : ils seront débordés comme les autres, voire pire.


Je ne vois l'intérêt de polémiquer en la matière.


Ce qui m'étonne le plus, dans cette histoire, c'est "Ne vous serrez pas les mains", et "Lavez-vous les mains".

Outre que, métaphoriquement, cela signifie "Lavez vous en les mains comme je m'en lave les mains", ça relève de toutes façons de la pensée magique.

Pour un virus à transmission aérienne, et même si, évidemment, ce sont des précautions d'hygiène élémentaires en hiver, ça ne va pas faire une grande différence. 

Nous nageons dans le coronavirus, et on ne trouve que si on cherche., c'est-à-dire si des gens sont gravement malades, et ont des symptômes approchant de ce qui a été décrit en Chine. Cela signifie des centaines de porteurs sains et de malades non détectés.

Comment croire que la seule région de l'Oise est infectée alors qu'il y a des dizaines de trains et de transports routiers qui chaque jour vont de Creil et Compiègne vers la région parisienne ? L'Oise est quasiment une des cité-dortoirs de Paris, mais aussi de Roissy. 

C'est une affaire de jours avant que Paris soit gravement impacté. Et ses banlieues, soit un bassin urbain de 12 millions d'habitants.

Et Georges Pompidou est un méga hôpital qui a regroupé une grande partie des anciens hôpitaux de Paris. S'il se retrouve à l'arrêt dans le cadre d'une épidémie, c'est la catastrophe.

Nous avons une seule chance, c'est que le printemps arrive avec trois semaines d'avance cette année, ce qui signifie que le pic va se se produire quand les conditions météo deviendront mauvaises pour le virus. Avec un peu de chance, ça va limiter les dégâts.

D'ici là, l'hôpital sera en crise.

Mais les autorités politiques diront alors que c'était notre faute. Nous n'avons pas une bonne hygiène.  Ou une autre invention de leur cru. Pour tout ce qui est déni de leur responsabilité, ils sont fortement mobilisés en général.

Et ça continuera comme avant.

De toutes façons, ils ont le contrôle sur la parole politique. C'est leur seul atout, mais par les temps qui courent, c'est primordial.  Cela signifie le contrôle sur les médias mainstream incapables d'esprit critique et de réelle analyse.

Et même si quelqu'un explique doctement à Macron en quoi il est incompétent et que la catastrophe menace,, qu'est ce que ça peut bien lui faire ?

Il est omnipotent et a le contrôle de la parole, c'est ce qui compte.

N'est ce pas ?


on va encore me taxer de complotiste, mais comme par hasard, on n'a pas appelé ce virus "cocacolavirus " ?


;-)


https://www.lexpress.fr/insolite/coronavirus-comment-la-biere-corona-souffre-de-son-association-avec-le-covid-19_2119598.html

Je pense que Macron et son gouvernement font preuve d'une légèreté criminelle dans cette affaire.


La France ne me semble pas du tout prête pour affontrer une telle épidémie et ce n'est pas Macron-je-vous-trouve-du-travail-en-traversant-la-rue qui osera débloquer les crédits nécessaires pour se préparer. S'il donne de l'argent, ce sera uniquement quand la crise sera là, quand il sera déjà trop tard.

Témoignage d'un couple d'amis  pas SMS ce matin, ils sont confinés chez eux :


"Pour nous ça va, mais c'est la merde , tu appelles Le 15 qui prend tout les renseignements et qui te conseille d'être en quarantaine, le numéro du gouvernement qui te donne une liste de numéro à rallonge, dont la moitié sont fermé jusqu'à lundi. Et la région qui est soit  disant saturée mais qui est fermée jusqu'à lundi.

Si tu reviens d'italie en bus et que tu rentre par fréjus , ils te conseillent le confinement, par contre si tu reviens par le mont genèvre . tu fais comme tu veux. N'importe quoi ! "

Surpris par le commentaire (parmi les premiers) de Tony A (que je salue au passage), et qui cite les mots de Macron à Naples (dont je n'avais pas eu connaissance):


"Avec son courage proverbial, Macron a tenté de décrédibiliser Salachas, quelques heures plus tard ... depuis Naples.


"C'est un neurologue... il n'a rien à voir avec le coronavirus"."


Si je puis me permettre ces deux réflexions, que ces propos ont suscité chez moi en les lisant:.


1. Toujours le même mépris d'"enfant mal élevé", comme le qualifie Emmanuel Todd dans son dernier livre, pour un peu les neurologues seraient aussi des "riens"?...


2. Quelqu'un peu me rappeler les professions du père de Sa Majesté, ainsi que du "nouveau" (comme le qualifient encore les médias mainstream, toujours cet adjectif, pourquoi, il est équipé d'un processeur nouvelle génération?...) ministre de la Santé, Olivier Véran? Il me semble qu'ils sont tous deux spécialistes en neurologie, ne sont-ils pas?....


Sa Majesté souffre, en tout cas, de toute évidence, de problèmes qui relèveraient plutôt de la psychiatrie, même un neurologue n'y pourrait rien!....



Bonjour et merci pour la chronique. Pour compléter je  suggère à chacun de regarder la suite qui est pas mal aussi. E. Macron revient à la charge : regardez ce qu'on fait, on paie l'inertie des prédécesseurs,  je veux bien un peu de reconnaissance (indécence de placer la question à ce niveau!), il ne faut pas être hypocrite... Mais le Dr. Salachas ne lâche rien : 

-E.M. : Accordez moi que nous ne sommes pas restés assis sur la chaise depuis 2 ans et demi.

-Dr. S : Nous en reparlerons. 


Ceci a lieu 30 minutes plus tard (si on compare les bandeaux BFM direct, 10h22 et 10h55). D'autres extraits indiquent qu'entre temps, la discussion se poursuit dans cette salle, en particulier sur l'épidémie du covid-19. On sent que E. Macron en a profité pour reprendre des forces, rassembler ses arguments afin de reprendre l'avantage après l'uppercut souriant. Sauf que là, ça veut pas...

C'est beau ! Au vue des réponses de Macron il n en a absolument rien a ....

Le language corporelle est la remarque condescendante de 'je compte sur vous ...' manque la petite tape sur l épaule 



Le docteur Chalachas n'est pas dupe des propos de Macron.


Et Macron est renvoyé dans les cordes avec son étrange et habituel discours :


-On se téléphone et on se fait une bouffe. 


Risible et lamentable petit président !

Je déteste me prendre pour une "madame-je-sais-tout", mais je me sais assez intuitive. Je crois bien que personne, pas même DS, ne réalise une chose qui perso, me semble évidente, pour ne pas dire, fatale. Et cette chose consiste à tiermondiser (néolog de mon cru) nos économies. 


Qu'importe le Macron, pourvu qu'on ait la baisse, de tous nos avoirs et de tous nos pouvoirs.  Et Macron n'est que l'énième président en charge de cet "office"., qui sera poursuivi et achevé par d'autres en cas de besoin, n'en doutons pas.  


Faut se placer d'un point de vue géo-po pour comprendre le destinée de l'UE.  Pourquoi elle s'embarque sabre au clair dans le néolibéralisme en sachant pertinemment que ça va couler le bateau. Pourquoi elle oeuvre, inlassablement, à transformer le bateau en radeau.  


Et quand on pousse le regard par-delà nos petites frontières, et qu'on a bien en tête ce que mondialisation veut dire, tout s'éclaire.  Et l'on découvre alors que ce projet est fort sombre et qu'à rien ne sert de plaider l’irrationalité des choix politiques, car le but est autre. 


Le projet est un renoncement. Et ceux qui l'ont pactisé, de droite, de gauche, ou du centre, l'ont tous considéré comme nécessaire. Ce qu'il nous est donné de voir aujourd'hui, et que nous semblons découvrir en nous scandalisant des propos d'un Macron n'est que la fin de comète d'une longue histoire de notre tiermondisation qui fonde ses bases dans la construction de l'UE néolibérale. 


Je sais, on va me traiter au mieux de pessimiste, au pire, de complotiste. Moi je sais juste une chose:  les choix politiques ne fleurissent pas sur les arbres au printemps, ils ne tombent pas du ciel ni de la pluie. Les choix politiques sont des décisions prises par des gens bien placés pour voir ce qui vient,  bien avant que la "populace" en ait connaissance.  Quand la populace réagit, il est en général trop tard pour sauver les meubles et ça aussi, c'est construit en amont par ceux qui tiennent les rennes.  Bref, je m'ennuie moi-même à force de répéter et répéter ce qui me paraît aussi évident qu'un nez au milieu d'un visage. Désolée par avance de vous avoir éventuellement déprimés.  

  

quiconque a passé du temps à l'hopital ces dernières années (y compris dans des grands hopitaux urbains à priori réputés) a pu se rendre compte à quel point ils sont en flux tendus; à quel point ils font leur maximum mais sont à bout; à quel point ça peut vite craquer et la moindre erreur d’inattention (due au surmenage; au manque de sommeil; etc...) peut mener à une erreur dramatique ou à une catastrophe.

La fin du face à face entre Emmanuel Macron et François Chalachas est d'une incroyable densité (elle a d'ailleur été supprimée sur la vidéo de CNEWS). On sent que Macron n'est pas sur un registre comme il a l'habitude d'être.


Emmanuel Macron : — Je compte sur vous !

François Chalachas : — Ah oui, vous pouvez compter sur moi… l'inverse reste à prouver !

Emmanuel Macron : — Non, non, je vous crois sur parole


On a quelqu'un qui sans crier, sans injonction, demande au chef de l'état de respecter ses engagements, de donner du sens aux mots et aux promesses faites. C'est très rare et ça se remarque immédiatement.

L'effet est dévastateur. François Chalachas parle à Macron avec la densité d'un père, inquiet, disant à son fils, “C'est maintenant, là il faut vraiment y aller, il faut prendre ses responsabilités et s'engager“. Des mots de confiance où les éléments de langage n'ont pas de place !!!


"Emmanuel Macron : — Je compte sur vous !

François Chalachas : — Ah oui, vous pouvez compter sur moi… l'inverse reste à prouver !

Emmanuel Macron : — Non, non, je vous crois sur parole"


Oui, ça c'est très fort!!

Il a encore réussi a retourner son interlocuteur à la dernière seconde.

Salachas aurait du répondre (et on lui pardonne de n'avoir pas pu trouver la parade après 1min30 éprouvante de vérité cru face au grand prestidigitateur...):

"Moi je ne peux plus vous croire sur parole, on attend tous des actes" puisque c’était le fond de son message...

Mais l'autre à reussi a lui faire dire que des promesses lui suffisent!!

Je pense que vous surestimez la matière grise de Macron et sous-estimez sa matière cérumineuse.

Je ne peux m'empêcher de penser à ces vers de Shakespeare dans Macbeth : "La vie n’est qu’une ombre errante ; un pauvre acteur Qui se pavane et s’agite une heure sur la scène Et qu’ensuite on n’entend plus ; c’est une histoire Racontée par un idiot, pleine de bruit et de fureur, Et qui ne signifie rien. Orson Welles - Macbeth (1948) acte V scène 5."   Quel est le rôle de Macron ??

"Emmanuel Macron : — Non, non, je vous crois sur parole " 


Cette phrase est pour le moins étrange car elle omet la deuxième partie de la proposition "François Chalachas : — Ah oui, vous pouvez compter sur moi… l'inverse reste à prouver ! " , répond elle à "l'inverse reste à prouver" ? ou à "vous pouvez compter sur moi" ?


Cette réponse me semble être totalement "à coté de la plaque" , Jupiter se trouve-t-il parlant à lui-même n'ayant pas "capté" le propos ?


L'infirmation de la pertinence des propos de F. Chalachas à Naples confirme que Jupiter n'est plus là , ici , avec nous !


"je ne vois pas bien comment l'hôpital, ainsi amputé de son personnel, va faire face à une augmentation du nombre de cas déclarés ou potentiels".


Fastoche ! Un numéro d'urgence, un site internet dédié à la téléconsultation ("jai-des-sympomes.gouv"), une appli pour smartphones... et le tour est joué !

Ah bien sûr les patient-e-s s'incrustent à l'hôpital. en fait les patient-e-s sont des assisté-e-s du même acabit que les chomeurs/euses qui ne cherchent pas vraiment du travail pour se goberger le plus longtemps possible avec les indemnités qu'ils perçoivent.

C'est effectivement le schéma de pensée habituel de nos très chers/chères dirigeant-e-s et odnt ils/elles ne démordent jamais même quand on prend le temps de leur démontrer que les patient-e-s ont toujours (à de rares exceptions près) le désir de retourner le plus vite possible chez eux après en avoir fini avec le problème médical qui a justifié l'hospitalisation et que les chomeurs/euses ont toujours (à de rares exceptions près) la volonté de retrouver un emploi pour avoir enfin un revenu "honnête" et une vie sociale restructurée.

Mais non... qu'importe les preuves, qu'importe les démonstrations, ils/elles ne remettent jamais en question leurs certitudes, leur dogme même. Et même si j'admire le Dr Salachas d'avoir fait ce qu'il a fait, c'est-à-dire mettre le nez du soi-disant monarque républicain dans sa propre merde et de lui avoir fait comprendre qu'il n'a rien d'un monarque mais qu'il n'est que le premier serviteur de la nation et de son peuple, je doute que cela fasse évoluer notre président d'un iota. Avec ce genre d'individu sûr de leur bon droit inaliénable de nous gouverner et certain par définition même d'avoir toujours raison, il n'y a qu'une solution : le chasser, en lui demandant d'abord gentiment de rendre les clefs et, parce qu'il faudra de toutes façons en arriver là, avec des fourches et des bâtons.

Avec son courage proverbial, Macron a tenté de décrédibiliser Salachas, quelques heures plus tard ... depuis Naples.


"C'est un neurologue... il n'a rien à voir avec le coronavirus".


Crise sanitaire ou pas, on ne se refait pas.



Une seule solution , comme pour Notre Dame, faire appel aux dons !


Comme pour Notre Dame, B. Arnault va faire une aumône à l'Hôpital Public ( plutôt qu'une partie de  l'ISF qu'il aurait dû payer )


Une économie de Charité....


Habillons les pauvres patients  d'habits caca d'oie pour que Bernard reconnaisse " ses pauvres à soi ".


On peut supposer que si la fiscalité redevenait plus juste, ces problèmes seraient, en  grande partie , résolus.


Alors, merci Bernard !

je ne vois pas bien comment l'hôpital, ainsi amputé de son personnel, va faire face à une augmentation du nombre de cas déclarés ou potentiels 


Ça rappelle un peut les problèmes de robinets ou de trains qui se croisent de mon enfance !


voilà à quoi on a réduit l'hôpital public; à des problèmes comptables !


Mais on retrouve ça partout; nous avons donnés les clés du camion à des comptables, et quand on sait quel esprit étriqué peut avoir ce genre de personne, ne voyant la vie qu'en terme de Débit/Crédit,  avec les petites potence à dessiner  et les tableaux budgétaires à remplir ....  on voit où ça nous mène !


Et ce n'est que le début ( ...de la fin ? )


"cette poignée de mains d'une minute trente"


C'est pas un peu imprudent? Lequel va refiler le virus à l'autre, macron qui passe sa vie dans les avions, ou Salachas qui côtoie les malades?

"François Salachas émet l'hypothèse que Macron n'est pas informé de la gravité de la situation"


Il nous refait le coup de "S'il savait notre malheur, le tsar nous viendrait en aide", ou c'est du second degré?  

Est-ce que la famille de Macron le soutient dans cette approche comptable de la santé publique ? 


Car enfin, son père Jean-Michel est professeur de neurologie au CHU d'Amiens, sa mère Françoise Noguès : médecin conseil à la sécurité sociale, son frère Laurent est radiologue, sa belle-soeur est gynécologue-obstétricienne, sa soeur est néphrologue, sa belle-mère est psychiatre dans un CHS....( cf Wikipedia) 



"Je ne suis pas spécialiste de l'économie hospitalière, mais..." 

Attention il y a un piège  : ceci n'est pas le début d'une citation de Christophe Barbier

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