Lazarevic, en un geste protecteur
Capture d'écran réalisée sur le site de la BBC,
où est visible la vidéo de cet instant
Tweet de l'AFP
Contradictoires parce que c'est l'ex-otage détenu pendant 1 111 jours par al-Qaida qui, prenant le président par le cou, semble ainsi prodiguer un geste protecteur. Un geste tel celui qu'une mère porte à son enfant, un geste mis en peinture au XVe siècle :
Peinture de Giovanni Bellini, 1490
Peinture de Filippo Lippi, XVe siècle
Peinture d'Andrea Mantegna, 1465-1470
Mais en vérité, le geste de Serge Lazarevic ressemble plus à une étreinte avortée.
Un peu comme celle que ce singe prodigua à Jane Goodall quand elle le libéra après l'avoir capturé et soigné :
La comparaison est un tantinet anthropomorphique, certes, mais regardez la vidéo…
L'occasion de lire ma chronique intitulée Moi Tarzan, toi gêne, et la chronique de Daniel Schneidermann, Lazarovic, un shoot d'euphorie matinale
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