RN : des interviewés comme les autres ?
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RN des interviewés comme les autres ?
N'écoutant plus les médias, étant informé grâce à vous ou d'autres sites alternatifs comme le Média.
J'aurais plutôt posé comme question : les Insoumis, des interviewés comme les autres ?
C'est un acharnement perpét(...)
Il faut rappeler, notamment à tous les journalistes, la décision du Conseil d'Etat (la plus haute juridiction administrative en France). Le RN est un parti d'Extrême Droite. LFI est un parti de Gauche. Un point c'est tout.
Exemple de débat manipulé par les médias. .entre Manon Aubry et l'infâme Valls .
A la conclusion, Calvi parle de gauche irréconciables. Situer Valls à gauche, en dit long sur où se situe Calvi.
Dans cet interview, les journalis(...)
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La faiblesse des journalistes par rapport aux idées d'extrême-droite je ne pensais sincèrement jamais voir ça un jour en France.
Et leur porosité face au lexique de droite en utilisant le terme "Les extrêmes" (répétés dans la plupart des médias, même du service public), encore plus!!!
Je ne regarde plus la télé (ni publique, ni privée), depuis 15 ou 20 ans. Hier soir, j'ai fait l'effort de regarder Bompard sur LCI "La grande confrontation", un intitulé très "pudique" puisqu'il s'agissait en réalité d'un lynchage médiatique méticuleusement orchestré, avec pour but d'empêcher l'invité de s'exprimer au sujet du programme du N. Front Pop. tout en le soumettant à un procès en antisémitisme de la LFI.
Les trois "journalistes" étaient armés de gants cloutés tandis que l'invité sur ce plateau TV transmué en donjon BDSM, lui, était à mains nues (j'ai pas regardé, mais je crois même qu'on lui a collé un harnais à boule rouge sur la bouche).
Perso, j'ai stoppé juste avant l'entrée en scène de la boxeuse Ruth Elle Kriait. Une professionnelle du journaliste et de l'information, n'est-ce pas ? Sinon, elle n'officierait pas sur un média à forte audience, n'est-ce pas ? Pujadas, Domina du donjon BDSM, n'aurait jamais sollicité ses services spéciaux, n'est-ce pas ?
D'un point de vue strictement journalistique, cette émissions n'a apporté aucune information au public. Elle a en revanche permis de véhiculer et pire encore, d'ancrer dans les esprits certaines idées rances, au sujet de la LFI et du programme du NFP (dont peu de gens savent qu'il est en grande partie issu de l'AEC) que nos boxeurs à picots avaient pour mission de disqualifier, de vilipender, de salir.
Bref, tout ça pour dire à l'auteur du billet, DS, que oui, il faut un vrai savoir-faire pour interviewer un invité sans jamais lui permettre d'exprimer ou d'expliciter quoi que ce soit d'utile à la compréhension du public.
Le round mené par Lenglet (en grand remplacement de Bruno, le ministre des Trous dilatés comme jamais, je parle de l'endettement de la France, hein) qui parle tout seul pendant d'interminables minutes, est en soi un stage de formation au "journalisme" 3.0.
C'est assurément un vrai métier, mais ce n'est pas le métier d'informer et non, ce n'est pas du journalisme. C'est une sorte d'extension, sur les plateaux TV, du domaine de la lutte politique menée par les puissants contre leurs opposants.*
Et c'est si obscène et écoeurant de sadisme que ça m'a rappelé ce film de Pasolini (assassiné deux mois avant sa sortie) "Salo ou les 120 journées de Sodome".
ce qui me heurte en plus depuis, c'est la multiplicité des micros-trottoirs, accoudés au comptoir, où l'interviewé que nous ne connaissons pas qui s'avèrera peut-être un militant haineux, va pleurnicher comme Colombe, comme UFC-Que-Choisir, ce n'est pas parce que des dizaines de médecins à la ronde font une grève perpétuelle des nouveaux patients malgré les dernières négociations favorables pour leur portefeuille déjà bien remplis, que nous pouvons hurler contre les déserts médicaux, quelle est la promesse démagogique des haineux dans ce domaine? recréer des dispensaires avec des salariés qui comme aux urgences accepteront tous ceux qui se présentent?
Le "ne vous inquiétez pas, on s'occupera bien de vous" du candidat RN Damien Toumi est glaçant.
Ces gens sont véritablement dangereux.
Daniel, de grâce, continuez à vous autoriser à "tirer contre votre camp", à "publier des informations sur les lacunes et incohérences" de ce camp. Ce dont on a besoin c'est de journalistes engagés, mais lucides et surtout honnêtes.
Ça peut être tentant, quand on voit l'alternative qui se profile, de faire croire que tout va bien. Le souci, c'est que les gens aussi sont désespérés. Beaucoup risqueraient de vous croire, et ce type de croyance en des personnes ou partis providentiels est dangereuse.
Ne combattons pas le mal par le mal. En tous cas pas au prix de notre honnêteté.
Il serait plus juste de combatte les stéréotypes sexuels, que de se réjouir du fait que les gens peuvent légalement changer de sexe car ils ne supportent pas les injonctions de la société patriarcale.
Un homme qui n'est pas viril est toujours un homme. Une femme qui n'est pas féminine est toujours une femme. A quel point il faut modifier son corps ou son apparence pour changer de genre ? Nul ne le sait. Et parler de sexe biologique est presque devenu un délit.
Quelle misère d'avoir laissé l'extrême droite s'approprier cette évidence, en voulant se gargariser d'un discours queer.
"Il serait plus juste de combatte les stéréotypes sexuels, que de se réjouir du fait que les gens peuvent légalement changer de sexe car ils ne supportent pas les injonctions de la société patriarcale."
L'un n'empêche pas l'autre.
"Et parler de sexe biologique est presque devenu un délit. Quelle misère d'avoir laissé l'extrême droite s'approprier cette évidence(…)"
Vous ne savez peut-être pas que le sexe biologique, justement, n'est pas si évident. D'une part, contrairement à ce que dit Marion Maréchal et d'autres, ce n'est pas juste une histoire de chromosomes. D'autres facteurs rentrent en ligne de compte, qui peuvent d'ailleurs se contredire les uns les autres : organes sexuels et hormones sexuels. Par ailleurs, dans chaque critère, il y a des anomalies, en termes de chromosomes par exemple (XXY, XYY…). Donc non, même biologiquement, si la binarité semble fonctionner dans la majorité des cas, elle ne fonctione certainement pas dans tous. Ce n'est donc pas une vérité scientifique.
Alors pourquoi vouloir absolument l'appliquer à tous ? Laissons les gens qui ne font de mal à personne vivre en paix et comme ils l'entendent.
Un peu ambiguë ou bien confus votre commentaire ... Genre et sexe ce n'est pas la même chose non ?
parler de sexe biologique est presque devenu un délit.
Ce n'est pas un délit, c'est une aberration.
Il serait licite de parler de:
Sexe phénotypique (aspect des organes génitaux externes, lequel n'est pas forcément en corrélation avec les organes génitaux internes)
Sexe chromosomique (en sachant qu'un caryotype XY par exemple, peut déterminer un phénotype féminin, sans utérus mais avec des testicules internes, par insensibilité aux androgènes)
Sexe hormonal (cf l'exemple précédent)
l'idéal bien sûr étant que tout cela concorde...
Et même si cela concorde, se posent les vrais problèmes de sexe (ou plutôt d'état civil) social et psychologique. C'est bien plus subtil que des injonctions patriacales.
Quant aux adjectifs de "viril" ou "féminine", ils me paraissent d'une inanité profonde, surtout quand vous parlez de combattre des stéréotypes.
Et encore une fois je rappelle qu'il ne s'agit pas de changer de sexe (celui-là me plait pas je veux l'autre), mais de changer d'état-civil.
Je me suis peut être mal exprimé. Les adjectifs "viril" et "féminine" sont bien d'une inanité profonde car ils sont justement l'expression des stéréotypes. Ils n'ont aucun rapport avec la définition biologique de ce qu'est un homme ou une femme puisqu'il s'agit de comportements ou de rôles sociaux attribué arbitrairement à l'un ou l'autre des deux sexes.
La reproduction sexuée des êtres humains est basée sur la fécondation entre les gamètes male et femelle qui donnent un embryon puis un bébé. D'où le caractère binaire de l'identité sexuelle basée sur la biologie. Et l'état civil, il me semble, repose à la base sur la réalité du sexe biologique, puisqu'il est donné à la naissance, selon les attributs sexuels du nouveau né. Tout cela est très concret et ne relève pas de concept ou d'opinion. L'état civil est bien l'expression dérivée de la reproduction sexuée qui est binaire.
Je vois bien que l'origine d'une demande de transition peut être d'ordre médical, biologique, comme l'intersexuation. Seulement la question de la transition a dépassé largement ce cadre, on promet dorénavant à tous ceux qui seraient mal à l'aise dans leur corps ou dans leur tête de pouvoir choisir leur genre, mais surtout de pouvoir conformer leur corps à leur nouvelle identité sexuelle.
Il ne s'agit pas de changer juste d'état civil, ou juste de tenue vestimentaire, ou juste d'organe sexuel ou juste de prendre des hormones. En réalité il n'y a pas de règles et d'ailleurs personne ne sait techniquement ce qui différentie aujourd'hui Carlos Gascón, garçon né en 72 à Madrid, de Karla Sofía Gascón, actrice récompensée en 2024 à Cannes. Seul son médecin le sait. Et encore. La réalité, c'est que justement dans cette logique l'état civil ne repose plus sur rien de concret. il repose sur la volonté de l'individu d'appartenir à ce qu'il définit comme un genre.
Que l'état civil repose sur la seule volonté du demandeur, en soit ça n'est pas très grave. C'est plutôt les conséquences qui sont graves avec des femmes, dans des lieux réservés au femmes, qui sont peut être biologiquement toujours des hommes (vestiaires, prisons, compétitions sportives). Et il existe de nombreux cas très préoccupant dans le monde anglosaxon et maintenant largement ailleurs.
Il existe aussi des cas de dé-transition, de personnes qui ont cru trouver la paix en changeant d'identité mais qui ont trouvé finalement les mêmes injonctions sexuées arbitraires dans le rôle d'homme comme dans le rôle de femme. La solution n'est peut être pas de changer de sexe ou de genre mais bien de changer la société.
Bref, le fait que la plus part des mouvements de gauche se rangent derrière le discours sur le genre (ou queer ou trans), en pensant que ce n'est qu'épanouissement et émancipation, sans relever son absurdité ou sa potentielle toxicité pour la société, c'est juste dommage. Cela provoque un angle mort, une béance, dans laquelle on a laissé Marion Marechal s'engouffrer. Cette dénonciation revient au féminisme radical, qui est très éloigné des idées de l'extrême droite, et même à l'exact opposé.
A écouter sur le sujet:
Il est trompeur d'invoquer la biologie pour dire que c'est elle qui a introduit la distinction de sexe.
Cette distinction existait bien avant la biologie moderne, et c'est la biologie qui s'est servi des constructions sociales pré-existantes pour créer ses premiers modèles (et c'est tout à fait normal).
Entre temps les modèles se sont affinés, et on s'est rendu compte que ce c'était un modèle à relativiser.
Il me semble que la très stricte division en deux "sexes" de toute l'humanité est aussi absurde que de prétendre qu'il y a d'un côté des bruns aux yeux noirs et de l'autre des blonds aux yeux bleus.
Pourquoi avoir voulu invisibiliser tout ce qu'il y a "entre"? Probablement pour mieux contrôler la sexualité. C'est simple s'il y a seulement "des hommes" et "des femmes", on met les uns ici, les autres là, et on creuse les différences pour qu'ils ne se mélangent que sous contrôle.
Sinon... on n'y comprend plus rien et surtout on ne contrôle plus rien.
Je comprend tout à fait qu'on puisse penser qu'il existe deux sexes parfaitement distincts, pour des raisons religieuses ou sociales, par exemples.
Mais dire que c'est le cas parce que c'est la biologie qui le dit, c'est au mieux une méconnaissance, au pire de la manipulation.
les oppositions binaires sont utiles pour penser, et même pour parler (opposition entre deux phonèmes permettant de différencier le sens des mots, alors même que la prononciation se répartit sur un continuum, et que la limite entre les deux phonèmes n'est pas la même pour tous les locuteurs).
À condition, en effet, de ne jamais oublier qu'aucun phénomène n'est strictement clos sur lui-même. Et que c'est dans le poreux des "frontières" que se situe, que se comprend, la dynamique des phénomènes, leur évolution, leur adaptabilité... y compris pour l'évolution des langues !
c'est si difficile que ça de penser à la fois "binaire" et "non binaire" ? dans plein de domaines, cette petite gymnastique est indispensable.
L'insémination artificielle sur les juments ou sur les vaches remonte bien avant la biologie médicale. On sait que la reproduction se fait a partir de gamètes mâles et de gamètes femelles, indépendamment de l'organisation binaire des sociétés en hommes et femmes.
Le système décimal est fondé sur le fait que nous avons dix doigts. Pourtant certains en ont peut être 9 ou 11.
"On sait que la reproduction se fait a partir de gamètes mâles et de gamètes femelles"
Vous voyez bien que dans notre société, la différence, voire l'opposition entre deux "sexes" et rien autour s'étend bien au delà du domaine de la reproduction.
Domaine où elle est certes justifiée... quoique: les porteurs de gamètes mâles ou femelles ne sont pas toujours aussi bien répartis qu'on le voudrait parmi les non-humains.
Les escargots de mon jardin, amoureusement enlacés dans une étreinte interminable et sexuellement indifférenciée, pourraient vous en parler...
mais même chez les animaux sexués, l'intersexuation existe (elle est même en augmentation chez certains poissons par exemple).
L'existence des escargot ou des animaux intersexes ne remet pas en question la binarité de la reproduction sexuée qui est basée sur la production de gamètes pour produire un embryon. Les escargots produisent des spermatozoïdes et des ovules.
Mais je ne dis pas que c'est bien ou mal. Je dis juste que c'est le fondement de la binarité des sexes, que ce soit a l'état civil ou sur la porte des toilettes. On a besoin de standards communs pour se comprendre, de conventions, sinon on ne peut plus se parler et plus rien n'a de sens.
Cela n'empêche pas de se battre pour le droit des femmes et des minorités, contre les stéréotypes et contre le patriarcat. Et contre l'extrême droite qui s'approprie maintenant ce discourt !
On tourne en rond là.
On en est au stade ultime de la volonté de l'humain de se distinguer du monde animal?
Cette cigogne femelle est plus petite que le mâle, elle sort toute ratatinée de la ponte, couvaison, nettoyage du nid, abritage des petits. Le plus grand qu'elle, le mâle l'aide un peu, lui fait des coups de becs tendre, et surtout se range les plumes à longueur de temps, grignotant les insectes dans celles de sa femelle. Il est fidèle. Elle est fidèle.
Oui les webcam c'est instructif.
Une construction sociale innée ça existe.
Personne pour laisser entendre que la femelle cigogne est victime d'une sélection (darwinienne, ou de celle de Jacques Monod, on s'y perd), par la malnutrition due à la domination du mâle tirant parti de la survie des femelles plus petites que lui. On l'a laissé entendre pour expliquer que les femmes sont plus petites que les hommes, injustice fatale à l'origine de toutes les suivantes faisant des femmes des victimes-nées...
Toutes les langues ne distinguent pas genre et sexe. Est-ce que le raisonnement qui tend à les distinguer est si solide, si probant? Alors qu'une petite pancarte vient perpétuellement nous lancer un "gnagnagna, spermatozoïde/ovule, on en démordera pas" et tout vacille, il faut mille palabres alambiquées pour contrer ces porteurs de pancartes qui en veulent à notre liberté.
Je n'ai aucune certitude, aucune hostilité, mais j'ai l'impression d'une grande confusion entre le besoin de transgression qui ne se satisferait pas d'une complète banalisation, et les règles de mondanité pour se rendre plus intéressant, ou se fondre dans le plus uniforme possible, qui aliènent dans les deux sens notre liberté de comportement. Je suis incapable de trouver où est le combat, à par revendiquer la non-violence et le respect de la liberté de chacun.
Et l'état civil, il me semble, repose à la base sur la réalité du sexe biologique, puisqu'il est donné à la naissance, selon les attributs sexuels du nouveau né.
C'est loin d'être si simple!
De plus en plus de bébés naissent avec des aspects extérieurs tels qu'on ne peut définir de sexe pour la déclaration à l'état civil.
Et il en naitra de plus en plus, les foetus étant exposés aux perturbateurs endocrinien.
La loi bioéthique de 2021 autorise maintenant un délai de trois mois dans ces cas pour une inscription à l'état civil en sexe féminin ou masculin, c'est une décision médicale.
Les parents peuvent changer les prénoms néanmoins.
Et vous n'avez rien lu de la distinction que j'ai faite, sexe biologique ne signifiant rien.
Au plus pourrait-on dire sexe phénotypique...
(Par exemple, dans le cas du syndrome d'insensibilité aux androgènes (hormone mâle), auparavant malencontreusement appelé "testicule féminisant), les sujet a des organes sexuels externes parfaitement féminins, mais pas d'utérus, et c'est à l'âge attendu des premières règles que l'échographie trouve des choses étranges, et le caryotype se révèle XY...)
Sinon
C'est plutôt les conséquences qui sont graves avec des femmes, dans des lieux réservés au femmes, qui sont peut être biologiquement toujours des hommes (vestiaires, prisons, compétitions sportives). Et il existe de nombreux cas très préoccupant dans le monde anglosaxon et maintenant largement ailleurs.
Vous pouvez développer?
Parce que là, je ne comprends absolument pas.
Je ne demande pas aux journalistes de prendre parti. Juste de faire honnêtement leur métier. De connaitre leurs dossiers. De poser les bonnes questions, celles qui vont nous permettre de mieux comprendre. De mettre en évidence les perfidies cachées.
Combien de fois sont-ils pris en flagrant délit de partialité menteuse? En flagrant délit d'ignorance? En flagrant délit d'à peu près?
On vous demande juste de faire votre métier. Point barre. Vos opinions, bah, on s'en arrangera si vous ne faites pas preuve de mauvaise foi ou d'incompétence.
Alors cette peur de perdre son boulot est peut-être une petite partie de l'explication sur la déférence de certains journalistes avec le RN mais il en manque quand même un gros bout:
1- l'audiovisuel public n'est de loin pas majoritaire, ni en nombre de journalistes ni en parts d'audience ou que sais-je. Du coup, c'est quoi l'explication dans le privé ???
2- Petite expérience de pensée: imagine-t-on des journalistes, disons de droite pour faire court, ménager LFI par peur de représailles si jamais elle était donnée favorite à la présidentielle ou aux législatives ???
Ma conclusion à moi: le fond de sauce a pour ingrédients principaux le réflexe de classe avec plus ou moins de racisme et c'est dégueulasse.
Marion Maréchal se dit catholique pratiquante. Petite-fille de pasteur pentecôtiste du côté paternel, elle a fait sa première communion et sa confirmation à l'institution Saint-Pie-X de Saint-Cloud, école catholique traditionaliste où elle a effectué une partie de sa scolarité. Elle participe régulièrement au pèlerinage de Chrétienté, de Paris à Chartres, organisé par l'association traditionaliste Notre-Dame-de-Chrétienté, et au pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle5,37,26.
Whaou comme ça fait du bien d'entendre la résistance , bon faut reconnaitre que c'est l’apanage des journalistes compétents qui n'ont pas besoin d’être malhonnêtes pour survivre . Que deviendraient ces gens sous l'occupation du fn ? Deviendraient ils terroriste ? Iraient ils dans le maquis d’internet ?
"La transphobie n’est pas une opinion, c’est un délit" , dit Sonia Devillers.
L'absurdité de cette affirmation en dit long sur les facultés intellectuelles de Sonia Devillers et la précision de ses raisonnements. Car , bien entendu, il n'y a pas d'opposition sémantique entre opinion et délit. L'expression d'une opinion que le loi interdit est un délit.
"un exploit", rappeler la loi, dire "Non ceci est un mensonge".
Cet exploit n'en est un qu'au regard de la quantité
extraordinaire de "pseudo-journalistes" qui sévissent
en permanence sur les ondes...ondes qui puent...
odeurs marécageuses.
Et encore, je n'en perçois que les remugles
que par les extraits que vous nous distillez,
ayant coupé net radio, télé ou autres merdias
Exemple de débat manipulé par les médias. .entre Manon Aubry et l'infâme Valls .
A la conclusion, Calvi parle de gauche irréconciables. Situer Valls à gauche, en dit long sur où se situe Calvi.
Dans cet interview, les journalistes ont choisi leur camp. Après on s'étonnera de la montée du RN.
Règle numéro un du "journalisme": ne pas insulter l'avenir. On ne va pas se fâcher tout de suite avec les éventuels patrons.
Bon ben oui... Tout roule on dirait ! !
En plus on l'a notre affaire " papi voize" ! ! Les Guedj et autres Entoven vont pouvoir se déchaîner contre Méluche et donc contre LFI
Je crois surtout que beaucoup de journalistes, surtout dans les directs radio/TV (ainsi que durant les débats), ne sont pas à la hauteur des sujets traités, et a fortiori des enjeux sociétaux et politiques qui y sont liés.
L'argument de Sonia Devillers à propos de la famille selon Pétain est bien plus qu'une maladresse, c'est de la connerie pure et simple. Et c'est vraiment triste à dire, mais la réaction de M. Maréchal fait mouche.
Pareil quand, il y a quelques années face à Le Pen père, JJ Bourdin ressortait le "détail" 30 ans après. Quel intérêt, sinon de se vautrer dans les caricatures pour essayer de faire de l'audience ?
Et ne venez pas me ressortir le couplet de ma prétendue complaisance vis-à-vis du RN, de leurs thèses ou de leurs électeurs. C'est tout l'inverse : soit on est journaliste et on rentre vraiment dans le lard de ces crapules, soit on change de métier.
RN des interviewés comme les autres ?
N'écoutant plus les médias, étant informé grâce à vous ou d'autres sites alternatifs comme le Média.
J'aurais plutôt posé comme question : les Insoumis, des interviewés comme les autres ?
C'est un acharnement perpétuel contre eux sur tous les canaux, pendant qu'on propage sans vergogne les idées d'extrême droite. Insécurité, immigration...
Bref l'ennemi, n'est pas le RN , mais bien la gauche de rupture.
Après avoir servi la soupe aux macronards, on se reporte sur le RN , à de rares exceptions près.
Toujours Hitler plutôt que le front populaire. Tous les grands médias ont été partisans, voire militants. Aucune pluralité.Et quand le danger fachiste approche, on demande aux castors de se remettre au travail.
La montée du RN est causée par :
Le néolibéralisme forcené des politiciens de droite.
La trahison des sociaux démocrates qui ont abandonné les couches populaires.
La complicité de la quasi totalité des médias dans la propagation des idées d'extrême droite.
Les exemples sont trop nombreux pour être relatés ici.
Celui qui a fait le taf face à un RN , n'était pas journaliste:
Je reposte pour ceux qui ne l'ont pas écouté.
Peut-être faut-il faire comme font les " journalistes " de CNEWS ( et autre BFM) ; traiter les interviewés comme des adversaires politiques ( ou des ennemis de la démocratie ) ?
Plus facile à dire qu'à faire....
Jamais, je n'aurais cru conseiller de prendre exemple sur les malfaisants d'extrême droite...
Il faut rappeler, notamment à tous les journalistes, la décision du Conseil d'Etat (la plus haute juridiction administrative en France). Le RN est un parti d'Extrême Droite. LFI est un parti de Gauche. Un point c'est tout.
Il me semble que ce à quoi on assiste en ce moment sur les grands médias, c'est une très grande prudence vis à vis des représentants de l'extrême-droite. Je me trompe peut-être, mais l'impression que ça donne, c'est que beaucoup de journalistes interviewers misent sur, ou prévoient, sa victoire prochaine. Ils se méfient en conséquence. Ils réservent leur pugnacité à la gauche, mais également à la majorité actuelle, qui est moins ménagée qu'avant. Un comportement choquant, de mon point de vue. Par ailleurs, je ne tiens pas un décompte précis des invités des divers plateaux, ni ne regarde tous les plateaux en question, mais là encore, j'ai une impression de nette disparité. Les représentants de l'extrême-droite sont omniprésents.
Mais surtout, j'y reviens, l'ambiance prédominante sur ces médias, c'est une sorte de fatalisme : le RN va gagner. Et tout le monde s'attend, à mon avis à raison, à de grandes purges, surtout sur le réseau public, dont le RN a déjà annoncé la privatisation. C'est là, à on sens, que réside leur grande lâcheté : non seulement ils ne prennent aucun risque, mais au contraire, renforcent ce sentiment que tout est joué. Or, c'est toujours la lâcheté qui a permis, de tout temps, aux régimes autoritaires de s'implanter.