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Zemmour et le dérapage, et vice-versa
Alerte générale : Zemmour a-t-il dérapé ? C'est le débat du soir au Grand Journal.
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La loi Pleven, une loi de gauche ?
(mal placé, réponse à sandy)
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Eric Zemmour était jugé vendredi dernier pour "provocation à la haine raciale" suite à ses propos dans le journal Corriere della Sera.
Le site Boulevard Voltaire a retranscrit la déclaration qu'Eric Zemmour a fait à la barre (et que je retranscrit ci-dessous):
C’était il y a près de cent ans. La Première Guerre mondiale venait de s’achever. Le traité de Versailles avait été signé. Un grand économiste, le plus grand de son temps, l’Anglais John Maynard Keynes, publiait un ouvrage, Les Conséquences économiques de la paix, pour expliquer que la France et les vainqueurs avaient été trop durs envers l’Allemagne vaincue, et qu’en particulier celle-ci ne pourrait jamais payer les énormes réparations pécuniaires réclamées. Un grand historien français, journaliste de profession, Jacques Bainville, lui répondit dans un livre intitulé Les Conséquences politiques de la paix. Il expliqua au contraire que le traité de Versailles avait été, selon sa célèbre formule qu’on apprenait naguère dans les cours d’histoire, « trop mou pour ce qu’il avait de dur et trop dur pour ce qu’il avait de mou ». Mais cet affrontement de points de vue sur le traité de Versailles n’intéresserait plus aujourd’hui que les historiens si, dans son livre, Jacques Bainville n’avait, avec une prescience extraordinaire, annoncé tous les événements qui conduiraient à la guerre, la remilitarisation de la Rhénanie, l’Anschluss avec l’Autriche, le dépeçage de la Tchécoslovaquie, le pacte germano-soviétique et l’attaque de la Pologne, avant celle de la France et de l’Angleterre.
Jacques Bainville prophétisait ces événements en 1920 alors même qu’Hitler n’était encore qu’un peintre raté. À l’époque, Bainville fut violemment attaqué par les Anglais et Keynes bien sûr, mais aussi et surtout par la gauche. Sa proximité avec l’Action française en faisait une cible facile. Il fut moqué, insulté, accusé d’être germanophobe, xénophobe, belliciste. Toute la gauche l’accusait de monter les Français contre les Allemands, de pousser à une nouvelle guerre, d’être un criminel, alors qu’il voulait seulement mettre en garde ses compatriotes contre les illusions et la naïveté. Il en tira une leçon que je vous livre : « Les démocraties ont coutume de reprocher à ceux qui ont prévu les événements de les avoir causés. »
Et encore, le grand Bainville ne savait pas qu’on pouvait être attaqué pour des mots qu’on n’avait pas prononcés, qu’on n’avait même pas entendus. Il ne savait pas qu’on pouvait être renvoyé par un de ses employeurs, en l’occurrence i>Télé, parce que des propos prononcés dans un journal italien n’avaient pas l’heur de plaire ni à la directrice de l’antenne ni à la rédaction. Il ne savait pas que l’expression liberté d’opinion ne valait que pour les dessinateurs de Charlie Hebdo. Il ne connaissait pas les beautés cachées de la loi Pleven, des délices et poisons de l’incitation à la discrimination et à la haine raciale. Il ne savait pas, l’heureux homme qui vivait dans une République qui respectait encore les libertés fondamentales, qu’on pouvait être traité comme un délinquant parce que ses idées ne plaisaient pas au pouvoir.
Il ne savait pas que la gauche, la gauche bien-pensante, la gauche humaniste, si bienveillante et pacifique, si laïcarde et anticléricale, avait rétabli subrepticement le délit de blasphème, qui avait été aboli à la Révolution. Oui, le délit de blasphème ! Bien sûr, il ne s’agit plus de condamner le chevalier de La Barre parce qu’il n’a pas ôté son chapeau devant une procession catholique. Mais il s’agit de condamner quiconque n’ôterait pas respectueusement son chapeau devant la nouvelle religion, la nouvelle doxa antiraciste, celle de l’identité heureuse, comme dit un ancien Premier ministre, celle du pas d’amalgame, celle de l’islam modéré, religion d’amour et de paix, celle de l’intégration harmonieuse dans le respect des différences.
Oui, tous ceux qui ne croient pas en cette nouvelle religion, tous ceux qui n’ont pas la foi doivent se taire ou être condamnés.
Ou plutôt, pour que la masse continue à se taire, il faut que certains soient condamnés. J’ai l’honneur, je dis bien l’honneur, d’être devenu une cible privilégiée. La cible privilégiée parce que mes livres ont beaucoup de succès, parce que mes interventions sont regardées, écoutées. Mes adversaires croient que je suis un danger parce que je convaincrais les Français alors que ce sont les Français qui reconnaissent en moi ce qu’ils pensent tout bas. Illusions du nominalisme !
Quand l’historien Georges Bensoussan dit dans Le Figaro : « Nous sommes en train d’assister en France à l’émergence de deux peuples, au point que certains évoquent des germes de guerre civile », que dit-il de différent de moi ? Quand il évoque le témoignage de policiers, d’élus, de médecins aux urgences, « le sentiment que deux peuples sont en train de se former, côte à côte, et qui se regardent souvent avec hostilité, ce sentiment-là est aujourd’hui partagé par beaucoup », pourquoi lui et tous ces témoins ne sont pas traînés comme moi devant ce tribunal ?
Il y a quelques mois, lors d’un autre procès – puisque je passe, désormais, une partie de ma vie au palais de justice -, la représentante du parquet me demandait si ma première condamnation, il y a quatre ans, m’avait conduit à changer mes méthodes de travail. Je lui renverrai aujourd’hui sa question : est-ce que la relaxe dont j’ai bénéficié dans une récente affaire a conduit le parquet à changer ses méthodes de travail ? Est-ce que le parquet s’est remis en cause ? Est-ce qu’il a décidé de ne plus se mêler de la vie des idées en France ? Est-ce qu’il a enfin décidé de ne plus instrumentaliser une loi pleine de belles intentions pour en faire une arme politique ? Est-ce qu’il a enfin compris que son rôle était non pas de criminaliser les opinions dissidentes mais de protéger les citoyens contre les voyous, et accessoirement de respecter la liberté de pensée et d’opinion en France, un de nos acquis les plus précieux hérités des générations précédentes ? Est-ce que ces messieurs-dames du parquet ont admis, enfin, qu’ils n’étaient pas là pour imposer l’idéologie politique de leur ministre, aussi charismatique soit-elle, de leur syndicat, aussi impérieux soit-il, ou plus prosaïquement leurs propres convictions politiques, aussi légitimes soient-elles ?
Quand le ministre de la Justice – madame Taubira, pour ne pas la nommer -, avertit dans une interview qu’il faudra compter de plus en plus avec les « gens comme nous, car ils seront de plus en plus nombreux », que fait-elle d’autre sinon opposer une partie des Français à une autre, séparés par l’origine, la race, la religion ? Est-ce que le parquet a dit quelque chose ? Quand le Premier ministre parle d’apartheid, ne fait-il pas référence à la séparation géographique de deux peuples, selon le modèle des Blancs et des Noirs en Afrique du Sud ? Séparation géographique, raciale, culturelle, avec chacun ses règles, ses lois. Je n’ai pourtant pas entendu une plainte du parquet.
Quand le parquet cessera-t-il de servir de relais à des lobbys antiracistes qui vivent du racisme, ou du prétendu racisme (et encore : de manière hémiplégique), comme d’autres vivent de la défense des baleines ou des ours ? Jusqu’à quand le parquet alimentera-t-il une logique liberticide qui rappelle les régimes totalitaires communistes, qui permet à n’importe quelle association de signaler à la police des opinions dissidentes, afin que le parquet, au nom de la défense de l’État et de la société, ne poursuive les affreux dissidents ?
À toutes ces questions, je connais déjà la réponse. Le parquet s’est empressé de faire appel de la décision de relaxe dont j’ai bénéficié il y a quelques semaines. Et m’a poursuivi pour mes propos dans le Corriere della Sera. Je préfère prévenir respectueusement le parquet et la cour : rien ne m’empêchera de continuer à dire ce que je crois, même si j’ai bien compris que rien n’arrêtera le ministère public dans sa volonté de me faire taire. J’ai bien conscience aussi d’être le pot de terre contre le pot de fer. Mais un jour, j’en suis convaincu, l’Histoire donnera raison au pot de terre, comme elle l’a donné au grand Bainville, et le pot de fer aura honte. Mais il sera trop tard.
Le site Boulevard Voltaire a retranscrit la déclaration qu'Eric Zemmour a fait à la barre (et que je retranscrit ci-dessous):
C’était il y a près de cent ans. La Première Guerre mondiale venait de s’achever. Le traité de Versailles avait été signé. Un grand économiste, le plus grand de son temps, l’Anglais John Maynard Keynes, publiait un ouvrage, Les Conséquences économiques de la paix, pour expliquer que la France et les vainqueurs avaient été trop durs envers l’Allemagne vaincue, et qu’en particulier celle-ci ne pourrait jamais payer les énormes réparations pécuniaires réclamées. Un grand historien français, journaliste de profession, Jacques Bainville, lui répondit dans un livre intitulé Les Conséquences politiques de la paix. Il expliqua au contraire que le traité de Versailles avait été, selon sa célèbre formule qu’on apprenait naguère dans les cours d’histoire, « trop mou pour ce qu’il avait de dur et trop dur pour ce qu’il avait de mou ». Mais cet affrontement de points de vue sur le traité de Versailles n’intéresserait plus aujourd’hui que les historiens si, dans son livre, Jacques Bainville n’avait, avec une prescience extraordinaire, annoncé tous les événements qui conduiraient à la guerre, la remilitarisation de la Rhénanie, l’Anschluss avec l’Autriche, le dépeçage de la Tchécoslovaquie, le pacte germano-soviétique et l’attaque de la Pologne, avant celle de la France et de l’Angleterre.
Jacques Bainville prophétisait ces événements en 1920 alors même qu’Hitler n’était encore qu’un peintre raté. À l’époque, Bainville fut violemment attaqué par les Anglais et Keynes bien sûr, mais aussi et surtout par la gauche. Sa proximité avec l’Action française en faisait une cible facile. Il fut moqué, insulté, accusé d’être germanophobe, xénophobe, belliciste. Toute la gauche l’accusait de monter les Français contre les Allemands, de pousser à une nouvelle guerre, d’être un criminel, alors qu’il voulait seulement mettre en garde ses compatriotes contre les illusions et la naïveté. Il en tira une leçon que je vous livre : « Les démocraties ont coutume de reprocher à ceux qui ont prévu les événements de les avoir causés. »
Et encore, le grand Bainville ne savait pas qu’on pouvait être attaqué pour des mots qu’on n’avait pas prononcés, qu’on n’avait même pas entendus. Il ne savait pas qu’on pouvait être renvoyé par un de ses employeurs, en l’occurrence i>Télé, parce que des propos prononcés dans un journal italien n’avaient pas l’heur de plaire ni à la directrice de l’antenne ni à la rédaction. Il ne savait pas que l’expression liberté d’opinion ne valait que pour les dessinateurs de Charlie Hebdo. Il ne connaissait pas les beautés cachées de la loi Pleven, des délices et poisons de l’incitation à la discrimination et à la haine raciale. Il ne savait pas, l’heureux homme qui vivait dans une République qui respectait encore les libertés fondamentales, qu’on pouvait être traité comme un délinquant parce que ses idées ne plaisaient pas au pouvoir.
Il ne savait pas que la gauche, la gauche bien-pensante, la gauche humaniste, si bienveillante et pacifique, si laïcarde et anticléricale, avait rétabli subrepticement le délit de blasphème, qui avait été aboli à la Révolution. Oui, le délit de blasphème ! Bien sûr, il ne s’agit plus de condamner le chevalier de La Barre parce qu’il n’a pas ôté son chapeau devant une procession catholique. Mais il s’agit de condamner quiconque n’ôterait pas respectueusement son chapeau devant la nouvelle religion, la nouvelle doxa antiraciste, celle de l’identité heureuse, comme dit un ancien Premier ministre, celle du pas d’amalgame, celle de l’islam modéré, religion d’amour et de paix, celle de l’intégration harmonieuse dans le respect des différences.
Oui, tous ceux qui ne croient pas en cette nouvelle religion, tous ceux qui n’ont pas la foi doivent se taire ou être condamnés.
Ou plutôt, pour que la masse continue à se taire, il faut que certains soient condamnés. J’ai l’honneur, je dis bien l’honneur, d’être devenu une cible privilégiée. La cible privilégiée parce que mes livres ont beaucoup de succès, parce que mes interventions sont regardées, écoutées. Mes adversaires croient que je suis un danger parce que je convaincrais les Français alors que ce sont les Français qui reconnaissent en moi ce qu’ils pensent tout bas. Illusions du nominalisme !
Quand l’historien Georges Bensoussan dit dans Le Figaro : « Nous sommes en train d’assister en France à l’émergence de deux peuples, au point que certains évoquent des germes de guerre civile », que dit-il de différent de moi ? Quand il évoque le témoignage de policiers, d’élus, de médecins aux urgences, « le sentiment que deux peuples sont en train de se former, côte à côte, et qui se regardent souvent avec hostilité, ce sentiment-là est aujourd’hui partagé par beaucoup », pourquoi lui et tous ces témoins ne sont pas traînés comme moi devant ce tribunal ?
Il y a quelques mois, lors d’un autre procès – puisque je passe, désormais, une partie de ma vie au palais de justice -, la représentante du parquet me demandait si ma première condamnation, il y a quatre ans, m’avait conduit à changer mes méthodes de travail. Je lui renverrai aujourd’hui sa question : est-ce que la relaxe dont j’ai bénéficié dans une récente affaire a conduit le parquet à changer ses méthodes de travail ? Est-ce que le parquet s’est remis en cause ? Est-ce qu’il a décidé de ne plus se mêler de la vie des idées en France ? Est-ce qu’il a enfin décidé de ne plus instrumentaliser une loi pleine de belles intentions pour en faire une arme politique ? Est-ce qu’il a enfin compris que son rôle était non pas de criminaliser les opinions dissidentes mais de protéger les citoyens contre les voyous, et accessoirement de respecter la liberté de pensée et d’opinion en France, un de nos acquis les plus précieux hérités des générations précédentes ? Est-ce que ces messieurs-dames du parquet ont admis, enfin, qu’ils n’étaient pas là pour imposer l’idéologie politique de leur ministre, aussi charismatique soit-elle, de leur syndicat, aussi impérieux soit-il, ou plus prosaïquement leurs propres convictions politiques, aussi légitimes soient-elles ?
Quand le ministre de la Justice – madame Taubira, pour ne pas la nommer -, avertit dans une interview qu’il faudra compter de plus en plus avec les « gens comme nous, car ils seront de plus en plus nombreux », que fait-elle d’autre sinon opposer une partie des Français à une autre, séparés par l’origine, la race, la religion ? Est-ce que le parquet a dit quelque chose ? Quand le Premier ministre parle d’apartheid, ne fait-il pas référence à la séparation géographique de deux peuples, selon le modèle des Blancs et des Noirs en Afrique du Sud ? Séparation géographique, raciale, culturelle, avec chacun ses règles, ses lois. Je n’ai pourtant pas entendu une plainte du parquet.
Quand le parquet cessera-t-il de servir de relais à des lobbys antiracistes qui vivent du racisme, ou du prétendu racisme (et encore : de manière hémiplégique), comme d’autres vivent de la défense des baleines ou des ours ? Jusqu’à quand le parquet alimentera-t-il une logique liberticide qui rappelle les régimes totalitaires communistes, qui permet à n’importe quelle association de signaler à la police des opinions dissidentes, afin que le parquet, au nom de la défense de l’État et de la société, ne poursuive les affreux dissidents ?
À toutes ces questions, je connais déjà la réponse. Le parquet s’est empressé de faire appel de la décision de relaxe dont j’ai bénéficié il y a quelques semaines. Et m’a poursuivi pour mes propos dans le Corriere della Sera. Je préfère prévenir respectueusement le parquet et la cour : rien ne m’empêchera de continuer à dire ce que je crois, même si j’ai bien compris que rien n’arrêtera le ministère public dans sa volonté de me faire taire. J’ai bien conscience aussi d’être le pot de terre contre le pot de fer. Mais un jour, j’en suis convaincu, l’Histoire donnera raison au pot de terre, comme elle l’a donné au grand Bainville, et le pot de fer aura honte. Mais il sera trop tard.
Un truc que j'aimerais savoir :
En arrivant au paradis d'Allah, Bertrand N. aura-t-il droit à ses 72 vierges ?
La question ne se pose pas pour le jihadiste qui se fait exploser en faisant le plus grand nombre de victimes possibles. Allah puise pour lui dans son stock, qui certes doit commencer à considérablement s'amenuiser, mais Allah est grand et a forcément ses filières d'approvisionnement.
Mais le cas de Bertrand me parait plus problématique. Ce type entre dans un commissariat armé d'un bête couteau, en gueulant "Allahou akbar !" sans réussir à égorger un seul poulet !
Le degré zéro du jihad. La honte de l'islam intégriste.
Alors que ses modèles rejoignent leur paradis éparpillés façon puzzle, que c'est un véritable casse-tête de rassembler et de recoudre les morceaux, et que c'est souvent miraculeux de retrouver le pénis dans le tas de bidoche informe, le dilettante se pointe là-haut sans tableau de chasse et avec seulement deux ou trois bastos dans le buffet. Quasiment intact. Ridicule.
Je ne suis pas dans la peau d'Allah, mais à sa place, je lui refilerai de la seconde main à ce débile.
En arrivant au paradis d'Allah, Bertrand N. aura-t-il droit à ses 72 vierges ?
La question ne se pose pas pour le jihadiste qui se fait exploser en faisant le plus grand nombre de victimes possibles. Allah puise pour lui dans son stock, qui certes doit commencer à considérablement s'amenuiser, mais Allah est grand et a forcément ses filières d'approvisionnement.
Mais le cas de Bertrand me parait plus problématique. Ce type entre dans un commissariat armé d'un bête couteau, en gueulant "Allahou akbar !" sans réussir à égorger un seul poulet !
Le degré zéro du jihad. La honte de l'islam intégriste.
Alors que ses modèles rejoignent leur paradis éparpillés façon puzzle, que c'est un véritable casse-tête de rassembler et de recoudre les morceaux, et que c'est souvent miraculeux de retrouver le pénis dans le tas de bidoche informe, le dilettante se pointe là-haut sans tableau de chasse et avec seulement deux ou trois bastos dans le buffet. Quasiment intact. Ridicule.
Je ne suis pas dans la peau d'Allah, mais à sa place, je lui refilerai de la seconde main à ce débile.
Il n' y a pas que Zemmour qui dérape; surtout si les dérapages sont bien contrôlés Une affaire reliée à deux autres sont autant de dérapages bien mis en scène avec l'aide des "médias mainstream" le drame de Nantes ne serait au final qu'un fait divers en d'autres temps , mais un fait divers ou les médias dé-constructeurs d'intox ou de fausses nouvelles devraient faire un travail qui leur a été échu acrimed, a@i par exemple
..Nantes la révoltée !..
Là au final il n' y a jamais eu de cris au nom du djihad si cher à nos ministres Cazeneuve, Valls et quelques lobbies policiers...Extraits :" [quote=Nantes et les autres] Joué-lès-Tours : mensonge d'État ?
Vous êtes bien dans un pays ou la gauche au pouvoir utilise un alcoolique dépressif – à Nantes – et un malade mental – à Dijon – pour maquiller un crime policier – commis à Joué-lès Tours – et renforcer l'arsenal sécuritaire. Explications.
Récapitulons :
Le 20 décembre, Bertrand Nzohabonayo est abattu de plusieurs balles par des policiers, au commissariat de Joué-lès-Tours, alors qu'il vient de blesser plusieurs fonctionnaires – qui ressortiront vite de l’hôpital – .
Première remarque : on relève que les armes dites « non-létales » (flashball et taser), censées être exclusivement réservées à ce genre de situations sont délaissées pour des armes à feu. La doctrine de la police française : face à un caillou, des tirs de flashballs, face à un individu seul muni d'un couteau, des coups de feux.
Aussitôt, les médias s'enflamment. Plutôt que de s'interroger sur les raisons pour lesquelles plusieurs policiers armés et entrainés ont ouvert le feu devant leur propre commissariat sur un individu seul, ils relaient uniformément la version policière : la personne décédée est un « djihadiste ». La photo et la vie du défunt sont jetés en pâture à l'opinion publique, sa famille est perquisitionnée, mise en garde à vue. Présumés coupables avant même toute enquête. Le cauchemar.
Ce que les médias omettent de raconter, c'est l'histoire toute particulière du commissariat de Joué-lès-Tours, petite ville de 30 000 habitant au sud de Tours. Pourtant cet hotel de police est apparu plusieurs fois dans l'actualité de ces dernières années.
- Violences, harcèlements et attouchements sexuels :
Dans un article de Libération daté de 2007, on apprend qu'au commissariat de Joué-lès-Tours, une policière a été harcelée, humiliée, frappée, attouchée sexuellement par ses collègues avec le soutien de la hiérarchie. Cette policière est licenciée après une tentative de suicide, dans les années 2000.
http://www.liberation.fr/…/les-policiers-prenaient-l-adjoin…
- Quelques années plus tard, en 2013 ce sont les policiers de ce même commissariat qui commettent une agression en 2013 sur des automobilistes noirs. Pour interpeller un homme au sol, les policiers distribuent les coups de matraque et jets de gaz lacrymogène à bout portant sur deux femmes. L'une d'elle, allongée par terre à cause des gaz sera menottée puis emmenée par les policiers. Elle est notamment traité de « connasse ». Elle sera poursuivie pour « outrage et rébellion » par les policiers.
La vidéo : http://www.dailymotion.com/…/x13eg62_interpellation-a-joue-…
Un article du Monde : « Joué-lès-Tours : les deux femmes vont porter plainte »
http://www.lemonde.fr/…/joue-les-tours-les-deux-femmes-vont…
A noter qu'à l'époque une marche contre les violences policières, organisée par les habitants du quartier, avait eu lieu.
- Le 20 décembre 2014, Bertrand N. est donc abattu de plusieurs balles devant l'enceinte du même commissariat.
La page facebook du défunt est abondamment utilisée par l'ensemble des médias pour qualifier la victime de « djihadiste ». Si l'étendard utilisé en image de couverture semble être un drapeau de l'État Islamique – ce qui ne justifie pas la peine de mort - , la photo de profil est un sceau d'Allah et une des pages « aimée » s'intitule « État Islamique d'Irak, pas en mon nom ». Ce qu'aucun média n'a cru bon de préciser.
La capture d'écran de cette page : http://img.20mn.fr/…/648x415_capture-ecran-profil-facebook-…
Des témoins se signalent immédiatement pour attester que Bertrand N. n'a jamais crié Allah Akbar mais qu'il hurlait de douleur après avoir été emmené au commissariat.
http://www.itele.fr/…/joue-les-tours-lhomme-abattu-na-jamai…
La sœur du défunt explique qu'il n'était « pas dans l'islam radical » et qu'il avait quitté le domicile en lui disant « j'arrive ». Pas l'attitude d'un djihadiste se préparant à une attaque suicidaire.
http://www.leparisien.fr/…/joue-les-tours-l-agresseur-n-eta…
Enfin, des témoignages capitaux expliquent que Bertrand N. ne s'est jamais rendu au commissariat, mais qu'il y a été emmené par la police suite à une altercation précisément liée aux violences policières de l'été 2013 ! S'il est avéré que ce sont les policiers qui ont emmené Bertrand N. - qu'il soit « islamiste » ou non - sur les lieux du drame, tout le scénario médiatico-policier d'une « attaque djihadiste » s'effondre.
L'article complet : http://m.france3-regions.francetvinfo.fr/…/affaire-de-joue-…
Extrait : « Selon un témoin qui préfère garder l'anonymat, une altercation entre deux jeunes du quartier et un policier serait à l'origine de l'affaire. Une bagarre qui aurait eu lieu vendredi 19 décembre, c'est-à-dire à la veille des faits. "J'étais au fond du bus et arrivé à l'arrêt Rotière, il y avait un embouteillage. Je suis allé près du chauffeur et là j'ai vu un agent de police en sang, avec l'arcade ouverte". Bertrand ne se trouvait pas à Joué-lès-Tours le jour de cette altercation. Il est à Paris, où il accompagne sa mère qui doit prendre un avion pour le Rwanda à Roissy. Il reviendra en covoiturage le lendemain de l'altercation.
Selon nos sources, le 20 décembre, Bertrand retrouve sa sœur autour de midi. Il serait sorti en début d'après-midi pour manger un morceau. Le kebab dans lequel il se rend se trouve à proximité du commissariat de police de Joué-lès-Tours. Sur sa route, il aurait été interpellé par des policiers désireux de connaître l'identité des deux jeunes de la bagarre de la veille. L'interpellation de Bertrand Nzohabonayo tourne mal, deux policiers sont blessés et Bertrand est abattu par un agent de police. »
Les jours suivants, deux personnes fragiles qui n'ont rien à voir avec la religion musulmane provoquent des accidents dramatiques à Nantes et Dijon. Les médias font enfler la psychose autour de l'islamisme. Valls et Cazeneuve surfent de concert avec le Front National sur les peurs.
Jusqu'alors, une seule version a été quasi-unanimement relayée : celle de la police, celle de ceux qui ont tiré sur Bertrand N. Nous ne prétendons pas détenir la vérité, mais des témoignages et des faits viennent démonter la version policière. Pourquoi la parole des policiers vaut-elle plus que celle des témoins, que celle des proches du défunt ?
L'expérience prouve que chaque mutilation, chaque décès causé par la police s'accompagne de son cortège de mensonges pour salir les victimes et blanchir les forces de l'ordre.
Le Parti Socialiste au pouvoir est triplement criminel dans cette affaire : en protégeant systématiquement la police, en offrant une confiance aveugle aux policiers tireurs, en surfant sur les peurs et les haines.
Un homme est mort.
Que les journalistes fassent leur travail.
Signé un blogger indépendant;...Mounadil Djaziri ..
..Nantes la révoltée !..
Là au final il n' y a jamais eu de cris au nom du djihad si cher à nos ministres Cazeneuve, Valls et quelques lobbies policiers...Extraits :" [quote=Nantes et les autres] Joué-lès-Tours : mensonge d'État ?
Vous êtes bien dans un pays ou la gauche au pouvoir utilise un alcoolique dépressif – à Nantes – et un malade mental – à Dijon – pour maquiller un crime policier – commis à Joué-lès Tours – et renforcer l'arsenal sécuritaire. Explications.
Récapitulons :
Le 20 décembre, Bertrand Nzohabonayo est abattu de plusieurs balles par des policiers, au commissariat de Joué-lès-Tours, alors qu'il vient de blesser plusieurs fonctionnaires – qui ressortiront vite de l’hôpital – .
Première remarque : on relève que les armes dites « non-létales » (flashball et taser), censées être exclusivement réservées à ce genre de situations sont délaissées pour des armes à feu. La doctrine de la police française : face à un caillou, des tirs de flashballs, face à un individu seul muni d'un couteau, des coups de feux.
Aussitôt, les médias s'enflamment. Plutôt que de s'interroger sur les raisons pour lesquelles plusieurs policiers armés et entrainés ont ouvert le feu devant leur propre commissariat sur un individu seul, ils relaient uniformément la version policière : la personne décédée est un « djihadiste ». La photo et la vie du défunt sont jetés en pâture à l'opinion publique, sa famille est perquisitionnée, mise en garde à vue. Présumés coupables avant même toute enquête. Le cauchemar.
Ce que les médias omettent de raconter, c'est l'histoire toute particulière du commissariat de Joué-lès-Tours, petite ville de 30 000 habitant au sud de Tours. Pourtant cet hotel de police est apparu plusieurs fois dans l'actualité de ces dernières années.
- Violences, harcèlements et attouchements sexuels :
Dans un article de Libération daté de 2007, on apprend qu'au commissariat de Joué-lès-Tours, une policière a été harcelée, humiliée, frappée, attouchée sexuellement par ses collègues avec le soutien de la hiérarchie. Cette policière est licenciée après une tentative de suicide, dans les années 2000.
http://www.liberation.fr/…/les-policiers-prenaient-l-adjoin…
- Quelques années plus tard, en 2013 ce sont les policiers de ce même commissariat qui commettent une agression en 2013 sur des automobilistes noirs. Pour interpeller un homme au sol, les policiers distribuent les coups de matraque et jets de gaz lacrymogène à bout portant sur deux femmes. L'une d'elle, allongée par terre à cause des gaz sera menottée puis emmenée par les policiers. Elle est notamment traité de « connasse ». Elle sera poursuivie pour « outrage et rébellion » par les policiers.
La vidéo : http://www.dailymotion.com/…/x13eg62_interpellation-a-joue-…
Un article du Monde : « Joué-lès-Tours : les deux femmes vont porter plainte »
http://www.lemonde.fr/…/joue-les-tours-les-deux-femmes-vont…
A noter qu'à l'époque une marche contre les violences policières, organisée par les habitants du quartier, avait eu lieu.
- Le 20 décembre 2014, Bertrand N. est donc abattu de plusieurs balles devant l'enceinte du même commissariat.
La page facebook du défunt est abondamment utilisée par l'ensemble des médias pour qualifier la victime de « djihadiste ». Si l'étendard utilisé en image de couverture semble être un drapeau de l'État Islamique – ce qui ne justifie pas la peine de mort - , la photo de profil est un sceau d'Allah et une des pages « aimée » s'intitule « État Islamique d'Irak, pas en mon nom ». Ce qu'aucun média n'a cru bon de préciser.
La capture d'écran de cette page : http://img.20mn.fr/…/648x415_capture-ecran-profil-facebook-…
Des témoins se signalent immédiatement pour attester que Bertrand N. n'a jamais crié Allah Akbar mais qu'il hurlait de douleur après avoir été emmené au commissariat.
http://www.itele.fr/…/joue-les-tours-lhomme-abattu-na-jamai…
La sœur du défunt explique qu'il n'était « pas dans l'islam radical » et qu'il avait quitté le domicile en lui disant « j'arrive ». Pas l'attitude d'un djihadiste se préparant à une attaque suicidaire.
http://www.leparisien.fr/…/joue-les-tours-l-agresseur-n-eta…
Enfin, des témoignages capitaux expliquent que Bertrand N. ne s'est jamais rendu au commissariat, mais qu'il y a été emmené par la police suite à une altercation précisément liée aux violences policières de l'été 2013 ! S'il est avéré que ce sont les policiers qui ont emmené Bertrand N. - qu'il soit « islamiste » ou non - sur les lieux du drame, tout le scénario médiatico-policier d'une « attaque djihadiste » s'effondre.
L'article complet : http://m.france3-regions.francetvinfo.fr/…/affaire-de-joue-…
Extrait : « Selon un témoin qui préfère garder l'anonymat, une altercation entre deux jeunes du quartier et un policier serait à l'origine de l'affaire. Une bagarre qui aurait eu lieu vendredi 19 décembre, c'est-à-dire à la veille des faits. "J'étais au fond du bus et arrivé à l'arrêt Rotière, il y avait un embouteillage. Je suis allé près du chauffeur et là j'ai vu un agent de police en sang, avec l'arcade ouverte". Bertrand ne se trouvait pas à Joué-lès-Tours le jour de cette altercation. Il est à Paris, où il accompagne sa mère qui doit prendre un avion pour le Rwanda à Roissy. Il reviendra en covoiturage le lendemain de l'altercation.
Selon nos sources, le 20 décembre, Bertrand retrouve sa sœur autour de midi. Il serait sorti en début d'après-midi pour manger un morceau. Le kebab dans lequel il se rend se trouve à proximité du commissariat de police de Joué-lès-Tours. Sur sa route, il aurait été interpellé par des policiers désireux de connaître l'identité des deux jeunes de la bagarre de la veille. L'interpellation de Bertrand Nzohabonayo tourne mal, deux policiers sont blessés et Bertrand est abattu par un agent de police. »
Les jours suivants, deux personnes fragiles qui n'ont rien à voir avec la religion musulmane provoquent des accidents dramatiques à Nantes et Dijon. Les médias font enfler la psychose autour de l'islamisme. Valls et Cazeneuve surfent de concert avec le Front National sur les peurs.
Jusqu'alors, une seule version a été quasi-unanimement relayée : celle de la police, celle de ceux qui ont tiré sur Bertrand N. Nous ne prétendons pas détenir la vérité, mais des témoignages et des faits viennent démonter la version policière. Pourquoi la parole des policiers vaut-elle plus que celle des témoins, que celle des proches du défunt ?
L'expérience prouve que chaque mutilation, chaque décès causé par la police s'accompagne de son cortège de mensonges pour salir les victimes et blanchir les forces de l'ordre.
Le Parti Socialiste au pouvoir est triplement criminel dans cette affaire : en protégeant systématiquement la police, en offrant une confiance aveugle aux policiers tireurs, en surfant sur les peurs et les haines.
Un homme est mort.
Que les journalistes fassent leur travail.
Signé un blogger indépendant;...Mounadil Djaziri ..
eric qui?
[quote=Citation traduite]Question : « Mais alors que suggérez-vous de faire ? Déporter 5 millions de musulmans français ? »
Eric Zemmour : « Je sais, c'est irréaliste mais l'Histoire est surprenante. Qui aurait dit en 1940 que un million de pieds-noirs, vingt ans plus tard, seraient partis d'Algérie pour revenir en France ? Ou bien qu'après la guerre, 5 ou 6 millions d'Allemands auraient abandonné l'Europe centrale et orientale où ils vivaient depuis des siècles ? »
[quote=En italien pour ceux qui n'en croient pas leurs yeux]Question: « Lei allora che cosa suggerisce? Deportare cinque milioni di musulmani francesi? »
Eric Zemmour : « Lo so, è irrealista, ma la storia è sorprendente. Chi avrebbe detto nel 1940 che un milione di pieds-noirs, ventianni dopo, avrebbero lasciato l’Algeria per rientrare in Francia? O che dopo la guerra 5 o 6 milioni di tedeschi avrebbero lasciato l’Europa centro-orientale dove vivevano da secoli?»
On observera que c'est le journaliste qui parle de déporter 5 millions de musulmans. Mais que ça ne fait pas vraiment peur à Zemmour, qui suggère, à travers une comparaison historique violente, que ça semble irréaliste... mais que finalement, non, hein... on peut toujours espérer, pas vrai? Je passe sur l'euphémisation de ces "tedeschi" qui auraient "lasciato" l'europe centrale et orientale... Lasciato, è...
Eric Zemmour : « Je sais, c'est irréaliste mais l'Histoire est surprenante. Qui aurait dit en 1940 que un million de pieds-noirs, vingt ans plus tard, seraient partis d'Algérie pour revenir en France ? Ou bien qu'après la guerre, 5 ou 6 millions d'Allemands auraient abandonné l'Europe centrale et orientale où ils vivaient depuis des siècles ? »
[quote=En italien pour ceux qui n'en croient pas leurs yeux]Question: « Lei allora che cosa suggerisce? Deportare cinque milioni di musulmani francesi? »
Eric Zemmour : « Lo so, è irrealista, ma la storia è sorprendente. Chi avrebbe detto nel 1940 che un milione di pieds-noirs, ventianni dopo, avrebbero lasciato l’Algeria per rientrare in Francia? O che dopo la guerra 5 o 6 milioni di tedeschi avrebbero lasciato l’Europa centro-orientale dove vivevano da secoli?»
On observera que c'est le journaliste qui parle de déporter 5 millions de musulmans. Mais que ça ne fait pas vraiment peur à Zemmour, qui suggère, à travers une comparaison historique violente, que ça semble irréaliste... mais que finalement, non, hein... on peut toujours espérer, pas vrai? Je passe sur l'euphémisation de ces "tedeschi" qui auraient "lasciato" l'europe centrale et orientale... Lasciato, è...
Le grand journaliste Calvi rétablit enfin la vérité ce matin en donnant la parole à Zemmour, injustement boycotté par tous les médias car victime d'un coup monté par le trotsko-stalininien Mélenchon, héritier de la Terreur, propagateur de la haine, aveuglé par sa jalousie au point de manipuler une magnifique ode à la tolérance pour la faire passer pour un vulgaire ramassis de déjections.
Bon, je me suis encore plantée. Je croyais que Zemmour n'était qu'un parfait crétin, accro à l'écho de sa parole/pub/mauvais goût/ignorance crasse. Et, en fait, c'est un parfait crétin, accro... et franchement de cette parole pitoyable, je ne serai pas l'écho. J'ai bien rigolé en lisant la chronique de DS, mais franchement débattre sur des complexés mégalomanes qui font de la surenchère sur leur pauvreté intellectuelle et morale, ça me fait mal. Ce type est laid, antipathique, répétitif, il ouvre tout grand sa toute petite gueule imitant l'impuissance de certains chiens nains bien plus respectables que lui car ils ont de vraies peurs, tandis que lui a juste des problèmes à redimensionner un ego dont il ne sait que faire parce qu'il lui manque trop de ressources pour le gérer. Mais, au fond, il ne dérange personne. Il en a tellement fait, tellement dit qu'il a réussi à décourager l'intérêt que d'aucuns, le voyant à la TV, lui portaient sans doute au début. On pourrait peut-être le laisser continuer à se saborder paisiblement tout seul dans le désintérêt qu'il inspire. Qu'Arrêt sur image fasse son boulot d'analyse de la télé, ok, mais qu'on se déchire sur cet ectoplasme atteint de logorrhée verbale aiguë, zut alors!
demain, "regards croisés sur la crèche de Ménard" (Invité, Eric Zemmour, chroniqueuse Natacha Polony). Et après demain "Natacha Polony a-t-elle réussi à rester de droite à Canal+ ?" (Invités, Eric Zemmour et Robert Ménard)
Vous êtes sévère, Daniel. Je suis certain que le surlendemain, ils feront preuve d'ouverture en invitant... je ne sais pas... Finkielkraut.
Vous êtes sévère, Daniel. Je suis certain que le surlendemain, ils feront preuve d'ouverture en invitant... je ne sais pas... Finkielkraut.
Est-ce que "Deportare" se traduit forcément par "Déporter" ?
Dans "Google Translate", en tout cas, c'est "expulser" qui vient en premier. Dans le vocabulaire français, ça n'a pas la même connotation...
Dans "Google Translate", en tout cas, c'est "expulser" qui vient en premier. Dans le vocabulaire français, ça n'a pas la même connotation...
Parler de "déportation", c'est une fois de plus nier le sens des mots et injurier la mémoire de ceux qui ont réellement été déportés, c'est à dire emmenés de force dans des camps, pour y mourir. C'est la réflexion-Godwin, la pensée simpliste niveau méchant antifa de collège.
Renvoyer de force les personnes qui ne sont pas bienvenues c'est très délicat ... Et puis qu'est-ce qui fait qu'on est bienvenu ou pas en France ? En tout cas la nationalité française officielle se résumant aujourd'hui à un bout de papier qu’on a distribué comme des tracts de soirée étudiante, ce n'est pas suffisant pour y voir clair.
Le problème n'étant pas l'étranger en soit qui dans l'absolu est le bienvenu, mais la culture qu'il impose parfois, lorsque bizarrement il ne souhaite pas s'adapter et s'assimiler au pays dans lequel il emménage de plein gré. Alors il y a un moyen déjà évident de trier le bon grain de l'ivraie : interdire la pratique de l'Islam en France (au moins le nombre d'années nécessaire à ce que l'extrémisme mondial disparaisse). c'est ce qui est pratiqué en sens inverse dans plusieurs pays musulmans, à commencer par l'Arabie (à musulman, musulman et demi). Si cela se passe pacifiquement, c'est que c'était une bonne mesure ; si cela se passe violemment, c'est que c'était une bonne mesure.
Mais sur le fond, je pense que les Français n'ont effectivement plus de culture à sauver de toute façon. Ils s'en rendent comptent trop tard. Et hormis la violence, la ghettoïsation, etc. qu'engendre parfois l'Islam, le plus dérangeant est surtout pour les Français de s'apercevoir par contraste avec ces gens qui n'abandonnent pas leur culture, qu'eux n'en ont plus, depuis presque un siècle en réalité. Les étrangers ne viennent pas en France pour la culture, soyons tous honnêtes, puisque même si elle est bien présente certes, elle n'est plus vivante mais embaumée dans des musées. Et ce meurtre ce n'est pas les étrangers qui l'ont commis évidemment, mais les dirigeants affairistes qui gouvernent la France, pour leur propre compte, depuis que la démocratie s'est vautrée dans sa mise en place en n'ayant jamais laissé le peuple gouverner.
Le coresponsable du saccage de la culture (activité humaine dans lequel se joignent l'intellectuel et le manuel) est le progrès technique, qui est la marotte, l'obsession, l'idée fixe commune à tout parti politique, et qui est un rouage essentiel du capitalisme (c'est le développement des "forces productives" que Marx applaudissait). Aujourd'hui, vu que tout est détruit, que tout n'a jamais été si fragile, on a le choix entre poursuivre le progrès technique, donc augmenter le danger, l'incertitude, l'interdépendance, la rivalité, la fragilité, ou abandonner au maximum les machines (et ce sera long), pour réapprendre les gestes qui font les choses, et qui ont permis il y a longtemps au singe de devenir l'homme et à l'homme de devenir l'humanité. Soit on continue le progrès technique et on aboutit (si cela a le temps d'aboutir) au transhumanisme, ce qui soyons-en bien conscient, engendrera une chose qui n'est plus l'être humain, autrement dit qui est une sorte de génocide programmé de notre espèce. Pour la première fois, après tous les totalitarismes qui ont souhaité l'avènement du surhomme, de l'homme nouveau, on nous propose un homme nouveau qui est... une machine. Cela est tujours présenté aux masses comme oeuvrant pour le Bien de l'espèce, comme étant le sens de l'histoire, etc. Alors comme la forme de ce totalitarisme est nouvelle on l'encense, on ne le reconnaîtra pas, et on préfère dénoncer les vieux habits poussiéreux de SS et les moustaches postiches que de voir les réels dangers totalitaires de notre temps. Et comme toujours, il sera un jour trop tard. Ca au moins, ça ne change pas.
« Pendant le XIXème siècle, les chemins de fer firent d’affreux ravages dans le sens du déracinement. Georges Sand voyait encore dans le Berry des coutumes peut-être vieilles de beaucoup de milliers d’années, dont le souvenir même aurait disparu sans les notes sommaires qu’elle a prise.
La perte du passé, collective ou individuelle, est la grande tragédie humaine, et nous avons jeté le nôtre comme un enfant déchire une rose. C’est avant tout pour éviter cette perte que les peuples résistent désespérément à la conquête » Simone Weil, L’Enracinement (1943)
Renvoyer de force les personnes qui ne sont pas bienvenues c'est très délicat ... Et puis qu'est-ce qui fait qu'on est bienvenu ou pas en France ? En tout cas la nationalité française officielle se résumant aujourd'hui à un bout de papier qu’on a distribué comme des tracts de soirée étudiante, ce n'est pas suffisant pour y voir clair.
Le problème n'étant pas l'étranger en soit qui dans l'absolu est le bienvenu, mais la culture qu'il impose parfois, lorsque bizarrement il ne souhaite pas s'adapter et s'assimiler au pays dans lequel il emménage de plein gré. Alors il y a un moyen déjà évident de trier le bon grain de l'ivraie : interdire la pratique de l'Islam en France (au moins le nombre d'années nécessaire à ce que l'extrémisme mondial disparaisse). c'est ce qui est pratiqué en sens inverse dans plusieurs pays musulmans, à commencer par l'Arabie (à musulman, musulman et demi). Si cela se passe pacifiquement, c'est que c'était une bonne mesure ; si cela se passe violemment, c'est que c'était une bonne mesure.
Mais sur le fond, je pense que les Français n'ont effectivement plus de culture à sauver de toute façon. Ils s'en rendent comptent trop tard. Et hormis la violence, la ghettoïsation, etc. qu'engendre parfois l'Islam, le plus dérangeant est surtout pour les Français de s'apercevoir par contraste avec ces gens qui n'abandonnent pas leur culture, qu'eux n'en ont plus, depuis presque un siècle en réalité. Les étrangers ne viennent pas en France pour la culture, soyons tous honnêtes, puisque même si elle est bien présente certes, elle n'est plus vivante mais embaumée dans des musées. Et ce meurtre ce n'est pas les étrangers qui l'ont commis évidemment, mais les dirigeants affairistes qui gouvernent la France, pour leur propre compte, depuis que la démocratie s'est vautrée dans sa mise en place en n'ayant jamais laissé le peuple gouverner.
Le coresponsable du saccage de la culture (activité humaine dans lequel se joignent l'intellectuel et le manuel) est le progrès technique, qui est la marotte, l'obsession, l'idée fixe commune à tout parti politique, et qui est un rouage essentiel du capitalisme (c'est le développement des "forces productives" que Marx applaudissait). Aujourd'hui, vu que tout est détruit, que tout n'a jamais été si fragile, on a le choix entre poursuivre le progrès technique, donc augmenter le danger, l'incertitude, l'interdépendance, la rivalité, la fragilité, ou abandonner au maximum les machines (et ce sera long), pour réapprendre les gestes qui font les choses, et qui ont permis il y a longtemps au singe de devenir l'homme et à l'homme de devenir l'humanité. Soit on continue le progrès technique et on aboutit (si cela a le temps d'aboutir) au transhumanisme, ce qui soyons-en bien conscient, engendrera une chose qui n'est plus l'être humain, autrement dit qui est une sorte de génocide programmé de notre espèce. Pour la première fois, après tous les totalitarismes qui ont souhaité l'avènement du surhomme, de l'homme nouveau, on nous propose un homme nouveau qui est... une machine. Cela est tujours présenté aux masses comme oeuvrant pour le Bien de l'espèce, comme étant le sens de l'histoire, etc. Alors comme la forme de ce totalitarisme est nouvelle on l'encense, on ne le reconnaîtra pas, et on préfère dénoncer les vieux habits poussiéreux de SS et les moustaches postiches que de voir les réels dangers totalitaires de notre temps. Et comme toujours, il sera un jour trop tard. Ca au moins, ça ne change pas.
« Pendant le XIXème siècle, les chemins de fer firent d’affreux ravages dans le sens du déracinement. Georges Sand voyait encore dans le Berry des coutumes peut-être vieilles de beaucoup de milliers d’années, dont le souvenir même aurait disparu sans les notes sommaires qu’elle a prise.
La perte du passé, collective ou individuelle, est la grande tragédie humaine, et nous avons jeté le nôtre comme un enfant déchire une rose. C’est avant tout pour éviter cette perte que les peuples résistent désespérément à la conquête » Simone Weil, L’Enracinement (1943)
Cessons de tourmenter les fascistes. N'apercevons-nous pas, au fond de leur regard lourd, derrière leurs vociférations angoissées, la force invincible d'une obsession morale d'autant plus invincible qu'elle aura été longtemps bridée ? J'avais mieux, mais comme Matl je me suis fait avoir par Ctrl F5)
Sorti récemment:
D'Eric Zelourd ; Le stupide Français, les 40 000 années qui ont zigouillé la France.
A poser sur son livre quand vous le voyez en librairie.
D'Eric Zelourd ; Le stupide Français, les 40 000 années qui ont zigouillé la France.
A poser sur son livre quand vous le voyez en librairie.
Quand même
http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2014/12/17/la-redaction-de-rtl-se-desolidarise-de-zemmour_1165561
http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2014/12/17/la-redaction-de-rtl-se-desolidarise-de-zemmour_1165561
Quand on n'a pas de télé on est privé de telles émissions. Même avec une télé il faut parler italien,avoir lu le bouquin de l'invité
( 400000 exemplaires vendus semble-t-il),connaître les habitudes de ce genre d'émission..."Dites le que vous êtes raciste,antisémite,homophobe,islamophobe,antisoixantehuitard" . La réponse attendue arrive toujours et permet de "faire le buzz".
Ce qui serait bien ce serait de faire une oeuvre artistique,peinture ou sculpture abstraite.Quelque chose comme un marronnier évoquant le buzz et le dérapage.
( 400000 exemplaires vendus semble-t-il),connaître les habitudes de ce genre d'émission..."Dites le que vous êtes raciste,antisémite,homophobe,islamophobe,antisoixantehuitard" . La réponse attendue arrive toujours et permet de "faire le buzz".
Ce qui serait bien ce serait de faire une oeuvre artistique,peinture ou sculpture abstraite.Quelque chose comme un marronnier évoquant le buzz et le dérapage.
N'est-ce pas ca le fait interessant? Le blog de mélenchon sort une info, et elle est reprise dans les médias. Pas l'info du siecle: Zemmour est de droite pétiniste, j'avoue que c'est pas la surprise du siècle. Mais de là à étre repris sur divers sites ( BFM et LCP par exemple) qui sitent explicitement le blog de Mélenchon comme étant leur source, j'attend de voire si c'est un incident isolé ou s'il y aura de nouvelles occurences.
Bien à vous
PS: premier message sur @si, j'ai le trac!
Bien à vous
PS: premier message sur @si, j'ai le trac!
"Quand on pense qu'il suffirait que les gens n'achètent pas pour que ça ne se vende plus."
En tout cas, moi j'ai beaucoup apprécié la chronique anti Mélenchonnienne de DS sur le Libé de lundi. C'est tout l'avantage des médiacrates cumulards de pouvoir repasser la deuxième couche.
Et puis l'avantage de cette belle corporation, c'est que comme ils sont neutre et tout et tout, quand il raconte une connerie, c'est au nom de la neutralité et pas du tout pour servir leurs intérêts. Par exemple, DS lui, simple blogueur, peut se montrer insultant avec qui il veut, puisqu'il n'est que simple blogueur. Mais Mélenchon, lui le candidat, doit avoir un comportement plus respectueux. En gros, selon DS, le respect, c'est pour les autres.
Quand à la guerre que nous promet DS, viendra t-elle des emportements de la gauche, ou du mépris de la droite dont il (DS) est un fidèle représentant. Un gentil représentant, certes, puisqu'il trouve plein de qualités à JLM, mais un représentant quand même puisqu'in fine...
Et puis l'avantage de cette belle corporation, c'est que comme ils sont neutre et tout et tout, quand il raconte une connerie, c'est au nom de la neutralité et pas du tout pour servir leurs intérêts. Par exemple, DS lui, simple blogueur, peut se montrer insultant avec qui il veut, puisqu'il n'est que simple blogueur. Mais Mélenchon, lui le candidat, doit avoir un comportement plus respectueux. En gros, selon DS, le respect, c'est pour les autres.
Quand à la guerre que nous promet DS, viendra t-elle des emportements de la gauche, ou du mépris de la droite dont il (DS) est un fidèle représentant. Un gentil représentant, certes, puisqu'il trouve plein de qualités à JLM, mais un représentant quand même puisqu'in fine...
d'accord avec les derniers commentaires, il n'y a pas de Buzz, et Jean-Luc Mélenchon enchaine sur les étrangers, éludant soigneusement le fait religieux. Désolé, quand Zemmour dit que les musulmans qui ne veulent pas s'intégrer peuvent choisir un autre pays, où est le souci? Il faut que les musulmans "modérés" s'emparent de la question. Ils ont peur de leurs fanatiques, ils connaissent le Coran mieux que nous, mais d'une façon ou d'une autre, il va bien falloir que cette religion s'adapte au monde moderne, comme l'ont fait toutes les autres. Daesh qui attaque tous azimuts, dans tous les pays, sera peut-être le déclencheur d'un sursaut collectif des fidèles musulmans. Les Tunisiens et leur jeunes pensent que les frêres musulmans et la charia ne sont pas l'avenir de leur pays, ils sont dans la réalité, ils n'ont pas le choix. Nos médias eux, découpent les mots en rondelle, coupent l'antenne dès qu'on aborde le vrai sujet (peur également des extrémistes et des attentats?) et créent des faux "buzz". C'est un boulevard pour Zemmour, et pour le FN. L'islam n'est pas une religion "privée", pour l'instant, il prétend structurer les sociétés et attend son heure. Zemmour ne dit pas autre chose. L'exemple Tunisien n'interesse personne et pourtant il pourrait illustrer l'évolution possible et nécessaire de la religion dans un contexte démocratique. Sûr en revanche que çà ferait pas le buzz. A propos, Hollande relance le plan "banlieue". Il met le thème de l'immigration sur le devant de la scène. Pas de risque que çà fasse le buzz, c'est trop concret. L'article de Daniel est bien fait.
En attendant quand on arrive depuis 2 jour ici , on a que du FN en photo , en article ...C'est de la vrai propagande , et moi Zemmour je ne le regarde pas , plus de TV depuis 2007, alors Daniel on lève le pied sur le FN et les racistes , c'est pénible.
Buzzz sans intérêt. Lisez la reprise de Mélenchon sur son site
Le journaliste lance:
Question: « Lei allora che cosa suggerisce? Deportare cinque milioni di musulmani francesi? »
Question : « Mais alors que suggérez-vous de faire ? Déporter 5 millions de musulmans français ? »
Eric Zemmour : « Lo so, è irrealista, ma la storia è sorprendente. Chi avrebbe detto nel 1940 che un milione di pieds-noirs, ventianni dopo, avrebbero lasciato l’Algeria per rientrare in Francia? O che dopo la guerra 5 o 6 milioni di tedeschi avrebbero lasciato l’Europa centro-orientale dove vivevano da secoli?»
Eric Zemmour : « Je sais, c'est irréaliste mais l'Histoire est surprenante. Qui aurait dit en 1940 que un million de pieds-noirs, vingt ans plus tard, seraient partis d'Algérie pour revenir en France ? Ou bien qu'après la guerre, 5 ou 6 millions d'Allemands auraient abandonné l'Europe centrale et orientale où ils vivaient depuis des siècles ? »
Notez que Zemmour ne dit à aucun moment qu'il faudrai faire ce que suggère le journaliste. Le journaliste balance sans nuance un propos dont il sait qu'il va buzzer. Zemmour
C'est beau comme du Léa Salamé ^^ Mes questions, mes réponses que je vous souffle. Les gentils et les méchants. Comme dans la vraie vie en somme, qui tout le monde le sait peut se résumer à cette séparation. T'es dans l'club?
Le journaliste lance:
Question: « Lei allora che cosa suggerisce? Deportare cinque milioni di musulmani francesi? »
Question : « Mais alors que suggérez-vous de faire ? Déporter 5 millions de musulmans français ? »
Eric Zemmour : « Lo so, è irrealista, ma la storia è sorprendente. Chi avrebbe detto nel 1940 che un milione di pieds-noirs, ventianni dopo, avrebbero lasciato l’Algeria per rientrare in Francia? O che dopo la guerra 5 o 6 milioni di tedeschi avrebbero lasciato l’Europa centro-orientale dove vivevano da secoli?»
Eric Zemmour : « Je sais, c'est irréaliste mais l'Histoire est surprenante. Qui aurait dit en 1940 que un million de pieds-noirs, vingt ans plus tard, seraient partis d'Algérie pour revenir en France ? Ou bien qu'après la guerre, 5 ou 6 millions d'Allemands auraient abandonné l'Europe centrale et orientale où ils vivaient depuis des siècles ? »
Notez que Zemmour ne dit à aucun moment qu'il faudrai faire ce que suggère le journaliste. Le journaliste balance sans nuance un propos dont il sait qu'il va buzzer. Zemmour
C'est beau comme du Léa Salamé ^^ Mes questions, mes réponses que je vous souffle. Les gentils et les méchants. Comme dans la vraie vie en somme, qui tout le monde le sait peut se résumer à cette séparation. T'es dans l'club?
Sinon dans l'actualité, il y a aussi le massacre par les Talibans de 132 enfants et 9 enseignants au Pakistan. Attaque tellement horrible que même les Talibans d'Afghanistan s'en sont démarqués. Elle pourrait bien amener au Pakistan un consensus (qui jusqu'à présent avait l'air de manquer) sur la nécessité de combattre activement les Talibans pour les chasser du pays. A se demander s'il n'y aurait pas un peu de surenchère dans la barbarie ces temps-ci, vu les succès de Daech après leurs coups médiatiques.
Et aussi, suite à la chute brutale des cours du pétrole, le rouble est la cible d'intenses attaques spéculatives, qui menacent la Russie d'une véritable crise de changes. La banque centrale a monté hier son taux directeur à 17% (il était à 5,5% en janvier dernier), ce qui 1) semble largement insuffisant pour enrayer la chute du rouble et 2) pourrait bien étouffer l'économie russe en 2015. Affaire à suivre, mais il semble bien que la Russie est en train de payer une trop grande dépendance à ses exportations de matières premières, se voyant à nouveau comme une puissance mondiale alors que son industrie et même son agriculture restent faibles. Vu la solidité légendaire du système financier international, personne ne sait vraiment quelles seraient les conséquences d'un défaut Russe sur certaines de ses dettes (niveau dettes publiques ils ont de la marge, mais leurs entreprises sont pas mal endettées en dollars...).
Et aussi, suite à la chute brutale des cours du pétrole, le rouble est la cible d'intenses attaques spéculatives, qui menacent la Russie d'une véritable crise de changes. La banque centrale a monté hier son taux directeur à 17% (il était à 5,5% en janvier dernier), ce qui 1) semble largement insuffisant pour enrayer la chute du rouble et 2) pourrait bien étouffer l'économie russe en 2015. Affaire à suivre, mais il semble bien que la Russie est en train de payer une trop grande dépendance à ses exportations de matières premières, se voyant à nouveau comme une puissance mondiale alors que son industrie et même son agriculture restent faibles. Vu la solidité légendaire du système financier international, personne ne sait vraiment quelles seraient les conséquences d'un défaut Russe sur certaines de ses dettes (niveau dettes publiques ils ont de la marge, mais leurs entreprises sont pas mal endettées en dollars...).
Eric Zemmour: « Ma io non mi pongo sul terreno dei partiti, la mia dimensione è quella delle idee. Conduco una guerra culturale, come direbbe Gramsci». : « Mais je ne me situe pas sur le terrain des partis, mon domaine est celui des idées. Je mène une guerre culturelle, comme le dirait Gramsci. »
Cette déclaration de "gramscisme" par Zemmour reproduite par Mélenchon sur son blog illustre en l'actualisant ce qui définit la politique culturelle de la droite depuis toujours: à savoir, le détournement de pensée. Tout comme selon Gramsci* Croce et Gentile révisèrent Marx et le mirent au service de la droite libérale pour le premier et du fascisme pour le second, Zemmour, à un niveau très inférieur de qualité, détourne la pensée gramscienne de l'hégémonie au service de la sous-politique médiatique dans laquelle sombre actuellement le débat "culturel". Ainsi se vérifie la loi de l' histoire ironiquement consignée par Marx en ouverture de son Dix-huit Brumaire de Louis-Napoléon Bonaparte: loi de répétition au niveau infériorisant. Nous sommes de la sorte passés d'Aron à BHL-Ferry et maintenant à Soral-Zemmour.
* Fondateur, faut-il le rappeler, du Parti Communiste Italien.
Cette déclaration de "gramscisme" par Zemmour reproduite par Mélenchon sur son blog illustre en l'actualisant ce qui définit la politique culturelle de la droite depuis toujours: à savoir, le détournement de pensée. Tout comme selon Gramsci* Croce et Gentile révisèrent Marx et le mirent au service de la droite libérale pour le premier et du fascisme pour le second, Zemmour, à un niveau très inférieur de qualité, détourne la pensée gramscienne de l'hégémonie au service de la sous-politique médiatique dans laquelle sombre actuellement le débat "culturel". Ainsi se vérifie la loi de l' histoire ironiquement consignée par Marx en ouverture de son Dix-huit Brumaire de Louis-Napoléon Bonaparte: loi de répétition au niveau infériorisant. Nous sommes de la sorte passés d'Aron à BHL-Ferry et maintenant à Soral-Zemmour.
* Fondateur, faut-il le rappeler, du Parti Communiste Italien.
LES ou DES ? Polony tient beaucoup à l'article indéfini.
Moi aussi, bien que je ne sois pas agrégé de lettres.
Chaque fois que je tombe sur « les profs », « les » parents, les « élèves » etc. dans un commentaire comme par hasard rageur, je zappe. DES permet la nuance, la précision, LES est totalisant (non, je n'ai pas dit totalitaire)
J'apprenais aux élèves à se méfier de l'emploi de l'article défini, à voir si leur opinion ne serait pas mieux fondée avec l'article indéfini.
(Si on va sur la traduction de l'itw en italien, on apprend que Zemmour n'est pas pro-FN car le parti mariniste est... trop à gauche ! Il doit regretter le gros borgne !
Moi aussi, bien que je ne sois pas agrégé de lettres.
Chaque fois que je tombe sur « les profs », « les » parents, les « élèves » etc. dans un commentaire comme par hasard rageur, je zappe. DES permet la nuance, la précision, LES est totalisant (non, je n'ai pas dit totalitaire)
J'apprenais aux élèves à se méfier de l'emploi de l'article défini, à voir si leur opinion ne serait pas mieux fondée avec l'article indéfini.
(Si on va sur la traduction de l'itw en italien, on apprend que Zemmour n'est pas pro-FN car le parti mariniste est... trop à gauche ! Il doit regretter le gros borgne !
Il a raison Zemmour. Dorénavant, je me conformerai aux règles de vie "à la française" qu'il vient d'édicter.
Je vais commencer par virer les djinns, les ticheurtes et les chouettes à capuche de ma garde-robe, pour les remplacer par des pantalons en tergal, des marinières et des bérêts.
Pour le fromage, je suis dans les clous. Mais plus question que je touche au Bavierola ou au Gorgonzola.
J'irai m'accouder aux comptoirs des cafés où, entre deux pastagas, je sortirai quelques plaisanteries bien grasses qui raviront les clients.
Il y aura bien parmi eux, quelques filles conquises par mon humour gaulois, qui viendront se pendre à mon bras. Et je n'aurai alors que l'embarras du choix.
Le seul petit problème c'est qu'avec ce comportement de french lover, j'aurai du mal à rester monogame, mais je serai assez discret pour que ça ne devienne pas de notoriété publique.
Je vais commencer par virer les djinns, les ticheurtes et les chouettes à capuche de ma garde-robe, pour les remplacer par des pantalons en tergal, des marinières et des bérêts.
Pour le fromage, je suis dans les clous. Mais plus question que je touche au Bavierola ou au Gorgonzola.
J'irai m'accouder aux comptoirs des cafés où, entre deux pastagas, je sortirai quelques plaisanteries bien grasses qui raviront les clients.
Il y aura bien parmi eux, quelques filles conquises par mon humour gaulois, qui viendront se pendre à mon bras. Et je n'aurai alors que l'embarras du choix.
Le seul petit problème c'est qu'avec ce comportement de french lover, j'aurai du mal à rester monogame, mais je serai assez discret pour que ça ne devienne pas de notoriété publique.
J'ajoute que pour les prénoms des enfants, il a aussi complètement raison.
C'est pas vraiment la meilleure manière de s'intégrer que les prénommer Kevin, Jonathan, Cindy ou Alison.
C'est pas vraiment la meilleure manière de s'intégrer que les prénommer Kevin, Jonathan, Cindy ou Alison.
Ou Éric, prénom d'origine scandinave..
Alison
l'occasion d'écouter ces bons vieux Pixies https://www.youtube.com/watch?v=6yaeATCPwbQ
l'occasion d'écouter ces bons vieux Pixies https://www.youtube.com/watch?v=6yaeATCPwbQ
et ces bons vieux Slowdive aussi [Slowdive - Alison]
bien vu ;)
doublement bien vu ;)
En quoi l'humour français serait il lourd ? Nos habitudes vestimentaires déplorable ? En voulant vous démarquer de ce type, vous critiquez bêtement la France . Je trouve notre humour ravageur, notre mode classe, nos habitude alimentaires agréable , dommage nous avons qq raciste qui ne valent pas le coup de dévaloriser mon pays , mes concitoyens, pour lui, c'est lui donner beaucoup d'importance . Et a toujours vouloir nous rabaisser vous etes déprimant .
Sachez, Madame, que je suis Français de souche et fier de l'être.
Être Français c'est, comme le rappelle fort pertinemment Monsieur Zemmour, "aimer l’Histoire de France, se sentir dépositaire de cette Histoire et vouloir la continuer."
Apprenez que j'ai une admiration sans borne pour les hommes et les femmes qui, au fil des siècles, ont fait le sacrifice de leur vie pour bouter l'étranger hors de notre territoire. Jeanne la Pucelle et Charles Martel en tête.
Aujourd'hui, mes héros sont tous ceux et celles qui perpétuent cette longue tradition de rejet et d'exclusion, grâce à laquelle la France demeure ma France.
Alors ne venez pas m'accuser de ne pas aimer ma patrie, ce qui fait sa grandeur et son attrait. Ses baguettes croustillantes, son saucisson à l'ail, son rouge qui tâche, ses bérets de feutre, ses espadrilles, ses marinières, l'humour de Bigard, de Roumanoff, de Magdane, celui du regretté Jean Roucas... et j'en oublie.
Vous voyez que nous avons bien plus d'affinités que nos premiers échanges ne le laissaient supposer.
Être Français c'est, comme le rappelle fort pertinemment Monsieur Zemmour, "aimer l’Histoire de France, se sentir dépositaire de cette Histoire et vouloir la continuer."
Apprenez que j'ai une admiration sans borne pour les hommes et les femmes qui, au fil des siècles, ont fait le sacrifice de leur vie pour bouter l'étranger hors de notre territoire. Jeanne la Pucelle et Charles Martel en tête.
Aujourd'hui, mes héros sont tous ceux et celles qui perpétuent cette longue tradition de rejet et d'exclusion, grâce à laquelle la France demeure ma France.
Alors ne venez pas m'accuser de ne pas aimer ma patrie, ce qui fait sa grandeur et son attrait. Ses baguettes croustillantes, son saucisson à l'ail, son rouge qui tâche, ses bérets de feutre, ses espadrilles, ses marinières, l'humour de Bigard, de Roumanoff, de Magdane, celui du regretté Jean Roucas... et j'en oublie.
Vous voyez que nous avons bien plus d'affinités que nos premiers échanges ne le laissaient supposer.
"Charles Martel en tête"
Tu pètes le feu en ce moment !
Tu pètes le feu en ce moment !
Attention, si vous n'avez pas suivi le fil sur le harcèlement de rue vous n'êtes surement pas au courant, mais désormais l'activité de french lover est sévèrement réglementée.
En effet, dorénavant les endroits où vous pouvez "courtiser" une fille sont limités, evemarie vous enverra la liste des endroits autorisés.
De plus je vous conseille d'aller voir Jeanbat pour qu'il vous donne la liste des positions corporelles dites de "disponibilité" qui vous autorisent à leur parler, même si c'est pour leur demander l'heure il est absolument interdit de parler aux filles si elles ne vous l'ont pas autorisé au préalable par l'envoi de signaux corporels !
En effet, dorénavant les endroits où vous pouvez "courtiser" une fille sont limités, evemarie vous enverra la liste des endroits autorisés.
De plus je vous conseille d'aller voir Jeanbat pour qu'il vous donne la liste des positions corporelles dites de "disponibilité" qui vous autorisent à leur parler, même si c'est pour leur demander l'heure il est absolument interdit de parler aux filles si elles ne vous l'ont pas autorisé au préalable par l'envoi de signaux corporels !
J'ai suivi le fil sur le harcèlement de rue, et je me souviens très bien de vos interventions ineptes.
Ben voyons, alors tout va bien.
Ah bon ,,,Thréard est fâché avec Calvi ? On le voyait beaucoup à C dans l'air
en compagnie de plein de sarkozystes venant aider sur la cinq( service public) leur héros à décrocher le pompon ?
Quant à la Polony, pardon, mais je ne peux pas la voir plus d'une minute sans souffrir .Son ton péremptoire , sa tronche même me dérangent.
Par contre je sais que le fidèle Drucker recevra dimanche la miauleuse de son mec pour parler de lui bien sûr, c'est dans le plan com du triste sire...Et je ne verrai pas ça non plus. Au fait, est-ce qu'on sait pendant combien de temps encore Drucker va squatter le service public ?
en compagnie de plein de sarkozystes venant aider sur la cinq( service public) leur héros à décrocher le pompon ?
Quant à la Polony, pardon, mais je ne peux pas la voir plus d'une minute sans souffrir .Son ton péremptoire , sa tronche même me dérangent.
Par contre je sais que le fidèle Drucker recevra dimanche la miauleuse de son mec pour parler de lui bien sûr, c'est dans le plan com du triste sire...Et je ne verrai pas ça non plus. Au fait, est-ce qu'on sait pendant combien de temps encore Drucker va squatter le service public ?
Bref, il est de plus en plus dispensable de regarder le Grand Journal,
À la même heure, Futurama sur NRJ12. Beaucoup plus drôle et plus pertinent (et plus actuel).
À la même heure, Futurama sur NRJ12. Beaucoup plus drôle et plus pertinent (et plus actuel).
S'il n'y avait pas @SI, je ne saurais pas ce qui se passe à la télé.
Peut-être que je serais alors obligé de la regarder.
Pour pouvoir en causer après.
Heureusement, il y a les liens indispensables que l'on y trouve (sur @SI).
Peut-être que je serais alors obligé de la regarder.
Pour pouvoir en causer après.
Heureusement, il y a les liens indispensables que l'on y trouve (sur @SI).
Déporter les musulmans ! Mais on rêve !
Moi je propose qu'on s'en aille tous de leur merveilleux pays, celui qui était si bien avant les Bretons, les Polonais, les Italiens, les Russes blancs, les Arabes, et encore les plombiers polonais, et les femmes, et qu'on les laisse délirer entre eux !
Tout seul, sans personne pour les déranger.
Mettre en exergue des irresponsables pareils, mais je rêve. Heureusement que je ne regarde pas
Par contre, hier soir, je suis allée voir au cinéma, Les Héritiers, super film. Très beau esthétiquement et pas neu neu.
Avec de vrais gens. Le genre que je rencontre quand je sors dans la rue.
Ouf !
La télé se meurt
La télé est morte.
De profundis
Moi je propose qu'on s'en aille tous de leur merveilleux pays, celui qui était si bien avant les Bretons, les Polonais, les Italiens, les Russes blancs, les Arabes, et encore les plombiers polonais, et les femmes, et qu'on les laisse délirer entre eux !
Tout seul, sans personne pour les déranger.
Mettre en exergue des irresponsables pareils, mais je rêve. Heureusement que je ne regarde pas
Par contre, hier soir, je suis allée voir au cinéma, Les Héritiers, super film. Très beau esthétiquement et pas neu neu.
Avec de vrais gens. Le genre que je rencontre quand je sors dans la rue.
Ouf !
La télé se meurt
La télé est morte.
De profundis
Bonjour
La poussière soulevée par ces starlettes n'a aucune valeur devant l'engagement citoyen que nous a montré hier soir ce documentaire d'ARTE (à voir encore 7 jours). Le comportement inconstitutionnel des dirigeants US était et est insupportable.
Un documentaire à voir absolument.
La poussière soulevée par ces starlettes n'a aucune valeur devant l'engagement citoyen que nous a montré hier soir ce documentaire d'ARTE (à voir encore 7 jours). Le comportement inconstitutionnel des dirigeants US était et est insupportable.
Un documentaire à voir absolument.
Quelle bande de bouffons !
Le point positif du Grand Journal, c'est que c'est de moins en moins regardé (source : http://www.jeanmarcmorandini.com/article-329902-audiences-access-nagui-a-plus-de-3-million-c-a-vous-frole-le-million-canal-et-hanouna-au-coude-a-coude.html).
Ce soir, Daniel, essayez de regarder Touche pas à mon poste, je suis sûr que c'est limite plus intéressant.
Ce soir, Daniel, essayez de regarder Touche pas à mon poste, je suis sûr que c'est limite plus intéressant.
Le Gruyère n'a pas de trou!
Salutations de Suisse...
Salutations de Suisse...
Le gorafi à la tv, c'est pas terrible...
C'est mieux online.
C'est mieux online.
Eric Brunet, le réac de BFN ? Qu'on me cite un seul non-réac militant à BFN-RMC !