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Commentaires

Courage, rêvons!

Pour sa dernière, "Clic Gauche" fait dans le serein. Pas d'énervement, pas de rage, mais un encouragement à produire un imaginaire radicalement alternatif aux fantasmes techno-industriels et transhumanistes.

Commentaires préférés des abonnés

Tu vas me manquer... les clics gauche étaient de fascinants objets de réflexions et de vertigineuses plongées dans un univers qu'on croyait être une chimère destinée à effrayer les techno-addicts. Envoie une carte (écrite à la main) de là où tu auras(...)

Cette chronique était clairement devenue ma lecture préférée sur @si, vous allez bien me manquer, mais la fatigue provoqué par la colère constante, je comprend vraiment ça !

" Il n’y a que la lucidité du désespoir face à la démence d’un capitalisme anthropofage " 

​j'ai beau voir une lueur d'optimisme dans votre texte , je suis anéanti. 

Le pire,  c'est que l'on se croit libre. Ces capitalistes ont réussi à (...)

Derniers commentaires

Je ne sais pas comment j'avais fait pour passer à coté de l'annonce de sa fin alors que c'était une de mes chroniques favorites (et que j'avais même lu ce dernier article), mais avec un peu de retard mes meilleurs vœux pour la suite de ses aventures à Thibault.

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Merci pour vos textes, les plus énervés comme les plus sereins, en espérant voir revenir sous une forme ou une autre vos analyses, vos coups de gueules et votre fine connaissance du monde numérique infini.

C’est bien dommage pour nous, le rumérique n’est pas souvent traité dans les médias en tant que sujet politique et cette chronique était vraiment la bienvenue.


Bon vent et profites de la vie loin des claviers.

Merci pour ses chroniques passionnantes et cathartiques ! 

J'espère avoir le plaisir de revoir votre plume acerbe et inspirée.

Si nous sommes les vents qui font avancer ta barque alors bon vents et que ces vents te portent loin, très loin. Assez loin pour que ce monde pourri dans lesquels on nous  force à survivre ne soit même plus un souvenir ni même un cauchemar.

Oh mince, quel dommage que ça s'arrête. 

Bon vent Thibault et merci pour toutes ces chroniques !

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Entre leurs mains, l'imaginaire est plus que jamais normatif. À tel point que, dans les librairies, les fins du monde occupent bien plus de place que la fin du capitalisme.


De préférer la création à la réaction. De contre-attaquer avec des utopies émancipatrices collectives, qui privilégient la solidification et l'expansion des communs à la marchandisation du vivant. En finir avec l'héritage étouffant du cyberpunk, dystopie périmée devenue machine à fumée vidéoludique. Répondre à leur techno-féodalisme en silo par une architecture politique fluctuante, protéiforme, modulaire. Répondre à leur temps en accélération constante par une philosophie de la lenteur ; démanteler la valeur travail par la valeur existence, fracasser la surconsommation et le productivisme sur l'autosuffisance et la décroissance. Brûler les monocultures de l'esprit et collectiviser les outils de production du futur. 


Décidément je vous appréciais beaucoup ! Encore merci !

Après maître Korkos, encore un iconoclaste du site qui part, (pour aller lui aussi enseigner la peinture chinoise en Bretagne ?), en nous laissant trimer sous terre avec les autres Morlocks…


Avons-nous aussi le droit d’être en colère ?



Argh ! Quoi ? Qu'est-ce ?

Vous nous lâchez pour la vie AFK.

Qu'est ce que c'est que cette expression de millenial pervers ?

Away From Keyboard !


Après vous être enfoncé dans les délires psychotiques des Gafameurs prospères et mégalos, vous nous abandonnez en pleine campagne !

Je vous conseille plutôt d'aller faire un tour au Louvre, sans cyberconnectivité, de vous promener au milieu des gens qui observent les œuvres en disant des tas d'imbécillités d'ignorants.

Ec

outez-les ! Le spectacle y est dans l’œil de celui qui regarde,...

Celui qui voit la peinture ou la statue et qui ne comprend pas plus qu'en regardant n'importe quelle autre peinture contemporaine.

Le monde est divers et plastique, et il n'y a que les humains qui ne s'encombrent pas de subtilités.


Le monde que croit façonner Zuckerberg est un piège pour les gogos. Nous le savons tous. Mais s'il n'y avait pas de gogos, il n'y aurait pas de monde réel.

Notre essence humaine est la croyance, plus encore que le langage.

Et ce que nous acceptons de croire se transforme en réalité.

Et posséder de l'argent pour imposer les croyances ne crée rien.

Et surtout pas de raison de vivre.

Regardez ces jeunes dans le métro tapoter frénétiquement sur leurs smartphones.

Qu'ont-ils à dire ? Sans doute rien.

Comme un homme qui était devant moi dans une rue de Paris et qui d'évidence rejoignait des amis et à qui il téléphonait : "Oui, là, je suis devant le 197, je suis devant le 199, je suis devant le 201. Je suis..."

Etrange litanie qui ne parle que de notre vacuité totale...


Regardez-vous, regardez-nous.....


Le monde tourne...

Sans doute sans nous .... Surtout si nous sommes sur les écrans.


C'était un commentaire déceptif et parisien..





Grand merci pour vos chroniques qui m'ont beaucoup interessé!

Oh non ! Chaque "clic-gauche" m'a nourri, interpellé, terrifié, amusé, motivé... ça va terriblement me manquer.

Merci Thibault (et ASI) pour tous ces articles passionnants, aussi parfaitement écrits que documentés, c'est beau le (vrai) journalisme... et bonne route.

"L'imaginaire n'est pas une fuite, c'est un droit de réponse à l'inhumanité du réel"   BOOM !   :-o

Merci mille fois pour vos chroniques extraordinaires, superbement écrites, parfaitement sourcées, pleine d'éruditions, de découvertes et de réflexions passionnantes.
Je suis égoïstement déçu que celle ci soit la dernière. J'en voudrais d'autres, je voudrais continuer à être bousculé, dérangé dans mon train train quotidien.
Bon vent, bon repos, et au plaisir de vous lire encore, ailleurs, ici, peu importe.

Bravo et merci!


Enfin, un beau texte explicitement anticapitaliste sur ASI. Et qui se pose les deux seules questions qui vaillent aujourd'hui: une fois identifiée la source de toutes les catastrophes déjà en cours - le gros mot commençant par "capi", finissant par "talisme" et qui, sous les radars bourgeois, refait son apparition - on essaie d'aller où et on prend quel chemin?


Alors, camarade inconnu qui me manquera, je te souhaite un bon débroussaillage à la recherche d'un de ces chemins.


PS: on se refait pas, il me semble que le modèle Friot-Lordon est un horizon collectif fort désirable et qui résonne très bien avec ton texte ;-)

Dommage que ça soit finit, j'appréciais beaucoup laa plumer et Lee fond des articles ça donnait à réfléchir 

Merci encore pour ces chroniques. Au moins tu parts de façon flamboyante, au meilleurs de ton talent, et en plein milieu de ton œuvre !


La fin du monde au lieu de la fin du capitalisme ? Je ne suis pas sur. Puisque la plus part du temps, ce que Hollywood appelle la fin du monde, c'est précisément en fait la fin du capitalisme. Quoi qu'il arrive, dans le meilleurs comme dans le pire des cas, après une révolution internationaliste ou après un holocauste nucléaire, l'Etat et le capital détruits mais les infrastructures toujours là. La fin du capitalisme partout et simultanément, c'est certainement un fantasme. 

Si bien que les aventures de Rick Grims parmi les zombies ou celles de Polza dans Blast pourraient très bien être le récit de ce qui se passe après le capitalisme, à un endroit donné et à un moment donné. Le paysage désenchanté avec la carcasse d'avion de ligne et le pylône électrique couvert de lierre. Les maisons coupées du monde et réinvestie en abris pour se protéger et assurer sa subsistance. Le genre de récit qui voudrait décrire une catastrophe mais qui montre aussi un lâcher prise sur le monde capitaliste, finalement très exaltant. Cela se passe déjà quelque-part, là où l'industrie a déserté ou là où la guerre a éclaté ou encore là ou les gens ont fait sécession. Ce n'est pas un cauchemar ni une utopie mais peut-être un objectif. Par exemple, une zone industrielle désaffectée dans un bled oublié de la diagonale du vide, n'est-ce pas un endroit abandonné par le capital, où les gens n'auraient plus qu'à rebâtir leurs communs ? Pourtant c'est en France et c'est maintenant.


Salut à toi camarade

"SI tu élèves tout, tu tiens dans ta main la joie éternelle,
Parce que le mal n’existe pas.
La colère qui est force dévastatrice,
- Vers le haut, est Alléluia."

J'ai pensé à cette extrait des dialogues avec l'ange en vous lisant 

Mais bordel de dieu, Thibault, je vais devoir me prescrire quinze containers d'ISRS pour assimiler ton départ. 

Tu étais mon auteur préféré d'ASI (avec DS, of course, pour des raisons historiques). 

Tu es un damné surdoué, j'avais la rarissime sensation de devenir un petit peu plus intelligent après la lecture de chacun de tes billets.

Tu confirmes par ce dernier billet que tu portes en toi la déconstruction subversive qu'on a pu connaître entre les mid-sixties et les mid-eighties, que tu es pourtant trop jeune pour avoir connue. Puis qui s'est hélas éteinte, conjointement à l'extension du capitalisme financier mondialisé puis des NTIC (ben oui, j'appelle encore ça comme ça).

Et ta connaissance pointue de ces NTIC et de leurs effets pervers rendent ton approche critique particulièrement judicieuse.

Ne nous laisse pas complètement tomber. Si tu te barres d'ASI, réapparais quelque part ! Merde !!! :-(


Dans la dernière partie, vous avez écrit " n'allons pas peur", au lieu de "n'ayons pas peur" peut-être? Je ne sais pas. Mais il est certain que par deux fois vous avez écrit "merde" au lieu de " merdre". 


On devrait inventer un articletober : une liste de 31 mots, un par jour, et il nous faut un mini-article tous les jours en rapport avec le mot. 

Je l'ai déjà dit: je ne suis pas fan des chroniques "clique gauche", à cause de leur parti-pris a priori, de leur manque de subtilité et d'analyse. Mais Thibault Prévost explique bien pourquoi: "Tous les quinze jours, cette chronique va chercher son origine dans différentes formes de rage, qui vont de la haine flamboyante au mépris glacial en passant par le dégoût, la révolte, l'indignation, la colère noire, etc. La colère est un carburant, un liquide amniotique dans lequel baignent mes réflexions technocritiques bimensuelles." 


Ce n'est pas ce que j'attends d'un journaliste. La colère est un carburant, mais c'est aussi le meilleur moyen de passer à côté de certains choses, d'ignorer les faits qui vont contre l'opinion qu'on défend  et d'être trop orienté. Mais visiblement, ça plaisait à certains asinautes.



Cela dit, bonne route à Thibault Prévost, puisse-t-il  aimer sa vie AFK et faire de grandes choses.

Bonne route

Bravo Thibault pour ces chroniques. Tu as été lu avec assiduité et même cité dans un débat entre obsurs fonctionnaires du premier arr. de Paris (je te raconte pas l'effet que produit ton discours sur les "NFT redécouverte de la propriété privée" dans ces cénacles technophiles). Déconnecte bien, bon vent !

Salut à toustes,

Merci. Merci. Merci infiniment.

Et pardon, aussi.
Je sais que, comparé à ce qui se fait habituellement chez ASI, j'ai trop peu passé de temps dans la section commentaire, à intéragir avec vous. J'ai quand même une excuse (foireuse, mais au moins vous saurez): la majorité de ces textes a été écrite en nomade, sur les routes, à la terrasse de cafés ou dans des patios d'auberges de jeunesse, ce qui (vous le reconnaitrez) n'encourage pas à traîner sur son PC mais plutôt à enfiler ses pompes de rando et aller voir du pays.

Pour autant, je vous ai lu religieusement après chaque parution - et, franchement, avec un peu d'appréhension à chaque fois. Si quelqu'un a une astuce pour arrêter de stresser quand on écrit, je suis preneur.

Et pourtant, invariablement, tout ce que j'ai lu ici m'a fait rire, m'a donné à réfléchir, m'a attendri, m'a parfois agacé, m'a fait cliquer sur des liens qui m'ont emmené dans des endroits inédits du Réseau, bref, tout ici m'a nourri, m'a responsabilisé, m'a soutenu, m'a porté et m'a donné le carburant nécessaire pour bosser à fond ces textes et densifier autant que possible ces chroniques.

Nos chroniques.

A l'heure de repartir sur la route pour une durée indéterminée, ce rendez-vous me manquera beaucoup...même si la colère accumulée m'a probablement fait perdre quelques mois d'espérance de vie :)

Merci pour votre intelligence collective, merci pour la confiance, la bienveillance et l'inspiration, et à bientôt, camarades!


Ce qui va nous manquer, c'est ce talent pour raconter sa rage.


Promenez vous bien. 

Rien de tel que la route pour mesurer l'immensité de son pas.

J'ai toujours pensé que la colère était un moteur infaillible pour ne pas mourir et pour continuer à avancer. La colère cache la souffrance. Et il y a de quoi souffrir dans ce bas monde...

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bravo vous ecrivez magnifiquement, j aimerais en faire autant mais ce n'est pas le cas helas. vous decrivez entierement ce que je pense et de la plus belle manière. alors bonne continuation sur une autre planete et encore bravo

Débranche et descend dans la rue.

D'abord merci

ensuite j'ai voté pour l'article

et je conseille à tous de le faire

ensuite encore, je suis en train de relire en suivant tous les liens

un "upgrading" de mon cerveau d'autant nécessaire qu'il y a eu la Suède, qu'il y aura ce soir l'Italie, qu'il y a la formule terriblement Française de la démocratie 49-3 sans parler du ciré Johnson etc


Bonne continuation en vie AFK à Thibault Prévost

Merci. Et bonne balade...

Chapeau bas. Merci pour ces chroniques magnifiques, les plus denses et fécondes jamais proposées par @si. Un jour, en faire un livre. Vraiment !  

Un grand merci pour ce moment intelligent que je viens de vivre en vous lisant.

Une bien triste nouvelle que cette chronique qui se révèle ultime...

Je suis du genre déconnectée privilégiée. J'habite à la campagne mais je constate que c'est un lieu propice aux initiatives anarchistes qui ne disent pas leur nom. De concert dans un bois, à des festivals de théâtre de rue, en passant par des fresques d'art brut sur des granges, les alternatives concrètes existent. Et elles existent grâce à la mobilisation de personnes qui n'ont pas besoin de l'imaginaire techno-capitaliste pour mettre en pratique des utopies . L'art, le spectacle, voilà l'avenir de l'humanité si elle ne veut pas finir nécrosée dans un cocon virtuel, qui, pour exister, aura épuisé toutes les ressources indispensables à la vie. Sortez, allez voir des expos, laissez vous embarquer pour des voyages improbables avec des marionnettes, des clowns, des conteurs , soyez vous même un acteur, une actrice, en organisant un événement, en tenant la buvette, la billetterie, l'accueil des spectateurs, l'accueil des artistes, en leur faisant à manger pour qu'iels puissent nous proposer leur vision du monde, loin des mondes numériques, et qui nous rappellent qu'on est profondément vivant quand on construit ensemble.

merci pour ces textes inspirants. J'ai hate de lire le livre :)

Cette chronique était clairement devenue ma lecture préférée sur @si, vous allez bien me manquer, mais la fatigue provoqué par la colère constante, je comprend vraiment ça !

Intéressant. Le souci de l'antinumérique c'est qu'on y perd toute la beauté des algorithmes, les ryhtmes lancinant de la machine, ronronnante, et la satisfaction d'une rétropropagation de gradient stochastique, pour les troquer contre cette injonction normalisante à "aimer les arbres" et "danser et chanter". Cet horrible monde réactionnaire où il faudrait encore travailler plus pour nourrir tout le monde et où les machines deviennent le nouveau blasphème. Les imaginaires technocritiques deviennent trop vite technophobes, radicalement totalisants et excluants, fondés sur un romantisme luddite de privilégiés. Alors oui pour un imaginaire solarpunk qui ne soit pas un gloubiboulga new ageux rempli de ces sentiments dégoulinants. (Oh, un colibri, PAF *coup de pelle* "voila ta part")

"la pensée de gauche radicale était en train de crever à force de se cantonner à la réaction ". Ça c'est ben vrai. Construisons que diable

Je n'ai jamais été aussi d'accord avec un billet d'ASI. Ce clique gauche va sacrément me manquer, j'avais l'impression d'avoir dix minutes d'intelligence. Je vais retrouver mon encéphalogramme plat habituel, mais en ces temps sinistres, c'est pas plus mal.

Imaginagir, un programme pour les mois et les années qui viennent.

Merci beaucoup pour ces excellents articles qui visent juste. À bientôt dans l’imaginaire.

Merci pour ces 18 mois de chroniques, Thibault.

Merci et bravo pour tout ça, sans aucun doute les lectures les plus attendues de ma part sur ce site.
Bonne suite.

Merci pour tout ces articles de grandes qualités

Possible dernier clic gauche, et ce le jour de mon anniversaire. La journée commençait pourtant bien, mais une tache grisâtre vient d'apparaître a l'horizon.

Sympa d'avoir d'avoir penser a Mathieu Bablet. Pour ceux qui ne connaissent pas "Shangri-La" et "Carbone et Silicium" sont incroyables. 

Encore merci pour ces chroniques des plus stimulantes. Ton écriture manquera a beaucoup j'en suis sur.

Et j'en profite pour replacer ce livre de SF, tant d'actualité, Ecotopia de Callenbach! D'abord l'emprunter en médiathèque puis/ou l'acheter en format poche pour le faire circuler. Je reprécise que je n'ai aucun lien d'intérêt avec l'auteur, les éditeurs, imprimeurs, etc...

Cela fait bien longtemps que  l'imaginaire , SF ou non, permet d'approfondir la réflexion sur tous les sujets. Dictateurs, grands ou petits, le savent bien et la censure, brutale ou discrète, est active pratiquement partout et de tout temps. Lisez!

Pas très original à dire, mais toujours intéressant de constater une concordance de vues aussi appuyée avec le cheminement de sa propre réflexion. Et, encore moins original, d'autant plus de dépit de voir la rubrique s'interrompre...

" Il n’y a que la lucidité du désespoir face à la démence d’un capitalisme anthropofage " 

​j'ai beau voir une lueur d'optimisme dans votre texte , je suis anéanti. 

Le pire,  c'est que l'on se croit libre. Ces capitalistes ont réussi à nous anesthésier,à nous faire aimer nos chaînes , à admirer nos tyrans.

En tout cas,on vous regrettera . Bon vent. 

​​​

Cette littérature existe déjà.

C'est justement pour ce genre de texte que tu vas cruellement nous manquer. Merci pour tout. See you, space cowboy.

Tu vas me manquer... les clics gauche étaient de fascinants objets de réflexions et de vertigineuses plongées dans un univers qu'on croyait être une chimère destinée à effrayer les techno-addicts. Envoie une carte (écrite à la main) de là où tu auras trouvé judicieux d'atterrir.

Je suis bouche bée. Un artiste, vous êtes.

mon capitaine,  merci et bon vent

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