Ukraine et Russie : chercheurs et chercheuses
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Sinon le scandale d'Etat Mac Kinsey ? Ça vaut largement Penelope non ?
Maîtresse de conférence en démerdentiel !!!
c'est de l'Humour Russe ou Ukrainien ?
Perso j'adore ...
;-)
Je suis toujours extrêmement gêné avec les classifications " genrées "
Le déjanté que je suis, qualificatif que j'adopte ne comprend pas.
Ma classe qui est et restera (en souvenirs) mon lieu d'analyse privilégié car vécu n'avait ni filles, ni garçons, (...)
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Effectivement, cette répartition "genrée" des chercheuses/chercheurs interpelle.
Cela dit, pour comprendre ce qui se passe en Ukraine, mieux vaut lire Anna Colin-Lebedev que Michel Goya (on peut lire les deux, bien sûr) pour une raison toute simple: le brouillard de guerre (c'est-à-dire le manque d'information sur ce qui se passe vraiment en temps réel) limite fortement les analyses purement militaires. La perspective sociale/historique explique en revanche la motivation des uns et des autres, et permet de résister à certaines forme de désinformation.
"Si je ne compte que les invité·es choisi·es pour leur connaissance spécifique du sujet, on recense le 4 février, une femme, un homme. "
La phrase donne la répartition par sexe des protagonistes. L’article tout entier le fait. Pas moyen de se cacher derrière le lamento sur l’invisibilisation des femmes pour justifier les points médians. Il n’y a aucun risque que nous imaginions que les commentateurs sont tous des mâles. Et pourtant, les points médians sont là à écorcher les yeux.
À part une volonté purement idéologique de désapprendre aux francophones que le masculin grammatical sert de neutre ou de mixte, on ne voit aucune explication à cette écriture hoquetante.
Pour ma part, il y a autre chose qui me frappe : c'est le manque de liens avec des chercheurs... ukrainiens (homme ou femme).
Je comprends bien qu'il y a la barrière de la langue, même si c'est uniquement pour passer par l'anglais. Pour des médias grand public, c'est évidemment un frein. Il faut aussi savoir à qui demander, probablement dans un pays auquel on connait rien...
Mais je pense qu'ils auraient tout intérêt à nouer des liens avec des chercheurs de tout type d'Ukraine, qui, évidemment, ont une vision de ce qui se passe en Ukraine, de la société ukrainienne et de son histoire irremplaçables (même si Mme Lebdev par exemple est plus que compétente pour nous transmettre ce qu'est ce pays).
De même, les partis politiques de gauche (LFI en tête) s'honoreraient à contacter et échanger avec des partis de gauche ukrainiens et avec des penseurs ukrainiens, pour mieux comprendre ce pays, et éviter de réciter en boucle sur les "néo-nazis" ou autres "Maïdan piloté par les US". et "il y a eu un referendum en Crimée". Il me semble que pour l'instant, on en reste à des visions extrêmement caricaturales de l'Urkaine, vu de très loin, avec des ,jugements à l'emporte-pièce sur des infos pas toujours fiables, biaisés par la volonté de critiquer les US plus que tout.
Ce serait un enrichissement fondamental, pour sans doute ré-évaluer leurs positions sur ce qui se passe là-bas et le danger que représente la Russie actuellement, et ainsi bâtir des liens enrichissants dans le cadre, espérons-le, d'une future Ukraine en paix, libre, et se rapprochant de l'UE.
"NON là faut être très clair parce qu'on a l'impression qu'il y a des combines"
Non mais c'est vrai !!! Il a raison de s'énerver unser König, our king, notre Roy
Putain et ben c'est pas gagné cette histoire de répartition des thématiques jugées majeures donc masculines et mineures donc féminines (c'est cette forme de hiérarchie qui me semble ressortir de ce matinaute) dans le milieu des sciences sociales.
En plus, je trouve ça d'autant plus surprenant que j'avais cette impression que ce milieu était (soyons genré.es jusqu'au bout) majoritairement féminin. Mais peut-être n'est-ce qu'un impression.
Si ça n'est pas qu'une impression, cela voudrait dire que même minoritaires, les hommes (consciemment ou pas, évidemment) reproduiraient le schéma de la légitimité masculine dans les domaines dits majeurs.
Intéressant, il faudrait qu'un groupe de travail en sciences sociale travaille dessus, si ce n'est déjà fait.
Si vous avez des liens, des docs, les asinautes, n'hésitez pas :-)
J'ai une idée d'interprétation, qui est peut-être foireuse, j'en sais rien. La société soviétique, globalement défectueuse, était tout de même une société relativement paritaire, en tout cas soucieuse d'une égalité de traitement entre hommes et femmes. Cette "culture" aurait-elle infusé chez les expert·e·s des cultures de l'ex-bloc soviétique ?
"d ieu, que la guerre est jolie" (je ne sais de qui)
la guerre, la guerra.. féminin
der Krieg... masculin
kriget... neutre
Je suis étonnée du faible nombre de commentaires sur cet article (même si ce n'est pas nécessairement négatif en soi). Peut-être qu'il n'y a pas beaucoup plus à en dire, mais j'ai vu les nombreux.ses expert.es sur ces forums concernant l'Ukraine ou même la politique (et je ne suis pas (que) ironique, il y a parfois des connaissances vraiment riches), mais sur les femmes dans le monde de la recherche et leur visibilité dans les médias, ça ne déchaine pas les foules, bon... A nouveau peut-être pas grand chose de plus à en dire.
Pour ceux.celles qui ne l'ont pas vue, vidéo intéressante sur les questions posées aux hommes et aux femmes : https://www.youtube.com/watch?
Ce qui est certain, c'est que toutes ces chercheuses et tous ces chercheurs aident grandement le commun des mortels à comprendre ce qui se passe .
On espère que quelqu'un , quelque part comprendra toute l'utilité de leurs recherches et leur donnera des moyens financiers conséquents pour les continuer .
Pour prendre un seul exemple, aller recueillir les témoignages des mères de soldats Russes , cela suppose des frais de déplacement , d'hébergement sur une certaine période et de nourriture . Sans doute que cela suppose aussi des périodes libérées de tout enseignement pour pouvoir partir faire ce travail de recherche ....
Il me semble que Michel Goya est colonel et pas général mais aussi historien.
Les chercheurs , quand ils vieillissent , ils deviennent consultants.
Les consultants, quand ils pourrissent, ils deviennent Mac Kinsey....
( Par ailleurs, j'apprécie quand le général Goya nous parle des Malheurs de la guerre )
Même dans une émission comme la nôtre, particulièrement sensible à l'exigence de parité, c'est notable.
Je n'ai pas compris cette fin de paragraphe. Il est "notable" qu'une émission sensible à la parité ait des invités à parité?
Merci pour la chronique.
Sinon le scandale d'Etat Mac Kinsey ? Ça vaut largement Penelope non ?
Je suis toujours extrêmement gêné avec les classifications " genrées "
Le déjanté que je suis, qualificatif que j'adopte ne comprend pas.
Ma classe qui est et restera (en souvenirs) mon lieu d'analyse privilégié car vécu n'avait ni filles, ni garçons, ni bancs, ni noirs, ni riches, ni pauvres...elle était remplie d'enfants qui avaient tous et droits et devoirs identiques.
Et, quand problème se posait, surgissait, la réunion de coopérative, dont je n'étais que le secrétaire et qu'une voix, débattait librement pour régler, autant que faire ce peut, ce qui l'avait motivée.
Alors je ne comprends pas ces débats, même si j'en devine la nécessité dans ce monde que je ne comprends pas, plus.
Maîtresse de conférence en démerdentiel !!!
c'est de l'Humour Russe ou Ukrainien ?
Perso j'adore ...
;-)