Sur France 2, l'insoumis et les poches du patron
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Mélenchon et le programme de LFI , sont peut être le dernier espoir de la gauche avant longtemps.
Merci pour votre article qui confirme ce que l'on sait depuis longtemps.
Les journalistes de F2 se sont-ils dits qu'il ne fallait pas insulter l'avenir? A part A-S Lapix et P Cohen qui ont été assez misérables en ressortant deux pauvres citations de leur contexte, les autres ont été étonnamment courtois et respectueux, mê(...)
Ce que j'ai retenu du débat, plus qu'une supposée connivence de JLM avec GRB, c'est le ton de certaines questions, cherchant à toujours ramener le débat au ras du plancher. Maryse Burgot avec "une question simple, appelant une réponse simple", au suj(...)
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Allez ça y est c'est dit, arrêts sur image n'est plus libre !!! Daniel croit en un caudillo ! Mais quelle belle gauche ahahah ....
pas compris en quoi le 70 milliards de dividendes méritait d’être cité et même fléché.
Cela ne correspond qu’à une rentabilité de 3% (mieux que le livret A mais pas du tout les mêmes risques).
Bien sûr, quand on y connaît rien, 70 milliards, ça fait beaucoup mais en fait, c’est beaucoup moins que 1000 milliards.
Un style un peu facile, finalement.
Pécresse au Zénith ! Non, pas à son apogée, mais dans la salle où elle a sévi.
De l'avis général, une prestation calamiteuse.
Le charisme d'un bulot, une élocution catastrophique.
Selon un twitto, une cellule psychologique aurait été mise en place à la sortie de la salle, pour les spectateurs en état de choc.
Et pendant ce temps-là, Jeremy Corbyn, "l'insoumis" d'Outre-Manche, participe à un webinaire (conférence en ligne) organisé par une officine affiliée aux Frères Musulmans.
Mais bien entendu, les accusations d'antisémitisme dont il fut l'objet et qui précipitèrent sa démission de la tête du parti travailliste étaient infondées (relire les articles complaisants d'@si sur le sujet).
Accepter un prix de cette assemblée te déshonore pour des siècles et des siècles.
Mais certains aiment ça!
Siné en rigole encore.
Richard Malka vient d'obtenir le prix des députés et du livre politique pour "Le droit d'emmerder Dieu."
Une excellente nouvelle pour tous ceux, nombreux sur ce site, pour qui le terme "liberté" n'est pas galvaudé.
Emission d'une assez bonne tenue .Z'ont compris quelque chose les apprentis journalistes ou bien? Moi ça me fait étrange de voir des journalistes qui n'aboient pas comme des roquets devant un molosse qui leur explique la vie . Je m'inquiéterais presque pour eux .Merde si on ne peut plus perdre de temps à détester ces sacs a fiente on va peut etre pouvoir s'intéresser aux bourgeois et leur captation de richesse indue . Non, vraiment , je suis sous le choc !
Commentaires de libre expression (rires) : Darmarin, Lallement, Valls, Val, Fourest, Luc Ferry, BHL...même combat en véhicules anti-émeutes!
La délicatesse vous est livrée en bleu-bitume.
Convois de la Liberté (rires) : Philippot, Bardella, Mélenchon, même combat !
Il m'a deja étonné Roux de Bézieu chez Thinkerwiew .Y'a pas photo avec les autres candidats , le meme exercice ils se vautreront .Parce qu'aucun , n'a de programme , c'est tout bête .Ils sont juste là pour la gamelle donnée a la becquée par Ursula , et au passage taper dans les milliards , nos milliards ! Faut dire que ce doit etre tentant! Mais c'est pas bien!
Bonjour Daniel, j apprécie beaucoup vos chroniques habituellement mais là j ai été très déçue: Mélanchon est pour moi une partie du problème de la gauche, je trouve son personnage despotique et detestable, et je trouve ça insultant que vous considériez que je suis aveugle de ne pas reconnaitre qu il a la stature d un chef d État. Il a la stature d un Sarkozy sanguin.
Je me suis permise cette critique mais s il vous plait continuez d écrire votre chronique, j en zi besoin chaque matin!
"Connaissance des dossiers, autorité, programme abouti, et bonus humour : il faut être sacrément aveugle pour ne pas voir que Jean-Luc Mélenchon, plus que tout autre à gauche, a la stature d'un chef d'État, maniant le "je" jupitérien (j'embauche, je taxe, je commande…) au sens le plus traditionnel de cette Ve République qu'il veut mettre à bas. C'est d'ailleurs un intéressant paradoxe de la situation."
C'est le paradoxe de n'importe quel candidat de gauche à l'élection présidentielle. Au point que l'abandon du projet de Sixième République par le PS de Lionel Jospin a conduit aux dérives les plus jupitériennes de la Cinquième, par l'adoption du quinquennat et l'inversion du calendrier électoral.
Ce qui donne de la crédibilité à la résolution de ce paradoxe par la candidature de Jean-Luc Mélenchon, c'est bien que la pierre angulaire du programme, c'est la Sixième République, immédiatement matérialisée par l'élection d'une Assemblée constituante. Très franchement, si Mélenchon ne la convoque pas dans les 6 mois qui suivent son élection, il aura mérité un mouvement type Gilets jaunes x10.
Franchement, le président du Medef qui dit à Mélenchon "vous êtes prêt à gouverner", ça sent le baiser qui tue.
On prend les paris que Macron ne sera pas réélu? Il commet tellement de bourdes que je ne suis même plus convaincu qu'il passe le 1er tour
J’ai suivi cet échange entre le candidat et le représentant du patronat. Il y a une première incongruité qui aurait pu être relevée par Jean-Luc Mélenchon : ce que disait Geoffroy Roux de Bézieux faisait de lui un représentant non pas du patronat mais plutôt de l’actionnariat !
J’ai bien compris que le système des stock-options est parvenu à aligner les intérêts de ces deux catégories mais il est toujours bon d'interpeller le grand public et le patronat en interrogeant ce dernier sur sa vassalisation par l’actionnariat. Peut-être l’âme du patronat est-elle encore tapis quelque part, timide mais prête à s’ériger en protecteur de l’entreprise dont les intérêts ne se confondent pas en tous points avec ceux des actionnaires ?
Une autre question reste non résolue : comment Jean-Luc Mélenchon prévoit-il de déjouer les pièges qui avaient contraint la gauche à prendre le virage de la rigueur après 1982 ? Quand Geoffroy Roux de Bézieux fait mine de tempérer en disant que ce ne sera certes pas le chaos, il faut être d’une crédulité hors de proportion (ou être de gauche – est-ce tautologique?) pour envisager une seule seconde que le patronat et la finance se contenteront de poser le crayon.
Et la relance par la demande, la planification ainsi que l’annulation des effacements de charges obtenues par les entreprises depuis les trente dernières années ne seront pas de nature à stopper la machine à concentrer la richesse. A ces retouches plus ou moins substantielles il conviendrait mieux de préférer le chemin que nous montre Geoffroy Roux de Bézieux quand il interprète sa partition de du patronat vassal de l’actionnariat.
Je veux dire par là que la gauche n’aura pas entrepris la fabrication d’une nouvelle société capable de juguler l’effondrement en cours tant qu’elle n’aura pas obtenu l’abolition du privilège actionnarial. On est un peu étonné que Jean-Luc Mélenchon qui dit être entré en politique en passant par l’histoire de la grande révolution ne voit pas ce prolongement naturel et incontournable de l’abolition du privilège féodal !
Les patrons gèrent leurs entreprises avec un crayon ?
J'ai l'impression que le "patron des patrons" s'est fait prendre à son propre piège. Plutôt affable, sans la moindre pointe d'arrogance, de suffisance ou de mépris qui ont tant caractérisé ses prédécesseur·es tels que Parisot ou (pour les plus anciens d'entre nous) le baron Seillière, il a certainement tenté de jouer la carte de la coolitude face au vieux grincheux Mélenchon. Il cherchait évidemment par contraste à ringardiser le candidat rouge.
Mal lui en a pris, car le dispositif s'est inversé. Et c'est Mélenchon qui est apparu détendu, calme, poli et posé. Marrant même ! Si bien que sur la forme, rien n'a dépassé, ni d'un côté, ni de l'autre.
Oui mais ce n'est pas tout. Si Roux de Bézieux n'a donc pu briller sur la forme comme il l'espérait, il ne l'a pas plus remporté sur le fond, comme le souligne très justement Daniel dans son billet. Et pour cause, il ne s'attendait pas à devoir le faire et n'était donc visiblement pas préparé !
Il n'a jamais eu le temps de développer les sempiternels éléments de langage (dette, déficit public, compétitivité, chantage à la délocalisation et à l'évasion fiscale, etc.). Si bien que le tribun a pu dérouler tranquillement toutes ses réponses sans un mot plus haut que l'autre, ce qui est remarquablement rare, surtout face à un représentant chimiquement pur de la haute caste qui détient réellement le pouvoir.
Étrange échange au final, qui se termine sur un ton potache. Si j'étais un grand patron ou un héritier multi-millionnaire, j'aurais immédiatement saisi les instances idoines pour faire virer ce Roux de Bézieux inconséquent et incapable de démolir un candidat dangereusement de gauche dans des conditions et une ambiance pourtant parfaites pour le faire...
En tout cas, cimer Geoffroy ! Reviens quand tu veux, gros ! ;-)
"JLM a la stature d'un chef d'Etat parce qu'il sait manier le "je" jupitérien"... Mais qu'est-ce que c'est que cet argument ??? Que signifie "manier le "je" jupitérien" ??? D'après l'exemple donné, ce serait faire des déclarations volontaristes ("je vais agir", "je vais sauver la France", "je vais faire de mon pays une start-up nation"...) ??? Dans ce cas Sarkozy, Macron et Zemmour ont tous les trois une stature de chef d'Etat...
En fait, tous les candidats (même ceux qui feront 1% des voix) emploient le même "je", les mêmes déclarations volontariste. L'argument de DS n'en est pas un, Mélenchon n'a pas plus (ou pas moins) la stature d'un homme d'état que Hidalgo, Zemmour, Asselineau, etc.
La chronique reflète juste le parti-pris pro-mélenchon de Schneidermann, rien de plus.
La chronique reflète juste le parti-pris pro-mélenchon de Schneidermann, rien de plus.
mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
Mega LOL
Donc les mélenchonnistes n'ont pas encore compris que Daniel Schneidermann est pro-mélenchon. Mega LOL comme vous dites, votre aveuglement politique est encore pire que ce que j'imaginais.
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Le mélenchoniste que je suis est plutôt d'accord avec ça, j'ai juste du mal avec le mot "parti-pris" qui peu indiquer un manque de sérieux journalistique, c'est peu-être ce qui a fait tiquer Prométhé.
Je dirais aussi que, jusqu'aux résultats, DS se montrait pro-primaire populaire et qu'il est aussi plutôt pro-EELV, entre autre.
j'ai juste du mal avec le mot "parti-pris" qui peu indiquer un manque de sérieux journalistique
Vous voulez dire, après toutes ces années passées à montrer que les journalistes ne sont pas neutres et qu'on peut être journaliste engagé ET pertinent, on en est toujours là ? A insinuer qu'un parti-pris, c'est mal ? Parti-pris signifie simplement que DS a pris le parti de JLM, c'est tout.
Je dirais aussi que, jusqu'aux résultats, DS se montrait pro-primaire populaire et qu'il est aussi plutôt pro-EELV, entre autre.
Contrairement à certains mélenchonniste de ce forum, DS n'est pas sectaire, mais il est clair par ses écrit qu'il est plus proche du discours de LFI que d'EELV.
A insinuer qu'un parti-pris, c'est mal ?
C'est plus compliqué que ça, le sens "de parti pris" peu se comprendre comme partial, déforment volontairement le réel. Avoir un point de vu politiquement situé n'empêche pas l'honnêteté.
mais il est clair par ses écrit qu'il est plus proche du discours de LFI que d'EELV
Honnêtement, je serais un peu plus large et je ne trancherais pas entre l'aile gauche d'EELV et l'aile la plus parlementariste et internationaliste de la FI. Mais je vous accorde qu'il est plus Mélenchon que Jadot.
En fait, tous les candidats (même ceux qui feront 1% des voix) emploient le même "je", les mêmes déclarations volontariste. L'argument de DS n'en est pas un, Mélenchon n'a pas plus (ou pas moins) la stature d'un homme d'état que Hidalgo, Zemmour, Asselineau, etc.
Percevoir une graine de chef d'état (même si c'est une vieille graine), c'est un peu comme voir un acteur qui crève l'écran. Ça vous saute aux yeux si vous y êtes réceptif. Nous avons tous nos sensibilités respectives. Certains perçoivent le toucher de notes d'un pianiste, d'autres les couleurs d'un tableau, et certains un chef d'état quand ils en voient un. Chacun ces trucs, y a pas de jugement de valeur la dedans.
En revanche on ne peut vraiment pas mettre dans le même sac une Hidalgo qui est totalement dépassée par le rôle et un JLM qui est comme un poisson dans l'eau. En politique, une candidature comme Hidalgo ca porte même un nom, ca s'appelle une "erreur de casting" (désolé j'ai pas de cédille sur le clavier).
C'est plutôt JLM qui est une erreur de casting :-)
Enfin bon, ce que je voulais souligner, c'est que cette supposée "graine de chef d'état" n'existe pas plus chez JLM que chez les autres, et à vrai dire je doute qu'une telle stature soit décelable à l'avance. C'est une fois au pouvoir que les hommes et femmes se comportent ou non comme des chefs d'états, et encore, cette notion tient plus de l'étiquette que de la politique.
Vous avez raison, en revanche on connait ceux ( et celles ) qui n'auront jamais la stature, et qui, pour tout dire, font légèrement honte ...
vous êtes d'accord avec Tristan tout en disant le contraire quelques mots après.
c'est ça qui est drôle
Je me demande si en parlant de légère honte, vous ne pensez pas à Zob ( dit Tête de Cul ) ?
Il me semble avoir compris qu'en évoquant Zob, Simon préférait qu'on écrive plutôt Tête-de-Noeud .
N'est-il pas ?
bah, on voit où votre mépris mène.
continuez dans cette voie là, tout va bien se passer.
Simon tu fais partie de notre folklore à tous. Heureusement que tu es là, et je le dis sans ironie.
Même si on est pas du même bord, qui aime bien châtie bien ;)
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Tristan et Neity sont de vrais comiques qui s'ignorent !
Hé les mecs, montez un two men show, ça devrait cartonner dans les EHPAD !!! ^^
Hidalgo devrait déjà s'occuper de sa mairie, car en plus à l'époque elle avait promis à ses électeurs qu'elle n'irait pas à la présidentielle.
on a l'impression qu'elle y va un peu par un concours de circonstances, et qu'elle y va pour de mauvaises raisons (constituer un rempart contre l'extrême-droite). avec un rempart pareil, l'extrême-droite est tranquille.
JLM est beaucoup plus cohérent de ce point de vue-là. l'objectif c'est la présidentielle et pas autre chose, et depuis longtemps.
Vous remarquerez Simon dès que vous ne parlez plus de Zemmour, vous dites des choses pertinentes et censées.
En fait, tous les candidats (même ceux qui feront 1% des voix) emploient le même "je"
Vous n'avez apparemment jamais entendu Poutou s'exprimer. C'est dommage. Et sinon DS a raison de relever la dissonance cognitive de JLM qui est effectivement du même bois que Macron, Buisson, Guéant ou Zemmour : celui de la V eme et de l'hyper présidentialisation et ce même s'ils ne portent évidemment pas les même maillots.
Si, j'ai très souvent écouté Poutou, et j'apprécie qu'il emploie en effet un ton très différent de JLM et des autres.
A vrais dire, il faudrait voir si ça ne correspondrait pas aux fonctionnement normal des candidatures de témoignages, je n'ai pas assez observé leurs sémentiques pour me faire un avis. (Je ne compte pas Hidalgo ou Asselineau dans cette catégorie malgré les scores réels ou anticipé, à terme, ils veulent le poste.)
Moins une question de "témoignage" que de positionnement politique. A droite, même les candidats 1% sont à fond dans la rhétorique du "je décide". En fait, seuls les trotskistes, communistes (à vérifier pour Roussel) et un peu les ecolos privilégient le nous au je. Les autres s'accommodent bien de la personnification de l'élection présidentielle.
C'est le sens que je voulais mettre dans "témoignage", seul les candidature de gens ne voulant pas gagner la présidentielle ont cette rhétorique, en tout cas c'est ma perception.
Hidalgo, Lassale, Dupond-Aignant, Roussel sont suffisamment intelligents pour savoir qu'ils ne peuvent pas gagner la présidentielle (pour Asselineau, c'est plus discutable). Ils se présentent pour faire exister leur parti, négocier politiquement des alliances et surtout pour jouer dans la cour des grands. Pas pour gagner dans la cours des grands. Ce sont donc des candidats "témoignage", et tous manient le "je" présidentiel comme s'ils étaient aux portes de la victoire.
Oui, parce qu'ils se projettent dans une éventuelle victoire de leur parti, voir d'eux même dans 5, 10 ans voir plus, en tout cas une victoire potentielle, peu être en coalition. Ils adhèrent au régime présidentiel, au moins temporairement, et s'inscrivent dedans, ce n'est pas le cas de Poutou et d'Arthaud.
J'admet que j'utilise ici une définition plus restrictive de la "candidature de témoignage" que celle ordinairement usité.
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Donc le chef du Medef apprécie Méluche.
1) Soit c'est parce qu'il a réellement de l'estime et du respect pour Mélenchon en dépit de leurs idéologies politiques contraires
2) Soit c'est parce qu'il apprécie que Mélenchon serve de repoussoir et de diviseur de la gauche, assurant ainsi la victoire de la droite.
Je laisse les mélenchonistes se démerder avec ces deux possibilités, de voir laquelle est la plus probable.
Mr D Snhneidreman est dans l'air du temps ,ni totalement acteur ,ni totalement spectateur , son paradoxe , il lui reste évaluateur .
Quand on pense que cette Homme Politique d'envergure ferait moins de voix que le petit zob !
faudrait deja qu 'il soit au premier tour !!! pourquoi des gens qui feront 1 pour cent et inaudibles ( Lasalle Arthaud) ont ils des "chances de se presenter ? et pas Melanchon ou le Pen, qui ont eu 40 pour cent des votes la derniere fois .. le systeme est foireux
"Un tel débat respectueux..." Ah les bourgeois et les apparences et la RESPECTABILITE.
Dans ce monde on peut balancer les pires MENACES, les pires SALOPERIES du moment qu'on le fait avec le sourire et sans élever la voix c'est ok pour la bonne société.
Le mérite de ce face à face c'est que le représentant du CAC a confirmer ce que l'on savait déjà. Si une gauche de rupture qui impose une autre redistribution des richesses ce sera la GUERRE. Rien de nouveau sous le soleil cela s'appelle la LUTTE de CLASSES.
Ils organiseront la pénurie et diront Venezueĺlllla...
Oui ce débat a été utile pour rappeler le vrai visage du capitalisme et ce dont il est capable lorsqu'il sent ses privilèges menacés
je ne connais pas le programme de FI sur ce point, mais quand il s'agit de taxer les entreprises, s'agit-il de taxer tous les bénéfices, ou seulement ceux qui sont distribués et non réinvestis ?
car bien entendu dans le deuxième cas ça réduit à néant l'argument patronal...
"Ecce homo", comment on devient ce qu'on est
en s'appuyant sur un programme issue d'une élaboration et éclosion collectives..
L'élection du Président au suffrage universel et la situation de crise sociale et sociétale, d'instabilité permanente dans laquelle se trouve le pays aujourd'hui, font qu'un candidat de gauche présentant un programme de réformes, aussi solide soit-il, obtiendra toujours moins de voix qu'un populiste de droite ou d'extrême-droite surfant, avec l'aide des médias, sur les peurs de ses concitoyens.
"a la stature d'un chef d'État, maniant le "je" jupitérien (j'embauche, je taxe, je commande…) au sens le plus traditionnel de cette Ve République qu'il veut mettre à bas ".
Le mouvement des Gilets-Jaunes n'a pas prouvé par A+B que les français en ont marre de cette fameuse 5ème République ? @si à pourtant bien documenté le sujet non ?
je vous invite à lire re-lire ou écouter cet article du Monde Diplomatique de janvier : " On aimerait bien, mais on ne peut plus..."
Ainsi que de revoir la rencontre Mélenchon/Macron avec l'apport de Darwin "L'Expression des émotions chez l'homme et les animaux" Très instructif...
Quelques petites choses que j'ai retenues:
- Salamé qui dit que d'autres aussi ont promis que plus personne ne dormirait dans la rue, mais qu'ils n'ont pas "pu" le faire...
- La journaliste sur la sequence géopolitique, je me suis demandé si elle etait vraiment journaliste tellement elle était partisane, et la voir s'en defendre etait risible.
- Cohen et son droit a l'islamophobie qui sr fait rembarrer en un mot avec "le droit à la judeophobie"
- Marlène Schaippa, à l'image des "gens comme elle" qui fait un procès en antisémitisme a mots couverts. Elle va pas être plus directe n'est-ce pas, il ne faudrait pas s'exposer à un procès. Qu'elle retourne à l'écriture de ses horreurs de livres et de sa page wikipedia, et qu'elle constate le bilan catastrophique de "la grande cause du quinquennat".
- Étonnamment, il n'y a que Lapix qui a mis JLM en difficulté et je trouve qu'elle s'en est bien sortie (mêe si j'aimerais avoir le fin mot sur le fond du sujet car ma confiance ne lui est pas acquise loin de là)
Et bien, comment dire ? Moi, Mélenchoniste depuis des temps immémoriaux, ce passage ne m'a pas fait rire du tout et même gênée. Suis-je la seule ?
Tout y était, avec le sourire certes, de la part du patron du medef :
- le chantage au blocage, (pas au chaos hein, parce que "ces gens là Monsieur"....)
- le chantage au chômage, (qui est déjà là, on dirait que bezieux ne le sait pas)
- le chantage aux fuites de capitaux,
- et apothéose la guerre qui viendrait paralyser le pays.
Cela ne rappelle rien d'une certaine époque avec un autre Z en embuscade et soutenu par les patrons et leur fric ?
Comme le rappelle souvent JL Mélenchon : " le capitalisme ne sait pas résoudre les crises autrement que par la guerre"
Il est urgent de rompre avec leur folie.
Les journalistes de F2 se sont-ils dits qu'il ne fallait pas insulter l'avenir? A part A-S Lapix et P Cohen qui ont été assez misérables en ressortant deux pauvres citations de leur contexte, les autres ont été étonnamment courtois et respectueux, même Léa Salamé a été avare de ces airs de commisération dont elle a le secret quand elle doit supporter le discours d'un opposant au régime qu'elle chérit tant.
Quant aux questions du public, dont le choix est si souvent orienté négativement par le journaliste qui les sélectionne, elles étaient particulièrement incisives et permettaient à JLM de déployer son programme.
Et rien sur l'indispensable union de la gueuche.
Et puis éviter Nathalie Saint-Cricq, Françoise Fressoz, quel bonheur!
Cette émission, c'est peut-être le tremplin pour le deuxième tour. Il faut y croire!
Ce que j'ai retenu du débat, plus qu'une supposée connivence de JLM avec GRB, c'est le ton de certaines questions, cherchant à toujours ramener le débat au ras du plancher. Maryse Burgot avec "une question simple, appelant une réponse simple", au sujet de la crise ukrainienne. Comme si celle-ci se résumait à "Poutine, bon ou pas bon ". Face à JLM et la LFI, il s'en trouve toujours un pour tenter de réduire le propos jusqu'à sa plus "simple" expression. Peut-être parce que c'est le seul mouvement à présenter un programme cohérent, et à vouloir baser sa campagne dessus ? Ah c'est sûr, JLM fut hier soir un bien moins "bon client" que Zemmour, nettement plus facile à saisir. J'ai trouvé M. Burgot très "journaliste basique", hier.
Mélenchon a toujours dit (et il le répète dans Thinkerview ) que son projet de remplacer la 5éme république (présidentielle ) par une constituante prendra du temps ( 2 ans semble-t-il ... ??? ) et que pendant ce temps là, il gouvernera avec les outils qu'il aura à sa disposition
Donc, des décisions seraient prisent avec les outils de la 5éme
(comme pour Mitterand et son coup d'Etat permanent qui l'a bien arrangé en fin de compte )
Mélenchon et le programme de LFI , sont peut être le dernier espoir de la gauche avant longtemps.
Merci pour votre article qui confirme ce que l'on sait depuis longtemps.
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Il est très crédible, mais en ce qui concerne les poches, l'affaire est loin d'être ... dans la poche.
Comme F. Roussel, J.-L. Mélenchon rejoint donc le camps des candidats de gauche validés par la droite. À, LFI la pâmoison est arrivée seulement pour le second. Pour le premier, c'était la preuve du Mal. Dissonance cognitive ?
Pas taper, je taquine (c'est pas nos adversaires qui doivent nous définir) . Merci pour la chronique.
" J'embauche, je taxe, je commande, et , mais malheureusement je ne serai pas au 2eme tour.... "