Islamophobie, viol : on s'en fout, de ce qu'ils disent !
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Commentaires préférés des abonnés
Le "lavajato" était présenté comme la plus grande opération anti corruption jamais menée au Brésil par la quasi totalité
des médias maestrum français pas du tout militants.
C'est en fait devenu le plus grand scandale judiciaire de l'histoir(...)
Je m'interroge :
- permettre à un violeur ( non condamné )de s'expliquer ;
- et, permettre à un ex-Président ( condamné en premier ressort, pour viol de la Loi ) de se justifier,
est-ce vraiment du journalisme ?
(...)Pourquoi dit-on " antisémitisme " et " islamophobie ", et non pas " judéophobie " et " anti-islamisme " ?
Derniers commentaires
Je vie au Québec et ici aussi la une de Libé a choqué. Je ne sais pas d’où vous dites que les hommes autochtones sont invités à parler de leur viol. Peut-être y a t il eu des expériences locales, je n’en ai jamais entendu parler... Et je ne crois pas qu’on puisse faire de comparaison avec ces communautés qui vivent majoritairement dans des réserves et la France. L’écart est trop grand. Et c’est sans doute un des peuples qui va le moins bien au monde : viol, alcoolisme, insestes, violence, mortalité... On est très loin des chiffres de ce qu’on peut voir en France.
Est ce que le Québec « blanc » est plus avancé sur les question de violence faite aux femmes? Peut être un peu. Mais une telle lettre n’aurait pas pu être publiée à mon avis. Elle aurait fait scandale aussi.
je voulais préciser cela.
merci.
Mediapart publie un récit détaillé du conflit à l'IEP Grenoble. Où on constate que nos deux professeurs cochent toutes les cases du bingo réac anti-islam dans sa toute dernière version. Ces gens hystérisent le débat, calomnient et harcèlent les personnes avec lesquelles elles ne sont pas d'accord, tout en étalant leur incompétence, font appel aux média réactionnaires dès que possible...
Comment réagir face à ça ? La direction n'a pas été capable de calmer le jeu, la situation sanitaire n'aidant pas, la manifestation et les collages se retournent au final contre les étudiants qui les ont organisés et permettent aux profs de se présenter comme des victimes et de faire le tour de tous les plateaux télé.
Cette nuit, un affichage prouvant que les étudiants de Sciences Po Grenoble ne sont pas tous des harceleurs arriérés :
https://blogs.mediapart.fr/lenaig-bredoux/blog/090321/la-parole-des-violeurs-et-ce-que-la-presse-en-fait?utm_source=global&utm_medium=social&utm_campaign=SharingApp&xtor=CS3-5
ça me semble assez circonstancié comme réflexion pour une bande de femelles en colère. La colère n'aveugle pas forcément autant que la bonhomie masculine à ce qu'on peut constater à votre lecture Mr Schneidermann.
Le texte de Samuel n'a rien d'inédit : ça n'est qu'un ramassis auto-justificatoire suffisamment habile pour tordre les idées féministes à son service. Le tout saupoudré d'approximations foireuses : les victimes deviennent des agresseurs. C'est réconfortant ça, ça met de l'ordre dans le grand chaos de la prédation. Mais la plupart des victimes ne reproduisent pas et la plupart des agresseurs n'ont pas de passée traumatique. Cette lettre est un crachat aux hommes violés qui ne violent pas.
Quiconque a une expérience pratique de la violence sait comment l'empathie de la victime peut être manipulée par l'agresseur. On les connaît les discours des prédateurs : l'amour, la passion, le manque de contrôle ... (on pourrait en faire un bingo).Je souhaite vraiment bon courage à Alma doit se remettre d'un viol et de ce gaslighting d'ampleur nationale.
Après les sempiternelles fleurs et rabat à l'institut, va-t-il falloir qu'on s'habitue au rapslaining pour le 8 mars? Quoi qu'il en soit nous nous célébrerons et nous serrerons les coudes.
Finalement je pense que l'animal humain d'Europe de l'Ouest* c'est globalement abêti.
En pire.
Du moins si ce qu'on dit des bêtes est vrai: à savoir qu'ils ne fonctionnent qu'à l'instinct.
Ce pire est que c'est l'excitation de l'émotion qui provoque la réaction instinctive et non les nécessités vitales.
Je me demande si cet situation n'est pas justement une nécessité darwinienne d'inadaptation pour réguler cette variante géographique de l'espèce... :-)
*Europe de l'Ouest, parce que je ne sais pas pour les autres - probable que ça et là le même phénomène se produit.
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"On s'en fout..."
Tout est dit.
Le féminisme en 2021 n'est pas affaire de justice, de réparation, ni même de Droit; c'est une affaire de vengeance.
Ca v
Attendez, on est d'accord qu'elles ne parle que de la place occupé par les différents discours dans l'espace publique, je ne dit pas qu'on doit être d'accord avec leurs conclusions, mais limiter leur argumentaire ici à une vonlonté de vangence, c'est un peu court.
Je ne parle pas de l'argumentaire mais du sentiment qui l'anime. Et le pire c'est que, je pense, peu de protagonistes sont conscient d'être animés par un esprit de vengeance/revanche. Ils (m'en fout l'inclusivité) pensent être animés par un esprit de |justice|.
D'autre part ce n'est pas surprenant; les conditions d'angoisse dans laquelle on vit ont besoin d'un exutoire.
L'expression de la résolution de ces angoisses est multiple.
Ça va des batailles de jeunes entre quartier (attendez de voir les adultes s'y mettre), aux suicides, en passant par toutes les luttes/violences sociales et idéologiques civiles susceptible de donner un sens à sa vie (attendez de voir quand ces violences deviendront politiques)
Je pense que c'est quand même une drôle de manière de résumer "le féminisme en 2021".
Oui :-)
Comme une gifle à une personne qui démarre une crise d'hystérie .
C'est quand même un joli procès d'intention bien ficelé.
Un violeur vient se répandre en une de Libé en pleurnichant sur lui même. Les personnes agressées choisissent de dire : on s'en fout. On ne veut pas entendre ces pleurnicheries qui véhiculent tant de clichés pour se dédouaner. Et vous traduisez ça par : ils et elles veulent se venger et ils ne le savent même pas.
La boucle est bouclée.
Vous avez vous aussi bien ressorti les bons vieux clichés de la défense des violeurs : 1 - il ou elle ment, 2 - ils ou elles veulent se venger., 3 - ils ou elles se victimisent tous seuls et ils ne le comprennent pas.
Imparable mur du déni.
Ouais, ouais, ouais... C'est quand même un joli procès d'intention bien ficelé.
M'enfin...
C'est bien de rester dans l'air du temps, comme ça on n'est pas seul à lemminguer... MDR :-)
Tout un fil de commentaires ci dessous, appuyé sur des informations parcellaires et polémiques m'a donné envie d'en savoir plus sur ce qui se passe à Sciences Po Grenoble. Cet article de Place Grenet', malheureusement incomplet puisque réservé aux abonnés, est pourtant suffisant pour ouvrir le débat sur une base plus claire.
Et nous rappelle, s'il en était besoin, que se contenter des infos classiques est une erreur.
Oui, bon, c'est maladroit de mettre en une de Libé, le 8 mars, journée internationale du droit des femmes une tribune nommée "J'ai violé, vous violez, nous violons" dans laquelle un étudiant pervers vient pleurnicher que si il a violé, il avait des bonnes raisons pour cela, (on s'aimait, c'est la société qui m'a élevé comme ça, ça m'est tombé dessus, je suis comme tout le monde, je suis féministe c'est pour ça que j'ai pas réalisé que je violais la fille que j'étais en train de larguer, ... on a tous les clichés de merde étalés sous nos yeux d'un coup là). Mais de là à être en colère au lieu d'essayer de comprendre, d'écouter, de rire ensemble comme dans le bon vieux temps !
Parce que les filles violées, elles sont comme ces étudiants qui refusent de parler à ceux dont ils pensent qu'ils ont de belles idées de merde : pas compréhensives, pas ouvertes au dialogue, il faut du débat !!
Comme un premier petit pas : ça fait 2000 ans que ceux qui se font violer, agresser, doivent en plus se taire pour pas déranger les violeurs. Alors aujourd'hui, on veut bien commencer à débattre avec ils et elles, pas se taire hein, débattre, leur cracher encore plus à la figure en leur disant que c'est déjà vachement chouette qu'un homme admettre, du bout des lèvres, que c'est pas cool ce qu'il a fait quand il a détruit la vie de sa compagne (la sienne aussi du coup, pauvre canard !). D'ailleurs, on oublie trop souvent le drame des bourreaux quand on parle du drame des victime (entendu sur LCI).
Vivement que Libé nous mette en une un texte de Fourniret qui expliquerait, le 20 novembre, jour des droits de l'enfant, à toutes les parents qui ont eu un enfant assassiné que c'était plus fort que lui, il comprend pas, d'ailleurs sa femme l'a aidé, c'est dire si c'est complexe, il reconnait qu'il a tué, et c'est pas facile ça, par ailleurs il les aimait bien ces enfants, ça l'a détruit de faire ça d'ailleurs, il faut qu'on en parle, qu'on débatte, qu'on en rigole ...
Mr Schneidermann, aujourd'hui, j'ai juste envie de vomir aujourd'hui.
Vraiment intéressant ce M. Héran, est-il prévu de l'inviter ?
Au-delà du sujet indiqué ci-dessous avec DCL, sur lequel il serait intéressant d'avoir son retour, ce qu'il explique sur toutes les formes de discriminations, directes et indirectes me semble assez essentiel !
L'invité de Guillaume Erner de ce matin, François Héran, professeur au Collège de France, a diffusé fin 2020 une fausse information au sujet de Samuel Paty, affirmant qu'il s'était inspiré d'une fiche de DCL (Dessinez Créez Liberté). Or, cette fiche n'a été éditée qu'après sa décapitation.
Je pense que nous ne sommes pas indifférents à ce qu'ils pourraient dire, mais qu'une extrême vigilance s'impose quant au cadre et à la manière dont il faut susciter et recevoir leur parole. Parce qu'il ne s'agit pas d'offrir un confessional, ni une tribune à une forme d'apitoiement narcissique, mais de décrypter des mécanismes plus ou moins conscients de prédations, ou dans le cas d'une victime souhaitant prendre contact avec son agresseur, d'une démarche de reconstruction personnelle qui n'est pas aisément - surtout ainsi - transposable dans l'espace public.
Cela dit, je tiens à saluer également le débat qui s'est tenu sur France Culture dans l'émission que vous mentionnez. Contrairement aux Répliques de Finkielkraut et souvent à Weitzmann de Signes des Temps, il me semble qu'Erner parvient assez bien à concilier l'expression et la défense de ses positions avec la considération attentive de celles des autres. Ce n'est pas toujours le cas, mais il fait des efforts à cet égard.
Perso, je n'ai jamais violé personne. Mais je conserve mon abonnement en espérant qu'un jour viendra où ce site abordera d'autres sujets que le viol, les revendications féministes (justifiées, hein, c'est pas la question), le mouvement #Metoo, l'écriture inclusive, le harcèlement sexuel. Moi même, j'ai mes obsessions et les gens qui m'aiment me supportent.
À la lecture du matinaute ce matin, j'ai ressenti une certaine gêne, ou plutôt de la tristesse.
Vous DS, vous aviez besoin de comprendre la colère qui a déferlée sur twitter hier. Vouloir comprendre très bien, donner la parole aux concernées, parfait. Non ce qui m'a attristée, c'est que cette colère vous ne la partagiez pas, ne la ressentiez pas, et donc ne la compreniez pas pleinement, dans vos tripes aussi. Comme j'ai pu la ressentir toute la journée d'hier. Comme si un fossé c'était creusé.
J'ai suite à vos conseils écouté l'émission avec F. Héran. Et avec le recul je fais un parallèle avec ce qu'il énonçait : une discrimination directe et indirecte.
Je ne vous taxerais pas de sexiste ou mysogine, vous mettrais même bien volontiers dans la case féministe, mais y a-t-il ici une sorte de sexisme indirect ? Le fait de ne pas comprendre dans ses tripes la discrimination, "l'injustice" de cette une, ne relève-t-elle pas de ces mécanismes systémiques difficiles à déconstruire qui nous mettent dans des positions parfois de dominant, parfois de dominé, mais souvent peu conscient. Sans être raciste, on peut, comme l'expliquait F. Héran en être le véhicule, un peu malgré soi.
À l'écriture de ce com', je repense à ce mea-culpa d'A. Gunthert sur le film Avatar intitulé "ne pas voir la race" et à une de ses conclusions : "Contrairement à l’idée reçue d’une science métaphysique, l’émotion n’est pas l’ennemie de la raison, mais bien un véhicule de connaissance."
Voilà c'est finalement cette absence d'émotion partagée dans ce matinaute qui m'a un peu blessée, une émotion partagée pour se sentir vraiment comprise, soutenue, en lutte partagée.
Pour celleux qui souhaitent lire le papier d'A Gunthert en entier, c'est ici
Évolution du score 600-2
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On a du mal a imprimer que en tant qu'homme , blanc , etc on ne peut pas parler de ce que ressentent les femmes , les racisés .Là on parle d'émotions pas d'intelligence .Meme si on ressent profondément la violence du racisme , je saurais jamais ce que ressent un noir a chaque minute dans un pays a dominance blanche .Comment ne deviennent ils pas dingues ? J'ai entendu des blancs français se cacher derrière les lois pour justifier leur racisme , comme ils se sont cachés derrière Charlie .Et si ça se trouve ils s'en rendent pas compte.Alors laissons les femmes et les racisés parler pour eux même et acceptons le.
Erner peut énerver (Usul l´a bien épinglé dans une de ses dernières video "ouvrez les guillemets") mais chaque matin j´ai le sentiment qu´il ouvre un espace de liberté en invitant toutes sortes d´intellectuels, d´hommes et femmes politiques et en leur laissant le temps de développer leurs points de vue. Cette matinale est une bouffée d´air en comparaison avec la matinale sclérosée et autosatisfaite d´Inter.
Merci à lui.
Bonjour Monsieur Schneidermann,
Je rejoins les commentaires se disant atterrés par votre article et ses comparaisons. Vous ne semblez pas comprendre la signification de cette journée de mobilisation pour La Défense du droits des femmes.
Journée où les femmes prennent la parole, la une, le devant de la scène pour sensible sensibiliser sur les violences systémiques qu’elles subissent quotidiennement.
Vos interrogations et vos propos à côté de la plaque vous transforme en idiot utile du patriarcat. C’est triste à dire. Parce qu’on voit bien que la bonne volonté est loin de compenser la violence de vos maladresses.
Laisser la parole aux concernées est parfois bien plus utile.
Pourquoi Mr Heran ne répond pas à la question de Mr Erner : "l'emploi du mot islamophobie est-il adapté?". Et je vous pose ma question Daniel : "Pourquoi ASI semble mal à l'aise avec cette question ?"
1/ Est-ce que c'est un progrès qu'un violeur reconnaisse son acte et en se cachant pas derrière les excuses traditionnelles (et encore, il prend bien la peine de dire qu'ils avaient une relation "borderline" dans laquelle l'absence de consentement était un jeu; ça pourrait lui servir plus tard!). Oui, si l'on a que ces 2 choix, c'est mieux. Mais c'est cela le choix que nous avons en 2021? C'est de cela qu'on devrait se réjouir?
2/ Est-ce que ça justifie une publication dans libé? C'est cela que remettent en cause les féministes dont vous parlez.
J'ai beaucoup de mal à saisir la comparaison avec Sciences Po Grenoble. Et globalement, je trouve cet article très problématique dans ses comparaisons.
Bôahf !
Les affres et les aphtes du malentendu permanent : les douze plaies d’Égypte + la peste.
Le Choléra est en attente, le Scorbut non !
Quant à Libé, ils veulent vendre beaucoup de papiers veules ou quoi ou mah ?
Ce différend sur la lutte contre le racisme conscient et le racisme inconscient était superbe. Erner ne s'y attendait pas : il a essayer de se draper dans sa prétendue impartialité comme il le fait avec tous les invités qui ne pensent pas comme lui. Et Héran a été très habile et l'a forcé à se positionner sur son opinion et non sur de prétendus "faits". Les arguments de Héran était assez imparables : la question raciste est complexe (ce qui ne semble pas convenir à Erner).
Pour une fois qu'un invité maîtrise mieux les codes de cette interview d'Erner et arrive à retourner le dispositif contre lui !
Un extrait de l'interview de Klaus Kinzler sur LCI :
J'ai un noyau dur de gens qui me soutiennent, mais c'est une minorité (...) Le militantisme est en train de l'emporter sur la science et ne supporte aucune contradiction.
Inquiétant.
" Ceux-là seuls vous font de belles confessions qui aiment encore leurs fautes "
"Bien entendu, il y a les maladresses de Libé dans la publication. Une publication le 8 mars. Une mise en page sensationnaliste, à la Une. Un texte publié sans l'appareil critique nécessaire, analysant les récurrences du discours du violeur. Le texte lui-même, narcissique, boursouflé, se cherchant des excuses. Mais tout cela ne suffit pas à expliquer la colère."
Ben p't'être que si, non ?
PS : Vous estimez peut-être que tout le monde le sait déja, mais ça n'est peut-être pas le cas, alors il ne serait pas inutile de rappeler en préambule que vous êtes chroniqueur à Libé.
Je me pose une question depuis un certain temps: je n'ai rien contre les religieux quel qu’ils soient, en revanche je suis contre l'ingérence du discours religieux quel qu'ils soient dans la sphère publique, suis je islamophobe, cathophobe, judéophobe, etc, pour autant ? Les catholiques ont vécus des temps bien rudes pour qu'on ait aujourd'hui la laicité, je ne les plains le moins du monde. Je vote à gauche, anti libéral par conviction, défenseur de la laicité, je pense que la lutte pour maintenir la religion dans la sphère privée doit être quotidienne. L'esprit des lumières s'éloigne toujours un peu plus
Ce qu'on ignore, c'est si cette lettre a été écrite de sa propre initiative ou sur les conseils de son avocat .
En reconnaissant publiquement les faits , il va droit au procès .
Mais s'il obtient de la victime qu'elle ne porte pas plainte , alors la situation est différente pour lui .
C'est peut-être le sens de ces aveux publics .
Je m'interroge :
- permettre à un violeur ( non condamné )de s'expliquer ;
- et, permettre à un ex-Président ( condamné en premier ressort, pour viol de la Loi ) de se justifier,
est-ce vraiment du journalisme ?
Le "lavajato" était présenté comme la plus grande opération anti corruption jamais menée au Brésil par la quasi totalité
des médias maestrum français pas du tout militants.
C'est en fait devenu le plus grand scandale judiciaire de l'histoire du Brésil.
Lula est libre et innocent et pourra se présenter l'an prochain. Du coup, la bourse brésilienne perd 4% . Aurait elle des intérêts convergents avec l'extrême droite au pouvoir. En général, les 2 auraient il des intérêts communs y compris en France ? A méditer pour les prochaines présidentielles
D'ailleurs dans les grands moments de courage de ce monsieur, vous oubliez DS le tour de force de mener une émission du 03/03 sur le procès sarkosy où il réussit à faire croire porter la contradiction sans citer une seule fois le nom de Paul Bismuth...
C'est vrai que le texte de ce violeur et la mise en scène qui l'accompagne sont insupportables de narcissicisme et de sensationnalisme. Ce sujet ne supporte pas un tel lyrisme. Quant à la mise en scène de Libération, c'est aussi ridicule que Léa Salamé et son moment de grâce.
Bonjour et merci pour la chronique
S'il m'est permis d'être un peu terre à terre, "l'histoire de Sciences Po Grenoble ", "tout ça", comme vous dites, avant d'être un débat théorique sur notre capacité à débattre, c'est aussi et surtout le nom de deux enseignants jetés dans l'espace public, qui ont désormais une cible sur le dos, et sont sous protection policière pour probablement longtemps. Il est pas interdit de dire que c'est dégueulasse. Samuel Paty a été votre bannière twitter pendant quelques temps, je crois.
Je n'ai pas le souvenir de cet article de Guillaume Erner dans Charlie, mais il est logique qu'il s'oppose à Héran, puisque contrairement à lui, et comme tous les autres chroniqueurs de l'Hebdo, il conteste la validité du terme "islamophobie".
Pourquoi dit-on " antisémitisme " et " islamophobie ", et non pas " judéophobie " et " anti-islamisme " ?
Merci pour votre chronique avec laquelle je suis en accord, ce qui n'a pas té le cas depuis longtemps concernant le accusations de racisme.
Oui débattons, échangeons des idées, énervons-nous, mais toujours dans l'échange, laissons de côté les insultes et définitions de l'autres "tu es raciste, tu es laïciste, tu est un facho, tu es misogyne, tu es islamogauchiste", etc... j'en oublie.
Merci, merci Daniel pour l'évocation du débat Erner/Héran qui m'a fait sursauter quand j'ai entendu cité l'article de Charlie (j'ignorais, ne lisant pas Charlie depuis bien longtemps qu'Erner y chroniquait) et surtout quand j'ai entendu la réaction d'Erner et son "on est sur france-culture"
Il semble qu'ils ne se soient dérobés ni l'un , ni l'autre. Curieuse des réactions.....
En d'autres temps, j'ai entendu un chroniqueur (Brice Couturier) quitter le studio refusant le débat avec les autres invités (piège gauchiste à ses yeux).