Le Noël des Nobel
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Quel coquin ce virus.
Comment le gouvernement et la presse vont pouvoir continuer à parler d'islam et de délinquance tout les jours si les gens recommencent à tomber comme des mouches ?
Qui va encore écouter les grandes proclamations laicar(...)
Qu'est-ce que vous voulez dire exactement ?
Que "les musulmans" ont assassiné la rédaction de Charlie ?
Bravo à ceux qui cachent leurs passions racistes derrière de bonnes causes comme la liberté d'expression. Certains disent qu'en politique, les(...)
Bonjour
Merci pour la chronique, je découvre cette proposition grâce à vous.
Elle est peut-être baroque, mais caricaturer, en retour, Esther Duflo en activiste frénétique des "pics de consommation (...) érigés en objectifs ultimes", c'est quand m(...)
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J'ai lu cet article. Quelle malhonneteté de signer cela en couple sans le dire ! En le lisant, je me suis dit : encore des toutologues qui ont un avis sur tout !
sinon peut maintenant clairement parler de scandale sanitaire dans les écoles et les universités:
https://mobile.twitter.com/Asiatitude/status/1310609072522227712
https://gen.medium.com/i-lived-through-collapse-america-is-already-there-ba1e4b54c5fc
cet article parle des USA mais s'applique aussi à la France dans une certaine mesure. L'auteur parle de la normalité en temps d'effondrement social (en l'occurence pour lui c'était une guerre civile); et comment il n'y a pas de point de rupture entre une société "en bonne santé" et une société en rupture totale. tout est train de s'embraser mais certains se marient; d'autres veulent "sauver noel".
extrait:
As someone who’s already experienced societal breakdown, here’s the truth: America has already collapsed. What you’re feeling is exactly how it feels. It’s Saturday and you’re thinking about food while the world is on fire. This is normal. This is life during collapse.
Collapse does not mean you’re personally dying right now. It means y’all are dying right now. Death is sometimes close, sometimes far away, but always there. I used to judge those herds of gazelle when the lion eats one of them alive and everyone keeps going — but no, humans are just the same. That’s the real meaning of herd immunity. We’re fundamentally immune to giving a shit.
Notre ministre de la Santé apporte un éclaircissement à propos du virus :
Je vois pas ce qu’il vous faut de plus, bande de demeurés, c’est pourtant clair.
allons allons DS, vous étiez un des premiers a qualifier les images d'enfants de retour a l’école "d'insoutenables" ça devrait vous faire plaisir qu'on reconfine et qu'on planifie non ?
J'avais cru un instant que l'article du Monde (je suis abonné) était un canular. Et puis je me suis dit que, le prix Nobel d'économie étant un canular (dont les victimes ont été la fondation Nobel qui n'avait pas protégé sa marque, puis ceux qui l'ont accepté), les signataires qui s'en prévalent doivent être, hélas, sérieux.
Avant tout débat : qu'est ce qu'un économiste au 21 ième siècle ? quel est son utilité sociale ? que fait il ? que nous apprend il ? ...pour la dernière question: un constat...il décrit le passé et modélise mathématiquement (soit disant) le futur sur des bases souvent invalidées par les sciences humaines et les faits . Qui plus est quand on exécute une recherche "gurus of economy" (il s'agit bien de gourous donc) on obtient presque 4 millions de résultats...est-ce un signe ?
Daniel, j'aime beaucoup vos chroniques en général mais celle-là, elle n'est pas vraiment au niveau habituel. Toute critiquable qu'elle soit, cette proposition de confinement planifié n'est pas à balayer d'un revers de main me semble-t-il ...
Bah moi , c'est surtout le paragraphe "critiques" qui m'interpelle chez Wiki ! https://fr.wikipedia.org/wiki/Esther_Duflo et allant plus loin on arrive à ceci: https://www.povertyactionlab.org/fr/partenaires?sector=All&country=All&page=10
Est-ce si extravagant, de la part de prix Nobel d'économie, de formuler une proposition essentiellement économique, puisqu'il s'agirait de choisir, pour un confinement estimé (à tort ou à raison) inévitable, une période où l'impact économique serait minimisé?
Je ne suis pas une fan des gabegies de Noël, mais le fait est qu'un Noël confiné serait assez dramatique, économiquement et émotionnellement. Et probablement impossible au cas où il serait raisonnablement nécessaire.
Fermé pour confinement
Réouverture à Noël
On aurait pu penser que le port du masque empêche les experts de parler...
Bonjour ,les services de réa craquent , normale quand on supprime des lits .Le virus a bon dos , s'il l'ont étudie les données de Santé Publique France et l’INSEE ,on constate un chose étrange le nombre de cas positif diminue ,le nombre de retour à domicile diminue "dans les mêmes proportions" et le nombre de décès ,aussi que le nombre admis en réanimation ,ils oscillent mais sans augmentation probante . Alors que conclure d'autre que l'épidémie de COVID n'est pas l'épidémie de COVID décrite par la gouvernement et les médias ... Etrange que personne ne signale ses courbes ,ou que un paramètre important qui est R, le taux de reproduction du virus. Si R est inférieur à 1, l’épidémie régresse, car un malade contamine en moyenne moins d’1 personne. (Actuellement de 1,11 en diminution)
Qu'il soit très difficile d’évaluer précisément ce paramètre. Le gouvernement ne détaille pas sa méthode. Alors l'épidémie progresse ,mais ou et quand ?
D'abord son fatalisme : elle part du postulat qu'un reconfinement général sera, de toutes manières, inéluctable.
Ineluctable, je ne sais pas, mais vu l'évolution de l'épidémie les mois de novembre-décembre risquent de ne pas être joyeux. Un confinement, au moins partiel, est très probable durant cette période.
Voici donc que s'en mêlent les économistes, forts de l'inébranlable certitude que le virus peut être vaincu par la planification, et les équations.
Ce ne sont pas seulement les économistes. Tous les scientifiques ont compris que la lutte contre le virus demande de l'anticipation, et non la gestion au jour le jour que fait le gouvernement français. La planification et les équations sont des outils pour nous permettre d'anticiper et de prendre les bonnes décisions.
Enfin, on constate que les gens (surtout en famille) ne respectent pas les geste barrière. Mariages et autres fêtes familiales sont autant d'occasions de propager le virus. Si les gens font n'importe quoi à l'occasion de noel, bonjour les dégâts.
Vous montrez, par ce billet, que l'aveuglement au sujet du Covid 19 n'est pas le seul fait du gouvernement; les journalistes sont eux aussi à la ramasse. Plutôt que de gloser sur les économistes-qui-ne-pensent-qu'à-la-consommation, demandez-vous plutôt:
1) la pénurie de tests (et la lenteur pour obtenir les résultats) n'est-elle pas déjà le signe que l'épidémie est de nouveau hors de tout contrôle (comme elle l'était en février-mars) ?
2) quelle sera l'évolution de l'épidémie pour les prochains mois ?
3) comment mettre en place dès aujourd'hui les mesures qui seront utiles dans quelques semaines ?
Et surtout, pourquoi ces trois questions ne sont jamais posées par les journalistes aux ministres/responsables politiques...
Beaucoup, beaucoup de choses ne vont pas dans cette chronique, à mon sens.
Commençons par le "fatalisme" : cela semble impliquer que tout est question de volonté. Estimer qu'un nouveau confinement sera inéluctable, c'est faire preuve de défaitisme. L'optimiste table donc sur une amélioration (par la fameuse "pensée magique" ? ) de la situation. Si on veut on peut. Nicolas Bedos approuve.
En se basant sur les chiffres, sur les témoignages, sur l'aggravation nette de la situation, estimer un nouveau confinement probable voir nécessaire, ce n'est pas faire preuve de fatalisme, mais de réalisme. C'est une possibilité sérieusement envisagée, peut être nécessaire pour, justement, alléger les hôpitaux débordés.
Il en va de même pour "Noël" érigé en valeur, en but ultime. Il y a deux manières de voir la chose. La première, politique, serait de considérer que cette réunion, avec débauche de nourriture et de cadeaux, ne doit pas être la finalité. Je suis plutôt d'accord. Mais si l'on regarde la situation avec un regard rationnel, l'évidence est toute autre : dans tous les cas, qu'on le veuille ou non, les gens VONT se réunir pour Noël. Conscient de ce postulat, que fait-on ? Il est, bien sûr, impossible d'empêcher ces rencontres. Cette proposition, en bien des points criticables, a au moins le mérite d'accepter cette évidence : les gens se retrouveront pour la fin d'année, et cela peut poser problème.
J'aimerai apporter deux réflexions personnelles, enfin.
Tout d'abord je trouve qu'il y a une défiance, quelque soit le bord politique, de la SCIENCE économique. Être économiste, réellement économiste scientifique (et non pas politique), c'est étudier l'objet économique. Ce n'est pas être à la solde du grand capital, ou que sais-je. Et ce serait bien mal connaître ces deux "prix Nobel" pour penser cela. Thomas Piketti est également économiste.
Enfin, sur cette proposition même, je trouve qu'elle soulève un point essentiel : la planification. Les problématiques actuelles viennent du fait que l'on ne sait pas de quoi demain sera fait. L'être humain n'aime vraiment, vraiment pas cela. Sachant un nouveau confinement dans deux mois, les magasins, les gens pourront s'organiser, prévoir, anticiper. On pourra se projeter, même dans un confinement. L'idée n'est pas parfaite, elle est criticable. Mais elle n'est pas absurde.
Merci d’avoir écrit bien mieux que moi ce que je voulais dire.
C'est sûr que si on ne fait rien - en dépit des 500 milliards mobilisés, une paille ! - pour empêcher les hôpitaux d'être débordés, on va reconfiner ; peut-être par ville, par département, le week-end ou pendant les vacances scolaires... sans le dire, tout en le disant...
Mais le virus n'étant peut-être pas prêt de partir, ni le vaccin d'arriver, on va continuer comme cela (à ne pas investir dans la santé) jusqu'à quand ?
Sachant que chaque confinement coûte entre 500 000 et un million d'emplois et 15 ou % de dette en plus, pour ne parler que d'économie...
C'est une réflexion intéressante, et l'investissement dans la santé me semble une évidence... ma seule réserve est : un investissement, même massif fonctionnera-t-il ? Les modifications à faire dans ce secteur sont structurelles, donc sur le long terme, et le virus est là, maintenant.
Depuis 9 mois on aurait pu, commander et/ou réallouer des lits et du matériel, redéployer du personnel, recruter...
Petit rappel : il y a un siècle on a su construire en urgence 1 500 hôpitaux et mobiliser des dizaines de milliers de personnels soignants pour les besoin de la guerre.
Aujourd'hui on continue de supprimer des lits et des services !
Aujourd'hui on continue de supprimer des lits et des services !
Complètement ! Et je suis sidéré de voir autant de gens se préoccuper de ce virus sans jamais parler de cet éléphant au milieu du couloir.
Une véritable farce tout ça...
Il y a quand même un truc qui me dérange,
"réellement économiste scientifique (et non pas politique)"
L'économie est une science qui analyse la société et dont les analyse de tel ou tel chercheurs poussent à atteindre un objectif d'une manière ou d'une tout autre manière. C'est forcément une science politique.
Je n'ai pas trop compris votre message mais : oui, l'économie est une science politique. Bien sûr. Ce que je veux dire, c'est qu'elle est généralement SIMPLEMENT perçu comme un outil politique qu'on peut utiliser comme on veut, en fonction de son opinion.
Considérer l'économie uniquement par son prisme politique est une facilité intellectuelle : cela permet de désavouer tout ce qui nous dérange économiquement parlant, sous prétexte que c'est contre notre bord politique.
Il existe un courant qui défend l'économie (ortodoxe) et qui dénonce ceux qui se présentes comme des chercheurs en économie politique (hétérodoxe) comme étant des négationnistes. Ils se présentes comme des économistes scientifiques s'opposant à des économistes idéologues politiques.
Il y a vait deux manière de comprendre le paragraphe que vous avez écrit, un prolongement de cette "théorie" douteuse était possible et je voulais être sur que c'était écarté.
Sinon ce que vous dites sur l'économie dans le dernier paragraphe, avec lequel je suis tout à fait d'accord, est valable pour tous les champs de savoirs.
"l'économie est une science politique. Bien sûr. Ce que je veux dire, c'est qu'elle est généralement SIMPLEMENT perçu comme un outil politique"
Pour plus de clarté, je dirais un outil politicien. Au service non pas de la "politique" au sens noble du terme, mais des zozos qui en ont fait leur gagne pain. Et quand je dis "pain"....
Bonjour
Merci pour la chronique, je découvre cette proposition grâce à vous.
Elle est peut-être baroque, mais caricaturer, en retour, Esther Duflo en activiste frénétique des "pics de consommation (...) érigés en objectifs ultimes", c'est quand même recouvrir de sarcasme sont travail qui porte justement sur la réduction de la pauvreté et qui n'a pas grand chose à voir avec de l'ultralibéralisme consumériste. C'est un peu cruel pour vous d'enjamber ça ...
De même, je ne vois pas le problème à ce que des économistes interviennent dans le débat public, y compris (et on est bien d'accord : s'ils sont compétents), sur des questions de santé publique. Quand F. Lordon sort un livre sur Spinoza, vous n'écrivez pas une chronique saignante sur ces économistes qui font de la philo, non ?
Enfin, ce petit couplet anti-planification, qu'est-ce que cela sous entend ? Vous préférez le laisser-faire ?
Et cette référence un peu démago aux méchantes "équations" (sous entendu, "ce truc théorique et compliqué d'intellos détachés des réalités"), c'est vraiment indispensable ? En plus faut savoir : s'il font des équations dans leur labo ça suscite votre ironie, et s'ils se mêlent de choses concrètes, ca suscite votre ironie aussi.
Bref, je trouve que la cible est fort mal ajustée, ce matin. Ce qui n'empêche que la proposition est peut-être critiquable, bien sûr (je n'y connais rien, j'essaie de comprendre). Vous avez soulevé des problèmes qui font sens, et merci pour ça!
ils ne sont pas en concurrence avec le prix Nobel de la paix ? si la gestion de la pandémie était laissée au prix Nobel de la Paix, il annulerait tout simplement Noël source chaque année de conflits intra-familiaux, et bientôt infra-sociétaux ! pourquoi se compliquer la vie à prévoir des confinements, déconfinements, reconfinements, bien trop compliqués à organiser pfiou ... Les pros et les antis tous réunis pour annuler Noël, voilà la solution : vous sauvez des dindes, évitez le virus, sauvez grand mère, et évitez le cousin Charles Henri qui chaque année depuis l'enfance vous bassine avec ses carnets de note de premier de la classe ! annulons Noël bien plus meurtrier qu'un coronavirus pour sauver l'Humanité !...
En lisant le titre de cette "news" (sur Google News probablement, je le confesse et m'en repend), j'avais pensé, ô naïf que je suis, qu'il s'agissait de détenteurs/trices du prix Nobel DE MEDECINE. Bon... ça n'enlève rien à l'argument d'autorité (Nobel de médecine ou pas, on peut très bien ne jamais avoir travaillé sur les virus en général et le SARS-CoV-2 en particulier...) mais au moins on aurait été à peu près dans le bon domaine pour fournir un avis un peu éclairé et une préconisation potentiellement utile.
Mais non... deux faux Nobel D'ECONOMIE !!! Ah oui mais dont une est FRANCAISE, monsieur ! Cocorico !
Je suppose que ces deux-là on créé ou se sont appropriés un "modèle" (les économistes adorent les modèles, ça fait mathématique, ça crédibilise leurs approximations idéologiques) qui leur permet de nous asséner cette préconisation qui tient plus de la prédiction nostradamutienne qu'autre chose.
Alors bien sûr, il faudrait les prendre au mot et appliquer leur "théorie" (avec de gros guillemets). Sinon impossible de savoir si et à quel point ils se trompent et leur mettre conséquemment leurs nez dans leur propre... bref... Mais heureusement pour eux, on ne peut pas se le permettre.
Et quoi qu'il arrive, ils pourront dire :
- si ça se passe bien en décembre : "ça se serait encore mieux passer si on nous avait écouté"
- si ça se passe mal, "on vous l'avait bien dit".
Ces escrocs-là gagnent à tous les coups ou presque... en manipulant leur "science" qui n'en est pas une. De la même manière que leur prix "Nobel" n'en est pas un. Le tout avec la complicité de la sphère médiatique qui crédibilise toujours leurs délires ; enfin quand il s'agit d'économistes "orthodoxes" car les "hétérodoxes" sont moins souvent invités à présenter leurs travaux et sont beaucoup moins souvent traité-e-s avec complaisance et sans contradiction voire hostilité.
Entre le « dieu merci » du premier ministre et le « confinement de l’Avent » de ces économistes, les fous de religion doivent sauter au plafond, tant ils sont reçus cinq sur cinq.
La tenue républicaine de l’autre à l’éducation nationale, fini par faire pâle figure, non ?
Je propose une réponse : supprimer le 24 et 25 décembre, pour célébrer la fête de fin du solstice d'hiver, le 31 décembre (ce que je fais) en finir avec les gabegies de "cadeaux" et de bouffe ces jours-là, et en reportant l'argent dépensé lors des anniversaires de chacun de nos proches ou pourquoi pas amis (ce que je pratique également), en fonction de leurs besoins !
Chaque fête de fin d'hiver est célébrée avec des représentations(si vous y tenez vraiment, il y a depuis de nombreuses années beaucoup de gens qui s'en passe faute de moyens et que l'on culpabilise) de "sapins" en bois, branches, tissus, corde, papiers, lumières diverses (puisque qu'à l'origine on célébrait le retour de la lumière du jour et la reprise des cultures) .... il existe des tonnes d'idées, accompagnées d'un repas partagé avec quelques personnes, vraiment proches.
Le plaisir est identique voir supérieur.
Donc arrêtons de dépenser bêtement, dépensons mieux et moins et ...le chantage au confinement n'aura pas lieu ! Et le virus crèvera de lui-même !
Et résistons aux injonctions à acheter à tel moment ou à tel autre !
Ou alors on peut lire la déclaration plus prosaïquement : « si on ne s’y prépare pas, on aura une hécatombe en janvier ».
Non parce que bon courage pour interdire Nowel hein. On a déjà eu un début de guerre civile quand un grand maire a voulu interdire les sapins ptdr mdr
C'était en 1976. Les catholiques n'ont pas aimé du tout. Mais ils n'ont pas assassiné Reiser.
Autant d'intelligence me laisse sans voix. Que Noël périsse plutôt qu'un principe.
Quel coquin ce virus.
Comment le gouvernement et la presse vont pouvoir continuer à parler d'islam et de délinquance tout les jours si les gens recommencent à tomber comme des mouches ?
Qui va encore écouter les grandes proclamations laicardes de Yannick Jadot ou d'Olivier Faure ? (Pour bien nous faire comprendre qu'avec eux l'union de la gauche sera de droite ou ne sera pas).
En fermant les bars et en interdisant la vente d'alcool après une certaine heure, je sens comme un parfum de prohibition dans l'air, avec la morale puritaine qui va avec.
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