Bastien Vivès, les trucs et les machins
À la fin, après plus de deux heures de discussion, c'est Bastien Vivès qui interroge. "Et toi, t'en penses quoi ?"
Vaste question. Je lui demande de préciser. "Tu penses que je suis sincère ? Dangereux ? Un criminel ? Que j'appartiens au passé ? Que je suis un artiste ?"
Plus de deux heures, qui nous ont vu glisser du vouvoiement au tutoiement (vers une heure quarante). Mais l'interview aurait pu durer encore plus longtemps, tant le sale gosse a soif de s'expliquer (contrairement à ses éditeurs successifs, Olivier Jalabert chez Glénat, et Benoit Mouchart chez Casterman, tous deux aux abonnés absents quand on leur demande une interview sur le sujet).
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