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Le Point attaque @si pour injure publique (si si)
Ce pourrait être une blague. D'ailleurs j'ai cru à une blague. Mais cela semble tout à fait sérieux : Le Point
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Derniers commentaires
Cette presse dépassée, cette mediacratie va disparaître, elle est liée au 20e siècle, elle est réactionnaire et ne compte que sur les pires pulsions des lecteurs pour se vendre à grand coups de couverture racoleuse et d'article sans fond. Son existence est comptée. Repose en paix Le Point et arrête de nous embêter.
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Point: marque noire sur la face que l'on presse pour qu'elle aille s'écraser, pile, sur le miroir, en dégoulinant le long.
En plus, ce pus pue. (je m'excuse auprès de la huppe faciée)
En plus, ce pus pue. (je m'excuse auprès de la huppe faciée)
[quote= « La Brique va-t-elle dans le mur ? », Le bas du pavé, 13 janvier 2012.]
La Brique est mal en point. Ce journal alternatif créé en 2007 et qui paraît une fois tout les deux mois doit trouver 3000€ d’urgence. [...] Si la diffusion est limitée, le journal basé à Lille a récemment fait parler de lui en se retrouvant accusé de diffamation à l’encontre d’un journaliste de la Voix du Nord, Frédérick Lecluyse.[1]
Au sein du journal régional, on ne voit pas forcément d’un mauvais œil les problèmes de la Brique : « ils ne vivent pas sur un grand train […] et considèrent la Voix du Nord comme une presse bourgeoise » assure M. Lecluyse. Ce dernier avait fait l’objet d’un article intitulé « L’homme qui racialise le fait divers » : « ils n’ont pas trop apprécié certains jeux de mots que je faisais dans mes chroniques judiciaires […] le papier (article, ndlr) je m’en fous, il est peu lu, le problème c’est internet ». Le journaliste mis en cause a obtenu le retrait de l’article, et avait engagé une procédure judiciaire abandonnée depuis.
Frédérick Lecluyse est donc un peu perplexe quand on l’interroge sur l’utilité d’un tel journal : « ce ne sont pas des journalistes mais une bande de militants gauchistes prêts à tout ». Il assure que la disparition d’un tel média n’affecterait pas la diversité de l’information : « la meilleure des preuves, c’est que nos informations sont reprises ailleurs ».
1. « Par le truchement de son avocat, La Voix réclame 5000 euros quand F.L. ne souhaite qu'un euro symbolique. C'est honorable de sa part. Sauf qu'il aurait pu nous engueuler au téléphone et réclamer un droit de réponse, comme ça se fait d'ordinaire entre journalistes. À l'époque, le localier de Nord Éclair B.Renoult avait ainsi eu droit à quelques lignes pour se défendre de nos critiques du numéro précédent. Bref. Comment ne pas interpréter ces 5000 euros comme une occasion pour les cheftons de La Voix du Nord de faire d'une pierre deux coups et de couler financièrement notre canard ? Car c'est bien l'objectif de La Voix, nous voir disparaître. » (La Brique n° 26, mars-avril 2011, p. 3.)
« 4. La Brique pointait du doigt la racialisation régulière des faits-divers (qui, elle, ouvre effectivement la voie au racisme ordinaire), ainsi que l'humour incertain sur les prévenus mis en cause (cf. La Brique n° 25) Sur la racialisation de la société, lire les travaux de Didier Fassin » (Ibid.)
La Brique est mal en point. Ce journal alternatif créé en 2007 et qui paraît une fois tout les deux mois doit trouver 3000€ d’urgence. [...] Si la diffusion est limitée, le journal basé à Lille a récemment fait parler de lui en se retrouvant accusé de diffamation à l’encontre d’un journaliste de la Voix du Nord, Frédérick Lecluyse.[1]
Au sein du journal régional, on ne voit pas forcément d’un mauvais œil les problèmes de la Brique : « ils ne vivent pas sur un grand train […] et considèrent la Voix du Nord comme une presse bourgeoise » assure M. Lecluyse. Ce dernier avait fait l’objet d’un article intitulé « L’homme qui racialise le fait divers » : « ils n’ont pas trop apprécié certains jeux de mots que je faisais dans mes chroniques judiciaires […] le papier (article, ndlr) je m’en fous, il est peu lu, le problème c’est internet ». Le journaliste mis en cause a obtenu le retrait de l’article, et avait engagé une procédure judiciaire abandonnée depuis.
Frédérick Lecluyse est donc un peu perplexe quand on l’interroge sur l’utilité d’un tel journal : « ce ne sont pas des journalistes mais une bande de militants gauchistes prêts à tout ». Il assure que la disparition d’un tel média n’affecterait pas la diversité de l’information : « la meilleure des preuves, c’est que nos informations sont reprises ailleurs ».
1. « Par le truchement de son avocat, La Voix réclame 5000 euros quand F.L. ne souhaite qu'un euro symbolique. C'est honorable de sa part. Sauf qu'il aurait pu nous engueuler au téléphone et réclamer un droit de réponse, comme ça se fait d'ordinaire entre journalistes. À l'époque, le localier de Nord Éclair B.Renoult avait ainsi eu droit à quelques lignes pour se défendre de nos critiques du numéro précédent. Bref. Comment ne pas interpréter ces 5000 euros comme une occasion pour les cheftons de La Voix du Nord de faire d'une pierre deux coups et de couler financièrement notre canard ? Car c'est bien l'objectif de La Voix, nous voir disparaître. » (La Brique n° 26, mars-avril 2011, p. 3.)
« 4. La Brique pointait du doigt la racialisation régulière des faits-divers (qui, elle, ouvre effectivement la voie au racisme ordinaire), ainsi que l'humour incertain sur les prévenus mis en cause (cf. La Brique n° 25) Sur la racialisation de la société, lire les travaux de Didier Fassin » (Ibid.)
J'ai été étonné ce matin d'entendre sur France Info le présentateur des actualités parler à plusieurs reprises des "Arabes" reprenant à loisirs les propos "si dignes" de la langue corse "Arabi fora".
Un des commentateurs dit ici qu'en effet la boucle est bouclée mais en plus de se parer des habits des outragés, ces racailles qui mettent à sac notre République en divisant les citoyens par des couvertures telles celles du Point et en allant jouer les justiciers à la mode des milices de Pétain afin que la boucle se boucle, ces racailles imposent même leur logorrhée de haine là où elle n'aurait jamais espéré pouvoir arriver : la radio nationale.
De toute façon, déjà par son titre Le Point est une insulte à l'intelligence, il rappelle cette expression si usée de refus du dialogue démocratique : "Point barre". Une expression stéréotypée et militaire qui finalise la moindre de leur intervention.
Un des commentateurs dit ici qu'en effet la boucle est bouclée mais en plus de se parer des habits des outragés, ces racailles qui mettent à sac notre République en divisant les citoyens par des couvertures telles celles du Point et en allant jouer les justiciers à la mode des milices de Pétain afin que la boucle se boucle, ces racailles imposent même leur logorrhée de haine là où elle n'aurait jamais espéré pouvoir arriver : la radio nationale.
De toute façon, déjà par son titre Le Point est une insulte à l'intelligence, il rappelle cette expression si usée de refus du dialogue démocratique : "Point barre". Une expression stéréotypée et militaire qui finalise la moindre de leur intervention.
L'Express fait sa Une sur "les Français".
Raciste ?
Raciste ?
Profitez bien de votre procès, il sera intégralement financé par les deniers publics. Quel bonheur de voir la presse écrite soit-disant agonisante dilapider son fric dans un procès stupide et ne pouvant pas être gagné.
Même si la chronique en question est un peu légère, je n'y ai pas vu de quoi attaquer en justice "arrêt sur images" . Ca montre que Le Point considère "arrêt sur image" comme un site influent, et ça c'est intéressant.
Votre twitt a tout de même frôlé le point Goodwin.
Tout mon soutien !!
un humoriste a subit et subi encore le meme genre de censure et d'acharnement ..; a savoir dieudonné ... je suis navre pour vous que vous subissiez la meme chose .. a la différence que le premier ministre n'a pas encore bafoué la loi pour regler votre cas ... bon noel
Je pense que c'est le "et si on lisait la phrase comme une seule" pour faire le parallèle avec "les juifs" qui va leur servir d'argument.
Et je crains qu'@si perde.
Et je crains qu'@si perde.
La boucle est bouclée : l'éléphant à l'opinion majoritaire qui se plaint qu'"on peut plus rien dire" et qu' "on peut plus critiquer la religion en France, m'âme Michu", veut, très logiquement, museler le moustique...
Mouais, la kro d'Alain date du mois avril et l'autre s&@§£pe se réveille juste après que vous ayez annoncé avoir les moyens de rembourser le fisc... heu, vous avez marché sur les pieds à qui dernièrement Daniel ?
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Totale solidarité avec @si. C'est ce qui s'appelle mettre le Point sur le "i".
Le réveil du "Point" est bien tardif, donc suspect, et son contenu n'est pas toujours irréprochable, mais, dans ce cas, la chronique et le parallèle d'AK étaient très maladroits pour rester mesuré.
Dans ce cas c'était plutôt le point Godwin que l'effet Streisand.
Dans ce cas c'était plutôt le point Godwin que l'effet Streisand.
Si ça c'est pas un beau cadeau pour @si!
Pffffffff !!!! Le poing dans la gueule. (Je ne suis ni Arabe ni musulmane et normalement pas violente).
Ils ont compris que vous les traitiez d'arabes? Je ne vois que ça, et qu'ils s'imaginent que c'est une insulte ne m'étonne qu'à moitié. "Les arabes du point" c'est vrai que c'est super ambigu !
Tremblez petits français, l'histoire se répète !
Le 1er juillet 1898, dans La Revue blanche, Léon Blum, sous la signature de « Un juriste » publie un texte intitulé "Comment ont été faites les Lois Scélérates" :
« Elles permettent au premier « gouvernement fort » qui surviendra de tenir pour nulle la loi de 1881 (Loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse), loi incomplète, mais libérale et sensée dans son ensemble, et l’une des rares lois républicaines de la République. Elles abrogent les garanties conférées à la presse en ce qu’elles permettent la saisie et l’arrestation préventive ; elles violent une des règles de notre droit public en ce qu’elles défèrent des délits d’opinion à la justice correctionnelle ; elles violent les principes du droit pénal en ce qu’elles permettent de déclarer complices et associés d’un crime des individus qui n’y ont pas directement et matériellement participé ; elles blessent l’humanité en ce qu’elles peuvent punir des travaux forcés une amitié ou une confidence, et de la relégation un article de journal. »
Le 1er juillet 1898, dans La Revue blanche, Léon Blum, sous la signature de « Un juriste » publie un texte intitulé "Comment ont été faites les Lois Scélérates" :
« Elles permettent au premier « gouvernement fort » qui surviendra de tenir pour nulle la loi de 1881 (Loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse), loi incomplète, mais libérale et sensée dans son ensemble, et l’une des rares lois républicaines de la République. Elles abrogent les garanties conférées à la presse en ce qu’elles permettent la saisie et l’arrestation préventive ; elles violent une des règles de notre droit public en ce qu’elles défèrent des délits d’opinion à la justice correctionnelle ; elles violent les principes du droit pénal en ce qu’elles permettent de déclarer complices et associés d’un crime des individus qui n’y ont pas directement et matériellement participé ; elles blessent l’humanité en ce qu’elles peuvent punir des travaux forcés une amitié ou une confidence, et de la relégation un article de journal. »
Haha c'est magique. Je ne sais pas quel avocat les à conseillé, mais alors la, si un jour quelqu'un en cherche, un qu'il se tienne très très loin de celui-ci.
Où est l'injure publique dans le tweet ? Il y a juste une mise en parallèle de deux couverture de journaux (comme ça se fait tout le temps sur tweeter).
Après, la chronique, il faudrait la relire, surtout qu'elle date de mai, donc effectivement la question de la prescription se pose même si là on parle d'injure publique. Mais je n'ai pas vraiment le souvenir qu'Alain injuriait quoique ca soit du point. Par contre j'ai le souvenir qu'elle était très bien écrite et montrait bien les contradictions du Point.
Enfin bon joyeux noël hein
2016 va être une belle année, je le sens !
Où est l'injure publique dans le tweet ? Il y a juste une mise en parallèle de deux couverture de journaux (comme ça se fait tout le temps sur tweeter).
Après, la chronique, il faudrait la relire, surtout qu'elle date de mai, donc effectivement la question de la prescription se pose même si là on parle d'injure publique. Mais je n'ai pas vraiment le souvenir qu'Alain injuriait quoique ca soit du point. Par contre j'ai le souvenir qu'elle était très bien écrite et montrait bien les contradictions du Point.
Enfin bon joyeux noël hein
2016 va être une belle année, je le sens !
Ils connaissent l'effet Streisand au Point ? Je prédis un bel avenir à la chro d'Alain Korkos. Allez hop, c'est par là !
injure publique... :D
En tout cas, cette p'tite histoire est plus drole que les nouveaux Guignols.
Enfin... Joyeux Noel quand mème.
En tout cas, cette p'tite histoire est plus drole que les nouveaux Guignols.
Enfin... Joyeux Noel quand mème.
Que peut-on attendre d'un journal qui appartient à Pinault, avec des journalistes aussi " exceptionnels " que Giesbert ,,Teçon, et avec un "philosophe" , presque aussi talentueux que Botul ?
Peut-être peuvent-ils faire aussi bien que ceux de " Valeurs actuelles " ,
Peut-être peuvent-ils faire aussi bien que ceux de " Valeurs actuelles " ,
Allez, on fait un ptit ulule pour payer l'avocat ?
Y a t il vraiement injure publique dans cet article ? Je ne vois moi qu une comparaison à un autre journal... Cela correspond il réellement à une injure ?
Y a t il vraiement injure publique dans cet article ? Je ne vois moi qu une comparaison à un autre journal... Cela correspond il réellement à une injure ?
Imaginons cinq minutes que les unes du Point sur l'islam soient consacrées aux juifs ...
Dès la première parution, tous ces beaux messieurs auraient hurlé à l'antisémitisme. Et le journal purement, simplement et justement interdit.
Mais quand on entend Bensoussan parler "d'antisémitisme atavique dans les familles arabes", et cela, sur le service public, plus rien ne doit nous étonner.
Dans ce pays, la liberté d'expression est à géométrie variable.
A quand une expo sur "le musulman et la France" ?
Dès la première parution, tous ces beaux messieurs auraient hurlé à l'antisémitisme. Et le journal purement, simplement et justement interdit.
Mais quand on entend Bensoussan parler "d'antisémitisme atavique dans les familles arabes", et cela, sur le service public, plus rien ne doit nous étonner.
Dans ce pays, la liberté d'expression est à géométrie variable.
A quand une expo sur "le musulman et la France" ?
On vit une époque formidable
Ils sont vraiment con au Point ! Même si j'avoue que leur couv ne m'a pas choqué par rapport à tant d'autre sur l'Islam. Les Arabes "L'histoire méconnue d'une civilisation", c'est quand même pas "Je suis Partout" avec ses caricatures nauséabondes. Le parrallèle n'était pas très pertinent.
Bon courage pour le procès !
Bon courage pour le procès !
Sauf que, comme le notait Alain Korkos en mai, le premier coup d’œil sur cette couverture écœurante donne à lire ce titre "« L'histoire méconnue d'une civilisation aux origines de la tragédie d'aujourd'hui. »...
Moi, j'ai lu ce qu'il y avait écrit :
L'histoire méconnue d'une civilisation. (Point)
Aux origines de la tragédie d'aujourd'hui.
Et lorsqu'on lit les articles, il n'y a aucune ambiguïté : cette civilisation n'est pas à l'origine des la tragédie d'aujourd'hui.
Il faut être tendancieux pour faire dire au Point qu'il a voulu écrire "« L'histoire méconnue d'une civilisation aux origines de la tragédie d'aujourd'hui. »
L'histoire méconnue d'une civilisation. (Point)
Aux origines de la tragédie d'aujourd'hui.
Et lorsqu'on lit les articles, il n'y a aucune ambiguïté : cette civilisation n'est pas à l'origine des la tragédie d'aujourd'hui.
Il faut être tendancieux pour faire dire au Point qu'il a voulu écrire "« L'histoire méconnue d'une civilisation aux origines de la tragédie d'aujourd'hui. »
Tendancieux, peut-être (quoique ... ), mais injurieux?
Il sera intéressant de savoir quel terme de la chronique d'AK le plaignant a estimé injurieux. Moi, je n'ai pas trouvé.
Par ailleurs, il me semble bien que, pour les injures publiques comme pour la diffamation, la prescription est de 3 mois.
Il sera intéressant de savoir quel terme de la chronique d'AK le plaignant a estimé injurieux. Moi, je n'ai pas trouvé.
Par ailleurs, il me semble bien que, pour les injures publiques comme pour la diffamation, la prescription est de 3 mois.
C'est peut-être la mise en compétition avec Valeurs Actuelles qu'ils ont trouvée injurieuse.
Par ailleurs, il semble bien que, d'après le paragraphe « B) »2 du lien posté à 13:11 le 24/12/2015 par constant gardener, que la prescription est d'1 an.
2. En raison de l'absence de paragraphe « A) » dans le lien donné par constant gardener, nous donnerons ici un autre lien similaire.
2. En raison de l'absence de paragraphe « A) » dans le lien donné par constant gardener, nous donnerons ici un autre lien similaire.
" L'histoire méconnue d'une civilisation aux origines de la tragédie d'aujourd'hui."
On peut aussi se demander quelle était la probabilité que deux phrases s'accordant si facilement se retrouvent à la une de l'hebdomadaire seulement séparées par un point.
On peut aussi se demander quelle était la probabilité que deux phrases s'accordant si facilement se retrouvent à la une de l'hebdomadaire seulement séparées par un point.
Personne n'est effectivement dupe sur la volonté qu'il y a derrière cette une. Mais ils se sont protégés avec ce point. Ce n'est pas comme si nous n'étions pas habitués à toutes ces provocations réactionnaires, toujours borderline, histoire d'un côté faire passer leur message raciste, tout en restant dans les clous histoire de ne pas être inquiétés par la justice.
C'est la technique du FN depuis des années.
C'est la technique du FN depuis des années.
Il faut être tendancieux pour faire dire au Point qu'il a voulu écrire " Nul n'est obligé d'acheter et de lire le Point pour comprendre ce qu'ils veulent dire exactement. C'est leur Une qui est tendencieuse, provocante et injurieuse pour les musulmans. Mais JP Gaucher est sans doute un adepte inconditionnel du Point..
En fait, le point (hihi) entre les deux phrases ne fait pas disparaître un enchaînement évident.
Et quand JPG écriy "lorsqu'on lit les articles", il fait abstraction d'une évidence: le nombre de gens qui lisent vraiment les articles est tout petit par rapport à ceux qui ne lisent que les titres. Surtout quand ce titre est en "une", bien visible dans tous les kiosques et boutiques, accrocheur, racoleur et d'ailleurs choisi spécifiquement pour ça.
Et quand JPG écriy "lorsqu'on lit les articles", il fait abstraction d'une évidence: le nombre de gens qui lisent vraiment les articles est tout petit par rapport à ceux qui ne lisent que les titres. Surtout quand ce titre est en "une", bien visible dans tous les kiosques et boutiques, accrocheur, racoleur et d'ailleurs choisi spécifiquement pour ça.
(date et lieu de naissance, identité des parents, etc).
Oulala... ils veulent peut être juste mettre en évidence que vous êtes de mauvais français, aux ascendances douteuses?
Oulala... ils veulent peut être juste mettre en évidence que vous êtes de mauvais français, aux ascendances douteuses?
Ils vont peut-être aussi demander un certificat de baptême : Sarkozy défend les « racines chrétiennes » de la France dans ses vœux de Noël.
Trouvez vite d'autres arguments que "votre" lecture biaisée d'un sous-titre en deux lignes nettement séparées. Aucun juge ne pourrait vous suivre, et ne suivra Koros, sur cette lecture. Et heureusement pour la liberté d'expression qui ne consiste pas à écrire n'importe quoi en déniant ou bousculant le sens de la langue et de l'écriture.
L'article de DS est étonnement faible. Son argumentation ne s'appuie que sur une vision de la liberté d'expression 'H'écris ce que je veux) alors que celle-ci est bien évidemment encadrée, ne serait-ce que par les textes sur la diffamation.
L'article de DS est étonnement faible. Son argumentation ne s'appuie que sur une vision de la liberté d'expression 'H'écris ce que je veux) alors que celle-ci est bien évidemment encadrée, ne serait-ce que par les textes sur la diffamation.
N'y a-t-il pas une prescription de 3 mois dans les cas de diffamation publique?
Selon l’article 65 de la loi du 29 juillet 1881, les actions en diffamation se prescrivent « après trois mois révolus, à compter du jour où ils auront été commis ».
Pour les articles publiés sur Internet, le point de départ est fixé au jour de la première mise en ligne.
Selon l’article 65 de la loi du 29 juillet 1881, les actions en diffamation se prescrivent « après trois mois révolus, à compter du jour où ils auront été commis ».
Pour les articles publiés sur Internet, le point de départ est fixé au jour de la première mise en ligne.
Tout vient "au point" à qui sait attendre. ( Minuscule revendiquée pour la petitesse du geste et du magazine: Revel, Giesbert, BHL...Beurk!)
Qu'il s'en étouffe!
Qu'il s'en étouffe!
Un joli cadeau de noël !
la chronique date de mai 2015 .Le Point se réveille très tard.
En ce cas Sébastien Fontenelle et "Vive Le Feu" doivent être attaqués comme vous en diffamation...
Est-ce le cas?
Est-ce le cas?