"Quelle époque !" et l'alcool : touche pas à ma franchouillardise
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Commentaires préférés des abonnés
Peut-être que l’on devient « chiant » lorsque l’on arrête de boire et/ou de fumer, en revanche, il y en a un, à part l’individu stoppeur, qui est vachement heureux, c’est le porte-monnaie ; le miens arrive à plus de vingt-cinq ans de pur bonheur…
Sino(...)
Je crois ne pas avoir vécu de moments plus gênants que ceux où soit sobre, soit légèrement enivré, j'ai vu des amis faire et dire n'importe quoi, emportés dans la dynamique de groupe/fêtes/alcool/on est drôle. Le slogan "tu t'es vu quand t'as bu" éta(...)
Je suppose que ça n'intéressera personne, mais pour ma part, je ne bois pas, je n'ai jamais bu et je ne boirai jamais.
Et en soirée, je trouve les gens alcoolisés profondément chiants.
Derniers commentaires
Léa Salamé, quoi...
Encore un interview de très grande qualité de Léa Salamé.
Arrêtez de regarder ces émissions chiantes,surtout le samedi soir,qui nous recycle toutes les retapes de la semaine.
Je suis prêt à parier que dans quelques années ce sera devenu ringard de boire et fumer.
Les jeunes regarderont leurs aînés la clope au bec et le verre à la main avec un peu de mépris.
Du moins c'est ce que l'on peut espérer d'un point de vue santé publique.
Et même tout simplement d'un point de vue émancipation,.après des dizaines d'années de lavage de cerveau par les malboro, ricard & cie par l'intermédiaire des publicités et d'Holywood.
Et avec la tolérance voire la complicité des gouvernants, bien sûr.
Bonjour, Léa Salamé n'est pas ma tasse de thé, je ne regarde jamais cette émission.
J'ai pas compris la fin de l'article. En quoi demander son astuce pour perdre 35 kg est-ce grossophobe?
Quant à l'alcool et bien quand on fait quelque chose qui sort de la norme c'est logique de se faire un peu taper dessus. Bravo à lui d'avoir tenu bon, ça donnera confiance aux autres et petit à petit la norme va bouger.
"C'est simple, dans toutes mes interactions avec les médias, il y en a très peu qui acceptaient de parler de l'alcool en adoptant un point de vue où l'on se demande «pourquoi on en boit », plutôt que «pourquoi on arrête»." Dans les médias, réfléchir à l'alcool est forcément synonyme de maladie. Impossible de remettre en cause notre conditionnement collectif, regrette-t-elle.
"Des milliers de personnes meurent à cause de l'alcool. L'alcool est présent dans deux féminicides sur trois. Les gens se suicident, souffrent toute leur vie à cause de l'alcool. Aussi continuer à dire que l'alcool est une source obligatoire d'amusement est assez indécent. Continuer à vanter un imaginaire irrévérent seulement lié à l'alcool, c'est oublier qu'il détruit aussi le lien social, et les individus."
Passages intéressants sur la perception de l'alcool dans les médias (et la société), merci !
https://www.youtube.com/watch?v=YcuE54E9coI
Cette attitude très ambiguë envers l'alcool, mélange de moquerie, de mépris et et de pousse au crime a de terribles conséquences, c'est qu'il est très difficile, quand on a eu le malheur de tomber dans l'alcool, de s'en sortir. C'est déjà difficile en soi, pas la peine d'en rajouter.
Reaction ridicule de Salamé mais je ne vois pas en quoi c'est particulièrement franchouillard ? Les autres pays européens sont ils si différents ?
Pleins de pays ont la culture de l'alcool et beaucoup sont fiers de leur alcool national.
Pour moi le pire pays ou l'alcool est complètement imbriqué dans la société ca reste la Corée du Sud.
Disons que le créneau horaire, Lea Salamé marche dans les pas de géants d'Ardisson et Ruquier dans lesquels on pouvait entendre racisme, suprémacisme, sexisme, misogynie, voyeurisme, diffamation, cynisme, et plus si affinités.
La télé quand elle traite l'intime le fait rarement avec subtilité.
Mais sur un plateau avec 8 invités différents que tu ne connais pas, parler d'intime, avec ou sans camera, je suppose qu'à aucun moment ce sera constructif.
C'est so chic, l'alcool à la française. Regardez les sitcoms américaines avec des femmes fortes, Grey's Anatomy, the Good Wife etc... toujours un ballon de rouge à la main après avoir passé sa journée à défendre la veuve et sauver l'orphelin.
Il y en a tant qui aiment se complaire dans cette distinction, la pseudo "identité" française et toutes ces conneries. French lover, french kiss, on rougit de plaisir de ces clichés véhiculés par la mythologie du luxe.
Fort déçu de ce papier. On parlait avant-hier de cette séquence sur le discord et j'y espérais justement un article @si qui sorte de ces clichés anecdotiques propagés par les trois mêmes essayistes, sans jamais de regard critique sur leur travail, qui n'a pourtant rien de scientifique.
Bah non. On a l'inénarrable Charlotte Peyronnet, qui transforme sans gêne son cas particulier et récent en généralité, sans jamais se poser la question de si sa vie représente l'ensemble des catégories sociales/géographiques/etc en France. Et ses camarades qui ont l'air à l'avenant.
Résultat, pas de point de vue scientifique , ni même argumenté au delà de "moi je pense ça". Donc du café du commerce. J'attendais beaucoup plus fouillé d'@si, ne serait-ce qu'un.e chercheureuse ou des articles scientifiques.
Le volet médical de la consommation d'alcool est plié depuis longtemps : le minimum d'alcool, si possible pas du tout. Prétendre qu'il y a encore un débat là-dessus serait de la désinformation.
Une fois l'évidence admise, il reste à se poser la question de "pourquoi on boit quand même ?", et là, les témoignages apportent leur éclairage.
Mon premier message ne devait pas être clair, désolé de la confusion.
Je ne parlais pas du tout de ça, mais du discours promu par les intervenantes de cet article quant aux réactions sociales supposées d'un arrêt de l'alcool en France. Discours entièrement anecdotique transformé en vérité générale.
De manière tout aussi anecdotique, ayant moi même arrêté de boire depuis longtemps, je ne partage pas du tout leur expérience, bien au contraire.
D'où ma demande d'une véritable parole experte d'études si elles existent, pas de machine qui raconte sa vie et prétend que c'est un phénomène culturel sans aucune tentative de le démontrer.
Si la consommation d'alcool et ses corrolaires (la sobriété, l'abstinence, la stigmatisation des buveurs et non buveurs qui sortent des normes de consommation) ne sont pas des faits sociaux-culturel alors c'est quoi? De la physique quantique???
Tenez, il y a à la fin de ce document deux pages de bibliographie pour que vous méditiez là dessus:
https://ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/154/?sequence=11
Bah si justement, ce sont des faits socio-culturels. C'est littéralement pour ça que j'aimerais entendre les chercheureuses sur le sujet, des sociologues ou autres, pas une quelconque essayiste qui raconte sa vie !
Merci pour le lien, j'irai lire ça.
pour comprendre le contexte "à la française", voir cette émission-là : https://www.arretsurimages.net/emissions/arret-sur-images/alcool-on-en-fait-un-marqueur-de-lidentite-francaise
Merci !
pôvre Léa, pourtant elle n'a pas hésité à secouer Gaëlle Braun, au cours d'une matinale de France-Inter, elles échangent peut-être naturellement comme ça au moyen-orient!?
finalement j'ai encore raté un moment d’anthologie du paysage audiovisuel, mais je vous laisserai encore le soin d'attirer mon attention à postériori!
Peut-être que l’on devient « chiant » lorsque l’on arrête de boire et/ou de fumer, en revanche, il y en a un, à part l’individu stoppeur, qui est vachement heureux, c’est le porte-monnaie ; le miens arrive à plus de vingt-cinq ans de pur bonheur…
Sinon, effectivement, pour l’entourage ou lors de rencontre d’autres personnes, c’est difficile d’admettre que le joyeux drille fréquenté ne la joue plus ; Allez, un dernier pour la route…
un seul couple d’amis à tout de suite admis la nouvelle norme sans renoncer aux apéros ensemble, ils se sont juste mis à acheter une bouteille de Pacific à mon intention et le rituel est conservé et participatif.
Enfin, ce week-end, c’était les neuf mois de la disparition d’un jeune gars à la rue que j’avais hébergé, aidé et même adopté. Il était très très très fortement pris par l’alcool avec cascades de crise d’épilepsie accompagnés parfois de delirium tremens ; des sevrages à répétition en institution ou à la « sauvage ».
Donc, tant qu’à faire, autant être « chiant » et continuer son périple de vie, plutôt que de se fusiller seul dans son coin.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Je suppose que ça n'intéressera personne, mais pour ma part, je ne bois pas, je n'ai jamais bu et je ne boirai jamais.
Et en soirée, je trouve les gens alcoolisés profondément chiants.