Condamnations pour apologie du terrorisme : les "provocations" contre la police prises en compte...
...mais pas la déficience mentale
Le gouvernement avait appelé à la "fermeté" contre "l’apologie du terrorisme". La ministre de la Justice avait publié en ce sens une circulaire le 12 janvier, dans laquelle elle demandait aux procureurs de la République de faire preuve d’une "extrême réactivité dans la conduite de l’action publique envers les auteurs de ce type d’infractions".
Deux jours plus tard, Le Monde comptait plus de 70 procédures ouvertes pour apologie et menaces d’actions terroristes et notait une "répression accrue". Si la plupart des sites de presse qui traitent du sujet rappellent les condamnations les plus lourdes, dont celle à quatre ans ferme (qui n&rsqu...
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