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L'imam Google qui a fait buguer Cazeneuve
Et soudain, l'énigme du moment est soumise à Bernard Cazeneuve.
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Derniers commentaires
Rachid Abou Houdeyfa, encore un phare de la pensée celui-là...Entre les fous criminels et les idiots du village, on se dit qu'il serait grand temps pour pas mal de croyants - quelle que soit la dite religion - de lâcher leurs vieux grimoires magico-cons et d'enfin décider de prendre leur destin en main et de derechef aller à l'école.
C'est d'un pathétique ! Mais où vont-ils les chercher tous ces stupides ?
En entendant ce pauvre type, qu'est-ce qu'on se dit ?
- âge mental ?
- Trois et demi ? Cinq ans ? Pas plus hein !
J'ai personnellement connu des enfants de cinq ans largement plus avancés que ce pauvre gars...
- Celles et ceux qui aiment ou pratiquent "la musique seront changés en singe ou en porc" ....c'est ça qu'il y a dans ton vieux grimoire ? Et bien mon gars, si c'est ça qu'il y a écrit, arrête tout et passe vite à autre chose. T'as vraiment du temps à perdre. Régner sur un parterre d'enfants et les décérébrer te fait tant plaisir ? T'a que ça à faire de ta vie ?
Tant de conneries concentrées dans une barbe c'est sûr que ça fait peur. Il n'est pas étonnant que toute une génération d'enfants, après avoir entendu ces grands stupides rame après à l'école, au collège ou au lycée. Comment faire la synthèse entre les savoirs et les superstitions ? Décérébrés dès la plus tendre enfance, intimement détruits dès la sortie des classes, hebdomadairement lobotomisés après les cours, la tête retournée par des superstitions antiques, pas étonnant après qu'une fois grandes, certaines personnes enfantent des poissons rouges dans leurs têtes si rétrécies par des décennies de prêches plus cons les uns que les autres. Une fois décérébrés, frustrés, ignares par la faute d'imams, de curés, de rabins, de chef de sectes, bêtes comme du foin, que reste-t-il à ces mômes après tant de conneries ingurgitées ?
Réponse : la violence.
Ou le suicide qui est une violence contre soi-même
En psychologie, les " double bind " sont bien connus. Cela rend fou. La contradiction indépassable rend fou.
Que ce pauvre type du nom de Rachid Abou Houdeyfa cesse de lobotomiser les enfants et qu'il aille chercher un emploi à Pôle - Emploi. Ce type bête comme ses pieds est français ? Très bien. Qu'il reste donc dans son pays mais de grâce ! ...qu'il arrête ses propres singeries, qu'il arrête ses prèches obscurantistes, ça fera des vacances pour les enfants, ça les soulagera de ne plus entendre ce grand dadais stupide. Les enfants ont autre chose à faire de leur propre existence que d'écouter ces sornettes d'un autre âge.
Comment se peut-il que des parents abandonnent leurs enfants pendant quelques heures pour écouter dans le meilleur des cas, un imbécile, dans le pire des cas, un psychopathe ? N'ont-ils pas peur ?
C'est d'un pathétique ! Mais où vont-ils les chercher tous ces stupides ?
En entendant ce pauvre type, qu'est-ce qu'on se dit ?
- âge mental ?
- Trois et demi ? Cinq ans ? Pas plus hein !
J'ai personnellement connu des enfants de cinq ans largement plus avancés que ce pauvre gars...
- Celles et ceux qui aiment ou pratiquent "la musique seront changés en singe ou en porc" ....c'est ça qu'il y a dans ton vieux grimoire ? Et bien mon gars, si c'est ça qu'il y a écrit, arrête tout et passe vite à autre chose. T'as vraiment du temps à perdre. Régner sur un parterre d'enfants et les décérébrer te fait tant plaisir ? T'a que ça à faire de ta vie ?
Tant de conneries concentrées dans une barbe c'est sûr que ça fait peur. Il n'est pas étonnant que toute une génération d'enfants, après avoir entendu ces grands stupides rame après à l'école, au collège ou au lycée. Comment faire la synthèse entre les savoirs et les superstitions ? Décérébrés dès la plus tendre enfance, intimement détruits dès la sortie des classes, hebdomadairement lobotomisés après les cours, la tête retournée par des superstitions antiques, pas étonnant après qu'une fois grandes, certaines personnes enfantent des poissons rouges dans leurs têtes si rétrécies par des décennies de prêches plus cons les uns que les autres. Une fois décérébrés, frustrés, ignares par la faute d'imams, de curés, de rabins, de chef de sectes, bêtes comme du foin, que reste-t-il à ces mômes après tant de conneries ingurgitées ?
Réponse : la violence.
Ou le suicide qui est une violence contre soi-même
En psychologie, les " double bind " sont bien connus. Cela rend fou. La contradiction indépassable rend fou.
Que ce pauvre type du nom de Rachid Abou Houdeyfa cesse de lobotomiser les enfants et qu'il aille chercher un emploi à Pôle - Emploi. Ce type bête comme ses pieds est français ? Très bien. Qu'il reste donc dans son pays mais de grâce ! ...qu'il arrête ses propres singeries, qu'il arrête ses prèches obscurantistes, ça fera des vacances pour les enfants, ça les soulagera de ne plus entendre ce grand dadais stupide. Les enfants ont autre chose à faire de leur propre existence que d'écouter ces sornettes d'un autre âge.
Comment se peut-il que des parents abandonnent leurs enfants pendant quelques heures pour écouter dans le meilleur des cas, un imbécile, dans le pire des cas, un psychopathe ? N'ont-ils pas peur ?
Sont naïfs ces musulmans. Ils croient dur comme fer que Dieu a dicté le Coran au prophète, alors que c'est même pas prouvé.
Le vrai bug de Cazeneuve :
le chien-chien à sa mémère
Après les dogues allemands, les dogues russes.
Merci Poutine.
le chien-chien à sa mémère
Après les dogues allemands, les dogues russes.
Merci Poutine.
Ça me rappelle des débats de repas de famille. Famille mi-catho, mi-rouge.
Très instructif. Chaque clan voyant l'autre comme un bloc uni (et méprisable). Mais chaque clan étant lui même très diversifié (par exemple rouge Mao et rouge Staline). Sans compter les dindons de la farce: les cathos de gauche! Je ne m'étonne plus donc de trouver de telles divisions dans tout mouvement, et un bon ministre devrait se méfier de ce genre de question piège à con, spécialité de certains journalistes...
Très instructif. Chaque clan voyant l'autre comme un bloc uni (et méprisable). Mais chaque clan étant lui même très diversifié (par exemple rouge Mao et rouge Staline). Sans compter les dindons de la farce: les cathos de gauche! Je ne m'étonne plus donc de trouver de telles divisions dans tout mouvement, et un bon ministre devrait se méfier de ce genre de question piège à con, spécialité de certains journalistes...
Cet Imam dit peu ou prou exactement la meme chose que Al-Kanz.
Et Al-kanz a déja été cité sur @si avec des inflexions positives si je ne m'abuse....
La question est plus vaste que l'Imam de Brest, ca concerne tous les "quietistes".
Moi je crois qu'il faut rendre service à tout le monde.
Sachant que la Hijra est une obligation religieuse pour eux et sachant
que toutes leurs valeurs sont en opposition avec celles dans lesquelles j'ai été éduquées (respect des femmes, laicité, rationalité, respect des lois républicaines, respect de la démocratie et même respect des droits de l'homme), il faut les expulser.
Ca nous rendra service, et ca permettra à ces preux de se concentrer sur leur glorieux et lubrique futur avec leur 72 vierges. Ca serait quand même égoiste de notre part de leur faire rater ce bel idéal à cause de notre Kufr.
Et Al-kanz a déja été cité sur @si avec des inflexions positives si je ne m'abuse....
La question est plus vaste que l'Imam de Brest, ca concerne tous les "quietistes".
Moi je crois qu'il faut rendre service à tout le monde.
Sachant que la Hijra est une obligation religieuse pour eux et sachant
que toutes leurs valeurs sont en opposition avec celles dans lesquelles j'ai été éduquées (respect des femmes, laicité, rationalité, respect des lois républicaines, respect de la démocratie et même respect des droits de l'homme), il faut les expulser.
Ca nous rendra service, et ca permettra à ces preux de se concentrer sur leur glorieux et lubrique futur avec leur 72 vierges. Ca serait quand même égoiste de notre part de leur faire rater ce bel idéal à cause de notre Kufr.
Voilà à qui résonne parfaitement avec ce bugue de Cazeneuve :
"Depuis le 24 août 2015, les sciences politiques ont disparu d’Ouzbékistan. Le despote Islam Karimov a décidé de bannir tous les livres traitant de ce sujet, versés dans un « fonds spécial » inaccessible, et de remplacer ce cursus universitaire par des cours de « théorie et pratique de la construction d’une société démocratique en Ouzbékistan ». Le ministre japonais de l'Éducation, Hakubun Shimomura, s'est, lui, contenté, d'envoyer une lettre aux présidents des quatre-vingt-six universités du pays pour leur demander de se débarrasser des départements de sciences sociales et d'humanités «ou de les convertir afin qu'ils correspondent mieux aux besoins de la société».
Sans parvenir à de telles extrémités, la France et l’Europe, du moins leurs classes dirigeantes, semblent habitées par une semblable peur des savoirs qui dérangent, expliquent et éclairent. Au temps long de la réflexion, elles préfèrent l’immédiateté de la communication. À la recherche des causes, par la perspective historique ou par l’investigation sociologique, elles opposent l’urgence de l’action. À la complexité d’une pensée en mouvement, elles préfèrent la simplicité de mots d’ordre qui figent, assignent et immobilisent : restaurer la République, faire la guerre au terrorisme, réduire les déficits publics – quoi qu’il en coûte aux peuples et aux individus.
Qu’il s’agisse de la crise grecque ou des menaces terroristes, des enjeux sécuritaires ou des questions économiques, la politique contemporaine dans sa version dominante a choisi d’ignorer ce qui fait les sociétés : leur histoire, leurs structures, leurs contradictions sociales et, par-dessus tout, leur foncière diversité ethnique, culturelle et religieuse. Les sciences humaines et sociales sont ainsi bannies, discréditées ou vilipendées, au nom du fait qu’elles installeraient une « culture de l’excuse ».
Tout effort d’explication historique ou d’analyse sociologique d’un phénomène social est disqualifié comme tentative de justification. Aussi absurde que grossier, ce soupçon est une arme idéologique au service de l’ordre établi, justifiant une politique fière de ne plus penser à long terme. Évacuées, les causes sociales de la délinquance, les origines historiques de l’État islamique et de la décomposition du Moyen-Orient, les fondations idéologiques de la crise des dettes publiques et de la zone euro. Circulez, il n’y a plus rien à penser !
Défendant en 1939, face aux totalitarismes, le ressort vital de l’exigence démocratique, le grand philosophe américain John Dewey avait par avance répondu à cet aveuglement politique tissé d’ignorance et de court terme. Recommandant de se « débarrasser des idées qui mènent à croire que les conditions démocratiques se maintiennent par elles-mêmes automatiquement ou qu’elles peuvent être identifiées à l’accomplissement des prescriptions inscrites dans une constitution », il plaçait l’enquête au cœur du « mode de vie démocratique », tant les savoirs qu’elle apporte sont indispensables pour construire patiemment des « habitudes démocratiques de pensée et d’action ».
Et pendant ce temps-là, n'est-ce pas, "la France n'a aucune intention de revoir ses relations avec l'Arabie Saoudite". Voilà voilà voilà.
"Depuis le 24 août 2015, les sciences politiques ont disparu d’Ouzbékistan. Le despote Islam Karimov a décidé de bannir tous les livres traitant de ce sujet, versés dans un « fonds spécial » inaccessible, et de remplacer ce cursus universitaire par des cours de « théorie et pratique de la construction d’une société démocratique en Ouzbékistan ». Le ministre japonais de l'Éducation, Hakubun Shimomura, s'est, lui, contenté, d'envoyer une lettre aux présidents des quatre-vingt-six universités du pays pour leur demander de se débarrasser des départements de sciences sociales et d'humanités «ou de les convertir afin qu'ils correspondent mieux aux besoins de la société».
Sans parvenir à de telles extrémités, la France et l’Europe, du moins leurs classes dirigeantes, semblent habitées par une semblable peur des savoirs qui dérangent, expliquent et éclairent. Au temps long de la réflexion, elles préfèrent l’immédiateté de la communication. À la recherche des causes, par la perspective historique ou par l’investigation sociologique, elles opposent l’urgence de l’action. À la complexité d’une pensée en mouvement, elles préfèrent la simplicité de mots d’ordre qui figent, assignent et immobilisent : restaurer la République, faire la guerre au terrorisme, réduire les déficits publics – quoi qu’il en coûte aux peuples et aux individus.
Qu’il s’agisse de la crise grecque ou des menaces terroristes, des enjeux sécuritaires ou des questions économiques, la politique contemporaine dans sa version dominante a choisi d’ignorer ce qui fait les sociétés : leur histoire, leurs structures, leurs contradictions sociales et, par-dessus tout, leur foncière diversité ethnique, culturelle et religieuse. Les sciences humaines et sociales sont ainsi bannies, discréditées ou vilipendées, au nom du fait qu’elles installeraient une « culture de l’excuse ».
Tout effort d’explication historique ou d’analyse sociologique d’un phénomène social est disqualifié comme tentative de justification. Aussi absurde que grossier, ce soupçon est une arme idéologique au service de l’ordre établi, justifiant une politique fière de ne plus penser à long terme. Évacuées, les causes sociales de la délinquance, les origines historiques de l’État islamique et de la décomposition du Moyen-Orient, les fondations idéologiques de la crise des dettes publiques et de la zone euro. Circulez, il n’y a plus rien à penser !
Défendant en 1939, face aux totalitarismes, le ressort vital de l’exigence démocratique, le grand philosophe américain John Dewey avait par avance répondu à cet aveuglement politique tissé d’ignorance et de court terme. Recommandant de se « débarrasser des idées qui mènent à croire que les conditions démocratiques se maintiennent par elles-mêmes automatiquement ou qu’elles peuvent être identifiées à l’accomplissement des prescriptions inscrites dans une constitution », il plaçait l’enquête au cœur du « mode de vie démocratique », tant les savoirs qu’elle apporte sont indispensables pour construire patiemment des « habitudes démocratiques de pensée et d’action ».
Et pendant ce temps-là, n'est-ce pas, "la France n'a aucune intention de revoir ses relations avec l'Arabie Saoudite". Voilà voilà voilà.
nous voilà enfin au coeur du problème vers lequel je tentais d'aller depuis plusieurs jours déjà sur le forum
Ce qui m'atterre, c'est que nimporte quel prosélyte inculte mais bien entraîné soit capable de mettre un ministre en échec.
(on dit faire buguer ?)
(on dit faire buguer ?)
Cazeneuve... Cazeneuve ... c'est pas le gugusse qui voulait flinguer les O.V.N.I. au dessus des centrales nucléaires il y a un an ?
En ce jour de deuil national.
Il est un enterrement que la presse n'aura certainement pas le temps d'évoquer :
Officiel : La France renonce à la Convention européenne des droits de l’homme
(sur le blog de Gilles Devers, avocat)
Il est un enterrement que la presse n'aura certainement pas le temps d'évoquer :
Officiel : La France renonce à la Convention européenne des droits de l’homme
(sur le blog de Gilles Devers, avocat)
Comme j'ai une aversion pour les mythologies ayant passé ma jeunesse à les maudire, mon adolescence à m'en éloigner, ma vie d'adulte à m'en détacher, je prends avec des pincettes tous les textes qu'elles me proposent.
J'ai néanmoins suivi le conseil de Merle et son lien et j'ai entrepris de me balader dans le Coran. Bien entendu pas les parties en spaghettis mais celles en lettres latines qui me sont plus faciles à aborder, mais j'avoue humblement que c'est un peu comme attaquer de front le Code civil pour savoir si la distance de votre gouttière au mur mitoyen ne risque pas de vous faire envoyer aux enfers par votre voisin. C'est à dire que vous en sortez totalement dans le doute terrible et vous êtes contraint de prendre les conseils d'un avocat que vous paierez chèrement. Dans le cas des mythologies, il faudra que vous interrogiez un curé/rabbin/imam/gourou (cocher la case utile).
Tenez prenez cette recette radicale qui nous aurait épargné toutes les comédies de Labiche et Scribe :
"Celles de vos femmes qui forniquent, faites témoigner à leur encontre quatre d'entre vous. S'ils témoignent, alors confinez ces femmes dans vos maisons jusqu'à ce que la mort les rappelle ou qu'Allah décrète un autre ordre à leur égard."
Va pour la mort les rappelle, mais pour le final, je me méfie un peu des décrets du genre "Boute les Anglois hors de France" etc
Ou comme disais Dave Allen à propos de ce verset-là : "Puis, lorsqu'ils eurent goûté de l'arbre, leurs nudités leur devinrent visibles ", cela aurait très bien pu être "Puis, lorsqu'ils eurent goûté de l'arbre, le bout de leur nez leur devint visible " et nous nous promènerions de par le monde avec un triangle pour le cacher, "Cachez moi ce nez que je ne saurais voir"...
J'ai néanmoins suivi le conseil de Merle et son lien et j'ai entrepris de me balader dans le Coran. Bien entendu pas les parties en spaghettis mais celles en lettres latines qui me sont plus faciles à aborder, mais j'avoue humblement que c'est un peu comme attaquer de front le Code civil pour savoir si la distance de votre gouttière au mur mitoyen ne risque pas de vous faire envoyer aux enfers par votre voisin. C'est à dire que vous en sortez totalement dans le doute terrible et vous êtes contraint de prendre les conseils d'un avocat que vous paierez chèrement. Dans le cas des mythologies, il faudra que vous interrogiez un curé/rabbin/imam/gourou (cocher la case utile).
Tenez prenez cette recette radicale qui nous aurait épargné toutes les comédies de Labiche et Scribe :
"Celles de vos femmes qui forniquent, faites témoigner à leur encontre quatre d'entre vous. S'ils témoignent, alors confinez ces femmes dans vos maisons jusqu'à ce que la mort les rappelle ou qu'Allah décrète un autre ordre à leur égard."
Va pour la mort les rappelle, mais pour le final, je me méfie un peu des décrets du genre "Boute les Anglois hors de France" etc
Ou comme disais Dave Allen à propos de ce verset-là : "Puis, lorsqu'ils eurent goûté de l'arbre, leurs nudités leur devinrent visibles ", cela aurait très bien pu être "Puis, lorsqu'ils eurent goûté de l'arbre, le bout de leur nez leur devint visible " et nous nous promènerions de par le monde avec un triangle pour le cacher, "Cachez moi ce nez que je ne saurais voir"...
à chaque fois je m'étonne que la comedie "we are four lions" (Chris Moris), à mourir de rire au passage, soit aussi pertinente et documenté sur le sujet. Evidemment les gens qui s'interessent au sujet le savaient et le savent déja, mais dans ce film c'est une bande de mecs completement bercés par la culture occidentale, très moderement religieux (et en partie completement demeurés bien qu'attachants, mais ça c'est aussi du cinema); qui part "faire le djihad"; alors que les véritables intégristes orthodoxes qu'on voit apparaitre dans le film, eux, sont certes des bigots conservateurs, mais ont le mérite de la cohérence dans leur croyance et ne pronent jamais la violence (dans le film ils essaient de dissuader les quatres apprentis terroristes d'aller se faire sauter); et c'est bien sur ces mêmes intégristes qui se retrouvent dans le guantanamo Anglais interrogés par les forces speciales.
c'est vraiment le bon moment pour le revoir si c'est pas déja fait.
c'est vraiment le bon moment pour le revoir si c'est pas déja fait.
[quote= Daniel Schneidermann]"France 2 a préparé un montage chaud-froid de ses prêches [...] Chaud : Le bon musulman obéit à son épouse si elle est un peu débordée par les tâches ménagères, et qu'elle lui demande de l'aide".
Chaud ?!?!? ... au mieux tiède ...
PatriceNoDRM
Chaud ?!?!? ... au mieux tiède ...
PatriceNoDRM
J'aime bien le concept de violence moderne... C'est quoi pour ces connards la violence pas moderne ?
Il faut qu'il se méfie l'imam, qu'il évite de sortir tête nue, il y a des gourgandines qui le trouveraient goûteux. Et alors adieu la piété. Sali pour toujours, seule la lapidation etc etc
Il faut qu'il se méfie l'imam, qu'il évite de sortir tête nue, il y a des gourgandines qui le trouveraient goûteux. Et alors adieu la piété. Sali pour toujours, seule la lapidation etc etc
Merci de lire le coran :
http://www.bismirabbika.com/lire-le-coran/
Cela vaudra mieux que de longs discours sans fondement.
http://www.bismirabbika.com/lire-le-coran/
Cela vaudra mieux que de longs discours sans fondement.
Je ne comprends pas très bien qu'un Monsieur puisse, en public, dire qu'une femme, oui cette partie de la population dont la fameuse parité devrait être respectée et faite respecter par ce truc qu'on appelle la loi, une femme donc est impudique si elle sort sans son machintruc (et là, je suis en colère). Et pas seulement : ajouter sournoisement qu'elle ne s'étonne donc pas si on abuse d'elle. Sincèrement, non, je ne comprends pas. Il ne s'agit pas de liberté d'expression ou si ? Serait-ce l'aspect hautement comique de ce discours qui m'échappe ? S'agit-il d'une autocarricature particulièrement drôle ? Oui, décidément, ça m'échappe, ça ne me fait pas rire, peut-être parce que je suis une femme! qui sait. Et j'en ai franchement ras le bol de ces arguties du genre : c'est-y dangereux, pas dangereux, liberté d'expression, pas liberté d'expression, blablabla. Si je prêche le non droit pour plus de la moitié de la population, c'est quoi, au fait. C'est de l'enseignement, ça, public et revendiqué et filmé et et et... En complète contradiction avec une république laïque de droit. Bon, je vais aller réviser les fondements de la tolérance en tentant d'oublier que tolérer l'intolérance est intéressant essentiellement d'un point de vue philosophique, pour une dissert un jour d'examen. Et quand je sortirai en short, j'ai intérêt à prendre une kalachnikov pour calmer tous ceux que j'aurai honteusement provoqués.
Et c'est pas juste un moment d'humeur.
Et c'est pas juste un moment d'humeur.
Il s'agit bien de liberté d'expression, qui n'est pas faite pour flatter vos opinions, mais bien pour permettre aux idées dissidentes d'être discutées.
La vôtre de liberté d'expression (et la mienne) vous permet de critiquer vivement ces idées nauséabondes. De rapeller que lorsque les pulsions d'un mâle font d'une femme une victime, le seul et unique coupable c'est le mâle. Peu importe la mini-jupe, le voile, le trikini, la burqa ou la combinaison de survie en Alaska.
En complète contradiction avec une république laïque de droit.
En complèt accord avec la république laïque de droit, dont le but est jsutement d'autoriser cela…
La vôtre de liberté d'expression (et la mienne) vous permet de critiquer vivement ces idées nauséabondes. De rapeller que lorsque les pulsions d'un mâle font d'une femme une victime, le seul et unique coupable c'est le mâle. Peu importe la mini-jupe, le voile, le trikini, la burqa ou la combinaison de survie en Alaska.
En complète contradiction avec une république laïque de droit.
En complèt accord avec la république laïque de droit, dont le but est jsutement d'autoriser cela…
Qualifier ce fatras de préjugés d'idées dissidentes me semble un contre-sens. Il y a une différence entre les idées et le propos de priver une partie de la population de ses droits, me semble-t-il qui n'est pas l'objet d'un débat, mais bien d'un enseignement et du recours, pour ce faire, à une croyance, mieux, une foi, autrement dit quelque chose qu'il est interdit de remettre en question. Une démocratie ne peut reposer que sur l'idée fondamentale qu'on ne peut remettre en question le principe de la démocratie. C'est, bien sûr, toute la difficulté de la liberté d'expression qu'elle garantit. Car comment fait-elle pour la garantir contre ses ennemis ? Comment garantir la liberté des femmes contre ceux qui la nient ? Nous sommes dans des États de droit (affaiblis, certes, mais encore avec des moyens juridiques pour lutter contre cet affaiblissement). Autrement dit, il existe des protections juridiques contre les attaques à ces États de droit. C'est là, certes, une diminution de la liberté, paradoxalement au service de cette liberté.
Quant à la laïcité, elle signifie d'abord qu'on ne peut imposer des règles religieuses dans la sphère sociale, que nul ne peut être contraint à les respecter s'agissant d'un choix personnel. Et que la loi doit protéger contre cette contrainte d'autant plus facilement qu'elle remet en cause les principes mêmes qui fondent nos sociétés.
La liberté d'expression est effectivement la liberté de critiquer, de se moquer, de débattre, d'échanger. Ce n'est pas la liberté de rendre caduque cette liberté même.
Je vous accorde que le sujet est complexe, mais complexe ne signifie pas insoluble. On peut, par exemple, se demander si un prosélytisme consacré à réduire plus de la moitié de l'espèce humaine à une sous-espèce a sa place dans un État qui se réclame de liberté/égalité/fraternité (sororité incluse), les trois termes en interdépendance, ne peut, au nom de ses principes, encadrer le droit à les insulter et à lutter pour les détruire. En outre, parler ici de liberté religieuse relève de l'absurdité. Si la liberté religieuse consiste à permettre d'ériger des règles anti-constitutionnelles à laquelle sera soumise une partie de la population, peut-être cela vaudrait-il la peine de poser la question : qu'est-ce que la liberté religieuse ? Que protégeons-nous exactement ? Et surtout, qui déprotégeons-nous ?
Le sujet est ardu, mais cela vaut peut-être la peine de cesser de se voiler la face et de se lancer à la figure de grands principes qui se nient l'un l'autre pour savoir exactement lesquels il vaut la peine de choisir. Choisir de garantir égalité/liberté/fraternité a un prix. Des conséquences.
C'est ce cas de figure qui incitait l'Allemagne à inscrire dans sa constitution, à l'article 21, al. 2 : (2) Les partis qui, d’après leurs buts ou d’après le comportement de leurs adhérents, tendent à porter atteinte à l’ordre constitutionnel libéral et démocratique, ou à le renverser, ou à mettre en péril l’existence de la République fédérale d’Al- lemagne, sont inconstitutionnels. La Cour constitutionnelle fédérale statue sur la question de l’inconstitutionnalité.
Quant à la laïcité, elle signifie d'abord qu'on ne peut imposer des règles religieuses dans la sphère sociale, que nul ne peut être contraint à les respecter s'agissant d'un choix personnel. Et que la loi doit protéger contre cette contrainte d'autant plus facilement qu'elle remet en cause les principes mêmes qui fondent nos sociétés.
La liberté d'expression est effectivement la liberté de critiquer, de se moquer, de débattre, d'échanger. Ce n'est pas la liberté de rendre caduque cette liberté même.
Je vous accorde que le sujet est complexe, mais complexe ne signifie pas insoluble. On peut, par exemple, se demander si un prosélytisme consacré à réduire plus de la moitié de l'espèce humaine à une sous-espèce a sa place dans un État qui se réclame de liberté/égalité/fraternité (sororité incluse), les trois termes en interdépendance, ne peut, au nom de ses principes, encadrer le droit à les insulter et à lutter pour les détruire. En outre, parler ici de liberté religieuse relève de l'absurdité. Si la liberté religieuse consiste à permettre d'ériger des règles anti-constitutionnelles à laquelle sera soumise une partie de la population, peut-être cela vaudrait-il la peine de poser la question : qu'est-ce que la liberté religieuse ? Que protégeons-nous exactement ? Et surtout, qui déprotégeons-nous ?
Le sujet est ardu, mais cela vaut peut-être la peine de cesser de se voiler la face et de se lancer à la figure de grands principes qui se nient l'un l'autre pour savoir exactement lesquels il vaut la peine de choisir. Choisir de garantir égalité/liberté/fraternité a un prix. Des conséquences.
C'est ce cas de figure qui incitait l'Allemagne à inscrire dans sa constitution, à l'article 21, al. 2 : (2) Les partis qui, d’après leurs buts ou d’après le comportement de leurs adhérents, tendent à porter atteinte à l’ordre constitutionnel libéral et démocratique, ou à le renverser, ou à mettre en péril l’existence de la République fédérale d’Al- lemagne, sont inconstitutionnels. La Cour constitutionnelle fédérale statue sur la question de l’inconstitutionnalité.
Oups, manque un peu de cohérence, ce matin, et de style. Ce doit être la période. Ce n'est plus "aspettarsi al meglio, prepararsi al peggio (s'attendre au meilleur, se préparer au pire)", mais "aspettarsi al peggio, prepararsi a peggio ancora" (s'attendre au pire, se préparer à pire encore). Aujourd'hui, je me sens italienne en plein.
So corsu, (a moitié) ne so fieru (tout a fait)
En plein.
En plein.
Tiens, c'est marrant, io pure, corse à moitié, catalane à moitié, française et italienne, et, loin loin, de tout : sang maure, sang asiatique, sang... Et fière du mélange.
Mais le joyeux pessimisme italien, y a rien de tel en ces temps inqualifiables.
You bet !
En plus que j'ai entendu ce matin que la moitié des dépenses décidées par Renzi pour faire face à "la montée des périls", c'était pour la culture et l'éducation.
Le pessimisme italien est indispensable.
En plus que j'ai entendu ce matin que la moitié des dépenses décidées par Renzi pour faire face à "la montée des périls", c'était pour la culture et l'éducation.
Le pessimisme italien est indispensable.
Renzi dit exactement : impiegheremo 2 miliardi di euro per dare una risposta ai professionisti della sicurezza e dell'educazione. Un miliardo in sicurezza, uno nell'identità culturale (nous emploierons 2 milliards d'euros pour donner une réponse aux professionnels de la sécurité et de l'éducation. Un milliard pour la sécurité, un milliard pour l'identité culturelle). Ouais, c'est sûr, il en faut des comme lui pour que le pessimisme ne s'éteigne pas. Quant à la joie, je m'en remets au sens de l'humour corrosif des Italiens en attendant qu'ils se décident, eux aussi, à réagir. Pas en allant dans la rue, non, c'est pas trop le truc, mais bon, z'ont de l'imagination.
Post très intéressant, merci.
Merci cimeaf de poser quelques questions intéressantes, elles ne courent pas les forums ces temps-ci.
Il y a une différence entre les idées et le propos de priver une partie de la population de ses droits
C'est pourtant bien une idée. Je peux demander à ce qu'on enferme tout les gens nés le 12 avril en prison (date hasardeuse). Je n'aurai probablement que peu de succès, mais tant que ça reste de l'expression des idées, c'est mon bon droit. Je ne peux pas par contre m'en prendre physiquement à ces gens, ni demander à ce qu'on le fasse (incitation à un comportement délictueux).
La liberté d'expression est justement censé garantir la démocratie. Permettre que l'Etat évolue avec l'évolution des idées de ses membres. Pour cela il faut que les idées puissent être exprimée et discutées. De plus, en faisant intervenir la force dans le débat (la loi) on érige souvent un mur qui va cacher ces idées, pour qu'elles se propage discrètement et hors de tout contrôle. C'est la technique des oeillères.
autrement dit quelque chose qu'il est interdit de remettre en question
En quoi est-ce interdit de remettre en question. Si la liberté d'expression garantit qu'on puisse parler de cette foi, elle garantit aussi qu'on puisse la critiquer…
Quant à la laïcité, elle signifie d'abord qu'on ne peut imposer des règles religieuses dans la sphère sociale, que nul ne peut être contraint à les respecter s'agissant d'un choix personnel. Et que la loi doit protéger contre cette contrainte d'autant plus facilement qu'elle remet en cause les principes mêmes qui fondent nos sociétés.
Certes, mais elle permet à n'importe quel imam, gourou, prêtre ou coach personnel de proposer des préceptes sur notre manière de vivre. Qu'on est libre de choisir de suivre ou pas. Depuis quand un prêche a-t-il valeur contraignante? Depuis quand une vidéo youtube est-elle contraignante? Je ne me suis jamais déversé des seau d'eau glacée sur la tête, dancé la tektonik ou suivi les préceptes d'un guide spirituel sur youtube…
La liberté d'expression est effectivement la liberté de critiquer, de se moquer, de débattre, d'échanger. Ce n'est pas la liberté de rendre caduque cette liberté même.
C'est l'éternelle rengaine des ennemis de la liberté d'expression: «Je peux me moquer des autres mais eux n'ont pas le droit de critiquer mon mode de vie».
C'est ridicule, prétentieux et dangereux.
Le sujet est ardu, mais cela vaut peut-être la peine de cesser de se voiler la face et de se lancer à la figure de grands principes qui se nient l'un l'autre pour savoir exactement lesquels il vaut la peine de choisir.
Pas si ardu que cela, il est psurtout plus que jamais important de ne pas détruire ces principes sous couvert de les défendre, au nom de la peur et de l'émotivité. C'est quand le principe est dur à défendre qu'il prend tout son sens… c'est toujours plus facile d'être pacifiste en temps de paix ou tolérant avec ceux qu'on aime.
Choisir de garantir égalité/liberté/fraternité a un prix. Des conséquences.
Les conséquences sont plutôt dûe actuellement aux écarts faits à ces principes: augmentation des inégalités, diminution des libertés et la fraternité n'en parlons pas. Et donc selon vous il faudrait donc diminuer encore plus les libertés, la fraternité et l'égalité?
C'est ce cas de figure qui incitait l'Allemagne à inscrire dans sa constitution, à l'article 21, al. 2 : (2) Les partis qui, d’après leurs buts ou d’après le comportement de leurs adhérents, tendent à porter atteinte à l’ordre constitutionnel libéral et démocratique, ou à le renverser, ou à mettre en péril l’existence de la République fédérale d’Al- lemagne, sont inconstitutionnels. La Cour constitutionnelle fédérale statue sur la question de l’inconstitutionnalité.
Difficile de faire un rapprochement entre un prêtre qui prêche sur youtube et un parti politique qui cherche à mettre en péril un gouvernement? D'autant plus que cet article est surtout liée à une certaine expérience historique d'un cas particulier (mais dévastateur).
C'est pourtant bien une idée. Je peux demander à ce qu'on enferme tout les gens nés le 12 avril en prison (date hasardeuse). Je n'aurai probablement que peu de succès, mais tant que ça reste de l'expression des idées, c'est mon bon droit. Je ne peux pas par contre m'en prendre physiquement à ces gens, ni demander à ce qu'on le fasse (incitation à un comportement délictueux).
La liberté d'expression est justement censé garantir la démocratie. Permettre que l'Etat évolue avec l'évolution des idées de ses membres. Pour cela il faut que les idées puissent être exprimée et discutées. De plus, en faisant intervenir la force dans le débat (la loi) on érige souvent un mur qui va cacher ces idées, pour qu'elles se propage discrètement et hors de tout contrôle. C'est la technique des oeillères.
autrement dit quelque chose qu'il est interdit de remettre en question
En quoi est-ce interdit de remettre en question. Si la liberté d'expression garantit qu'on puisse parler de cette foi, elle garantit aussi qu'on puisse la critiquer…
Quant à la laïcité, elle signifie d'abord qu'on ne peut imposer des règles religieuses dans la sphère sociale, que nul ne peut être contraint à les respecter s'agissant d'un choix personnel. Et que la loi doit protéger contre cette contrainte d'autant plus facilement qu'elle remet en cause les principes mêmes qui fondent nos sociétés.
Certes, mais elle permet à n'importe quel imam, gourou, prêtre ou coach personnel de proposer des préceptes sur notre manière de vivre. Qu'on est libre de choisir de suivre ou pas. Depuis quand un prêche a-t-il valeur contraignante? Depuis quand une vidéo youtube est-elle contraignante? Je ne me suis jamais déversé des seau d'eau glacée sur la tête, dancé la tektonik ou suivi les préceptes d'un guide spirituel sur youtube…
La liberté d'expression est effectivement la liberté de critiquer, de se moquer, de débattre, d'échanger. Ce n'est pas la liberté de rendre caduque cette liberté même.
C'est l'éternelle rengaine des ennemis de la liberté d'expression: «Je peux me moquer des autres mais eux n'ont pas le droit de critiquer mon mode de vie».
C'est ridicule, prétentieux et dangereux.
Le sujet est ardu, mais cela vaut peut-être la peine de cesser de se voiler la face et de se lancer à la figure de grands principes qui se nient l'un l'autre pour savoir exactement lesquels il vaut la peine de choisir.
Pas si ardu que cela, il est psurtout plus que jamais important de ne pas détruire ces principes sous couvert de les défendre, au nom de la peur et de l'émotivité. C'est quand le principe est dur à défendre qu'il prend tout son sens… c'est toujours plus facile d'être pacifiste en temps de paix ou tolérant avec ceux qu'on aime.
Choisir de garantir égalité/liberté/fraternité a un prix. Des conséquences.
Les conséquences sont plutôt dûe actuellement aux écarts faits à ces principes: augmentation des inégalités, diminution des libertés et la fraternité n'en parlons pas. Et donc selon vous il faudrait donc diminuer encore plus les libertés, la fraternité et l'égalité?
C'est ce cas de figure qui incitait l'Allemagne à inscrire dans sa constitution, à l'article 21, al. 2 : (2) Les partis qui, d’après leurs buts ou d’après le comportement de leurs adhérents, tendent à porter atteinte à l’ordre constitutionnel libéral et démocratique, ou à le renverser, ou à mettre en péril l’existence de la République fédérale d’Al- lemagne, sont inconstitutionnels. La Cour constitutionnelle fédérale statue sur la question de l’inconstitutionnalité.
Difficile de faire un rapprochement entre un prêtre qui prêche sur youtube et un parti politique qui cherche à mettre en péril un gouvernement? D'autant plus que cet article est surtout liée à une certaine expérience historique d'un cas particulier (mais dévastateur).
Je ne suis (c'est clair), pas d'accord avec vous. Je ne vous répondrai que sur un point (fatigue et... travail à finir).
Vous dites : Permettre que l'Etat évolue avec l'évolution des idées de ses membres. Pour cela il faut que les idées puissent être exprimée et discutées. De plus, en faisant intervenir la force dans le débat (la loi) on érige souvent un mur qui va cacher ces idées, pour qu'elles se propage discrètement et hors de tout contrôle. C'est la technique des oeillères.
Deux points me gênent. Le premier est simple : la loi n'est pas la force, que je sache. C'est éviter le recours à la force, si possible. La loi n'est pas la punition. La loi est, essentiellement, une garantie de protection. Si elle se transforme en force, c'est un dévoiement. Dévoiement qu'on peut effectivement stigmatiser dans la manière dont nous organisons la répression, mais qui ne remet pas en cause la valeur de garantie de la loi.
Le deuxième point sur le fait de permettre que l'État évolue avec l'évolution des idées de ses membres me semble un peu, un chouya inquiétant. Je me trompe peut-être, mais il me semble voir là une série de portes ouvertes à n'importe quel régime, n'importe quels abus. Il me semble qu'évoluer devrait signifier améliorer l'humain, le rendre plus juste pour tous, plus vivable pour tous, plus éthique (et non moral qui prête aux moralismes bébêtes et bigots) pour tous. Autrement dit, il existe bel et bien un principe universel (oh, horreur!) qui guide nos pas et qu'on ne peut remettre en question sauf à penser que l'injustice, l'inégalité, la terreur, les abus, la corruption, l'autoritarisme sont des principes respectables.
Enfin, et là je réponds plus en général : je n'ai jamais nié l'affaiblissement de l'État de droit qui va contre ses principes de justice, d'éthique, d'égalité tranquillement, mais il me semble qu'il existe des moyens de combattre, par la loi, son respect, et, qui sait, la désobéissance civile au nom de la restauration et de l'amélioration de ces principes, cet affaiblissement. De la même manière, j'admire Gandhi, mais son pacifisme n'était pas silence et résignation. Il était action et critique. Désobéissance, oui, mais au nom de grands principes qui n'étaient pas légalisés alors que chez nous, ils sont censés l'être.
Vous dites : Permettre que l'Etat évolue avec l'évolution des idées de ses membres. Pour cela il faut que les idées puissent être exprimée et discutées. De plus, en faisant intervenir la force dans le débat (la loi) on érige souvent un mur qui va cacher ces idées, pour qu'elles se propage discrètement et hors de tout contrôle. C'est la technique des oeillères.
Deux points me gênent. Le premier est simple : la loi n'est pas la force, que je sache. C'est éviter le recours à la force, si possible. La loi n'est pas la punition. La loi est, essentiellement, une garantie de protection. Si elle se transforme en force, c'est un dévoiement. Dévoiement qu'on peut effectivement stigmatiser dans la manière dont nous organisons la répression, mais qui ne remet pas en cause la valeur de garantie de la loi.
Le deuxième point sur le fait de permettre que l'État évolue avec l'évolution des idées de ses membres me semble un peu, un chouya inquiétant. Je me trompe peut-être, mais il me semble voir là une série de portes ouvertes à n'importe quel régime, n'importe quels abus. Il me semble qu'évoluer devrait signifier améliorer l'humain, le rendre plus juste pour tous, plus vivable pour tous, plus éthique (et non moral qui prête aux moralismes bébêtes et bigots) pour tous. Autrement dit, il existe bel et bien un principe universel (oh, horreur!) qui guide nos pas et qu'on ne peut remettre en question sauf à penser que l'injustice, l'inégalité, la terreur, les abus, la corruption, l'autoritarisme sont des principes respectables.
Enfin, et là je réponds plus en général : je n'ai jamais nié l'affaiblissement de l'État de droit qui va contre ses principes de justice, d'éthique, d'égalité tranquillement, mais il me semble qu'il existe des moyens de combattre, par la loi, son respect, et, qui sait, la désobéissance civile au nom de la restauration et de l'amélioration de ces principes, cet affaiblissement. De la même manière, j'admire Gandhi, mais son pacifisme n'était pas silence et résignation. Il était action et critique. Désobéissance, oui, mais au nom de grands principes qui n'étaient pas légalisés alors que chez nous, ils sont censés l'être.
Deux points me gênent. Le premier est simple : la loi n'est pas la force, que je sache
La loi et son application est violente: c'est implacable et indiscutable. Le recours à la loi pour museler une opinion, j'apelle ça l'usage de la force (qui devient réel et physique par ailleurs si on ne la respecte pas). Le non usage de la force ne consiste pas à interdire une opinion, mais à en discuter, à produire une contre-argumentation, à éduquer, etc. Dire à quelqu'un «ton opinion est fausse parce qu'illégale si tu persistes je te dénonce» n'est pas ce que j'apelle une manière pédagogique et intelligente d'aborder un problème.
La loi est là pour poser des limites, lorsque les tentatives diplomatiques ont échouées. On peut discuter sur où on place le curseur en effet, mais ajouter des lois et des lois pour toujours limiter plus les libertés, c'est problematique.
Le deuxième point sur le fait de permettre que l'État évolue avec l'évolution des idées de ses membres me semble un peu, un chouya inquiétant. Je me trompe peut-être, mais il me semble voir là une série de portes ouvertes à n'importe quel régime, n'importe quels abus.
On apelle ça la démocratie, dont le principe n'est pas qu'elle vérouille elle-même son fonctionnement pour éviter les écarts anti-démocratiques, mais que cela soit fait au travers de l'éducation et de la culture.
Il me semble qu'évoluer devrait signifier améliorer l'humain, le rendre plus juste pour tous, plus vivable pour tous, plus éthique (et non moral qui prête aux moralismes bébêtes et bigots) pour tous
Mais comme plus juste, plus vivable et plus éthique sont des valeurs subjectives et culturelles, cela dépend de l'évolution de la culture au sein de la société. Et si la démocratie ne fonctionnait pas ainsi, les femmes n'auraient toujours pas le droit de vote…
Autrement dit, il existe bel et bien un principe universel
J'adore ça, parmis cette diatribe anti-bigot-religieuse, revoici le divin qui revient par la petite porte. La pensée absolutiste est une absurdité religiuse et une insulte à l'intelligence qui empêche toute forme de réflexion.
La loi et son application est violente: c'est implacable et indiscutable. Le recours à la loi pour museler une opinion, j'apelle ça l'usage de la force (qui devient réel et physique par ailleurs si on ne la respecte pas). Le non usage de la force ne consiste pas à interdire une opinion, mais à en discuter, à produire une contre-argumentation, à éduquer, etc. Dire à quelqu'un «ton opinion est fausse parce qu'illégale si tu persistes je te dénonce» n'est pas ce que j'apelle une manière pédagogique et intelligente d'aborder un problème.
La loi est là pour poser des limites, lorsque les tentatives diplomatiques ont échouées. On peut discuter sur où on place le curseur en effet, mais ajouter des lois et des lois pour toujours limiter plus les libertés, c'est problematique.
Le deuxième point sur le fait de permettre que l'État évolue avec l'évolution des idées de ses membres me semble un peu, un chouya inquiétant. Je me trompe peut-être, mais il me semble voir là une série de portes ouvertes à n'importe quel régime, n'importe quels abus.
On apelle ça la démocratie, dont le principe n'est pas qu'elle vérouille elle-même son fonctionnement pour éviter les écarts anti-démocratiques, mais que cela soit fait au travers de l'éducation et de la culture.
Il me semble qu'évoluer devrait signifier améliorer l'humain, le rendre plus juste pour tous, plus vivable pour tous, plus éthique (et non moral qui prête aux moralismes bébêtes et bigots) pour tous
Mais comme plus juste, plus vivable et plus éthique sont des valeurs subjectives et culturelles, cela dépend de l'évolution de la culture au sein de la société. Et si la démocratie ne fonctionnait pas ainsi, les femmes n'auraient toujours pas le droit de vote…
Autrement dit, il existe bel et bien un principe universel
J'adore ça, parmis cette diatribe anti-bigot-religieuse, revoici le divin qui revient par la petite porte. La pensée absolutiste est une absurdité religiuse et une insulte à l'intelligence qui empêche toute forme de réflexion.
J'ai eu tort, j'aurais dû dire une idée intelligente et sympathique de ce que l'humain devrait être et qui ne comprend pas l'inégalité, la soumission des uns aux autres, l'injustice, les idées ringardes, oh pardon!, une pléthore de règles vieillottes (litote) et inutiles faites uniquement pour garder dans la soumission, des obligations vestimentaires, des obligations alimentaires (sauf à torturer des êtres vivants), des obligations sexuelles (sauf à abuser), des obligations de pondeuse, des obligations, en sommes, qui sont une liste à la Prévert version sinistre. Quant au divin, peut-être est-ce votre référence, mais pas la mienne et je ne distingue pas cette porte par laquelle il aurait fait une entrée sournoise dans mes propos. Quant à la violence de la loi, puisque c'est indiscutable, je ne discuterai donc pas ce qui toutefois me donne la sensation de tronquer votre liberté d'expression. Bonne journée!
Bonne journée!
Merci. IL est tard mais vous venez d'ensoleiller la mienne.
Merci. IL est tard mais vous venez d'ensoleiller la mienne.
Là où Kusto a raison, c'est que Dieu a des points communs avec le sparadrap du capitaine Haddock https://www.google.fr/search?q=sparadrap+haddock&biw=1920&bih=1079&site=webhp&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&sqi=2&ved=0ahUKEwj397jdgrHJAhWHVxQKHYckD80QsAQIJQ
Absolument, c'est pourquoi il faut utiliser exclusivement des bandes velpeau bio.
sectaire !
Oh d... ? (au choix en fonction des non croyances ou croyances), je suis découverte!
À propos de bigots : http://www.riposte-catholique.fr/riposte-catholique-blog/tribune/les-aigles-deplumes-de-la-mort-aiment-le-diable
Oui, cirnéaf. C'est bien dit.
Ordination des nonnes dans les Sanghas bouddhistes, plus de problème de cheveux, on rase tout, parce qu'elles le valent bien.
Est-ce une réponse digne, honnête à Cirneaf ?
Vous nous avez habitués à bien mieux.
Vous nous avez habitués à bien mieux.
Il y a quelques années,en Egypte,une enquête avait été faite pour montrer que le hidjab garantissait les femmes contre le harcèlement sexuel.Hélas pour ses initiateurs elle avait montré qu'il n'y avait aucune différence!C'est Tartufe qui est le fautif et non les objets de son désir.
[quote=cirneaf, 2015]ajouter sournoisement qu'elle ne s'étonne donc pas si on abuse d'elle
[quote=Mouloudji, 1971]Dire qu'il y a des filles, de vrais appels au viol
Qu'ont l'derrière étonné dès qu'une main batifole
Je précise que Mouloudji était (considéré comme) un chanteur "de gauche".
[quote=cirneaf]Et quand je sortirai en short, j'ai intérêt à prendre une kalachnikov pour calmer tous ceux que j'aurai honteusement provoqués.
Bah, pourquoi risquer une condamnation pour homicide, quand un bon coup de genou bien placé...
[quote=Mouloudji, 1971]Dire qu'il y a des filles, de vrais appels au viol
Qu'ont l'derrière étonné dès qu'une main batifole
Je précise que Mouloudji était (considéré comme) un chanteur "de gauche".
[quote=cirneaf]Et quand je sortirai en short, j'ai intérêt à prendre une kalachnikov pour calmer tous ceux que j'aurai honteusement provoqués.
Bah, pourquoi risquer une condamnation pour homicide, quand un bon coup de genou bien placé...
Ce qui m'étonne c'est la façon de parler de cet imam. C'est un discours qui pourrait s'adresser à des enfants, tellement il est simpliste . Comment des adultes peuvent ils écouter un tel prêche sans se poser des questions sur son intérêt et les qualités intélectuelles de cet imam ?
L'injonction paradoxale ne ferait-elle pas parti des techniques standard de manipulation ?
"Cet homme mérite de mourir, mais il ne faut pas le tuer".
Ou alors c'est une expression de la pensée de midi. Encore un disciple de Camus...
"Cet homme mérite de mourir, mais il ne faut pas le tuer".
Ou alors c'est une expression de la pensée de midi. Encore un disciple de Camus...
Petite remarque : Cazeneuve Bugge car il ne sait authentiquement pas quoi faire.
On ne peut pas, en France, et c'est heureux, interdire à quelqu'un de parler.
A peine peut-on lui demander de répondre des abus de sa liberté d'expression.
Par exemple, je m'interroge sur la compatibilité avec l'article 24 alinéa 1er de la loi de 1881 (il punit, notamment, l'incitation au viol) des propos suivants :
"Comment une femme peut dire qu'elle a beaucoup de pudeur, alors qu'elle sort de chez elle sans son hijab ? Le hijab, c'est l'honneur de la femme. Et si elle sort sans honneur, qu'elle ne s'étonne pas que les hommes abusent de cette femme-là""
cela dit, est-ce que ça va régler le problème ?
Non, les cas Soral, Dieudonné sont là pour nous le rappeler.
Difficile donc d'interdire l'imam en question de prêcher, sauf à extrapoler le droit pour dissoudre sa mosquée et encore je m'interroge sur le fondement - il y a certainement une qualification pénale disponible, mais n'étant pas pénaliste je ne m’avancerai pas.
En fait, Cazeneuve est paumé parce que la situation est merdique, et les moyens juridiques limités.
La vraie réponse est l'éducation, le développement économique, une transition écologique, mais les choses prennent du temps, et le temps n'est pas l'ami du personnel politique (régionales oblige).
Bref, ils vont continuer à nous déverser des tonnes de solutions de merde, comme toujours, l'avenir s'annonce radieux.
On ne peut pas, en France, et c'est heureux, interdire à quelqu'un de parler.
A peine peut-on lui demander de répondre des abus de sa liberté d'expression.
Par exemple, je m'interroge sur la compatibilité avec l'article 24 alinéa 1er de la loi de 1881 (il punit, notamment, l'incitation au viol) des propos suivants :
"Comment une femme peut dire qu'elle a beaucoup de pudeur, alors qu'elle sort de chez elle sans son hijab ? Le hijab, c'est l'honneur de la femme. Et si elle sort sans honneur, qu'elle ne s'étonne pas que les hommes abusent de cette femme-là""
cela dit, est-ce que ça va régler le problème ?
Non, les cas Soral, Dieudonné sont là pour nous le rappeler.
Difficile donc d'interdire l'imam en question de prêcher, sauf à extrapoler le droit pour dissoudre sa mosquée et encore je m'interroge sur le fondement - il y a certainement une qualification pénale disponible, mais n'étant pas pénaliste je ne m’avancerai pas.
En fait, Cazeneuve est paumé parce que la situation est merdique, et les moyens juridiques limités.
La vraie réponse est l'éducation, le développement économique, une transition écologique, mais les choses prennent du temps, et le temps n'est pas l'ami du personnel politique (régionales oblige).
Bref, ils vont continuer à nous déverser des tonnes de solutions de merde, comme toujours, l'avenir s'annonce radieux.
fondamentalistes = djihadistes, (…) expliquent que cette équation est désormais périmée
Elle n'est même pas désormais périmée, elle n'a jamais été vraie. C'est un amalgame de demi-groupes: «Tout les musulmans ne sont pas terroristes, sauf s'ils s'impliquent un peu trop dans leur religion». Et la propagande de guerre du gouvernement Hollande propage ces amalgames, particulièrement avec des crime contre l'intelligence comme les «signes de radicalisation».
Et les mots utilisés: intègre, radical, ce sont des caractères qui sont loués pour tout au domaine, mais dans la religion musulmane, ils apparaissent comme un crime ultime? Dans une société qui loue fréquement les positions fermes, autoritaires, décidées, intègres et qui se moque quotidiennement des positions consensuelles (girouette, mou, etc.) repprocher cela à certains musulmans est un peu fort de café!
Elle n'est même pas désormais périmée, elle n'a jamais été vraie. C'est un amalgame de demi-groupes: «Tout les musulmans ne sont pas terroristes, sauf s'ils s'impliquent un peu trop dans leur religion». Et la propagande de guerre du gouvernement Hollande propage ces amalgames, particulièrement avec des crime contre l'intelligence comme les «signes de radicalisation».
Et les mots utilisés: intègre, radical, ce sont des caractères qui sont loués pour tout au domaine, mais dans la religion musulmane, ils apparaissent comme un crime ultime? Dans une société qui loue fréquement les positions fermes, autoritaires, décidées, intègres et qui se moque quotidiennement des positions consensuelles (girouette, mou, etc.) repprocher cela à certains musulmans est un peu fort de café!
Qu'il soit contre la violence, soit. Mais de là à dire qu'il n'a aucune influence... Ce gars pratique un drôle de jeu.
C'est le ridicule qui a tué le clergé catholique, et qui tuera le clergé de cette religion censée ne pas en avoir. https://www.google.fr/search?q=iznogoud&biw=1920&bih=1079&site=webhp&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&sqi=2&ved=0ahUKEwjyvuOcmrDJAhVJPxQKHYYHD7EQiR4Ifg
Djac avait attiré l'attention des @sinautes sur les travaux d'olivier Roy.
A lire dans le Monde ce matin, un papier très intéressant sur l'islamisation de la radicalité (et pas la radicalisation de l'islam...).
Une voix dissonante dans les concerts culturalo / sécuritaires hystérisés.
A lire dans le Monde ce matin, un papier très intéressant sur l'islamisation de la radicalité (et pas la radicalisation de l'islam...).
Une voix dissonante dans les concerts culturalo / sécuritaires hystérisés.