Commentaires
Parler du pays : la leçon de Macron à la presse
Macron engueule les journalistes, 149e épisode.
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Derniers commentaires
Mais quel ingrat ce type. Au lieu de dire merci à ceux qui ont travaillé pendant plus d'une année à lui faire une image de présidentiable, voilà qu'il les engueule ! A vous dégoûter du cirage de pompe.
Ouf , nous sommes passés tout à coté du "Maréchal nous voilà..." il s'en fallait de peu !
Et puis on se demande qui a eu l'idée d'un tel spectacle... Désuet, ridicule.
Je pense que j'ai du virer " vieille de la vieille" sans m'en rendre compte, mais ...
si je discutais avec les collègues dont les élèves sont sur la vidéo, je pense que je leur dirais que :
- si vraiment on est obligé d'accueillir le président de la république dans l'école,
- et si c'est inévitable que les enfants lui parlent,
... le mieux serait peut-être de leur apprendre à dire " bonjour monsieur le président de la république" et de ne pas le confondre avec un joueur de foot ou une star de cinéma dont on hurle le nom de famille.
Car, somme toute, c'est le président de la république qui est allé dans cette école, non pas le candidat Macron... c'est intéressant, à l'école, d'apprendre la distinction, non ?
Quand je pense aux heures que j'ai passées à expliquer aux délégués du conseil des élèves que lorsqu'ils faisaient un courrier au maire ou à la directrice d'école ils ne devaient pas l'adresser au nom de la personne mais à son titre ...
... je suis vraiment très vieille, donc.
si je discutais avec les collègues dont les élèves sont sur la vidéo, je pense que je leur dirais que :
- si vraiment on est obligé d'accueillir le président de la république dans l'école,
- et si c'est inévitable que les enfants lui parlent,
... le mieux serait peut-être de leur apprendre à dire " bonjour monsieur le président de la république" et de ne pas le confondre avec un joueur de foot ou une star de cinéma dont on hurle le nom de famille.
Car, somme toute, c'est le président de la république qui est allé dans cette école, non pas le candidat Macron... c'est intéressant, à l'école, d'apprendre la distinction, non ?
Quand je pense aux heures que j'ai passées à expliquer aux délégués du conseil des élèves que lorsqu'ils faisaient un courrier au maire ou à la directrice d'école ils ne devaient pas l'adresser au nom de la personne mais à son titre ...
... je suis vraiment très vieille, donc.
Alors là..!
Les bras m'en tombent, je reste la gueule ouverte, la langue pendante, bavant d'héberluement... :-)
Incoyab!!!!!
P'taing! Bon...
Je parle de la vidéo bien sûr... MDR :-D
Les bras m'en tombent, je reste la gueule ouverte, la langue pendante, bavant d'héberluement... :-)
Incoyab!!!!!
P'taing! Bon...
Je parle de la vidéo bien sûr... MDR :-D
On est médusé...C'est de la connerie ou quoi?
Tenez bon Daniel! ;) Il n'y a plus grand monde d'un peu "critique" et un poil "indépendant" et un tantinet "courageux" sur le bateau... La postérité vous le rendra ;)
Je suis d'accord avec Macron sur ce coup là.
Quoi de plus pathétiques que des journalistes qui perdent les 5 minutes de temps d'interview qu'ils ont avec le chef de l'état pour lui demander s'il a un problème avec les journalistes ???
Quoi de plus pathétiques que des journalistes qui perdent les 5 minutes de temps d'interview qu'ils ont avec le chef de l'état pour lui demander s'il a un problème avec les journalistes ???
-hors sujet-
Marrant quand on y pense : Hollande a été éjecté pour avoir mené (entre autres) une politique portée par ses ministres dont un certain Macron. Le même Macron a été plébiscité président... Et continue la politique qui avait fait éjecter Hollande !
Marrant quand on y pense : Hollande a été éjecté pour avoir mené (entre autres) une politique portée par ses ministres dont un certain Macron. Le même Macron a été plébiscité président... Et continue la politique qui avait fait éjecter Hollande !
Le traitement des journalistes par Macron est indubitablement un des points les plus positifs de ce début de mandat. Il n'est rien de plus agréable que de voir la troupe habituée aux passe-droits, aux petites phrases, aux discussions de couloir, aux rumeurs, centrées uniquement sur la communication politique, couiner lorsque Macron leur refuse l'interview du 14 Juillet que franchement personne ne regardait.
C'est probablement une bonne méthode pour forcer le journalisme politique à s'améliorer rapidement.
C'est probablement une bonne méthode pour forcer le journalisme politique à s'améliorer rapidement.
Le gars reproche au Médias de parler que de com alors qu'il est en pleine opération de com dans une école ? LOL
Mais il prend vraiment les gens pour des cons?
Mais il prend vraiment les gens pour des cons?
Si j'étais parent d'élèves dans cette école, je porterais plainte pour tentative d'embrigadement de mon enfant. Je ne sais pas dans quelle mesure ça a été "arrangé" (avec des parents consentants?), mais c'est encore plus grave si ça ne l'a pas été.
C'est sans doute l'effet "vu à la télé" qui a excité ces charmants marmots. Cyril Hanouna aurait débarqué dans l'école, on aurait assisté à la même hystérie.
Et puis, comme au festival de Cannes, plus on crie fort, plus on a la chance d'avoir son autographe, sa poignée de main, son mot gentil... donc des trucs à raconter à ses copains.
Donc je crois qu'il faut relativiser l'excellent accueil apparent que ces enfants ont réservé à Macron ; l'hypothèse de l'arrangement, du briefing préalable ne me semble pas nécessaire pour l'expliquer.
Mais les Coréens du Nord, s'ils voyaient ces images, auraient raison de rigoler et de crier à la propagande.
Et puis, comme au festival de Cannes, plus on crie fort, plus on a la chance d'avoir son autographe, sa poignée de main, son mot gentil... donc des trucs à raconter à ses copains.
Donc je crois qu'il faut relativiser l'excellent accueil apparent que ces enfants ont réservé à Macron ; l'hypothèse de l'arrangement, du briefing préalable ne me semble pas nécessaire pour l'expliquer.
Mais les Coréens du Nord, s'ils voyaient ces images, auraient raison de rigoler et de crier à la propagande.
relativiser l'excellent accueil apparent que ces enfants ont réservé à Macron
Tout à fait d'accord, mais c'est précisément pour ça que c'est scandaleux de se servir des enfants. Ils sont tout contents de voir une célébrité et complètement inconscients d'être instrumentalisés. Quand je parle de scénario arrangé, c'est parce que ça me paraît scandaleux et probablement illégal que les parents de ces enfants n'aient pas été consentants. Ça reste scandaleux d'ailleurs que des parents donnent le feu vert à l'instrumentalisation de leurs enfants. J'imagine bien certains, devenus ados, le leur renvoyer dans les gencives (le net garde tout en mémoire!).
Tout à fait d'accord, mais c'est précisément pour ça que c'est scandaleux de se servir des enfants. Ils sont tout contents de voir une célébrité et complètement inconscients d'être instrumentalisés. Quand je parle de scénario arrangé, c'est parce que ça me paraît scandaleux et probablement illégal que les parents de ces enfants n'aient pas été consentants. Ça reste scandaleux d'ailleurs que des parents donnent le feu vert à l'instrumentalisation de leurs enfants. J'imagine bien certains, devenus ados, le leur renvoyer dans les gencives (le net garde tout en mémoire!).
Quand on inscrit son gamin ou autorise ou non l'école à utiliser l'image de son enfant pour des campagnes de l'EN etc... Ce qui pourrait comprendre ça. Du coup ça me fait réfléchir sur ce que je viens de signer il y a deux jours...
Et même si vous vous opposez, puis que votre gamin est photographié à l'insu de son enseignante (elle même photographiée à son insu) à l'intérieur de l'Assemblée Nationale, et que sa photo se retrouve sur le compte facebook d'un élu ... bein il vous faudra des mois et des mois pour démêler le truc.Entre les élus et Facebook, ça fait une sacrée paire !
Histoire vécue.
Et, pas de bol, j'étais l'enseignante...
Histoire vécue.
Et, pas de bol, j'étais l'enseignante...
Généralement, quand un élu médiatisé débarque dans une école, ça se passe ainsi :
- les personnels de l'école l'apprennent fort tard, et bizarrement leur hiérarchie locale, si pathétiquement absente d'ordinaire trouve le moyen d'être présente toute la demi-journée concernée
- les élus locaux se démènent, les classes ne sont jamais aussi bien balayées, les jardinières aussi fleuries
- il arrive que certains souhaitent faire du zèle ( genre faire chanter une chanson aux élèves), pendant que d'autres veulent faire des banderoles pour dénoncer la réalité des problèmes sur le terrain, tandis que d'autres arguent que c'est quand même un élu et qu'on est l'école de la République : ça donne lieu à des engueulades mémorables, dont les équipes se remettent mal. Quoi qu'il en soit, l'organisationd e cette journée-là ne ressemble en rien à celle d'un jour normal.
- les journalistes arrivent peu de temps avant l'élu, n'en ont rien à foutre pour la plupart de ceux que l'élu vient rencontrer et des questions qui leur sont liées : l'élu vient sur leur zone et ils veulent avoir un temps avec lui, pour parler de n'importe quoi, ils s'en foutent, mais il leur fait leurs minutes
- l'élu passe, en survol, sert la soupe qu'il aurait pu servir depuis son bureau
- les gamins sont survoltés
Puis tout le monde repart, dans ceux qui restent il y a les gamins sont survoltés et les adultes qui se sont engueulés.
... C'est vraiment très intéressant !
J'ai eu droit comme ça à la visite de l'ancienne ministre de l'éducation nationale dans une école où une classe n'avait pas d'enseignant depuis 3 semaines... elle a donné des interviews sur l'accent circonflexe. Elle n'a même pas eu besoin de détourner les sujets : c'est sur cela que les journalistes l'ont interrogée. Les parents, mobilisés, étaient à la grille pour l'attendre avec banderoles et pétition : elle est passée par un autre chemin, et les journalistes ne se sont pas arrêtés. Et sur son itinéraire dans l'école, aucun passage devant les classes de ceux de mes collègues dont on pensait qu'ils auraient été capables de prendre la parole sur ce qui fâche.
Un vague "conseiller" a dit qu'il allait rencontrer les parents, il a pris la pétition. Vérification faite, c'est probablement plutôt un gars des renseignements.
Après, on a vu les images sur les réseaux sociaux, à la télé et dans la presse écrite : la ministre parle de l'accent circonflexe dans un couloir d'école, devant des dessins d'enfant.
Quelques temps plus tard, la ministre assiste à une leçon d'éducation civique high-tech : personne ne dit que c'est dans la même école ( proche des accès routiers pour ne pas perdre de temps, déjà en banlieue mais avec une population qui ne fait pas trop " zyva" à l'image, maire condescendant, directeur qui prépare son évolution de carrière pour devenir inspecteur). Pendant ce temps, on rit jaune dans les classes à côté : la leçon à laquelle elle assiste est une parfaite mise en scène qui e correspond en rien aux habitudes de travail dans cet établissement. A l'image on voit des gamins avec des tablettes alors qu'on n'en a pas sur l'école et qu'on fonctionne avec 18 ordinateurs pour plus de 500 élèves....
Mais les images sont là, l'entrée de l'école dans l'ère du numérique est illustrée, tout va bien.
Tout va bien, et c'est vraiment très intéressant.
- les personnels de l'école l'apprennent fort tard, et bizarrement leur hiérarchie locale, si pathétiquement absente d'ordinaire trouve le moyen d'être présente toute la demi-journée concernée
- les élus locaux se démènent, les classes ne sont jamais aussi bien balayées, les jardinières aussi fleuries
- il arrive que certains souhaitent faire du zèle ( genre faire chanter une chanson aux élèves), pendant que d'autres veulent faire des banderoles pour dénoncer la réalité des problèmes sur le terrain, tandis que d'autres arguent que c'est quand même un élu et qu'on est l'école de la République : ça donne lieu à des engueulades mémorables, dont les équipes se remettent mal. Quoi qu'il en soit, l'organisationd e cette journée-là ne ressemble en rien à celle d'un jour normal.
- les journalistes arrivent peu de temps avant l'élu, n'en ont rien à foutre pour la plupart de ceux que l'élu vient rencontrer et des questions qui leur sont liées : l'élu vient sur leur zone et ils veulent avoir un temps avec lui, pour parler de n'importe quoi, ils s'en foutent, mais il leur fait leurs minutes
- l'élu passe, en survol, sert la soupe qu'il aurait pu servir depuis son bureau
- les gamins sont survoltés
Puis tout le monde repart, dans ceux qui restent il y a les gamins sont survoltés et les adultes qui se sont engueulés.
... C'est vraiment très intéressant !
J'ai eu droit comme ça à la visite de l'ancienne ministre de l'éducation nationale dans une école où une classe n'avait pas d'enseignant depuis 3 semaines... elle a donné des interviews sur l'accent circonflexe. Elle n'a même pas eu besoin de détourner les sujets : c'est sur cela que les journalistes l'ont interrogée. Les parents, mobilisés, étaient à la grille pour l'attendre avec banderoles et pétition : elle est passée par un autre chemin, et les journalistes ne se sont pas arrêtés. Et sur son itinéraire dans l'école, aucun passage devant les classes de ceux de mes collègues dont on pensait qu'ils auraient été capables de prendre la parole sur ce qui fâche.
Un vague "conseiller" a dit qu'il allait rencontrer les parents, il a pris la pétition. Vérification faite, c'est probablement plutôt un gars des renseignements.
Après, on a vu les images sur les réseaux sociaux, à la télé et dans la presse écrite : la ministre parle de l'accent circonflexe dans un couloir d'école, devant des dessins d'enfant.
Quelques temps plus tard, la ministre assiste à une leçon d'éducation civique high-tech : personne ne dit que c'est dans la même école ( proche des accès routiers pour ne pas perdre de temps, déjà en banlieue mais avec une population qui ne fait pas trop " zyva" à l'image, maire condescendant, directeur qui prépare son évolution de carrière pour devenir inspecteur). Pendant ce temps, on rit jaune dans les classes à côté : la leçon à laquelle elle assiste est une parfaite mise en scène qui e correspond en rien aux habitudes de travail dans cet établissement. A l'image on voit des gamins avec des tablettes alors qu'on n'en a pas sur l'école et qu'on fonctionne avec 18 ordinateurs pour plus de 500 élèves....
Mais les images sont là, l'entrée de l'école dans l'ère du numérique est illustrée, tout va bien.
Tout va bien, et c'est vraiment très intéressant.
Pas forcément.
Il est clair que Macron a décidé de verrouiller sa communication et de ne pas s'en justifier auprès des journalistes. Ça évite le mélange des genres, et ça force les journalistes à s'élever.
Il est clair que Macron a décidé de verrouiller sa communication et de ne pas s'en justifier auprès des journalistes. Ça évite le mélange des genres, et ça force les journalistes à s'élever.
Pensez-vous que Bruno Roger-Petit puisse s'élever ?
J'ai bien ce qu'il faut pour élever mes poules pondeuses ( métaphore possible des danseuses des princes jupitériens pondant quelques conseils de ci de là, cahin-caha...) mais pour les ex-journalistes devenus conseillers, je n'ai rien en magasin si ce n'est que les cages de Louis XI (à ne pas confondre avec les fillettes (chaînes de fer...).
Mais le Bruno-Roger Petit ne deviendra, malgré cette élévation singulière née d'un élevage tardif, un Bruno-Roger Grand.
Il en va ainsi.
Mais le Bruno-Roger Petit ne deviendra, malgré cette élévation singulière née d'un élevage tardif, un Bruno-Roger Grand.
Il en va ainsi.
"Et, c'est ainsi qu'Allah est grand ! "
Il y a parfois du trollage très appréciable, en particulier quand il vient de l'Élysée à destination des journalistes.
Avec un ego aussi enflé, le BRP peut sans doute s'élever: "He is so full of hot air!", expression britannique imagée que j'aime bien.
C'est amusant cette vidéo après votre émission consacrée à la Corée du Nord.
Notamment à Kim Jong-Un et son rapport à la communication/propagande (selon le clivage gentil/méchant) :-)
Notamment à Kim Jong-Un et son rapport à la communication/propagande (selon le clivage gentil/méchant) :-)
Daniel, vous qui aimez habituellement les comparaisons, vous auriez pu noter que c'est tout ce qui fait la différence entre la méfiance de Macron vis-à-vis des médias et la critique des médias de Mélenchon.
Les deux entendent contourner le système médiatique (tout en continuant à y apparaitre), mais l'un pour remplacer un vide de contenu non maitrisé par un autre vide qu'il maitrise (EM), l'autre (JLM) pour amener au contraire dans le débat des idées de fond, du contenu politique (quoi qu'on pense de ce dernier).
C'est un peu le publicitaire d'un côté (la meilleure image pour vendre ma soupe), le documentariste de l'autre (trouver la façon la plus efficace de susciter la conscience politique face aux endormeurs du camp publicitaire - les médias du futile ou les images contrôlées par le pouvoir lui-même).
Ne pas remarquer cela conduit à la plénelisation des esprits, et au confusionnisme drapé-dans-son-orgueil-de-attention-la-république-est-en-danger-on-s'attaque-au-journalisme-fondement-de-la-démocratie-nous-avons-le-droit-de-savoir (oui, c'est lourd, mais on n'a jamais trouvé encore comment digérer du plenel).
Les deux entendent contourner le système médiatique (tout en continuant à y apparaitre), mais l'un pour remplacer un vide de contenu non maitrisé par un autre vide qu'il maitrise (EM), l'autre (JLM) pour amener au contraire dans le débat des idées de fond, du contenu politique (quoi qu'on pense de ce dernier).
C'est un peu le publicitaire d'un côté (la meilleure image pour vendre ma soupe), le documentariste de l'autre (trouver la façon la plus efficace de susciter la conscience politique face aux endormeurs du camp publicitaire - les médias du futile ou les images contrôlées par le pouvoir lui-même).
Ne pas remarquer cela conduit à la plénelisation des esprits, et au confusionnisme drapé-dans-son-orgueil-de-attention-la-république-est-en-danger-on-s'attaque-au-journalisme-fondement-de-la-démocratie-nous-avons-le-droit-de-savoir (oui, c'est lourd, mais on n'a jamais trouvé encore comment digérer du plenel).
Pourtant Brigitte a dit : "ma presse est bien faite "
Il me semble avoir vu sur le site que certains dirigeants étaient toujours portraiturés souriants. Le président Français au sourire Pâte dentifrice ne manque pas à la règle. L'incroyable, c'est que les journalistes qui l'ont fait élire sous la pression de leurs patrons de presse et sous l'impulsion de leur servilité de chien en laisse (pour la rime) sont maintenant l'objet de son faux courroux qu'eux-mêmes mettent en scène. On en reste bouche bée devant tant de naïveté et si peu de réflexion. La seule réflexion qu'ils ont est de servir de miroir à cet instrument des plus nantis qui utilise à merveille la com pour miner les éventuels mouvements de révolte devant le saccage à l'Américaine de notre patrimoine de protection sociale et les quelques mesures qui permettaient aux moins bien nantis de survivre ou d'être aidés.
La presse se meurt et se rend.
La presse se meurt et se rend.
J'ai envie de dire qu'avec lui au moins on va rigoler, mais même pas. L'est même pas drôle le bougre.