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Vous me schtroumpferez cent fois : je ne dois pas schtroumpfer les schtroumpfs !
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Whoup !
Je relis ces débats forts rigolos d'un autre temps et je retombe sur cette citation d'IT qu'il me paraît utile de reposter :
(Citation de Le Veilleur) : "Là où j'ai vraisemblalement eu tort, c'est de prendre l'évocation de Sleepless pour parler de ce problème récurrent (parce que c'est clair, que ça n'avait rien à voir avec le sujet) et qui m'horripile personnellement."
(Réponse d'IT) "Oui, et c'est un problème assez régulier sur ces forums, de la part de beaucoup de monde. A chercher où placer ses propres gros-combats-contre-le-monde, on ne répond plus à l'interlocuteur, on n'apporte rien à la discussion en cours (déraillée au mieux, quiproquoïsée au pire), et on oblitère les participants pour les remplacer par les fantômes d'une autre guerre. C'est d'une part épuisant, d'autre part appauvrissant parce que ça tue une discussion spécifique en cours pour la remplacer par une autre, le plus souvent bien plus banale, générique et bateau (puisque c'est justement en réaction à la banalité de ces échanges ailleurs). "
Je relis ces débats forts rigolos d'un autre temps et je retombe sur cette citation d'IT qu'il me paraît utile de reposter :
(Citation de Le Veilleur) : "Là où j'ai vraisemblalement eu tort, c'est de prendre l'évocation de Sleepless pour parler de ce problème récurrent (parce que c'est clair, que ça n'avait rien à voir avec le sujet) et qui m'horripile personnellement."
(Réponse d'IT) "Oui, et c'est un problème assez régulier sur ces forums, de la part de beaucoup de monde. A chercher où placer ses propres gros-combats-contre-le-monde, on ne répond plus à l'interlocuteur, on n'apporte rien à la discussion en cours (déraillée au mieux, quiproquoïsée au pire), et on oblitère les participants pour les remplacer par les fantômes d'une autre guerre. C'est d'une part épuisant, d'autre part appauvrissant parce que ça tue une discussion spécifique en cours pour la remplacer par une autre, le plus souvent bien plus banale, générique et bateau (puisque c'est justement en réaction à la banalité de ces échanges ailleurs). "
Ah ! en rangeant mes mails, j’ai retrouvé cette petite b.d. que j’adore des Témoins de Jéoschtroumpf.
D'abord Merci de revenir.
Ensuite je voudrai attirer votre attention sur la publicité autour de la campagne de recrutement du ministère de l'éducation nationale. Plus précisément l'image qui est donnée des profs. Où sont les élèves? Où sont les copies? Où sont les collègues? Où sont les bâtiments?
Sans oublier une femme et un homme bien a leur place, elle perdue dans ses rêves, lui ambitieux maitrisant la technologie.
N'ayant ni votre talent, ni votre culture, j'aurai espéré que vous vous pencheriez sur cette iconographie.
Ensuite je voudrai attirer votre attention sur la publicité autour de la campagne de recrutement du ministère de l'éducation nationale. Plus précisément l'image qui est donnée des profs. Où sont les élèves? Où sont les copies? Où sont les collègues? Où sont les bâtiments?
Sans oublier une femme et un homme bien a leur place, elle perdue dans ses rêves, lui ambitieux maitrisant la technologie.
N'ayant ni votre talent, ni votre culture, j'aurai espéré que vous vous pencheriez sur cette iconographie.
tout est schtroumpf, et redeviendra schtroumpf
"chaque Schtroumpf est l'unique représentant d'une profession ou qualité…"
il me semble bien qu'il y a au moins une société discrète (Rotary, maçonnerie??) où l'on applique la même règle dans les chapitres/sections (désolé, je ne connais pas le terme). Ca n'a pas été relevé???
il me semble bien qu'il y a au moins une société discrète (Rotary, maçonnerie??) où l'on applique la même règle dans les chapitres/sections (désolé, je ne connais pas le terme). Ca n'a pas été relevé???
Et cette schtroumpfette là, tu nous ferais pas un joli billet à son sujet?
moi tout ce que j'en dis, c'est que ça m'a donné envie de relire la BD!
Cher Alain Korkos, comment fait-on pour vous envoyer un mail ?
Salutations cordiales,
KAZOULA
Salutations cordiales,
KAZOULA
Les schtroumpfs et l'arbre à écus
C'est dommage de ne pas parler de l'introduction ratée de la monnaie chez les schtroumpfs. Dans cet histoire, Gargamel envoie un arbre ensorcelé chez les Schtroumpfs, qui donne envie d'accumuler le plus d'écus possibles ; écus produits par l'arbre lui-même.
Si ce n'est pas une critique direct du capitalisme et de ses dérives, je me demande ce que c'est... (critique de la cupidité, qui finit par donner plus d'importance à l'argent, qu'à ce qu'apporte l'argent).
Le cosmostroumpf : la théorie du complot privilégiée
Remarquez que l'auteur privilégie au travers des schtroumpfs l'hypothèse que les américains n'ont pas marché sur la Lune mais ont monté de toutes pièces l'alunissage, avec des décors.
C'est dommage de ne pas parler de l'introduction ratée de la monnaie chez les schtroumpfs. Dans cet histoire, Gargamel envoie un arbre ensorcelé chez les Schtroumpfs, qui donne envie d'accumuler le plus d'écus possibles ; écus produits par l'arbre lui-même.
Si ce n'est pas une critique direct du capitalisme et de ses dérives, je me demande ce que c'est... (critique de la cupidité, qui finit par donner plus d'importance à l'argent, qu'à ce qu'apporte l'argent).
Le cosmostroumpf : la théorie du complot privilégiée
Remarquez que l'auteur privilégie au travers des schtroumpfs l'hypothèse que les américains n'ont pas marché sur la Lune mais ont monté de toutes pièces l'alunissage, avec des décors.
Un autre commentaire désolé par les thèses de Monsieur Bueno (et par le fait que vous sembliez leur trouver un intérêt, moi qui apprécie par ailleurs beaucoup vos chroniques). Mais je ne peux lire tout cela sans réagir (oui j'avoue tout de suite que j'aime beaucoup les schtroumpfs, comme ça c'est dit).
Puisque l'auteur, et vous un peu dans votre article, semblez jouer sur deux tableaux : une étude d'un prof de Siences-Po basé sur des éléments solides, mais à lire au second degré, je les aborderai successivement, car je suis assez navrée par la conception de la recherche que reflète ce travail :
1) Monsieur Bueno revendique avoir fait une étude sérieuse et poussée. Je n'ai pas lu le livre (j'avoue aussi), mais les éléments que vous décrivez ne paraissent pas fouillés du tout : le grand schtroumpf est habillé en rouge, c'est staline , le cosmoschtroumpf et pas l'astroschtroumpf, c'est l'URSS, le schtrpoumpf à lunettes a des lunettes et se fait taper dessus, c'est Trotsky, etc. Pour moi, cela ressemble surtout à de la sur-interprétation un peu délirante.
Soyons clair : le recherche est une activité sociale qui essaie de mobiliser des méthodologies pour étudier des phénomènes et produire des connaissances. Dans le cas de Monseur Bueno, la grille qu'il emploie est inadaptée à son objet à mon sens, et ne produit rien qui ait une quelconque intérêt au-delà de l'amusement à comparer le société des schtroumpfs à une utopie (ce point étant le seul qui semble fécond, quoique sans intérêt politique, mais on a le droit de se détendre aussi quand on fait de la recherche ;-)). Parler de stalinisme et de nazisme est totalement incongru quand on a lu les schtroumpfs, et ce ne sont qu'à l'aide de grossiers raccourcis que l'on peut y trouver des parallèles. Quand vous écrivez : "1. Le parallèle avec les idéologies stalinienne et nazie s'arrête à la porte des camps car il n'y a, dans le monde des Schtroumpfs, ni goulags ni camps d'extermination.", je m'interroge : l'absence de camp serait la seule différence entre les schtroumpfs et le stalinisme??? c'est grotesque. Que l'organisation du travail soit collectiviste, je veux bien, mais cela suffit-il pour trouver des relents de stalinisme?? Parce que, c'est bien connu, Staline a surtout passé son temps à perfectionner un modèle de travail collectiviste parce qu'il trouvait ca socialement plus juste. Un grand chercheur en économie du travail ce Staline....
Bref, il n'y a pas de méthode absolue que l'on applique à tout et qui marche pour tout parce qu'elle serait scientifique (ça c'est la version de la science dans les pub Le Chat lave plus blanc que blanc et c'est ridicule). Cette étude n'est pas sérieuse et scientifiquement ne semble pas tenir la route (ou alors il va falloir me le prouver en me montrant un protocole de recherche dûment justifié par rapport à l'objet étudié).
La lecture d'éléments politiques comme le schtroumpfissime ou le schtroumpf financier me semble là-encore exagérée. Le schtroumpf financier ne peut-il être lu comme une fable qui démonte quelques rouages banquiers de manière ludique et pédagogique. Y a-t-il un quelconque document qui aille dans le sens de l'auteur? Qui prouve que Peyo a réfléchi sur l'univers politique des schtroumpfs de manière globale? Que le résultat ne dépend pas simplement des histoires que Peyo a voulu raconter et des gags qu'il a voulu insérer? L'auteur peut-il évaluer la probabilité de la véracité de son interprétation?
Mener une analyse comme celle-là demande que l'on puisse prouver au moins qu'il y a eu une réflexion.Sinon, on créé une réalité (il y aurait un univers politique de schtroumpfs qui serait basé sur les caractéristiques essentielles suivantes : la couleur du pantalon du grand schtroump, la forme des lunettes du schtroumpf à lunette et la propension des autres schtroumpfs à être énervé qu'il soit un "premier de la classe") que l'on analyse avec les mêmes concepts qui ont servi à l'imaginer dans l'esprit de L'auteur : évidemment, quand on procède comme cela, c'est confondant, on retrouve tout ce qu'on a mis dedans!
Que l'auteur s'en tienne à des suppositions, sans prouver que cela soit d'une manière ou d'une autre lié à Peyo et cela devient de la conjecture, parfois intéressante (l'idée d'utopie et le questionnement sur le fonctionnement de la société schtroumpf), mais la plupart du temps grotesque (le stalinisme, le nazisme, etc.). Enfin si l'auteur essaie de montrer l'influence de l'histoire sur les schtrpoumpfs,il faut qu'il puisse montrer, avec un revue fouillée sur la vie de Peyo par exemple comment ces éléments ont pu avoir une influence : il faut donc utiliser des archives, interroger des gens ou autres. Sinon, avec des éléments aussi grossiers (je me répète mais le couleur du pantalon du grand schtroumpf, c'est un peu court), c'est encore une libre interprétation sans fondement.
2) Bon en plus, c'est fun! J'ai déjà dit ce que j'en pensais dans mon 1) en fait, emporté que j'étais par ma rédaction. Bref, on peut trouver amusant la comparaison avec l'utopie. Avec le stalinisme et le nazisme, je ne trouve pas ça vraiment drôle, mais c'est peut-être mon humour qui pose problème. Sur la question de plaquer une grille d'adulte sur une livre d'enfant, j'imagine que Monsieur Bueno a trouvé ça éclairant et tant mieux pour lui. Ca fait un peu snob quand même (bon ça c'est une attaque gratuite, j'avoue;-)) de s'attaquer aux schtroumpfs sur un terrain pareil ("moi les schtroumpfs je trouve qu'ils sont emprunts de stalinisme et de nazisme", ca irait bien dans la chanson éponyme de B. Vian)
Bref, si vous pouviez arrêter de prétendre que c'est scientifique d'étudier n'importe quoi avec n'importe quoi quand on a fait sciences po, ca serait gentil. Et en ce qui concerne ce type d'analyse (présence d'éléments totalitariste), il y énormément d'objets qui mériteraient une telle analyse, pour lesquels ce serait justifié et en plus ca aurait une utilité sociale.
Puisque l'auteur, et vous un peu dans votre article, semblez jouer sur deux tableaux : une étude d'un prof de Siences-Po basé sur des éléments solides, mais à lire au second degré, je les aborderai successivement, car je suis assez navrée par la conception de la recherche que reflète ce travail :
1) Monsieur Bueno revendique avoir fait une étude sérieuse et poussée. Je n'ai pas lu le livre (j'avoue aussi), mais les éléments que vous décrivez ne paraissent pas fouillés du tout : le grand schtroumpf est habillé en rouge, c'est staline , le cosmoschtroumpf et pas l'astroschtroumpf, c'est l'URSS, le schtrpoumpf à lunettes a des lunettes et se fait taper dessus, c'est Trotsky, etc. Pour moi, cela ressemble surtout à de la sur-interprétation un peu délirante.
Soyons clair : le recherche est une activité sociale qui essaie de mobiliser des méthodologies pour étudier des phénomènes et produire des connaissances. Dans le cas de Monseur Bueno, la grille qu'il emploie est inadaptée à son objet à mon sens, et ne produit rien qui ait une quelconque intérêt au-delà de l'amusement à comparer le société des schtroumpfs à une utopie (ce point étant le seul qui semble fécond, quoique sans intérêt politique, mais on a le droit de se détendre aussi quand on fait de la recherche ;-)). Parler de stalinisme et de nazisme est totalement incongru quand on a lu les schtroumpfs, et ce ne sont qu'à l'aide de grossiers raccourcis que l'on peut y trouver des parallèles. Quand vous écrivez : "1. Le parallèle avec les idéologies stalinienne et nazie s'arrête à la porte des camps car il n'y a, dans le monde des Schtroumpfs, ni goulags ni camps d'extermination.", je m'interroge : l'absence de camp serait la seule différence entre les schtroumpfs et le stalinisme??? c'est grotesque. Que l'organisation du travail soit collectiviste, je veux bien, mais cela suffit-il pour trouver des relents de stalinisme?? Parce que, c'est bien connu, Staline a surtout passé son temps à perfectionner un modèle de travail collectiviste parce qu'il trouvait ca socialement plus juste. Un grand chercheur en économie du travail ce Staline....
Bref, il n'y a pas de méthode absolue que l'on applique à tout et qui marche pour tout parce qu'elle serait scientifique (ça c'est la version de la science dans les pub Le Chat lave plus blanc que blanc et c'est ridicule). Cette étude n'est pas sérieuse et scientifiquement ne semble pas tenir la route (ou alors il va falloir me le prouver en me montrant un protocole de recherche dûment justifié par rapport à l'objet étudié).
La lecture d'éléments politiques comme le schtroumpfissime ou le schtroumpf financier me semble là-encore exagérée. Le schtroumpf financier ne peut-il être lu comme une fable qui démonte quelques rouages banquiers de manière ludique et pédagogique. Y a-t-il un quelconque document qui aille dans le sens de l'auteur? Qui prouve que Peyo a réfléchi sur l'univers politique des schtroumpfs de manière globale? Que le résultat ne dépend pas simplement des histoires que Peyo a voulu raconter et des gags qu'il a voulu insérer? L'auteur peut-il évaluer la probabilité de la véracité de son interprétation?
Mener une analyse comme celle-là demande que l'on puisse prouver au moins qu'il y a eu une réflexion.Sinon, on créé une réalité (il y aurait un univers politique de schtroumpfs qui serait basé sur les caractéristiques essentielles suivantes : la couleur du pantalon du grand schtroump, la forme des lunettes du schtroumpf à lunette et la propension des autres schtroumpfs à être énervé qu'il soit un "premier de la classe") que l'on analyse avec les mêmes concepts qui ont servi à l'imaginer dans l'esprit de L'auteur : évidemment, quand on procède comme cela, c'est confondant, on retrouve tout ce qu'on a mis dedans!
Que l'auteur s'en tienne à des suppositions, sans prouver que cela soit d'une manière ou d'une autre lié à Peyo et cela devient de la conjecture, parfois intéressante (l'idée d'utopie et le questionnement sur le fonctionnement de la société schtroumpf), mais la plupart du temps grotesque (le stalinisme, le nazisme, etc.). Enfin si l'auteur essaie de montrer l'influence de l'histoire sur les schtrpoumpfs,il faut qu'il puisse montrer, avec un revue fouillée sur la vie de Peyo par exemple comment ces éléments ont pu avoir une influence : il faut donc utiliser des archives, interroger des gens ou autres. Sinon, avec des éléments aussi grossiers (je me répète mais le couleur du pantalon du grand schtroumpf, c'est un peu court), c'est encore une libre interprétation sans fondement.
2) Bon en plus, c'est fun! J'ai déjà dit ce que j'en pensais dans mon 1) en fait, emporté que j'étais par ma rédaction. Bref, on peut trouver amusant la comparaison avec l'utopie. Avec le stalinisme et le nazisme, je ne trouve pas ça vraiment drôle, mais c'est peut-être mon humour qui pose problème. Sur la question de plaquer une grille d'adulte sur une livre d'enfant, j'imagine que Monsieur Bueno a trouvé ça éclairant et tant mieux pour lui. Ca fait un peu snob quand même (bon ça c'est une attaque gratuite, j'avoue;-)) de s'attaquer aux schtroumpfs sur un terrain pareil ("moi les schtroumpfs je trouve qu'ils sont emprunts de stalinisme et de nazisme", ca irait bien dans la chanson éponyme de B. Vian)
Bref, si vous pouviez arrêter de prétendre que c'est scientifique d'étudier n'importe quoi avec n'importe quoi quand on a fait sciences po, ca serait gentil. Et en ce qui concerne ce type d'analyse (présence d'éléments totalitariste), il y énormément d'objets qui mériteraient une telle analyse, pour lesquels ce serait justifié et en plus ca aurait une utilité sociale.
Z'aviez vu ça Alain ?
Une phrase suffit pour répondre à l'auteur de cette ridicule monographie : "tout est poison, rien n'est poison, seul le dosage fait le poison"
Selon Jacques Généreux, les sociétés se situent entre deux extrêmes, "la dissociété" ultra-libérale, et "l'hypersociété" totalitaire.
Toute société qui n'est pas ultra-libérale, est donc plus proche du totalitarisme que l'ultra-libéralisme, puisque l'ultra-libéralisme est ce qu'on peut faire de plus éloigné du totalitarisme.
Mais ce n'est pas pour autant qu'une société qui n'est pas ultra-libérale porte en germe le totalitarisme, tout est question de dosage.
L'auteur de la monographie devrait d'ailleurs songer à doser sa propension à voir le mal dans des choses : à coté de ce niveau de paranoïa même McCarthy paraitrait sain d'esprit.
Selon Jacques Généreux, les sociétés se situent entre deux extrêmes, "la dissociété" ultra-libérale, et "l'hypersociété" totalitaire.
Toute société qui n'est pas ultra-libérale, est donc plus proche du totalitarisme que l'ultra-libéralisme, puisque l'ultra-libéralisme est ce qu'on peut faire de plus éloigné du totalitarisme.
Mais ce n'est pas pour autant qu'une société qui n'est pas ultra-libérale porte en germe le totalitarisme, tout est question de dosage.
L'auteur de la monographie devrait d'ailleurs songer à doser sa propension à voir le mal dans des choses : à coté de ce niveau de paranoïa même McCarthy paraitrait sain d'esprit.
M. Korkos finit en parlant de grosses visites sur le ouèbe. Moi, je trouve plutôt que ça roupille : c'est le beuze endormi.
Je sors, je sors...
Je sors, je sors...
Schtroumpf, quelle chronique!
En tous cas, je préfère toujours les schtroumpfs de Peyo à ceux de James Cameron.
En tous cas, je préfère toujours les schtroumpfs de Peyo à ceux de James Cameron.
Schtroumpf, quelle chronique! En tous cas, je préfère toujours les schtroumpfs de Peyo à ceux de James Cameron.
c'est bof comme remarque ^^, on dirait du Aurélien Férenczi, (vous aurez remarqué que je vous attaque pas vous, juste vos propos)
Les personnages de James Cameron en mesurant 3 mètres de haut, auraient beaucoup de mal à être comparés au Schtroumpf, et puis tiens vous savez au moins pourquoi ils sont bleus les Na'Vi ?
V'là que tu me vouvoies maintenant, ah ben elle est bonne celle-là!
Figure-toi que je fais souvent des remarques bof, ce n'est pas la première, ce ne sera pas la dernière. Pourquoi les Navi sont bleus? Mais bien sûr que je sais. Parce que c'est des gars de la marine (Navy) et la mer c'est bleu, sauf dans ch'nord où c'est marron.
Figure-toi que je fais souvent des remarques bof, ce n'est pas la première, ce ne sera pas la dernière. Pourquoi les Navi sont bleus? Mais bien sûr que je sais. Parce que c'est des gars de la marine (Navy) et la mer c'est bleu, sauf dans ch'nord où c'est marron.
Je parie que vous avez repensé à ceci, qui avait été très remarqué ... -:)
http://www.arretsurimages.net/forum/read.php?5,1067327,1067401#msg-1067401
(Julien D, 29/04/2010, 21H55 - au cas où mon lien n'obéirait pas bien)
http://www.arretsurimages.net/forum/read.php?5,1067327,1067401#msg-1067401
(Julien D, 29/04/2010, 21H55 - au cas où mon lien n'obéirait pas bien)
Qui avait été remarqué, et que ...je n'avais pas remarqué. Bien vu.
Je ne regarde presque plus les émissions, ni ne lis les forums afférents. La dernière émission que j'ai regardée c'est au mois de janvier je crois.
Je ne regarde presque plus les émissions, ni ne lis les forums afférents. La dernière émission que j'ai regardée c'est au mois de janvier je crois.
Chose atroce, horrible, inimaginable : j'ai vu la bande-annonce des Schtroumpfs - le film.
Chassés par Gargamel, ils débarquent à Central Park.
Et là, aucune analyse sociologique à inventer, si ce n'est à imaginer un peuple chassé de ses champignons....
Schtroumpf.... c'est schtroumpf.
Chassés par Gargamel, ils débarquent à Central Park.
Et là, aucune analyse sociologique à inventer, si ce n'est à imaginer un peuple chassé de ses champignons....
Schtroumpf.... c'est schtroumpf.
désopilant poursuivez!!
Savez-vous pourquoi le schtroumpf à lunettes a pris 5 ans de taule?
Réponse: Parce qu'il a schtroumpfé...
Réponse: Parce qu'il a schtroumpfé...
http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafzRM-.html
Vivement le même bouquin sur les Rigolus et les Tristus !
Antoine Buéno était ce matin sur France Inter, il a reçu hier des menaces physiques... Pas sympa, mais rien ne l'obligeait à écrire des conneries : comme aurait dit Coluche "Parmi tous ceux qui n'ont rien à écrire les moins fatiguants sont ceux qui ne publient pas !"
Il y a bien longtemps que je n'ai pas lu d'album des Schtroumpfs.Je ne sous estime pas la dimension politique ,mais on pourrait aussi y voir une dimension psychanalytique.Quelle image de l'individu , de la société ( un monde d'égaux dominés par un chef où la femme joue un rôle secondaire) donne t elle à des enfants? C'est peut être l'image des garçons de huit ans .C'est une image de cour de récréation .C'est une image assez conformiste .Il y asans doute des BD qui présentent une image de la famille, de la société, ou de l'enfance de manière moins conformiste
Désolé d'avance, ce n'est qu'une note trop longue mais misérablement superficielle sur la remarque n°4 du señor Korkos. Où je me permettrai scandaleusement de nuancer son indignation.
Capitale ou pas capitale à S/s-chtroumpf?
La capitale est en effet nécessaire lorsqu'il s'agit d'un nom qui dénote un ou des représentants d'une nation (les Français, un Allemand…), plus largement une ou des personnes originaires d'une aire géographique donnée (les Européens, les Africains, les Occidentaux, etc.); on met aussi une capitale quand il s'agit du représentant d'un groupe humain culturellement identifiable: les Peuls, les Sioux, les Khmers, etc.
À l'inverse, on ne met pas de capitale lorsqu'il s'agit du représentant d'une religion (les juifs, les catholiques), ou quand le nom renvoie à une caractéristique physique: les grands, un nain, un roux, des unijambistes, etc. Remarquons une exception bizarre voire suspecte: on écrit usuellement "des Blancs", "des Noirs", et non pas "des blancs" et "des noirs", comme si, par exemple, "être un Noir" était une appartenance géographique, culturelle, etc. À vrai dire, quand on dit "un Noir", il semble s'agir plutôt d'une périphrase pour désigner une personne originaire d'Afrique sub-saharienne, et qui présente un phénotype caractéristique de cette aire; on ne parle pas du fait que la personne à une couleur de peau sombre (sinon, on devrait dire "un noir"). D'ailleurs les Sri-Lankais et les Indiens du Sud ont la peau très sombre, davantage, sans nul doute, que certains Africains: on ne les appelle pourtant jamais "des Noirs"; à l'inverse, un Malien albinos pourra tout à fait être identifié comme "un Noir".
Autre type de nom qui ne prennent pas de capitales: les formes biologiques, les espèces ou les ordres, par exemple. On dit bien "les hommes" et pas "les Hommes", quand on parle de biologie; on dit "les lémuriens", "les mammifères" ou "les bonobos", sans capitale qui serait ici fautive, indiscutablement.
D'où, la question: le terme "schtroumpf" renvoie-t-il à une détermination nationale, culturelle, géographique, phénotypique (relative aux caractères morphologiques superficiels de l'individu, comme le fait d'être roux, d'avoir la peau saturée ou non de mélanine, d'être petit, etc.), ou biologique?
C'est là le point: pour toute tentative de détermination de l'"être schtroumpf", la manière dont on résout cette question n'est pas du tout anodine, et le fait d'indiquer ou non une capitale est la sédimentation de cette vision.
Les S/s-chtroumpfs constituent-ils :
1/ une nation, comme on dit "les Français"?
2/ un groupe géographiquement/culturellement bien identifiable, comme on dit "les Occidentaux", "les Quechuas" ou "les Slaves"? Remarquons que si on choisit cette option, il faut encore arriver à déterminer, s'ils sont donc des sortes de Bretons, qui seraient, par exemple, leurs Normands…
3/ une forme biologique? À ce moment-là, on pourrait dire "les schtroumpfs" comme on dit "les hommes", sans capitale.
De mon humble point de vue, il apparaît que la solution 3 est tout à fait raisonnable et peut rendre compte du fait que la graphie sans capitale, "les schtroumpfs", est correcte.
Mais dans le même temps, les S/s-chtroumpfs semble à la fois un type biologique et un groupe qui peut relever de la notion de "peuple": le village des S/s-chtroumpfs, même en admettant qu'il accueille de fait tous les S/s-chtroumpfs possibles et potentiels de la surface de la planète, reste reconnu par chacun comme village par une sorte de projet commun et d'appartenance historique à ce village précis, où est parlé cette langue, qui a telle histoire, telle coutume, reconnaît telle autorité, etc.: donc les Schtroumpfs sont bien culturellement, a minima, une sorte de peuple, et on pourrait les appeler "les Schtroumpfs" sans faute typographique.
Bref, "les schtroumpfs" et "les Schtroumpfs" renvoient à deux réalités différentes, mais il se trouve que ces deux réalités coïncident exactement sur les mêmes individus. Il reste que, pour être rigoureux, on devrait plutôt dire, même au sein du même texte: "Les schtroumpfs sont bleus" mais "Les Schtroumpfs sont sous l'autorité du Grand Schtroumpf"; "Les schtroumpfs habitent le cœur de la forêt" mais "Les Schtroumpfs étaient tous réunis pour fêter le Schtroumpf à Lunettes après son exploit".
Quoique tous ces choix seraient à la limite discutable.
Rien n'est simple, et cela peut sembler totalement rasoir, sauf pour ceux qui imaginent qu'il est toujours intéressant, pour les S/s-chtroumpfs comme pour d'autre, de savoir de quoi on parle quand on attache un ou des personnes à une population: on parle culture? politique? religion? biologie? phénotype? Ou, si souvent, en n'est-on pas noyés dans un flottement et une ambiguïté plus ou moins dangereuses entre ces différents déterminants?…
Capitale ou pas capitale à S/s-chtroumpf?
La capitale est en effet nécessaire lorsqu'il s'agit d'un nom qui dénote un ou des représentants d'une nation (les Français, un Allemand…), plus largement une ou des personnes originaires d'une aire géographique donnée (les Européens, les Africains, les Occidentaux, etc.); on met aussi une capitale quand il s'agit du représentant d'un groupe humain culturellement identifiable: les Peuls, les Sioux, les Khmers, etc.
À l'inverse, on ne met pas de capitale lorsqu'il s'agit du représentant d'une religion (les juifs, les catholiques), ou quand le nom renvoie à une caractéristique physique: les grands, un nain, un roux, des unijambistes, etc. Remarquons une exception bizarre voire suspecte: on écrit usuellement "des Blancs", "des Noirs", et non pas "des blancs" et "des noirs", comme si, par exemple, "être un Noir" était une appartenance géographique, culturelle, etc. À vrai dire, quand on dit "un Noir", il semble s'agir plutôt d'une périphrase pour désigner une personne originaire d'Afrique sub-saharienne, et qui présente un phénotype caractéristique de cette aire; on ne parle pas du fait que la personne à une couleur de peau sombre (sinon, on devrait dire "un noir"). D'ailleurs les Sri-Lankais et les Indiens du Sud ont la peau très sombre, davantage, sans nul doute, que certains Africains: on ne les appelle pourtant jamais "des Noirs"; à l'inverse, un Malien albinos pourra tout à fait être identifié comme "un Noir".
Autre type de nom qui ne prennent pas de capitales: les formes biologiques, les espèces ou les ordres, par exemple. On dit bien "les hommes" et pas "les Hommes", quand on parle de biologie; on dit "les lémuriens", "les mammifères" ou "les bonobos", sans capitale qui serait ici fautive, indiscutablement.
D'où, la question: le terme "schtroumpf" renvoie-t-il à une détermination nationale, culturelle, géographique, phénotypique (relative aux caractères morphologiques superficiels de l'individu, comme le fait d'être roux, d'avoir la peau saturée ou non de mélanine, d'être petit, etc.), ou biologique?
C'est là le point: pour toute tentative de détermination de l'"être schtroumpf", la manière dont on résout cette question n'est pas du tout anodine, et le fait d'indiquer ou non une capitale est la sédimentation de cette vision.
Les S/s-chtroumpfs constituent-ils :
1/ une nation, comme on dit "les Français"?
2/ un groupe géographiquement/culturellement bien identifiable, comme on dit "les Occidentaux", "les Quechuas" ou "les Slaves"? Remarquons que si on choisit cette option, il faut encore arriver à déterminer, s'ils sont donc des sortes de Bretons, qui seraient, par exemple, leurs Normands…
3/ une forme biologique? À ce moment-là, on pourrait dire "les schtroumpfs" comme on dit "les hommes", sans capitale.
De mon humble point de vue, il apparaît que la solution 3 est tout à fait raisonnable et peut rendre compte du fait que la graphie sans capitale, "les schtroumpfs", est correcte.
Mais dans le même temps, les S/s-chtroumpfs semble à la fois un type biologique et un groupe qui peut relever de la notion de "peuple": le village des S/s-chtroumpfs, même en admettant qu'il accueille de fait tous les S/s-chtroumpfs possibles et potentiels de la surface de la planète, reste reconnu par chacun comme village par une sorte de projet commun et d'appartenance historique à ce village précis, où est parlé cette langue, qui a telle histoire, telle coutume, reconnaît telle autorité, etc.: donc les Schtroumpfs sont bien culturellement, a minima, une sorte de peuple, et on pourrait les appeler "les Schtroumpfs" sans faute typographique.
Bref, "les schtroumpfs" et "les Schtroumpfs" renvoient à deux réalités différentes, mais il se trouve que ces deux réalités coïncident exactement sur les mêmes individus. Il reste que, pour être rigoureux, on devrait plutôt dire, même au sein du même texte: "Les schtroumpfs sont bleus" mais "Les Schtroumpfs sont sous l'autorité du Grand Schtroumpf"; "Les schtroumpfs habitent le cœur de la forêt" mais "Les Schtroumpfs étaient tous réunis pour fêter le Schtroumpf à Lunettes après son exploit".
Quoique tous ces choix seraient à la limite discutable.
Rien n'est simple, et cela peut sembler totalement rasoir, sauf pour ceux qui imaginent qu'il est toujours intéressant, pour les S/s-chtroumpfs comme pour d'autre, de savoir de quoi on parle quand on attache un ou des personnes à une population: on parle culture? politique? religion? biologie? phénotype? Ou, si souvent, en n'est-on pas noyés dans un flottement et une ambiguïté plus ou moins dangereuses entre ces différents déterminants?…
Azraël (???????) est le nom de l'ange de la mort dans l'islam et dans certaines traditions hébraïques[1].
(in Wikipedia)
(in Wikipedia)
Ouf! merci "arrêt sur image" : cela fait plus de 10 ans que je recherchais le nom du chat de Gargamel : AZRAËL ! qui en spirouterie veut dire vieux chat vicieux. Quant à Gargamel le confondre avec un banquier juif du haut moyen-âge et un vieil alchimiste gâteux prouve l'état de délabrement de notre culture policée et hollywoodienne.
Par contre personne à ce jour n'explique comment les schtroumpfs, ces nobles lutins au sang bleu, inventeurs du schmilblick, arrivent à faire des bonds incroyables dans nos souvenirs. Comment leur soudaine capacité divertissante réussit dans vos rubriques à faire oublier le problème de la présomption d'innocence, l'affaire Coupat, cette belle saloperie des années Sarko, Alliot-Marie, et tout ce petit monde qui se fait discret depuis quelques temps pour ne par trop gêner avant les élections.
Certes je vous le confesse un Peyo anarcho-facho, un Hergé raciste-colonialiste, ou un dessinateur belge accusé de bédéphilie, c'est plus croustillant comme sujet, de même si on analysait le cas Baden Powell et sa relation singulière avec les boy-scout et les louveteaux, il y aurait matière à réjouissance.
Par contre personne à ce jour n'explique comment les schtroumpfs, ces nobles lutins au sang bleu, inventeurs du schmilblick, arrivent à faire des bonds incroyables dans nos souvenirs. Comment leur soudaine capacité divertissante réussit dans vos rubriques à faire oublier le problème de la présomption d'innocence, l'affaire Coupat, cette belle saloperie des années Sarko, Alliot-Marie, et tout ce petit monde qui se fait discret depuis quelques temps pour ne par trop gêner avant les élections.
Certes je vous le confesse un Peyo anarcho-facho, un Hergé raciste-colonialiste, ou un dessinateur belge accusé de bédéphilie, c'est plus croustillant comme sujet, de même si on analysait le cas Baden Powell et sa relation singulière avec les boy-scout et les louveteaux, il y aurait matière à réjouissance.
C'est pas Peyo l'auteur et le scénariste des Schtroumpfs? Qu'est-ce que Delporte anar vient faire là? Et y-a-t-il eu un courant dans la bd jeunesse prônant un "endoctrinement", euh enfin de faire avaler des idées aux gosses à travers les histoires qu'on leur racontait?
Je suis allé potasser, 5 mn sur wiki :-) parce que je n'y comprenais plus rien.
Buéno cherche peut-être plus à vulgariser l'analyse sociologique et politique d'une société, qu'à nous révéler une vérité sur les schtroumpfs?
Je n'ai jamais aimé les Schtroumpfs, ce livre a l'air bien car je comprends mieux pourquoi. C'est pas que ça prend les filles à rebrousse poil. C'est que c'est fait sur mesure pour les petits garçons des cours de récré où règne l'anarchie. Un univers rassurant qui prend le contre-pied de tous leurs soucis quotidiens.
Je ne vois pas trop l'injure faite aux Schtroumpfs. Il faudrait savoir si l'auteur dit que c'est une apologie du totalitarisme? Ou bien que cela montre des exemples de questionnements sur le fonctionnement d'une société organisée selon des principes totalitaires? Est-ce qu'il en tire une conclusion sur un effet insidieux?
Je suis allé potasser, 5 mn sur wiki :-) parce que je n'y comprenais plus rien.
Buéno cherche peut-être plus à vulgariser l'analyse sociologique et politique d'une société, qu'à nous révéler une vérité sur les schtroumpfs?
Je n'ai jamais aimé les Schtroumpfs, ce livre a l'air bien car je comprends mieux pourquoi. C'est pas que ça prend les filles à rebrousse poil. C'est que c'est fait sur mesure pour les petits garçons des cours de récré où règne l'anarchie. Un univers rassurant qui prend le contre-pied de tous leurs soucis quotidiens.
Je ne vois pas trop l'injure faite aux Schtroumpfs. Il faudrait savoir si l'auteur dit que c'est une apologie du totalitarisme? Ou bien que cela montre des exemples de questionnements sur le fonctionnement d'une société organisée selon des principes totalitaires? Est-ce qu'il en tire une conclusion sur un effet insidieux?
J'aimerais que tout le monde vote pour le commentaire d'Oblivion !
Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs. Je ne dois pas schtroumpfer les Schtroumpfs.
Il me semble que la dimension de révélation sidérante sur le fonctionnement inconscient de la libido ait été complètement occulté, et par l'auteur Buéno (ah ah ! avez vous seulement remarqué la connotation égrillarde et dénégatoire du patronyme de l'auteur ? bueno : tu es bonne pour passer à la casserole, mais aussi : bouée, no ! ce qui un véritable appel à l'aveuglement suicidaire !), par l'auteur, donc, et par les commentateurs.
C'est bien connu, la politique sert à cacher/révéler les contenus sexuels/textuels des transactions trans-hominiennes. Et dans le pseudo-délire schtroumpfinien - schtroumpfinien, oui, et surtout pas schtroumpfant, ou schtroumpfesque, copmme veulent le faire croire tous les suppots de la réaction, les adversaires de la vérité, les complices de la misère imposée aux peuples du monde globalisé et désincarné, proprement vidé de sa substance/incarnation/sexualiberté, dans ce pseudo-délire, donc, comment ne pas voir, oui, la montée de la vérité de la scène primitive, la montée de cette vérité qui, certes, ne peut se dire toute, mais qui veille ainsi que le sphinx sur le "ça parle" qui nous nomme et nous baptise, au nom du père (grand schtroumpf/Gargamel, toujours la dualité du désir/perte), du fils (l'assemblée des fils, ici, interchangeables, et seulement habillés de l'oripeau de l'utilité sociale-traitrise ; l'assemblée des fils toujours en attente du meurtre du père, remettant à jamais leur accession au péché/désir/séparation/aliénation), et du Saint-Esprit (l'Auteur lui-même, qui souffle et accomplit ce qu'il veut).
Dans cette optique, le personnage de la schtroumpfette apparait alors pour ce qu'il est : la Sainte Vierge, bien sûr, mais aussi, dans une vision saisissante, proprement hallucinatoire/schizoïde, Eve, et aussi la maman, et tout en même temps, en même tenant, la putain. Ainsi la condition féminine dans nos sociétés angoissées/castrées, le mystère du femme,et par ricochet/miroir, l'énigme non dite de toutes les hommes, est brusquement révélé : on comprend que ça suscite des résistances ! ça résiste, ça insiste, ça se désiste, ça se piste !
Ah ! on n'a pas fini de rigoler, avec les schtroumpfs !
C'est bien connu, la politique sert à cacher/révéler les contenus sexuels/textuels des transactions trans-hominiennes. Et dans le pseudo-délire schtroumpfinien - schtroumpfinien, oui, et surtout pas schtroumpfant, ou schtroumpfesque, copmme veulent le faire croire tous les suppots de la réaction, les adversaires de la vérité, les complices de la misère imposée aux peuples du monde globalisé et désincarné, proprement vidé de sa substance/incarnation/sexualiberté, dans ce pseudo-délire, donc, comment ne pas voir, oui, la montée de la vérité de la scène primitive, la montée de cette vérité qui, certes, ne peut se dire toute, mais qui veille ainsi que le sphinx sur le "ça parle" qui nous nomme et nous baptise, au nom du père (grand schtroumpf/Gargamel, toujours la dualité du désir/perte), du fils (l'assemblée des fils, ici, interchangeables, et seulement habillés de l'oripeau de l'utilité sociale-traitrise ; l'assemblée des fils toujours en attente du meurtre du père, remettant à jamais leur accession au péché/désir/séparation/aliénation), et du Saint-Esprit (l'Auteur lui-même, qui souffle et accomplit ce qu'il veut).
Dans cette optique, le personnage de la schtroumpfette apparait alors pour ce qu'il est : la Sainte Vierge, bien sûr, mais aussi, dans une vision saisissante, proprement hallucinatoire/schizoïde, Eve, et aussi la maman, et tout en même temps, en même tenant, la putain. Ainsi la condition féminine dans nos sociétés angoissées/castrées, le mystère du femme,et par ricochet/miroir, l'énigme non dite de toutes les hommes, est brusquement révélé : on comprend que ça suscite des résistances ! ça résiste, ça insiste, ça se désiste, ça se piste !
Ah ! on n'a pas fini de rigoler, avec les schtroumpfs !
Tout ça me rappelle surtout la tirade de Donnie Darko sur la vie sexuelle des Schtroupmfs.
Version originale
Version doublée en français
J'ai honte.
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J'ai honte.
En fait si on lit les commentaires de l'article en lien soumis par Alain Korkos on peut sans doute se dispenser de lire le livre. Ils m'apparaissent mettre en lumière l'hémiplégie assez évidente de la problématique revendiquée par Antoine Bueno (Schtroumpfs/Totalitarisme/Nazisme/Stalinisme). S'il voulait vraiment en faire une étude sérieuse il aurait peut-être fallu envisager un vrai travail d'investigation et pas seulement un travail conceptuel.
> En meme temps comment prendre au serieux une "etude" qui ne fait a aucun moment mention de la theorie de l'evolution ? <
Encore une preuve que nous nageons completment dans le creationnisme
Quel scandale !
Encore une preuve que nous nageons completment dans le creationnisme
Quel scandale !
« Il ne faut pas confondre faire feu sur le gibier et tirer la chasse » qu'il disait.
Un petit hommage au grand Yvan, ici causant de son méga-super-rock-band, peu de temps avant sa mort http://www.youtube.com/watch?v=ECVB5SLWPK0
Un petit hommage au grand Yvan, ici causant de son méga-super-rock-band, peu de temps avant sa mort http://www.youtube.com/watch?v=ECVB5SLWPK0
Sacrebleu ! Là tu m'as schtroumpfé Alain...
Pas encore lu la cro (j'ai pas dit Kro), because boulot !
Mais j'ai connu un temps incroyable pour tous les bleus qui traînent par ici : celui où les tout premiers épisodes sortaient dans Spirou...
... Sous forme de "MINI-LIVRES" : il fallait détacher les pages centrales du journal, plier, découper et relier pour obtenir un merveilleux petit bouquin... J'avais 7 ans, l'âge de raison (presque)... C'était vraiment le bon temps !
Edit : Il paraît que les mini-récits sont réédités depuis 2004... Je suis client dès demain !
Pas encore lu la cro (j'ai pas dit Kro), because boulot !
Mais j'ai connu un temps incroyable pour tous les bleus qui traînent par ici : celui où les tout premiers épisodes sortaient dans Spirou...
... Sous forme de "MINI-LIVRES" : il fallait détacher les pages centrales du journal, plier, découper et relier pour obtenir un merveilleux petit bouquin... J'avais 7 ans, l'âge de raison (presque)... C'était vraiment le bon temps !
Edit : Il paraît que les mini-récits sont réédités depuis 2004... Je suis client dès demain !
Le Petit Livre bleu d'Antoine Buéno est un ouvrage réjouissant et instructif, à lire au second degré
Je sais pas pourquoi, mon petit doigt me dit qu'il va falloir la répéter plusieurs fois celle-là...
Je sais pas pourquoi, mon petit doigt me dit qu'il va falloir la répéter plusieurs fois celle-là...
GAIA : L'auteur évoque le bonnet phrygien rouge pour le Grand Schtroumpf.
P'TITE : L'auteur assimile le Grand Schtroumpf à Staline. Il ne peut pas en même temps faire référence au Père Noël, il ferait le grand écart entre deux mondes n'ayant rien de commun.
DOMINIQUE G. : Antoine Buéno parle, en effet, de Fourier dans son livre. Et de l'Utopie de Thomas More. Il est, par ailleurs, maître de conférences à Sciences-Po.
POISSON : Et si l'on regarde l'image de Luc Ferry sur le plateau de Canal, on s'aperçoit que le bleu y prédomine. Sauf lui, Ferry, qui est tout rouge !
Luc Ferry dit qu'un Schtroumpf lui a dit qu'un Schtroupf a stroufpé, mais pas il y a quelques schtroupmfs, bien avant, ça remonte à plusieurs schmourtfs de ça.
Il a la langue un peu déliée, des fois http://boutique.codes-sources.com/produit.aspx?ID=itAqmtxn vous schtroumpfez pas que c'est embrouillé son message?
Il a la langue un peu déliée, des fois http://boutique.codes-sources.com/produit.aspx?ID=itAqmtxn vous schtroumpfez pas que c'est embrouillé son message?
Je ressors mon analyse d'hier, les Schtroumphs vivent dans la Cité idéale de Platon :
- Les Schtroumpfs vivent dans une société autonome et auto-suffisante, qui ne comporte pas d'autorité supérieure à la sienne.
- Chaque Schtroumpf exerce un seul métier et une seule fonction, ne se mêle pas de celle des autres, et illustre ainsi l'idée de Justice : "à chacun ce qui lui revient".
- Les Schtroumpfs sont gouverné par un Roi-philosophe, le Grand Schtroumpf, dont l'autorité repose sur la sagesse.
- Certes, il n'y a pas de caste combattante chez les Schtroumpfs, mais le Schtroumpf costaud assure quand même beaucoup le job.
- Chez les Schtroumpfs, les femmes (la Schtroumpfette) et les enfants (le bébé Schtroumpf) sont partagés par la communauté.
- En mode décadent, la Cité Schtroumpf suit le même processus que la Cité de Platon : le régime bon bascule (en sautant le passage à l'aristocratie et à l'oligarchie) dans la démocratie, qui à cause des démagogues aboutit à une tyrannie (cf L'album Le Schtroumpfissime).
Bon, en même temps c'est l'archétype de l'Utopie (et probablement de la société totalitaire)
- Les Schtroumpfs vivent dans une société autonome et auto-suffisante, qui ne comporte pas d'autorité supérieure à la sienne.
- Chaque Schtroumpf exerce un seul métier et une seule fonction, ne se mêle pas de celle des autres, et illustre ainsi l'idée de Justice : "à chacun ce qui lui revient".
- Les Schtroumpfs sont gouverné par un Roi-philosophe, le Grand Schtroumpf, dont l'autorité repose sur la sagesse.
- Certes, il n'y a pas de caste combattante chez les Schtroumpfs, mais le Schtroumpf costaud assure quand même beaucoup le job.
- Chez les Schtroumpfs, les femmes (la Schtroumpfette) et les enfants (le bébé Schtroumpf) sont partagés par la communauté.
- En mode décadent, la Cité Schtroumpf suit le même processus que la Cité de Platon : le régime bon bascule (en sautant le passage à l'aristocratie et à l'oligarchie) dans la démocratie, qui à cause des démagogues aboutit à une tyrannie (cf L'album Le Schtroumpfissime).
Bon, en même temps c'est l'archétype de l'Utopie (et probablement de la société totalitaire)
"Quatre remarques, cependant :
1. Le parallèle avec les idéologies stalinienne et nazie s'arrête à la porte des camps car il n'y a, dans le monde des Schtroumpfs, ni goulags ni camps d'extermination".
Si les auteurs du bouquin parlent à la fois d'idéologie stalinienne et de Fourier, c'est qu'ils ont une culture politique proche du néant. Le projet de Fourier était libertaire, ce qui exactement l'antithèse du stalinisme.
Voir ici le projet de Godin.
1. Le parallèle avec les idéologies stalinienne et nazie s'arrête à la porte des camps car il n'y a, dans le monde des Schtroumpfs, ni goulags ni camps d'extermination".
Si les auteurs du bouquin parlent à la fois d'idéologie stalinienne et de Fourier, c'est qu'ils ont une culture politique proche du néant. Le projet de Fourier était libertaire, ce qui exactement l'antithèse du stalinisme.
Voir ici le projet de Godin.
Commentaire d'un lecteur de Rue 89 (Mme Berthe) qui m'avait plu, hier :
Et moi qui croyais naïvement que les Schtroumpfs étaient une société autogérée anarcho-communiste, où les décisions sont prises en commun sous la présidence du Grand Schtroumpf, avec une juste répartition des tâches suivant les compétences de chacun, et redistribution des richesses à hauteur des besoins !! Une société en harmonie avec la nature, dont les membres taillent leurs habitations dans des champignons hallucinogènes ! Je tombe de haut.
A moins que...
"La maîtrise monopolistique de la science" (à propos du Grand Schtroumpf). Et le Schtroumpf à lunettes, il est juste bon à passer son BEPC ?
"Son chat s'appelle Azraël. D'Azraël à Israël, le chemin n'est pas long". Azraël, c'est surtout "le nom de l'ange de la mort dans l'islam et dans certaines traditions hébraïques" (source = wikipédia)
Bon, je suis pas spécialiste des Schtroumpfs, mais tout ça pour dire qu'à mon avis on pourrait faire exactement la démonstration inverse : les Schtroumpfs sont subversifs au plus haut point, en particulier dans le contexte de l'époque.
Celui-ci aussi, dans les commentaires de l'article renseigné par Alain (de Bob) :
J’ajouterai que le propos du Schtroumpfissime, qui est éminemment politique, ne véhicule pas une idéologie nazie mais qu’il en fait au contraire la critique : c’est par un discours populiste qu’un individu profite du système démocratique pour s’emparer du pouvoir et imposer une autorité aberrante et injuste, à l’instar d’Hitler qui est venu au pouvoir par voie démocratique. C’est donc vraiment mélanger les choses que de voir un arrière-fond nazi à l’anti-démocratisme des Schtroumpfs. Celui-ci prend plutôt sa source, comme vous dites, dans une organisation paternaliste fondée sur le modèle de l’harmonie familiale et de l’autorité légitime du père. On pourrait y voir aussi la métaphore chrétienne du gardien et des brebis, et, sur le plan de l’organisation politique de la cité, cela revient à peu près à la figure aristotélicienne que vous convoquez, celle du souverain éclairé. En effet, cela n’est pas démocratique, mais tout ce qui n’est pas démocratique ne devient pas de facto nazi, fasciste ou stalinien. (Et il est trop facile de s’appuyer sur la formule du "petit père des peuples" pour renvoyer cette dimension paternelle du côté de Staline : c’est prêter crédit à sa propagande qui voulait précisément donner de lui une image paternaliste rassurante, alors que la réalité était tout autre. Que je sache, dans aucun album le Grand Schtroumpf n’a instauré le goulag !)
(Je m'en doutais, Alain, que vous ne passeriez pas à côté de ce sujet :-)
Vous, au moins, citez Yvan Delporte...)
Et moi qui croyais naïvement que les Schtroumpfs étaient une société autogérée anarcho-communiste, où les décisions sont prises en commun sous la présidence du Grand Schtroumpf, avec une juste répartition des tâches suivant les compétences de chacun, et redistribution des richesses à hauteur des besoins !! Une société en harmonie avec la nature, dont les membres taillent leurs habitations dans des champignons hallucinogènes ! Je tombe de haut.
A moins que...
"La maîtrise monopolistique de la science" (à propos du Grand Schtroumpf). Et le Schtroumpf à lunettes, il est juste bon à passer son BEPC ?
"Son chat s'appelle Azraël. D'Azraël à Israël, le chemin n'est pas long". Azraël, c'est surtout "le nom de l'ange de la mort dans l'islam et dans certaines traditions hébraïques" (source = wikipédia)
Bon, je suis pas spécialiste des Schtroumpfs, mais tout ça pour dire qu'à mon avis on pourrait faire exactement la démonstration inverse : les Schtroumpfs sont subversifs au plus haut point, en particulier dans le contexte de l'époque.
Celui-ci aussi, dans les commentaires de l'article renseigné par Alain (de Bob) :
J’ajouterai que le propos du Schtroumpfissime, qui est éminemment politique, ne véhicule pas une idéologie nazie mais qu’il en fait au contraire la critique : c’est par un discours populiste qu’un individu profite du système démocratique pour s’emparer du pouvoir et imposer une autorité aberrante et injuste, à l’instar d’Hitler qui est venu au pouvoir par voie démocratique. C’est donc vraiment mélanger les choses que de voir un arrière-fond nazi à l’anti-démocratisme des Schtroumpfs. Celui-ci prend plutôt sa source, comme vous dites, dans une organisation paternaliste fondée sur le modèle de l’harmonie familiale et de l’autorité légitime du père. On pourrait y voir aussi la métaphore chrétienne du gardien et des brebis, et, sur le plan de l’organisation politique de la cité, cela revient à peu près à la figure aristotélicienne que vous convoquez, celle du souverain éclairé. En effet, cela n’est pas démocratique, mais tout ce qui n’est pas démocratique ne devient pas de facto nazi, fasciste ou stalinien. (Et il est trop facile de s’appuyer sur la formule du "petit père des peuples" pour renvoyer cette dimension paternelle du côté de Staline : c’est prêter crédit à sa propagande qui voulait précisément donner de lui une image paternaliste rassurante, alors que la réalité était tout autre. Que je sache, dans aucun album le Grand Schtroumpf n’a instauré le goulag !)
(Je m'en doutais, Alain, que vous ne passeriez pas à côté de ce sujet :-)
Vous, au moins, citez Yvan Delporte...)
Une seule schtrompfette pour une centaine de schroumpfes... Houlala !!!
Merci à Alain Korkos
(un de mes enfants a été schtroumpfophile (du poster à la couette, en passant par les "livres-disques", la casquette, le sac à dos etc)
(un de mes enfants a été schtroumpfophile (du poster à la couette, en passant par les "livres-disques", la casquette, le sac à dos etc)
Quand est -il de la ressemblance du grand schtroumpf avec le père noël??
Aalin Korkos: on n'est pas samedi. On est jeudi.
Et le bonnet (phrygien?) des Schtroumpfs? J'adooooooooooooooooooooooore les Schtroumpfs!!!!!
schtroumpfant !