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Pourquoi il ne faut pas cliquer sur une info avec Tapie dans le titre
Ne niez pas : vous venez de cliquer sur un article, comportant dans son titre le mot "Tapie".
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Derniers commentaires
Pas d'homme nu, pas de Tapie; peu d'infos, peu de clics:
http://www.humanite.fr/erdogan-massacre-les-populations-kurdes-593236
http://fr.sputniknews.com/international/20151221/1020443091/paris-manifestation-kurdes-turquie.html
Noël ne sera pas joyeux pour les Kurdes( qui eux combattent réellement daech )
http://www.humanite.fr/erdogan-massacre-les-populations-kurdes-593236
http://fr.sputniknews.com/international/20151221/1020443091/paris-manifestation-kurdes-turquie.html
Noël ne sera pas joyeux pour les Kurdes( qui eux combattent réellement daech )
Quand Tapie c'est partout, tout est humide et ça laisse des odeurs désagréables.
Et aujourd'hui c'est France-Inter qui, en l'invitant à sa matinale, contribue au renouveau de ce brave homme
politique qu'est Eric Woerth, pourtant, souvenons-nous en, plus que secoué par le jugement dans l'affaire Bettencourt,
même si faute de preuves concrètes, il a échappé à une condamnation.
France Inter et son service "information" ou la nausée du petit matin (et qui perdure le reste de la journée).
Et aujourd'hui c'est France-Inter qui, en l'invitant à sa matinale, contribue au renouveau de ce brave homme
politique qu'est Eric Woerth, pourtant, souvenons-nous en, plus que secoué par le jugement dans l'affaire Bettencourt,
même si faute de preuves concrètes, il a échappé à une condamnation.
France Inter et son service "information" ou la nausée du petit matin (et qui perdure le reste de la journée).
Marrant, tous ceux qui s'excusent presque d'avoir cliqué.
Sauf que si vous n'aviez pas écrit sur le sujet, si vos confrères n'en avaient pas fait des tonnes, peut-être le gars en question aurait-il subitement disparu des écrans radar...
Mais faut bien occuper le terrain, surtout quand on a rien d'autre à dire.
Ce qui me fait penser aux tristes jités du moment, consacrés aux éternels marronniers (il ne se passe rien en France ni ailleurs) courses-cadeaux-sapins-églises-envie de faire la fête le tout sur fond de terrorisme, de quoi donner envie d'hiberner jusqu'en janvier. Au moins.
Sauf que si vous n'aviez pas écrit sur le sujet, si vos confrères n'en avaient pas fait des tonnes, peut-être le gars en question aurait-il subitement disparu des écrans radar...
Mais faut bien occuper le terrain, surtout quand on a rien d'autre à dire.
Ce qui me fait penser aux tristes jités du moment, consacrés aux éternels marronniers (il ne se passe rien en France ni ailleurs) courses-cadeaux-sapins-églises-envie de faire la fête le tout sur fond de terrorisme, de quoi donner envie d'hiberner jusqu'en janvier. Au moins.
Comme vous avez raison, Daniel ! Est-ce hier soir ou ce midi ? J'ai été absolument effaré par le journal de FR2, qui en faisait des caisses sur le clown en question ! Quelle consternation ! Comment les journalistes de Légranmédias peuvent-ils encore espérer défendre une légitimité, une responsabilité sur l'info ? Os court os court !
Je précise tout de même que je n'ai pas cliqué sur "Tapie", mais sur le Neuf-Quinze, comme beaucoup de mes camarades plus haut.
Je précise tout de même que je n'ai pas cliqué sur "Tapie", mais sur le Neuf-Quinze, comme beaucoup de mes camarades plus haut.
Dès le titre j'ai compris ce que Daniel Schneidermann entendait (ou j'ai cru le comprendre) : de toute façon après les Le Pen à toutes les Une, il fallait que les journaux trouvent de quoi attirer le clic réflexe, et il est certain que pour passer ses nerfs, rien de mieux que de balancer un commentaire acerbe contre Bernard Tapie et rappeler la hauteur éthique de l'homme.
Mais bon ici le titre nous disait de ne pas le faire et comme il y avait une affiche espagnole, j'ai aussi compris que Daniel Schneidermann avait à peu près le même sentiment que moi.
Chez moi ce sentiment avoisine la colère et je risque que quelqu'un alerte : Pourquoi en France, n'y a t il pour toute possibilité d'avenir que des mecs aussi décrépis moralement, de has been qui ramènent le passé antérieur au quaternaire, de fumiers qui pour se sortir d'une situation immorale qui devrait les conduire à Cayenne ou au mieux à Longwood, se jettent dans le populisme et happent au passage les espoirs de pauvres gens, et les velléités de chaos d'autres qui n'ont pas encore apprécié les risques que cela peut leur faire courir personnellement, pourquoi la France se tape ce genre de populisme d'un autre âge, de boulangérisme infecte, alors qu'on voit poindre en Espagne un renouveau, des idées fantastiques de nouvel engagement démocratique, de renouvellement politique et tout cela incarné par des gens plus jeunes qui laissent le complet veston (et même le slip ici sur l'affiche) au vestiaire pour se présenter à l'électeur avec des idées fortes et pleine de promesses, non pas uniquement pour l'Espagne, mais pour toute l'Europe.
Tandis que la France marche à reculons et s'enfonce dans l'obscurantisme, l'Espagne pétille de mille idées.
Addenda : Tapie me rappelle ces marionnettes hâbleuses dont seule la mâchoire inférieure est amovible
Mais bon ici le titre nous disait de ne pas le faire et comme il y avait une affiche espagnole, j'ai aussi compris que Daniel Schneidermann avait à peu près le même sentiment que moi.
Chez moi ce sentiment avoisine la colère et je risque que quelqu'un alerte : Pourquoi en France, n'y a t il pour toute possibilité d'avenir que des mecs aussi décrépis moralement, de has been qui ramènent le passé antérieur au quaternaire, de fumiers qui pour se sortir d'une situation immorale qui devrait les conduire à Cayenne ou au mieux à Longwood, se jettent dans le populisme et happent au passage les espoirs de pauvres gens, et les velléités de chaos d'autres qui n'ont pas encore apprécié les risques que cela peut leur faire courir personnellement, pourquoi la France se tape ce genre de populisme d'un autre âge, de boulangérisme infecte, alors qu'on voit poindre en Espagne un renouveau, des idées fantastiques de nouvel engagement démocratique, de renouvellement politique et tout cela incarné par des gens plus jeunes qui laissent le complet veston (et même le slip ici sur l'affiche) au vestiaire pour se présenter à l'électeur avec des idées fortes et pleine de promesses, non pas uniquement pour l'Espagne, mais pour toute l'Europe.
Tandis que la France marche à reculons et s'enfonce dans l'obscurantisme, l'Espagne pétille de mille idées.
Addenda : Tapie me rappelle ces marionnettes hâbleuses dont seule la mâchoire inférieure est amovible
Over 88% of all digital ads are clicked by robots
Mais curieusement, les journaux n'en parlent pas trop. Pourquoi ?
Mais curieusement, les journaux n'en parlent pas trop. Pourquoi ?
clic
On avait réussi à ne pas cliquer sur le pen, enfin pas à chaque fois, et voilà donc que tapie, qui nous repose des deux folles, devrait entrer illico dans les rangs des non cliquables. Rajoutons à cela l'interdit qui vient d'être inventé de cliquer sur la chronique matinale puisque DS nous manipule et que plus jamais on ne saura s'il le fait pour notre bien... On rigole bien sur le net.
Pas d'homme nu; pas de Tapie. Pas d'info, pas de clics?
"Le gouvernement bloque en pleine nuit un outil anti paradis fiscaux."
http://www.alterecoplus.fr/economie/le-gouvernement-bloque-en-pleine-nuit-un-outil-anti-paradis-fiscaux-201512161612-00002776.html
"Le gouvernement bloque en pleine nuit un outil anti paradis fiscaux."
http://www.alterecoplus.fr/economie/le-gouvernement-bloque-en-pleine-nuit-un-outil-anti-paradis-fiscaux-201512161612-00002776.html
le Nanar de l'année : "...ceci en dit long sur l'état de notre vie politique et l'absence de vigueur et de résistance de la démocratie..."
l'édito de l'Huma du lundi 21 :
l'édito de l'Huma du lundi 21 :
"Cliquer c'est consentir".
Oui, mais acheter aussi.
Acheter le café Trucmuch, c'est consentir aux conditions de travail des paysans brésiliens ou vietnamiens.
Acheter un chemise Bidule, c'est consentir à l'exploitation des ouvrières, souvent des gamines, en Chine ou au Bangladesh.
Idem pour les pantalons, les chaussettes, les chaussures...
Alors si je renonce à cliquer et à acheter, j'aurais certes résisté à la manipulation mais je me retrouverais rapidement comme le gars sur la photo.
Il n' y a rien d'autre de plus efficace ?
Oui, mais acheter aussi.
Acheter le café Trucmuch, c'est consentir aux conditions de travail des paysans brésiliens ou vietnamiens.
Acheter un chemise Bidule, c'est consentir à l'exploitation des ouvrières, souvent des gamines, en Chine ou au Bangladesh.
Idem pour les pantalons, les chaussettes, les chaussures...
Alors si je renonce à cliquer et à acheter, j'aurais certes résisté à la manipulation mais je me retrouverais rapidement comme le gars sur la photo.
Il n' y a rien d'autre de plus efficace ?
J'me demande si il n'aurait pas été mieux de ne PAS faire de chronique sur ce sujet d’ailleurs !
De même que bcp de lecteurs, je suis en total désaccord avec les propos de M Schneidermann
Heureusement que le fait de cliquer sur un sujet ou s'y intéresser ne fait pas qu'on adhere "à l'insu de son plein gré" au personnage ou au parti décrit ...
Heureusement que le fait de cliquer sur un sujet ou s'y intéresser ne fait pas qu'on adhere "à l'insu de son plein gré" au personnage ou au parti décrit ...
[quote=DS]Cliquer, c'est consentir. Cliquer, simplement cliquer sur une actualité comportant dans son titre le mot "Tapie", c'est voter Tapie. Sachez-le !
Pas entièrement d'accord Daniel. D'accord pour s'interroger sur la petite pulsion qui fait qu'on clique sur Tapie, mais pas d'accord pour évacuer la question de la façon dont les journalistes procèdent.
Je suis gêné par cette manière que vous avez de faire du lecteur une sorte de collabo. Cliquer sur une actualité comportant le mot "Le Pen", c'est voter FN, alors ? Cliquer sur une actualité comportant les mots "Mein Kampf" serait-il lire Mein Kampf, et encourager sa réédition ? On peut aller loin ainsi, et perdre de vue qu'il y a à l'origine de tout cela quelqu'un qui ne fait pas son travail.
L'interviouveur du JDD qui lui demande s'il sera candidat à la présidentielle, les fumiers d'un peu partout qui reprennent "l'info" d'un "Plan Tapie 2016" (alors que ce type n'a aucune légitimité à proposer quelque rapport que ce soit, puisqu'il n'est ni élu ni sollicité par des élus pour ce faire) : ces gens ne font tout simplement pas leur travail, puisque ce sont eux qui décident de donner du crédit à ce "retour en politique" auto-décrété. Ils pourraient très bien mettre "Tapie" dans leurs articles mais dire tout autre chose et remettre à sa juste place l'homme d'affaires. Que ce dernier ait le culot de vouloir s'inscrire dans l'agenda politique du moment, c'est son droit ; mais s'il parvient à fixer aussi insolemment l'agenda politique de ce début de semaine, c'est seulement parce que des journalistes dévoyés décident de l'assister dans ce projet (en le faisant leur pour des raisons de paresse intellectuelle, de recherche de buzz, de nombre de clics, etc. - et là intervient votre observation, Daniel, mais seulement là...).
Il y a donc toujours une complicité du journaliste, dans ce phénomène (la "vague" lepéniste fonctionne de la même façon), et je vous trouve un peu injuste dans votre façon de présenter le lecteur comme un complice. Le coupable, c'est l'émetteur : or l'émetteur est double (Tapie + journalistes : aucun n'existe sans l'autre, dans cette "information"). La victime, c'est le récepteur. Qu'il ait eu la possibilité de l'être moins en ne cliquant pas sur le titre fatidique, c'est possible. Ça n'en fait pas un complice pour autant.
Pas entièrement d'accord Daniel. D'accord pour s'interroger sur la petite pulsion qui fait qu'on clique sur Tapie, mais pas d'accord pour évacuer la question de la façon dont les journalistes procèdent.
Je suis gêné par cette manière que vous avez de faire du lecteur une sorte de collabo. Cliquer sur une actualité comportant le mot "Le Pen", c'est voter FN, alors ? Cliquer sur une actualité comportant les mots "Mein Kampf" serait-il lire Mein Kampf, et encourager sa réédition ? On peut aller loin ainsi, et perdre de vue qu'il y a à l'origine de tout cela quelqu'un qui ne fait pas son travail.
L'interviouveur du JDD qui lui demande s'il sera candidat à la présidentielle, les fumiers d'un peu partout qui reprennent "l'info" d'un "Plan Tapie 2016" (alors que ce type n'a aucune légitimité à proposer quelque rapport que ce soit, puisqu'il n'est ni élu ni sollicité par des élus pour ce faire) : ces gens ne font tout simplement pas leur travail, puisque ce sont eux qui décident de donner du crédit à ce "retour en politique" auto-décrété. Ils pourraient très bien mettre "Tapie" dans leurs articles mais dire tout autre chose et remettre à sa juste place l'homme d'affaires. Que ce dernier ait le culot de vouloir s'inscrire dans l'agenda politique du moment, c'est son droit ; mais s'il parvient à fixer aussi insolemment l'agenda politique de ce début de semaine, c'est seulement parce que des journalistes dévoyés décident de l'assister dans ce projet (en le faisant leur pour des raisons de paresse intellectuelle, de recherche de buzz, de nombre de clics, etc. - et là intervient votre observation, Daniel, mais seulement là...).
Il y a donc toujours une complicité du journaliste, dans ce phénomène (la "vague" lepéniste fonctionne de la même façon), et je vous trouve un peu injuste dans votre façon de présenter le lecteur comme un complice. Le coupable, c'est l'émetteur : or l'émetteur est double (Tapie + journalistes : aucun n'existe sans l'autre, dans cette "information"). La victime, c'est le récepteur. Qu'il ait eu la possibilité de l'être moins en ne cliquant pas sur le titre fatidique, c'est possible. Ça n'en fait pas un complice pour autant.
Tiens, je découvre ça. Plus convaincu que par votre 9-15, Daniel :
Je suis d'accord avec vous sur la complicité du journaliste qui transforme l'actualité en phénomène de mode. L'état du journalisme est déplorable. Pour moi, les journalistes ont une grande part de responsabilité dans le discours complètement insignifiant et bête du monde politique. Je me souviens d'une journaliste qui avait été portée aux nues tout simplement parce qu'elle avait posé une question précise à Marine Le Pen. Les journaux n'en revenaient pas, elle n'avait pourtant fait que son travail.
Cher Daniel,
Je suis abonné à @si et si je clique sur votre 9h15, c'est parce que je vous fais confiance et que j'aime votre maniement de la langue.
Confiance et qualité, auxquels vous répondez que, forcément, si je suis là, c'est que je me suis fais pigeonner par le titre et sa tête d'affiche. Du coup, je ne peux plus prétendre, comme vous, de ne pas avoir cédé à l'appel du Nanard, puisque vous venez de m'éliminer de la phase finale, en me faisant cliquer, comme quasiment tous les jours, sur votre chronique dont je suis averti de la sortie via ma boîte de courriel.
C'est un procédé comme un autre que la didactique du - je te dupe pour que tu ne sois plus dupe -. Mais le dupeur-pédagogue, en faisant une séance d'ouverture des consciences sur le mode de la duperie prend un risque. Le biais sophistique au nom d'une sophistication qui préserverait le maître au-dessus de la mêlée, présente le risque d'entamer la confiance envers celui-ci. Le procédé ne garantissant pas, en effet, que les initiés l'oublieront pour ne retenir que les avertissements bienveillants pour lutter contre des méthodes qui font de nous des asservis du clique et des cliques. L'individualisme méthodologique boudonien étant ici mis en pratique : de supposé choix de cliquer ou pas, selon ses intérêts, ses calculs que d'autres agrègent pour en déduire une demande globale.
Finalement, vous repartez avec le fromage, mais la leçon qui vous régale aujourd'hui devra s'exporter ailleurs parce que le corbeau à bien reçu le message : ne fais confiance à personne !
Est-ce que cela vaut un fromage ou la peine d'en faire un fromage ?
Je suis abonné à @si et si je clique sur votre 9h15, c'est parce que je vous fais confiance et que j'aime votre maniement de la langue.
Confiance et qualité, auxquels vous répondez que, forcément, si je suis là, c'est que je me suis fais pigeonner par le titre et sa tête d'affiche. Du coup, je ne peux plus prétendre, comme vous, de ne pas avoir cédé à l'appel du Nanard, puisque vous venez de m'éliminer de la phase finale, en me faisant cliquer, comme quasiment tous les jours, sur votre chronique dont je suis averti de la sortie via ma boîte de courriel.
C'est un procédé comme un autre que la didactique du - je te dupe pour que tu ne sois plus dupe -. Mais le dupeur-pédagogue, en faisant une séance d'ouverture des consciences sur le mode de la duperie prend un risque. Le biais sophistique au nom d'une sophistication qui préserverait le maître au-dessus de la mêlée, présente le risque d'entamer la confiance envers celui-ci. Le procédé ne garantissant pas, en effet, que les initiés l'oublieront pour ne retenir que les avertissements bienveillants pour lutter contre des méthodes qui font de nous des asservis du clique et des cliques. L'individualisme méthodologique boudonien étant ici mis en pratique : de supposé choix de cliquer ou pas, selon ses intérêts, ses calculs que d'autres agrègent pour en déduire une demande globale.
Finalement, vous repartez avec le fromage, mais la leçon qui vous régale aujourd'hui devra s'exporter ailleurs parce que le corbeau à bien reçu le message : ne fais confiance à personne !
Est-ce que cela vaut un fromage ou la peine d'en faire un fromage ?
Il n'y a pas Tapie dans le titre mais ça en parle quand même : https://blogs.mediapart.fr/jean-louis-legalery/blog/211215/ces-laquais-qui-deshonorent-le-journalisme
Vous vous sous-estimez... J'ai cliqué sur le Neuf-Quinze, parce que c'était le Neuf-Quinze. Et que c'est mon petit moment matinal de lucidité newsesque et de réflexion deuxième degré, un petit moment de plaisir intellectuel du jour.
Et j'ai cliqué sur le lien qu'il contenait pour développer ce petit moment, et je l'assume encore :-)
Et vous avez probablement raison : même si les journalistes ne rationalisent peut-être pas eux-mêmes le taux de clics obtenu, je suis bien persuadé que leur rédac-chef (ou au-dessus) le fait, probablement aiguillonné ou guidé en cela par la régie publicitaire...
Et j'ai cliqué sur le lien qu'il contenait pour développer ce petit moment, et je l'assume encore :-)
Et vous avez probablement raison : même si les journalistes ne rationalisent peut-être pas eux-mêmes le taux de clics obtenu, je suis bien persuadé que leur rédac-chef (ou au-dessus) le fait, probablement aiguillonné ou guidé en cela par la régie publicitaire...
J'ai voté pour ce magnifique contenu. Pourtant je n'avais pas cliqué sur Tapie. France inter, ce matin en reparlait avec ironie.
Il y en a un autre , suractif en politique, avec aux fesses une remorque surchargée d'ennuis judiciaires...
Il y en a un autre , suractif en politique, avec aux fesses une remorque surchargée d'ennuis judiciaires...
[quote=D.S.]Ciudadanos, le pendant de droite de Podemos
Sauf qu'apparemment, Ciudadanos se situe à gauche du PP.
Ce qui fait qu'à l'inverse d'en France, la vie politique espagnole penche glogalement à gauche.
Sauf qu'apparemment, Ciudadanos se situe à gauche du PP.
Ce qui fait qu'à l'inverse d'en France, la vie politique espagnole penche glogalement à gauche.
Je cliquerai sur "Tapie" seulement si un grand média propose que lui soit appliqué le châtiment du pilori place de la Concorde.
Pour voter "non". Bien sûr.
Pour voter "non". Bien sûr.
Cliquer, c'est consentir. Cliquer, simplement cliquer sur une actualité comportant dans son titre le mot "Tapie", c'est voter Tapie. Sachez-le ! C'est encourager les sites de presse à "faire du Tapie", puisque Tapie aura "fait du clic". Si vous voulez renvoyer Tapie dans ses pages faits-divers et scandales financiers, si vous voulez l'empêcher de rendre plus inutilement inintelligible un monde qui l'est déjà assez (voir les élections espagnoles), vous n'avez même pas un geste à faire : ne cliquez plus.
Sage principe que l'on peut appliquer à d'autres: Sarkozy, Le Pen, etc... Mais ce "boycott" est bien dérisoire, car je doute que les journalistes rationalisent les clics. Je pense qu'ils ont plutôt des a priori sur quels sujets génèrent des clics, et quels sujets n'en génèrent pas.
Ainsi, bien que le blog "passeur de science" soit régulièrement en tête des articles les plus partagés sur lemonde.fr, la rédaction ne fait aucun effort pour développer les sujets scientifiques car "ça ne marche pas" (cf votre émission à ce sujet).
Sage principe que l'on peut appliquer à d'autres: Sarkozy, Le Pen, etc... Mais ce "boycott" est bien dérisoire, car je doute que les journalistes rationalisent les clics. Je pense qu'ils ont plutôt des a priori sur quels sujets génèrent des clics, et quels sujets n'en génèrent pas.
Ainsi, bien que le blog "passeur de science" soit régulièrement en tête des articles les plus partagés sur lemonde.fr, la rédaction ne fait aucun effort pour développer les sujets scientifiques car "ça ne marche pas" (cf votre émission à ce sujet).