Tribunes sur le Covid : cacophonie des scientifiques
Quel bazar ! Avant ou après les dernières annonces gouvernementales, médecins et universitaires ont rivalisé de tribunes... qui se contredisent, entre critique d'une politique jugée anxiogène et avertissements sévères aux Français. On les a lues pour vous.
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Le gouvernement, tout en multipliant les appels à la responsabilité individuelle, se prépare à l'éventualité d'une nouvelle catastrophe sanitaire. Et ça ne plaît pas à tout le monde.
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Au fait, il n'y a pas de cacophonie dans les journaux scientifiques. Les connaissances sur la maladie progressent, on traite mieux les malades, et si on n'a pas encore de vaccin ou de remède, ce n'est pas faute d'avoir essayé.
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Les journalistes auront à apprendre de cette crise. Ils ont démontré qu'ils relayaient sans recul tout et son contraire. Une hypothèse : l'absence de culture scientifique qui leur fait gober n'importe quelle analyse du premier expert venu. Plutôt que(...)
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Sur France culture, il y a quelques années déjà : De l'imposture en science dans l'émission La Marche des sciences par Aurélie Luneau :
De tout temps, si les avancées scientifiques ont généralement participé au progrès de la civilisation en marche, elles se sont aussi conjuguées avec des fraudes, des impostures, des canulars et autres dérives de la nature humaine. Des situations qui, tout au long de notre histoire, ont pu jeter le trouble dans l'opinion publique et perturber notre rapport à la science. Des manipulations de résultats scientifiques aux extraterrestres, du tout génétique au clonage humain, en passant par la théorie des races, l'affaire de l'homme de Piltdown en 1912, celle du professeur Hwang, célèbre chercheur de Séoul et fraudeur professionnel du clonage humain en 2006 ; le catalogue des tromperies, volontaires ou maladroites, a de quoi alimenter le débat. Aussi, à l'occasion de la parution récente du livre de la physicienne Aleksandra Kroh, « Petit traité de l'imposture scientifique », paru chez Belin science, et en compagnie du biologiste moléculaire et généticien Bertrand Jordan, également directeur de recherche au CNRS, auteur notamment du livre « Les imposteurs de la génétique », publié au Seuil, nous allons nous interroger sur les mécanismes qui ont généré et favorisé ces impostures. Quels facteurs ont régulièrement précipité le monde scientifique dans ces situations de fragilité et de vulnérabilité ? Comment fonctionne cette machinerie subtile ? Et en seconde partie d'émission, vers 14h48, Pierre Lamarque, ethnologue et directeur artistique du festival Jean Rouch sera avec nous pour nous en dire plus sur la programmation de cette 29è édition du festival du film ethnographique. Un événement qui a lieu à l'auditorium du Muséum national d'Histoire Naturelle de Paris, du samedi 27 mars au lundi 5 avril, avec des récits de vie magnifiques, dans la veine de Jean Rouch !
Ecouter aussi actuellement :
Radiographies du coronavirus, la chronique Par Nicolas Martin
Du lundi au vendredi à 8h55
A la fois instructif mais quelle conclusion pathétique alors que c'est le problème...Les cas augmentent...Mais les cas de quoi?? Y'a des putains d'indicateurs pour évaluer la nature et la prévalence d'une maladie c'est le nombre de malades et de morts vous êtes pas foutus de faire une règle de trois, il y a 0.17% de morts dans les Pyrénées orientales liés au covid depuis février ! Il y a 5 personnes en réanimation toujours dans ce département soit 30 % de l'effectif global des lits de réanimation et on va passer en rouge écarlate et on a été confiné 2 mois ! Vous ne voyez donc pas que c'est structurellement les 71 000 lits hospitaliers détruits depuis 2007 qui est la base du problème !
Il vous manque une tribune importante me semble -t-il datant de la même période :
http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes-politique-monde/message-dalerte-international-de-professionnels-de-sante-aux?fbclid=IwAR26mcB-nxG7EKmX0otPI6pKWhXkVDv1rd04qj97tj7RFwwUr32t-9-W_kU
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Excusez moi de vous demander pardon, les humains, mais puis-je vous aider en quelque manière ?
Il faut faire attention à ne pas réduire la communauté scientifique aux membres qui s'expriment dans la presse généraliste. Il y a là un cas classique de biais de sélection, les personnalités médiatiques n'étant pas forcément les plus brillants scientifiques (mais souvent les plus financées)...
Le job des scientifiques est de communiquer via des articles scientifiques, dans des revues scientifiques. Certes avec son lot d'études de qualité diverse, mais l'accumulation des études permet souvent de finir par trancher pour ou contre telle hypothèse.
S'il existe beaucoup d'études de qualité discutables, c'est lié à plusieurs mécanismes, principalement (à mon sens) la pression et l'évaluation quantitative de la production scientifique d'un chercheur (publish or perish). Mais il ne faut pas négliger le financement lié aux publications scientifiques (les publis rapportent des financements aux établissements de santé : https://www.ifct.fr/index.php/en/la-recherche/item/2065-sigaps-pour-quoi-faire-et-pour-qui) qui fait que publier des bouses en quantité peut permettre de rapporter gros au final - c'est d'ailleurs le fond de commerce de l'IHU de Raoult, entre autres, et pour des sommes (deniers publiques) de plusieurs ordres de grandeur supérieures aux conflits d'intérêt qu'on reproche, à titre d'exemple, au SPILF (conflits d'intérêt qu'on a raison de questionner).
Et si on nous laissait décider tout seuls comme des grands, puisque de toute façon, il y a "cacophonie", tant chez les scientifiques que chez les politiques : ceux qui craignent le virus se confinent, ne sortent que si c'est absolument nécessaire et en évitant les rues et lieux bondés ainsi que les heures de pointe, se masquent, s'hydroalcoolisent les mains et tout ce qu'ils veulent, se font livrer à domicile, privilégient les livres, les disques, l'internet et (éventuellement) la télé pour se distraire et se cultiver.
Et les autres, vivent leur vie.
Tout cela dans la joie, la bonne humeur et la fraternité. À quoi bon prendre la vie au sérieux puisque de toute façon nous n'en sortirons pas vivants (A. Allais)
"Pendant ce temps, les cas augmentent, exponentiellement".
Mais des cas de quoi ? Que penser de tous ces porteurs sains de virus ?
Une épidémie c'est une augmentation significative du nombre de malades et de morts. Depuis deux ou trois mois les statistiques officielles donnent une moyenne de 20 décès par jour pour le covid.
Pour une mise en perspective : c'est 3 fois moins que les décès sur la route, 10 fois moins que les suicides, 30 fois moins que les morts par AVC, 40 fois moins que les décès dus à l'alcool ou à à la pollution...
J'avoue m'être désintéressé de cette question en raison justement de cette cacophonie générale. Je ne suis pas scientifique : je suis donc non équipé pour lire et surtout comprendre les revues scientifiques. Je ne suis pas politicien : je n'ai aucun intérêt direct ou indirect à recommander ceci ou cela.
Par contre.
Je suis un piéton parisien qui constate avec surprise (et satisfaction) que le port du masque en extérieur, pour inconfortable qu'il soit, m'a "guéri" des mes allergies au pollens ! :)
J'ai certes les lunettes un peu embuées mais je ne pleure plus et n'éternue plus. J'envisage donc de le conserver au-delà de l'épidémie. Sûrement que d'ici-là, il existera des modèles plus ergonomiques.
Au fait, il n'y a pas de cacophonie dans les journaux scientifiques. Les connaissances sur la maladie progressent, on traite mieux les malades, et si on n'a pas encore de vaccin ou de remède, ce n'est pas faute d'avoir essayé.
Il y a la cacophonie habituelle dans les journaux alimentée par le peu de culture scientifique des journalistes, politiques et aussi de l'immense partie de la population. Le covid étant devenu un sujet politique, les gens y collent leur opinion politiques et ne soucient guère des faits.
Pour quiconque fait l'effort de s'informer un peu, les choses sont assez clairs:
1) Il y a bien une deuxième vague, avec une augmentation exponentielle des cas détectés (doublement toutes les 2 semaines environ): l'épidémie progresse donc beaucoup moins vite qu'en mars (ou c'était un doublement tous les 3-4 jours), sans doute grâce aux gestes barrières.
2) Les politiques (et la plupart des média) n'y comprennent que dalle. Le gouvernement ne fait rien d'efficace pour lutter contre la maladie, espérant simplement que les hopitaux ne seront pas submergés par la deuxième vague comme ils l'ont été par la première (pour le moment, ca va encore)
3) On est loin d'en avoir fini avec cette maladie. Pas de sortie de crise à l'horizon.
> l'épidémie progresse donc beaucoup moins vite qu'en mars [...] sans doute grâce aux gestes barrières.
Et sans doute du fait que la population, ayant été exposée au virus depuis maintenant plus de 6 mois, a acquis une certaine immunité.
Et sans doute du fait que la population, ayant été exposée au virus depuis maintenant plus de 6 mois, a acquis une certaine immunité.
Non. Seule une faible portion de la population française a été atteinte jusqu'à présent. Il y a eu 30 000 morts. Sachant que le taux de létalité du Covid-19 est généralement estimé entre 0,5 et 1%, cela signifie qu'il y a eu entre 3 et 6 millions de malades lors de la première vague.
L'immense majorité de la population n'a pas été en contact avec le virus.
"Seule une faible portion de la population française a été atteinte jusqu'à présent."
Le fait que de nombreuses personnes, testées positives, soient asymptomatiques suggère le contraire: que nous pourrions être assez nombreux à avoir rencontré le virus sans nous en apercevoir.
Non. Les asymptomatiques sont déjà comptés pour calculer le taux de létalité.
Il y a au mieux 10% de la population qui a été en contact avec le virus, pas plus.
Réponse "on traite mieux les malades" on ne traite pas les malades on es prend en charge .... Hydroxy étant interdite en prescription ...
"Pour quiconque fait l'effort de s'informer un peu, les choses sont assez clairs : 1) Il y a bien une deuxième vague, avec une augmentation exponentielle des cas détectés (doublement toutes les 2 semaines environ): l'épidémie progresse donc beaucoup moins vite qu'en mars (ou c'était un doublement tous les 3-4 jours), sans doute grâce aux gestes barrières.
- " D'après les données de officiels (liens ci après) ,Oui il y a une augmentation des cas ,mais avec des chutes intermédiaires (ex : le 10/09 9843 cas mais le 07/09 4203 cas) alors la forme exponentielle ?
- Autre élément qui fait douter quiconque s'informe ,si l'on met en perspective la courbe du nombre de cas (même si l'on admet sans resserve l'exponentielle) et la courbe de décès à l’hôpital ,un chose apparaît clairement ,le 31 mars on avait 7578 cas avec 500 décès .... et le 10 septembre donc 9843 cas et 40 décès .... Taux de mortalité actuel de 0,5% donc il y a de quoi s'interroger sur les mesures sanitaires (comme les amendes à tout va ou le masque en extérieur) du gouvernement et le réel objectif ou les compétences du gouvernement ....
2) Les politiques (et la plupart des média) n'y comprennent que dalle. Le gouvernement ne fait rien d'efficace pour lutter contre la maladie, espérant simplement que les hopitaux ne seront pas submergés par la deuxième vague comme ils l'ont été par la première (pour le moment, ca va encore)
- D'accord ....
3) On est loin d'en avoir fini avec cette maladie. Pas de sortie de crise à l'horizon.
- Il y a une sortie arrêter avec cette épidémie reprendre une vie normale... Radicale mais vital... je suis sur la position de André Comte Sponville
Oui il y a une augmentation des cas ,mais avec des chutes intermédiaires (ex : le 10/09 9843 cas mais le 07/09 4203 cas) alors la forme exponentielle ?
Soit vous êtes complètement nul en maths, soit complètement de mauvaise foi. Régression exponentielle, ca vous dit quelque chose ? Surtout que dans d'autres messages vous faites des régressions linéaires.
le 31 mars on avait 7578 cas avec 500 décès .... et le 10 septembre donc 9843 cas et 40 décès .... Taux de mortalité actuel de 0,5%
1) En mars, il y avait de très nombreux cas non détectés
2) le taux de létalité de la maladie est estimé entre 0,5 et 1% ... tant que les hopitaux ne sont pas débordés.
3) il faux comparer le nombre de morts aux nombre de cas détectés environ 1 mois avant. comparez les 30/40 morts/jours aux nombres de cas détectés mi aout (environ 3000-4000/jour) et vous avez 1% de taux de létalité... sans doute un peu moins car tous les cas ne sont pas détects, même aujourd'hui.
Il y a une sortie arrêter avec cette épidémie reprendre une vie normale...
C'est ça. Laissons la maladie contaminer tout le monde. Même dans le cas le plus optimiste (0,5% de taux de létalité, immunité collective atteinte avec 50% de la population), cela représente 150 000 morts. Dans le cas pire cas, c'est plutôt 600 000 morts. Une broutille, sans doute à vos yeux.
Oui il y a une augmentation des cas ,mais avec des chutes intermédiaires (ex : le 10/09 9843 cas mais le 07/09 4203 cas) alors la forme exponentielle ?
Soit vous êtes complètement nul en maths, (..) (je suis physicien neuneu !)
- Régression exponentielle mais sérieusement,vous foutez du monde ... De plus quand j'ai parler de linéarité ,je faisais remarque que sur les dernières (5 environ) la forme tendancielle n'est probante ,on étudie une tendance ou ses variations ? Vous répondez quoi au chute ,vous excluez ce qui ne vous convient pas et Hop une exponentielle ce n'est pas sérieux ...
Il y a une sortie arrêter avec cette épidémie reprendre une vie normale...
c'est quoi cette argument je m'en doute qu'il faut reprendre une vie ...ZIC vous parlez de rigueur et de débat contradictoire mais vous ne répondez pas ....Il y a plus de cas détecté moins de morts mais l’Épidémie progresse ? Juste on test au moins 10 fois plus de gens mais c'est pas important comme paramètre
C'est ça. Laissons la maladie contaminer tout le monde. Même dans le cas le plus optimiste (0,5% de taux de létalité, immunité collective atteinte avec 50% de la population), cela représente 150 000 morts. Dans le cas pire cas, c'est plutôt 600 000 morts. Une broutille, sans doute à vos yeux.
Mais le mortalité est à plus 90 % au dessus de 70 ans ,le taux de contamination (exemple bordeaux est de 0,25% ) donc c'est 0,5 % de mortalité en rapport avec 0,25% de contamination (600 000 MORTS mais ça va pas bien ?) et une immunité collective à 50% mais je répète de taux de contamination est au pire de 0,25 % ...Donc pas du tout les chiffres que vous donnez , vous parlez de rigueur,anti-intellectualisme et vous caricaturez mon propos ...Vos calculs sont remplit de biais ... Qui à dit que les morts étaient une broutille c'est idiot comme remarque ...Décortiquer les données officiels et les méta données puis on discute ,vous semblez bien plus remplit de certitudes que d’arguments
(je suis physicien neuneu !)
Vous êtes un physicien neuneu ? Ah, ca explique bien des choses alors.
je faisais remarque que sur les dernières (5 environ) la forme tendancielle n'est probante ,on étudie une tendance ou ses variations ?
On étudie la tendance. Depuis mi-juillet, tendance exponentielle avec un doublement toutes les 2 semaines environ. Faites la régression exponentielle et vous verrez bien.
Il y a plus de cas détecté moins de morts mais l’Épidémie progresse ? Juste on test au moins 10 fois plus de gens mais c'est pas important comme paramètre
On teste plus qu'au printemps, oui. Mais comme je n'ai jamais fait l'erreur, contrairement à vous, de sous-estimer le nombre de cas réels, ça ne change rien à ce que j'ai dit.
Mais le mortalité est à plus 90 % au dessus de 70 ans ,le taux de contamination (exemple bordeaux est de 0,25% ) donc c'est 0,5 % de mortalité en rapport avec 0,25% de contamination
Je vous parle du taux de létalité (nombre de mort/nombre de cas) qui est estimé entre 0,5 et 1%. Il est même plus élevé (de l'ordre de 2-3%) quand les hopitaux sont débordés.
La population française, c'est plus de 60 millions. Meilleur des cas (immunité collective à 50%, létalité 0,5%) c'est 150 000 morts. Pire des cas (100% de la population contaminée, létalité 1%) c'est 600 000 morts.
(je suis physicien neuneu !)
Vous êtes un physicien neuneu ? Ah, çà explique bien des choses alors. (??? ok encore une attaque perso l'art d'avoir toujours raison ? est-ce une tare ? c'est vrai que les démarches scientifiques en sciences physiques ne sont pas opérantes , bref je ne vais pas aller plus avant...Inutile bas niveau)
je faisais remarque que sur les dernières (5 environ) la forme tendancielle n'est probante ,on étudie une tendance ou ses variations ?
On étudie la tendance. Depuis mi-juillet, tendance exponentielle avec un doublement toutes les 2 semaines environ (de quoi ? du nombre hospitalisation ,de décès ,de cas de quoi au juste ?). Faites la régression exponentielle et vous verrez bien. Merci ,c'est fait avec l'ensemble des données ,on ne trouve aucune tendance exponentielle et si elles existent , elles ne sont pas transposable sur les différentes données donc on ne peut tirer aucune tendance encore moins des conclusion alarmistes genre 600 000 MORTS ! ....Mais ça c'es si on c'est ce que signifie paramètres d'influences....
Il y a plus de cas détecté moins de morts mais l’Épidémie progresse ? Juste on test au moins 10 fois plus de gens mais c'est pas important comme paramètre
On teste plus qu'au printemps, oui. Mais comme je n'ai jamais fait l'erreur, contrairement à vous, de sous-estimer le nombre de cas réels, ça ne change rien à ce que j'ai dit. Ah bon ? le nombre cas réel ,mes erreurs ? j'ai juste pris les données officielles et vérifiables encore un jugement de valeur zéro argument chiffré néant (citer l'erreur ? merci)
Mais le mortalité est à plus 90 % au dessus de 70 ans ,le taux de contamination (exemple bordeaux est de 0,25% ) donc c'est 0,5 % de mortalité en rapport avec 0,25% de contamination
Je vous parle du taux de létalité (nombre de mort/nombre de cas) qui est estimé entre 0,5 et 1%. Il est même plus élevé (de l'ordre de 2-3%) quand les hôpitaux sont débordés. D'accord létalité mortalité vous changez au grès du vent ...Alors là ,vous êtes mal tombé ,car si l'on prend le taux de létalité , il évolue en fonction du temps et actuellement il est de moins de 1% sur les "cas" comme vous dites donc très très loin d'obtenir 600 000 morts à moins que toute les cas meurent avec une constante de 1% ce qui n'est pas le cas ,puisque seulement 0,25% des "cas" déclenche des formes qui conduisent à une hospitalisation...Et je répète (mais visiblement l’argument vous passes au dessus de la tète) Il y a 0,5 % de létalité rapport 0,25% des "CAS"....Actuellement !
La population française, c'est plus de 60 millions. Meilleur des cas (immunité collective à 50%, létalité 0,5%) c'est 150 000 morts. Pire des cas (100% de la population contaminée, létalité 1%) c'est 600 000 morts.
Depuis mi-juillet, tendance exponentielle avec un doublement toutes les 2 semaines environ (de quoi ? du nombre hospitalisation ,de décès ,de cas de quoi au juste ?)
Du nombre de nouveau cas (comme c'est écrit dans le message initial). Pour le nombre d'hospitalisation et de décès, la courbe suivra probablement aussi une exponentielle mais comme les nombres sont encore faibles (et quil y a un décalage de plusieurs semaines entre le début de la maladie et la mort), c'est trop tôt pour conclure.
Merci ,c'est fait avec l'ensemble des données ,on ne trouve aucune tendance exponentielle
Faites avec le nombre de cas/jour, vous la trouverez, l'exponentielle. Au fait, on vous a pas appris à ne jamais donner de graphiques sans légende ?
Ah bon ? le nombre cas réel ,mes erreurs ? j'ai juste pris les données officielles et vérifiables
C'est justement ça votre erreur. Prendre le nombre de cas officiels et non le nombre de cas réels. Au printemps, vous aviez beaucoup plus de malades que les chiffres officiels ne le montraient, faute de tests. D'où votre erreur, de faire la comparaison suivante: le 31 mars on avait 7578 cas avec 500 décès .... et le 10 septembre donc 9843 cas et 40 décès ...
(en plus de faire l'erreur de comparer le nombre de cas et de décès le même jour)
Alors là ,vous êtes mal tombé ,car si l'on prend le taux de létalité , il évolue en fonction du temps et actuellement il est de moins de 1%
Non, le taux de létalité n'évolue pas en fonction du temps. Depuis février, on sait qu'il est compris entre 0,5% et 1% si la prise en charge hospitalière est bonne.
à moins que toute les cas meurent avec une constante de 1%
C'est très exactement ce qui se passe. C'est la définition du taux de létalité.
puisque seulement 0,25% des "cas" déclenche des formes qui conduisent à une hospitalisation
Non. c'est plutôt entre 5 et 15% des cas qui nécessitent une hospitalisation.
Et je répète (mais visiblement l’argument vous passes au dessus de la tète) Il y a 0,5 % de létalité rapport 0,25% des "CAS"....Actuellement !
Et vous répétez toujours la même erreur. Taux de létalité = nombre de morts / nombre de cas (au total: asymptomatiques y compris).
Donc vous appliquez ce taux à 50% de la population française (hypothèse optimiste) ou 100% (hypothèse pessimiste) pour calculer le nombre de morts qu'il y aurait si on ne prenait aucune précaution pour limiter la propagation de la maladie
Quant à votre conscience... Même Boris Johnson a reculé le jour où il a compris le nombre de morts que causerait le "laissez-faire" face à l'épidémie.
D'accord avec vous Tristan
"C'est justement ça votre erreur. Prendre le nombre de cas officiels et non le nombre de cas réels. Au printemps, vous aviez beaucoup plus de malades que les chiffres officiels ne le montraient, faute de tests. D'où votre erreur, de faire la comparaison suivante: le 31 mars on avait 7578 cas avec 500 décès .... et le 10 septembre donc 9843 cas et 40 décès ...
(en plus de faire l'erreur de comparer le nombre de cas et de décès le même jour)"
Ça me fait penser à un article que j'avais lu en mars et qui m'a bien fait comprendre le bordel à venir (ainsi que la situation en Italie) avec qqs jours d'avance sur la télé et la parole du gouv...
je mets la version en français :
https://medium.com/tomas-pueyo/coronavirus-agissez-aujourdhui-2bd1dc7838f6
Et le graphique important ...à l'attention d'angelo :
(bon ça veut pas l'insérer ici...)
Alors c'est le chart 7 dans l'article ou ici :
https://miro.medium.com/max/2000/1*AUghOwy3kSvDFCEuipW19Q.png
Je copie-colle la légende / interprétation pour que angelo comprenne bien de quoi vous parliez (ici il n'y a pas les morts, mais le principe de décalage c'est le même) :
"Celui-ci est un des graphiques les plus importants.
Il indique en barres orange le nombre officiel de nouveaux cas dans la province du Hubei : c‘est-à-dire combien de personnes ont été diagnostiquées ce jour-là.
Les barres grises montrent les nouveaux cas reels de coronavirus/jour. L’autorité sanitaire chinoise les a découvert plus tard, en demandant aux patients une fois ceux-ci diagnostiques quand avaient débuté leur symptômes.
Il est primordial de noter que ces cas reels n’étaient pas connus à l’époque. Nous ne pouvons les déterminer qu’à posteriori. Les autorités ne sont pas au courant lorsqu’une personne devient symptomatique. Elles le savent quand une personne est testée et diagnostiquée.
Cela signifie que les histogrammes oranges vous montrent ce que les autorités savaient et les gris ce qui se passait réellement.
Le 21 janvier, le nombre de nouveaux cas diagnostiqués (en orange) explose : il y a environ 100 nouveaux cas. En réalité, il y a eu 1 500 nouveaux cas ce jour-là, avec une croissance exponentielle. Mais les autorités ne le savaient pas. Ce qu’elles savaient, c’est que soudain, il y avait 100 nouveaux cas de cette nouvelle maladie.
Deux jours plus tard, les autorités ont placé Wuhan en quarantaine. À ce moment-là, le nombre de nouveaux cas diagnostiqués chaque jour était ~400. Notez ce chiffre : ils ont pris la décision de fermer la ville avec seulement 400 nouveaux cas en un jour. En réalité, il y a eu 2 500 nouveaux cas ce jour-là, mais ils ne le savaient pas.
Le jour suivant, 15 autres villes du Hubei ont été placées en quarantaine.
Jusqu’au 23 janvier, date de la fermeture de Wuhan, vous pouvez regarder le graphique gris : il croît de façon exponentielle. L‘apparition de nouveaux « vrais cas » était à son maximum. Dès que Wuhan est passé en quarantaine, les nouveaux cas ralentissent. Le 24 janvier, lorsque 15 autres villes ferment, le nombre de cas réels (encore une fois, en gris) s’arrête brusquement. Deux jours plus tard, le nombre maximum de nouveaux cas réels a été atteint, et il n’a cessé de baisser depuis.
Notez que les cas orange (officiels) continuaient de croître de façon exponentielle à ce moment : pendant encore 12 jours, on aurait dit que les chiffres continuaient d’exploser. Mais ce n’était pas le cas. C’est juste que les symptômes de cas déjà existants devenaient plus forts, et qu’ils allaient donc plus consulter, et que le système pour les identifier devenait plus robuste.
Ce concept de cas officiels et réels est primordial. Gardons ça en tête pour la suite."
Totalement stupide. Vous ignorez tout des épidémies et du comportement des virus.
100% de la population contaminée ??? Mais où avez-vous vu une épidémie ou une pandémie qui contaminait 100% de la population ? Même la peste noire n'a pas fait ça, même la variole n'a pas fait ça, même la grippe espagnole n'a pas fait ça.
Vous prétendez que le R effectif du SARS-Cov-2 est de quel ordre ? Supérieur à la rougeole ? Et on peut savoir pourquoi il n'a pas contaminé tout le monde en février-mars, à ce titre, alors qu'on n'avait pris aucune mesure pour le freiner ?
Selon votre estimation, chaque habitant de France aurait dû déjà être contaminé, mais vous prétendez par ailleurs que l'immense majorité de la population n'a pas été contaminée.
De la bouillie pour chat, votre opinion.
100% de la population contaminée ??? Mais où avez-vous vu une épidémie ou une pandémie qui contaminait 100% de la population ?
C'est le pire cas possible (en effet, ça n'arrive jamais en pratique). C'est pour donner un ordre de grandeur du pire cas.
Et on peut savoir pourquoi il n'a pas contaminé tout le monde en février-mars, à ce titre, alors qu'on n'avait pris aucune mesure pour le freiner ?
Manque de temps. Entre l'arrivée de la maladie en France (fin janvier) et le confinement (mi mars), il ne s'est passé que 6 semaines. Même une croissance exponentielle, avec un doublement du nombre de malades tous les 3-4 jours, ne suffit pas à contaminer une majorité de la population (sachant qu'au départ il y avait relativement peu de cas).
Faut pas faire attention.
Tristan Le Gall est accoutumé à apostropher ses interlocuteurs avec délicatesse " si vous êtes nul, si vous n'avez rien compris, etc...".
Par contre si vous lui répondez qu'il en est un autre, il crie à l'agression verbale.
Mais c'est ce qui fait tout son charme.
Et si vous me répondez avec des arguments pertinents qui montrent que j'ai tort, je le reconnaitrais de bonne grâce.
Si par contre vous répétez les mêmes erreurs ou faites preuve de mauvaise foi, je le verrai et je vous le dirai.
vous êtes courageux; mais vous savez qu'ils vous auront là l'usure.
Réponse "on traite mieux les malades" on ne traite pas les malades on es prend en charge .... Hydroxy étant interdite en prescription ...
Le fait que vous soyez physicien explique que vous ayez du mal avec la biologie. Toutes les études sérieuses ont maintenant conclu à l'inefficacité de l'HCQ.
le 31 mars on avait 7578 cas avec 500 décès .... et le 10 septembre donc 9843 cas et 40 décès .... Taux de mortalité actuel de 0,5% donc il y a de quoi s'interroger sur les mesures sanitaires
La meilleure réponse que je peux vous donner l'est par une personne compétente sur le sujet:
https://mobile.twitter.com/Cdanslair/status/1303731661188878336
Une seconde vague se compare avec la première, sinon ce n'est pas une SECONDE vague, mais un phénomène nouveau. La première vague était faite de morts et d'hospitalisations, pas de contaminés.
Tant que vous n'avez pas un tiers au moins des morts et des hospitalisations, il n'y a pas de seconde vague. (Rien ne dit qu'elle ne va pas venir, certes, mais on n'y est pas.)
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
La première vague était faite de morts et d'hospitalisations, pas de contaminés.
Heu... Ben si elle était faite aussi de contaminés. Entre 3 et 6 millions de contaminés durant la première vague.
Tant que vous n'avez pas un tiers au moins des morts et des hospitalisations, il n'y a pas de seconde vague.
Aujourd'hui on est à environ 10 000 nouveaux cas/jour (peut être un peu plus vu que tous les cas ne sont pas détectés, disons une fourchette de 10-15 000 cas/jours). En ce basant sur ce que l'on sait de la maladie (entre 5 et 15% des cas nécessitant une hospitalisation, et entre 0,5 et 1% de décès) je peux vous faire la prédiction suivante:
- dans 15 jours (fin septembre), le nombre de nouvelles hospitalisation sera dans une fourchette comprise entre 500 et 2250 nouvelles hospitalisations/jour
- dans un mois (mi octobre), le nombre de décès sera dans une fourchette de 50 à 150 décès/jour.
La seconde vague est là.
- dans 15 jours (fin septembre), le nombre de nouvelles hospitalisation sera dans une fourchette comprise entre 500 et 2250 nouvelles hospitalisations/jour
Moyenne sur les 7 derniers jours: 570 nouvelles hospitalisations par jour (dont plus de 100/jour en réanimation). Ma prédiction était donc correcte.
Vous devriez postuler à la télé, comme expert.
Je n'ai aucune expertise en la matière. Je me contente de bien m'informer, d'utiliser l'esprit critique plutôt que de suivre aveuglément tel ou tel gourou.
- dans un mois (mi octobre), le nombre de décès sera dans une fourchette de 50 à 150 décès/jour.
Moyenne sur les 7 derniers jours: 76 morts/jour. Une fois de plus, la prédiction était correcte.
Comme quoi on peut prédire des choses sur l'évolution de la situation, si on se donne la peine de bien s'informer et de bien réfléchir.
Pff, c’est pas simple, cette pandémie.
Autant je comprends que des gens, même des experts, aient peur, autant les chiffres démontrent que ça se termine, en tout cas en Europe.
Les graphiques épidémiologiques de l’OMS sont clairs :
- entre le 1er mars et le 1er juin : 2 millions de cas, 180.000 morts
- entre le 1er juin et le 10 septembre : 2,8 millions de cas, 47.000 morts
Le nombre de cas a été multiplié par 2,5 quand le nombre de décès était divisé par 4.
Et la région Europe de l’OMS compte 900 millions de personnes, où en moyenne depuis plus de trois mois (12 semaines), 500 (cinq cents) personnes meurent par jour du Covid (la courbe est stable, pas de baisse ni d’augmentation significatives).
Sans ce battage médiatique, tout le monde s’en foutrait que 10 Madrilènes aient perdu la vie aujourd’hui (j’invente pas les chiffres ici non plus).
Ne regardons surtout pas la Suède. Suivons plutôt sur l’Espagne avec son port du masque obligatoire dès 6 ans depuis le 21 juin (12 semaines) et ses 300.000 cas depuis lors. Lorgnons sur l’Australie et son lock-down de ouf pour une poignée de malades…
Mais après, oui, malgré ce décompte plutôt rassurant sur le plan statistique, et cet exemple encourageant, il n’est pas exclu que toute la population « âgée » européenne soit contaminée et vienne faire exploser les systèmes sanitaires des pays.
Peut-être. Peut-être pas.
Toutes les décisions « sanitaires » actuelles sont prises au nom de ce « peut-être ». Aucune au nom du « peut-être pas ».
La balance bénéfice/risque est complètement faussée.
Les journalistes auront à apprendre de cette crise. Ils ont démontré qu'ils relayaient sans recul tout et son contraire. Une hypothèse : l'absence de culture scientifique qui leur fait gober n'importe quelle analyse du premier expert venu. Plutôt que de se faire expliquer, puis d'expliquer à son tour, le journaliste de base préfère des termes bien jargonneux (taux d'incidence, cluster, prévalence, PCR...). Il se régale de cette ambiance anxiogène et contradictoire. Mais répète la propagande d'Etat, pour prendre moins de risques.
Les courbes étant bien fichues pour démontrer qu'il faut avoir peur, la terminologie étant bien compliquée, on attend la deuxième vague depuis 4 mois. Comme elle ne vient pas, on l'invente de toute pièce en respectant le principe de la prophétie auto-réalisatrice : regardez le nombre de masques dans la rue, si ce n'est pas une preuve que le virus continue à être très menaçant !
Si besoin est, on rappellera aux inconscients "anti-masques" (après les avoir affublés d'un nom en -iste, complotiste, révisionniste, extrémiste, négationniste,...) que des gens sont morts. Avec des témoignages bien sentis, qui vous tirent une larme (les derniers mots du mourant, la fille qui n'a pas pu dire au revoir à son père, le papi intubé et la mamie qui meurt avec la peur dans les yeux). Après cela, difficile d'exercer son esprit critique...
1) Hypothèse 1 : il n'y avait pas de masque en mars et il était nécessaire de mentir pour ne pas affoler la population. Admettons que ce soit même pour une bonne raison. Il reste que ce sont les mêmes qui sont toujours en place. Comment faire confiance à ceux qui nous ont menti ?
2) Hypothèse 2 : ignorance et/ou incompétence de la part des comités scientifiques et des experts. Admettons aussi que que le virus était nouveau. Admettons enfin, dans cette deuxième hypothèse qu'on continue à leur faire confiance puisque ce sont toujours les mêmes aux commandes...
Il s'est donc passé quelque chose pour qu'ils changent d'avis et imposent le masque en plein air. Mais il faudrait dire quoi : où sont les études qui montrent que c'est la solution à adopter ? Réponse : nulle part. Pas un journaliste n'a demandé des preuves, des explications pour expliquer le phénomène. Seul traîne une infographie avec des pourcentages invérifiables de deux personnes en vis-à-vis avec ou sans masque...
Où est-ce que cela nous mène ? Et jusqu'à quand ? Demandez autour de vous. Vous obtiendrez la réponse : jusqu'à ce qu'on ait un vaccin. 3 milliards de personnes confinées x 500 Euros la dose, ça donne des idées. Même si c'est 10% de ce chiffre... Ce ne sera pas perdu pour tout le monde... Mais on aura mis, dans l'intervalle, le Lancet et les journaux grand public au même endroit : à la poubelle.
Les trois positions sont légitimes, défendables, justes et bonnes.
Il y a juste que même dans un petit (géographiquement) pays comme la France aucune décision prise dans ce contexte à Paris ne peut être strictement applicable partout ET tout le temps.
Que chacun prendre ses responsabilité ET ses risques.
La seule position Gouvernementale à avoir est de donner des consignes générales, diffuser les informations aussi précises qu'on a, de la plus grande finesse qu'on a, et laisser les entités territoriales correspondantes prendre les décision locales.
C'est sûr que la centralisation politique en prend un coup, mais l'alternative est qu'elle prenne un coup plus dur parce que plus violent et anarchique si les Citoyens se rebellent contre de décisions prises trop loin d'eux.
Apres lecture de votre article ,qui m'afflige...Je ne commenterai qu'une chose votre affirmation "les cas augmentent exponentiellement" Vous savez ce qu'est une exponentielle ? Vous avez lu les chiffres de France santé ? Je vous rappel juste deux trois chiffres qui font consensus qui donnent une idée de la réalité : Taux de mortalité 0,5% ,97% des personnes testés sont négatifs , moins de 20 morts par jour ,elle est ou votre épidémie ?....Bref ,sous prétexte n'analyse votre article est bourrée de sous entendu ...Je trouve étrange votre objectivité PS : réviser aussi la notion de Taux d'incidence...
Le gouvernement, tout en multipliant les appels à la responsabilité individuelle, se prépare à l'éventualité d'une nouvelle catastrophe sanitaire. Et ça ne plaît pas à tout le monde.
Le gouvernement se prépare à rien du tout. Le gouvernement a décidé de sacrifier délibérément les gens au profit de l'économie; tout en faisant peser toute la responsabilité sur les individus.
D'un coté on a "il se passe rien; c'est la dictature sanitaire" (le déni quoi); de l'autre on a "c'est de votre faute si l'épidémie explose" (la culpabilisation). Où sont les vrais mesures politiques concernant l'école? les moyens pour les mener? le retour au télétravail massif? les limitations ou fermetures locales sur les endroits les plus contaminants? (bars; restos; foires...). Pour améliorer la politique de dépistage; c'est en Mai qu'il fallait s'y prendre; là c'est déjà trop tard; les capacités de tests sont largement dépassés partout au point de devenirs inutiles (deux semaines pour avoir des résultats autant se mettre en quarantaine directement).
Je suppose qu'on va voir fleurir une floppée de mesures inutiles (ça a déja commencé avec la fermeture des plages en PACA à 20h; c'est sur que c'est sur les plages en soirée en automne qu'on va plus se contaminer). Bref on ne fera rien qui nuit à l'économie; et rien qui demanderait un peu d'investissement; et on a va attendre tranquillement que le système de santé sature (à ce moment là peut-être qu'ils se mettront à paniquer et nous faire le coup du confinement militaire. peut-être).