Maria Pourchet, dans le piège de la matinale
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"Adèle Haenel ou Catherine Deneuve ?" demande Léa Salamé à Maria Pourchet. Répondre brève exigée. Et à chaud, "vous réfléchissez surtout pas !"
Et vous Léa, Jean Luc ou Emmanuel ? A chaud et sans réfléchir, elle au moins est capable de répondre.
(...)"Peut-on encore, aujourd'hui, en 2023, aimer un connard ?"
Je répondrais oui, évidemment. Mais la question est très mal posée.
La vraie question c'est "Peut-on, doit on, en 2023 et de tous temps, se soumettre à un connard?"
(...)Avec Salomé, il ne faut généralement pas trop s'attendre a de la subtilité de toute façon...
Derniers commentaires
Putain, j'ai rien compris !
L'idéologie d'une vieille dame du siècle dernier ou l'idéologie d'une jeune femme engagée du siècle qui s'ouvre ? Réactionnaire ou progressiste ?
En passant cher Daniel, vous avez contaminé Nicolas D.
Il utilise aussi, à sa sauce, l’ expression "pensée contre soi-même”.
Et vous pouvez être fière de vous...
Même si il a pas tous compris de l’idée.
C’est aux journalistes et non à l’auditeur de faire cette gymnastique des méninges.
Faudrait peut-être lui faire une mise à jour.
Merci pour le taf.
Mille mercis pour l'extrait, il m'a donné une irrépressible envie de lire le livre que je viens d'acheter en version électronique (je sais, c'est mal, mais si commode). Rassurez-vous, je me doute que ce n'étais pas le but visé, considérez donc qu'il s'agit d'un dommage collatéral.
Alors là, et depuis longtemps, je me félicite de n’avoir pas de télévision, pour avoir saisi l’occasion du passage au numérique pour m’en débarrasser (ça date donc), ni d’écouter « la radio » et ses têtes de gondoles « obligées », pour paraître de son temps.
Que vont-y-faire toutes ces intelligences, pour toujours tomber dans les pièges pourtant connus de l’infernale, imparable, incontournable logique médiatique, commerciale ou d’État et de ses sbires, hommes ou femmes de main.
Y consentir ?, même gênées aux entournures, mais lesquelles et qu’est-ce qu’une entournure ? Que vont-elles y faire?
Ventre et se vendre.
Tant pis pour elles!
Et pourquoi pas pour moi aussi qui m’abonne à ASI pour en lire, et relire, encore et toujours, les réflexions intelligentes sur les effluves des remugles égoutiers qui s’en dégagent ? Et qui n’en atténuent aucunement le dégoût et l’odeur.
"l'autrice était parvenue à bénéficier de l'immunité littéraire, à slalomer pour échapper à l'enregimentement "
Alors là je sèche. Faute de frappe ou mot que je connais pas. Si quelqu'un peut éclairer ma lanterne
Les internets ont la réponse : https://www.google.com/search?q=enrégimentement
MERCI
Il manque juste l'accent aigu sur le second "e"...
Tkt, les mots rares (quoique pourtant souvent indispensables) sont monnaie courante chez l'ancien patron d'ASI. L'autre jour, par exemple, c'était « [une voix] à goualantes ». Ma foi, j'étais obligé d'ouvrir un onglet à côté et chercher.
L'ancien patron d'ASI n'a aucun mérite. Ce sont les mots qu'il utilisait dans sa jeunesse avec ses amis du club des hydropathes qu'il fréquentait au Chat noir. Bruant, Salis, Alphonse Allais, entourés des pierreuses, adoraient écouter les goualantes des chanteuses de beuglant.
Vous ne connaissez pas cette chanson de Piaf, la goualante du pauvre Jean ?
Je ne suis pas connaisseur de l'œuvre d'Édith Piaf mais je vous remercie pour ces précisions culturelles : c'est toujours ça d'appris et de pris. En revanche, la partie « L'ancien patron d'ASI n'a aucun mérite », non merci, gardez-la.
Faut pas tout prendre au premier degré. Cette phrase était pour introduire la vanne sur l'expérience ancestrale de DS. Je suis le premier à reconnaître sa grande culture.
Il fut un temps où, si la question m'eût été posée, j'aurai répondu: "mon cul c'est du poulet."
En ce jour, je me serai retrouvé obligé de répondre à une déclaration outrée du gérald Beauvau.
Alors, avec une simplicité qui sied à une époque de rapidité éditoriale, j'aurais répondu:
" des Landes, le meilleur.".
L'oeil rond, interrogatif de la léa matinale, aurait, dans un même élan, gallinacéen, fait écho à sa bouche en cul de poule.
Et hop!
Cotcot codec.
Nous vivons une époque formidable.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !
L’un agace son bec avec un brûle-gueule,
L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait !
Ce genre de questions biaisées me rappelle les jeux de cours de récrée : "Tu préfères avoir une jambe en mousse ou deux bras en bois ?".
Dans tous les cas, c'est baisé.
Elle aurait répondu Haenel que ça la grillait ailleurs. C'est tout.
"Adèle Haenel ou Catherine Deneuve ?" demande Léa Salamé à Maria Pourchet. Répondre brève exigée. Et à chaud, "vous réfléchissez surtout pas !"
Et vous Léa, Jean Luc ou Emmanuel ? A chaud et sans réfléchir, elle au moins est capable de répondre.
Certes de la littérature !
Mais, ça ne vaut pas " le temps des cons bas ", autobiographie de l'auteur qui ne mesure que 1,66 m .
"Peut-on encore, aujourd'hui, en 2023, aimer un connard ?"
Je répondrais oui, évidemment. Mais la question est très mal posée.
La vraie question c'est "Peut-on, doit on, en 2023 et de tous temps, se soumettre à un connard?"
Avec Salomé, il ne faut généralement pas trop s'attendre a de la subtilité de toute façon...
Apparemment à cette rentrée ,beaucoup de livres sur ce sujet.
Pauvre vieux mâle blanc dont la pathétique s'aggrippe aux phrases biscornues de cette autrice dégoulinante de tendresse. Je vais plutôt lire l'Amour de Bégaudeau.