A quand " Meurtres au Brégançon " ? 

Dans ces polars, je reconnais toujours le coupable  : c'est l'auteur !

Ce qui est dérangeant aussi c'est de faire rentrer dans la tête des gens que ne pas suivre les  procédures, c'est la norme et c'est normal ...

Grâce à sherlock et mrs watsonne, j'attends avec impatience : "meurtes à @si" ou plus reposant et de saison "Romance dans la rédaction de Noël"  - bons téléfilms de Noël, les enquêteurs de l'impossible image, et caresses à vos lutins ;-)

Fantaisies procédurales  , administratives et collégiales , conflits d'intérêts .Les protagonistes appartiennent souvent à la même famille. Les seuls rôles qui sont proposés désormais  aux acteurs sont ceux des téléfilms policiers et les scénarios sont bien souvent indignes d'eux ( Quoiqu'il y ait des efforts faits au niveau des dialogues, limités toutefois par la nullité et la répétition des scénarios  : toujours le même genre depuis une quinzaine d'année .)

 Il n'y a presque plus de comédies , ni de drames or contexte d'enquêtes policières  La série policière est un mix de drames et de comédies et donc nous avons à chaque fois "deux en un" : c'est simple ! ) 

On peut citer pour France Télévision ( dans les genres drame et comédies ) les series " Parlement " ( Noé Debré ), "Touchée " ( Alexandra Lamy ), "Or de lui " ( Baptiste Lorber ) deux , trois autres peut-être , guère plus ,qui tirent leur épingle du jeu et qui échappent au genre policier ( 85 % des production fictions de France-Télévision sont des téléfilms policiers ou des  series policières selon l'Union  des réalisateurs et réalisatrices ,U2R d'Alain Jaoui .)

Alors comme ça, on critique la famille, la directrice des programmes Anne Holmes ?

après la malbouffe à laquelle le français s'est habitue voici les series poubelles  il n'aura point de mal à digérer ces soupes il y a bien longtemps que le téléspectateur a perdu pied. d'un cote je trouve qu''il mérite ce qu'on lui sert ; il n'avait qu'à renverser la table 

J'ai regardé de ci, de là, il y a longtemps quelques épisodes, pour l'exotisme. :-)

Ouais ça me changeait de mes cocotiers...  :-)

Et si le succès de ces séries venait (entre autres) du fait que pour une fois quelque chose se passe "chez nous"? Il m'est arrivé de regarder Alex Hugo juste pour les paysages et l'ambiance montagne. 

Alors bien sûr, "Meurtres à Trifouilly les corneilles", ça ouvre d'autres horizons que "36 quai des orfèvres".

Je pense que cette série pose une question plis sérieuse qu'elle n'en a l'air : sait-on encore écrire une histoire en France sans meurtre et sans enquête policière ?

Je viens de regarder Life sur Arte, et auparavant Mum. Ces deux séries sont un régal. Certes, le thème de la mort rôde, mais quelle respiration de voir « juste » évoluer des gens sans meurtre glauque sous-jascent.

Ces téléfilms sont des placements de produits régionaux bourrés de clichés pour faire marcher le tourisme comme "le village préféré..." ou le monument préféré..." 

Est-ce le rôle du service public ?

Pas étonnant qu'on y retrouve Stéphane Bern d'ailleurs, VRP du patrimoine, même si, entre nous, Stéphane Bern en flic, on n'y croit pas une seconde.

Ce qui est dérangeant aussi c'est de faire rentrer dans la tête des gens que ne pas suivre les  procédures, c'est la norme et c'est normal ...

une pensée pour les auteurs qui ont dû avaler tous ces épisodes plus nuls les uns que les autres. 

Scénarios extrêmement faibles pour rester poli. Histoires à dormir debout (non pas un mais deux voire cadavres, homicides , un peu de fantastinque, légendes historiques , …), personnages enqueteurs justice et/ou police en lien (même ecole, même famille,…) , cadre somptueux (ils habitent tous des maisons/apparts avec vue sur: mer, montagne ou campagne sans poteaux électrique, …), dialogues insipides, acteurs sans jeu, …

Passer rapidement à autre chose (heureusement qu’il n’y a plus de redevanc, je enrageais de payer pour ça , que je ne regardais plus depuis longtemps.)

En fait, cette médiocrité se retrouve dans tous les épisodes de ce type de série : Mongeville, Magellan, Meutre à,  etc…)

@Sherlok : la procession "perpétrée" depuis la nuit des temps. Le vocabulaire policier est partout. Il est "perpetué"

Plus la police est violente en vrai, plus il faut la policer pour de faux.

Il semble que cette série de "polars du terroir"  a eu un précurseur intitulé TATORT  en Allemagne . 

En effet, selon Wikipédia, le principe de TATORT est basé sur une régionalisation des lieux où se déroulent les épisodes .

Comme on peut le lire sur cette liste,  la série dont les épisodes ont débuté en 1970  existe toujours :

https://www.daserste.de/unterhaltung/krimi/tatort/sendung/tatort-alle-faelle-100~_seite-24.html

Ok, on se moque mais on en reste là. Pourtant, il y aurait un vrai sujet, celui de la déferlante, toutes chaînes confondues, de série policières ou judiciaires, non ? Par ailleurs, cette déferlante, a-t-elle un lien avec l’augmentation continue des emprisonnements pour cause ou non de faits divers ?

Je regardais au début, mais maintenant, les scénarios téléphonés, toujours les même ficelles (je pourrais écrire le suivant) et de plus les re-re-rediffusions (rediffuser un policier,!) C'est nul de chez nul. Il faut dire qu'en face (1 et 2) il n'y a pas grand chose. Sur France 5 il y a quelquefois des docus qui sont intéressants mais souvent sopo (le dernier sur les Nabatéens a été particulièrement nul, une énorme déception pour moi, tout ce qu'on a vu c'est des 4x4 qui roulaient dans le désert, et ce qui aurait été intéressant (leur écriture) à peine effleuré. Arte quelquefois c'est mieux. 

Pas de remarque dans l'article sur ce qui pourtant crève les yeux.

Tous les principaux acteurs sont blancs !

Dans ces polars, je reconnais toujours le coupable  : c'est l'auteur !

A quand " Meurtres au Brégançon " ? 

Peut-être un rapport avec une société qui déshumanise de plus en plus les relations? Les anciens, c'est-à-dire les vieux dans l'ancien temps, regretteraient une époque où l'erreur était humaine... même si les vrais responsables des plus grosses difficultés n'étaient pas plus sanctionnés qu'aujourd'hui.